Je m'appelle Caroline j'ai 43 ans mais on m'en donne facilement
dix de moins, je suis brune, j'ai toujours fait de la gym
et j'aime mon corps ferme, mon ventre légèrement bombé,
mes fesses charnues sans cellulite et mes seins assez gros
en forme de poire qui, bien calés dans un soutien-gorge,
me donnent une silhouette avantageuse qui ne laisse pas
les hommes indifférents. Mon mari Alban est directeur d'une
P.M.E. et ses revenus nous permettent de vivre correctement
sans que j'aie à travailler. Alban a huit ans de plus que
moi et ses activités très prenantes ont une incidence négative
sur notre vie sexuelle. Je m'en suis très bien accommodée
jusqu'au jour où a débuté cette histoire.
Ma fille Mélodie, 24 ans, est enceinte. Nous avions prévu
avec Alban d'aller la voir juste après son accouchement,
quand mon gendre Grégoire nous appela pour nous informer
que Mélodie avait de l'avance et allait accoucher d'une
minute à l'autre. Je décidai donc de partir immédiatement,
Alban devant nous rejoindre dès que possible.
Je me suis rendue à Orly pour prendre la première navette
et Grégoire m'attendait à Blagnac. Il m'informa que Mélodie
venait d'avoir un petit garçon, nous sommes donc passés
à la clinique immédiatement, puis dans la soirée Grégoire
m'a ramené chez eux.
Ma fille et Grégoire habitent une villa à proximité de
Muret au sud de Toulouse.
J'ai préparé un repas rapide et nous nous sommes installés
devant la cheminée. Grégoire s'est montré très attentionné
et j'ai passé une agréable soirée à discuter avec mon gendre
que je n'ai pas l'occasion de voir souvent. J'étais ravie
des compliments qu'il m'adressait et un peu troublée de
passer la soirée seule avec un jeune homme, ce qui ne m'est
pas arrivé depuis fort longtemps.
Il faut dire que mon gendre est particulièrement séduisant.
Il a 31 ans, mesure dans les un mètre quatre-vingts. Il
a un air timide auquel il ne faut pas se fier, je l'ai appris
à mes dépends et un visage fin entouré de longues boucles
noires, genre mousquetaire en beaucoup moins long.
Le lendemain, Grégoire m'a accompagnée à la Clinique et
j'ai passé la journée entre la chambre de ma fille et Toulouse,
où j'ai fait quelques emplettes.
Nous avons quitté la Clinique vers 18h, Grégoire a tenu
à me préparer des pâtes à la Carbonara et nous avons dîné
en tête-à-tête. Il a bu deux apéritifs, puis quelques verres
de vin rouge et, à la fin du repas, il posait sur moi un
regard brillant et trouble peu conforme au respect que doit
un homme à la mère de son épouse.
Nous sommes retournés nous asseoir devant la cheminée et,
pour éviter que la conversation prenne un tour gênant, je
demandai à Grégoire d'allumer la télé.
Le canapé faisant face à la cheminée, j'étais obligée de
tourner le dos à Grégoire pour regarder le poste situé dans
un angle de la pièce.
Il s'est levé pour rajouter du bois dans le feu et s'est
assis tout contre moi, son épaule contre mon dos.
Ce contact n'était pas pour me déplaire et je m'appuyai
contre cette épaule remplaçant le dossier de la banquette
inutilisable dans cette position.
Quelques minutes après, j'ai senti la main de Grégoire
se poser sur ma hanche et c'est à ce moment-là que j'aurais
dû me lever et quitter la pièce, mais je n'ai rien fait
et j'ai attendu.
Imperceptiblement, Grégoire a fait glisser sa main vers
le haut, je ne suivais plus le programme, toute mon attention
se portait sur cette main posée sur mon corps et qui me
transmettait toutes les pulsions et les désirs de mon gendre.
Comme je restai sans réaction, la main de Grégoire reprit
plus rapidement son périple vers le haut, jusqu'à mon sein
gauche qu'il saisit dans sa paume. En même temps, il se
mit à m'embrasser dans le cou. J'ai essayé de me dégager
en lui disant :
- Grégoire vous êtes fou, laissez-moi, vous n'avez pas
honte, pendant que Mélodie est à la clinique !
Mais au lieu de céder à mes admonestations, il a saisi
mes deux seins à pleines mains en continuant à m'embrasser
le cou et en me murmurant :
- Caroline, j'ai envie de toi, je veux te faire l'amour,
laisses-toi faire, oh tes seins, comme ils sont gros, comme
j'aime les caresser !
Les attouchements de Grégoire, ses baisers dans le cou
que j'ai particulièrement sensible et ses paroles où il
employait pour la première fois le tutoiement à mon égard,
commençaient à me faire de l'effet et réduisaient progressivement
mes défenses. Il a dû le sentir, car il a relâché son étreinte,
sa main droite est descendue sur mon ventre et sa bouche
s'est posée sur la mienne. Comme je refusai son baiser,
il m'a suppliée :
- Caroline laisse-moi t'embrasser, juste dix secondes,
après je te laisse !
Bien sûr je ne pouvais pas le croire, mais j'ai entrouvert
les lèvres et tout a basculé. Sa langue a joué avec la mienne
et tout mon désir, tout mon besoin d'un homme est ressorti
brutalement. Nous nous sommes embrassés violemment tandis
que sa main remontait ma tunique, une tunique blanche qu'Alban
m'avait ramenée de Tunisie et qui mettait mon corps en valeur.
Je me suis relevée légèrement pour qu'il puisse faire glisser
le vêtement, j'ai écarté les cuisses pour permettre à sa
main d'atteindre ma minette et j'ai glissé la mienne dans
son pantalon de survêtement.
Il n'avait pas de slip et j'ai saisi son sexe dur et bandé,
je l'ai trouvé énorme dans ma main, bien plus gros que celui
d'Alban...
Pendant tout ce temps, nos bouches étaient restées soudées
l'une à l'autre, ma culotte était toute mouillée et Grégoire
me branlait doucement à travers le fin tissu tandis que
je lui rendais la pareille, ma main montant et descendant
le long de la hampe rigide.
Puis il m'a basculée sur le divan, a baissé son pantalon,
dévoilant à mes yeux son membre gonflé qui m'a paru encore
plus gros qu'au toucher et l'a présenté à l'entrée de mon
petit minou en écartant le tissu de ma culotte pour se faire
un passage. Il n'a eu qu'à pousser, et le membre viril s'est
enfoncé complètement dans ma chatte trempée.
Je l'ai absorbé sans peine, car je dois avouer qu'il m'arrive
souvent, dans mes moments de solitude et d'inactivité de
couple, de me branler longuement avec un concombre ou un
pilon de mortier de cuisine, jusqu'à éprouver plusieurs
orgasmes d'affilée.
Grégoire a commencé à me faire l'amour, d'abord doucement,
en m'embrassant le visage, puis de plus en plus rapidement
tandis que nos lèvres s'unissaient à nouveau.
Je sentais le plaisir monter, monter, m'envahissant petit
à petit le haut des cuisses et le bas du ventre, quand dans
un éclair de lucidité, je me suis rappelée que nous n'avions
pas mis de préservatif. J'ai dit à Grégoire :
- Fais attention, retiens-toi, je risque d'ê...
Sa bouche m'a empêché de terminer ma phrase, il ne m'avait
pas écoutée, tout à son plaisir, et de toute façon je n'avais
pas envie, je n'aurais pas supporté qu'il se retire. Il
a accéléré encore les mouvements de son bassin, s'enfonçant
au plus profond de mon intimité.
J'ai mis mes jambes autour de ses reins pour le retenir
et j'ai crié de plaisir quand sa semence, à grands jets
brûlants, a envahi mon vagin. J'étais tellement réceptive
que j'ai eu l'impression que le sperme sous pression s'introduisait
dans mes trompes et mon utérus.
Il est resté sur moi, dans moi jusqu'à ce que les tremblements
de jouissance qui faisaient vibrer mon corps s'apaisent,
puis lentement il a ressorti son membre de mon écrin intime.
Il était toujours aussi gros, mais moins tendu, pendait
comme une grosse saucisse entre ses jambes...
Grégoire se releva, ranima le feu, se mit nu et me dit
:
- Déshabille-toi !
- Nous avons fait une bêtise Grégoire, mais il faut en
rester là et essayer d'oublier...
- Tu plaisantes, je vais t'aimer encore, quatre mois que
je fais abstinence, je vais te faire jouir, tu aimes le
sexe, maintenant je sais de qui elle tient ta fille, je
vais te posséder complètement, allez enlève-moi tout ça.
Comment mon gendre si poli, si respectueux, pouvait-il
me parler ainsi ?
Comme je restai immobile de surprise, il saisit ma culotte
trempée de sperme et de mes sécrétions intimes et me l'enleva,
puis rapidement, m'ôta ma tunique puis le soutien-gorge.
Puis il s'agenouilla près du divan et commença à m'embrasser
et me lécher les seins, en même temps qu'il roulait et pinçait
délicatement mes tétons entre ses doigts pour les faire
saillir au maximum.
Ses cheveux effleuraient ma peau en une légère caresse
et je regardais son beau visage qui s'occupait de ma poitrine
avec un plaisir et un enthousiasme évidents.
C'était trop bon, trop imprévu et c'est à ce moment-là
que j'ai compris que ma vie était en train de basculer.
Sa main gauche s'est déplacée en une longue caresse sur
mon ventre, mon pubis, jusqu'à ma minette dans laquelle
il a enfoncé tous ses doigts à l'exception de son pouce
avec lequel il me titillait le clitoris.
Je me suis abandonnée à ces sensations, à cette découverte
d'un nouveau corps et j'ai senti la jouissance m'envahir
à nouveau lentement.
Grégoire s'est relevé, s'est mis à califourchon au-dessus
de mon visage, sa pine à nouveau raide m'a effleuré les
cheveux, la joue, le nez, jusqu'à ce que son gland atteigne
mes lèvres.
J'ai ouvert la bouche, et j'ai avalé le sexe de mon gendre
devenu mon amant.
Sa langue avait remplacé son pouce sur mon petit bouton
tandis que ses doigts continuaient à me branler et j'avais
envie de lui faire autant de bien que me procuraient ses
caresses. Alors, je l'ai sucé avec ma bouche, mes lèvres
attentives à ses réactions, allant au-devant de ses désirs,
léchant les toutes premières gouttes de liquide salé perlant
sur le bout de sa fève, le laissant s'enfoncer le plus loin
possible dans ma gorge à la limite de l'asphyxie.
Puis tout est devenu instinctif, le plaisir montait de
plus en plus intense et j'ai joui.
Mes râles et soupirs ont été étouffés par un flot de liquide
qui a envahi ma bouche. C'était épais et onctueux, avec
un goût de marée. J'ai gardé le sperme de Grégoire en le
buvant lentement.
C'était la première fois qu'un homme jouissait ainsi sur
ma langue, Alban se retirant toujours avant d'éprouver son
plaisir, et j'ai aimé, oui j'ai aimé, comme tout ce que
Grégoire allait me faire pendant mon séjour.
Nous nous sommes relevés, je regardais Grégoire, il avait
un corps parfait, façonné par de nombreuses pratiques sportives,
et je n'ai pu m'empêcher de lui embrasser la poitrine dans
un geste de reconnaissance, il m'a dit :
- Tu m'as super bien sucé, j'aurais jamais cru que ma belle-mère
soit aussi douée pour tailler des pipes, et tu es une sacrée
jouisseuse, tu as pris un super pied, dis-moi ?
Comme je ne répondais rien, il a rajouté :
- Regarde ma bite, rien que de te voir nue, je bande encore,
tu as des seins, je ne pourrais pas m'arrêter de les sucer,
on va s'éclater tous les deux...
Je ne savais toujours pas quelle attitude adopter, j'ai
pris une douche et je suis allée me coucher.
J'essayai de faire le point, j'entendis mon gendre dans
la salle de bains, puis la porte de la chambre s'est ouverte
et il m'a rejointe dans le lit.
J'étais allongée sur le ventre, il a immédiatement abaissé
mon pantalon de pyjama, découvrant mes fesses et il a commencé
à me peloter le cul et, très vite, il m'a demandé de me
mettre à quatre pattes et il m'a enfilé à nouveau son sexe
dans la minette. Pendant que son membre me limait, il a
ôté ma veste et a saisi mes seins à pleines mains. Je me
laissai à nouveau aller, m'offrant sans retenue aux exigences
de celui qui était devenu mon amant. Je dois avouer qu'il
me plaisait énormément de susciter tant de désir chez un
homme, surtout que celui ci était le mari d'une jolie fille
de 24 ans.
Grégoire a ressorti son sexe de mon minou, il s'est penché,
m'a léché et humecté mon petit trou, puis a présenté sa
fève à l'entrée de mon anus. Je pratique la sodomie de temps
en temps avec mon mari, et je me suis bien cambrée pour
ne pas offrir de résistance. Grégoire a compris que j'étais
consentante et a appuyé. Il est beaucoup plus gros, mais
j'étais tellement détendue par les assauts précédents, qu'il
a réussi à me dilater la pastille et à enfoncer son membre
sans trop de difficultés.
Et le reste de la nuit s'est passé ainsi, il m'a joui dans
le cul, m'a prise à nouveau, il m'a fait éprouver encore
plusieurs orgasmes jusqu'à ce que l'on s'endorme épuisés
vers quatre heures du matin.
Je me suis réveillée le lendemain, j'étais seule dans le
lit, j'ai trouvé un mot de Grégoire :
Je suis allé au boulot, je passe te prendre ce soir à la
clinique
Je t'embrasse de partout
Grégoire.
Je suis allée voir Mélodie à la clinique, j'ai eu du mal
à tenir une conversation cohérente, je ne pouvais m'empêcher
de penser à mes agapes de la nuit, surtout que j'avais l'impression
de sentir la présence du mari de ma fille au fond de mon
vagin et de mon anus.
Vers dix-huit heures, mon gendre est arrivé, il est resté
un moment avec sa femme, puis nous avons quitté la clinique.
A peine dans la voiture, je m'adressai à Grégoire :
- Grégoire, ce qu'on a fait hier soir, ce n'est pas bien,
cela ne doit pas se reproduire, j'ai eu honte toute la journée,
j'avais l'impression que Mélodie était au courant, oublions
cette nuit, d'accord ?
Ces paroles ont eu pour effet de déclencher un grand éclat
de rire chez mon chauffeur.
- Qu'est ce que tu racontes, tu t'es donnée par tous les
trous et maintenant tu voudrais qu'on oublie ? Tu joues
à la repentie, mais cette nuit quand tu avais ma bite dans
la chatte et dans le cul, tu en redemandais ! Je suis vicieux,
mais tu l'es autant que moi. Nous allons faire un pari :
je vais mettre ma main entre tes cuisses et si au bout de
deux minutes tu n'es pas mouillée, on oublie tout.
Il m'a écarté les cuisses et a introduit sa main dans ma
culotte, glissant deux doigts tout contre ma petite fente.
Le pari était déjà perdu, à peine ses doigts ont effleuré
les lèvres de mon minou que j'ai commencé à mouiller et
il n'a pas fallu une minute pour qu'il puisse les enfoncer
dans une grotte trempée.
Il a ressorti les doigts de ma culotte, les a léchés et
s'est exclamé :
- Pari perdu Caroline, ce soir tu ne vas pas te reposer
!
Alors j'ai cessé de lutter et j'ai appuyé ma tête sur son
épaule dans un geste d'acquiescement.
Nous sommes arrivés à la maison. Pendant que Grégoire allumait
la cheminée, je suis allée me changer.
Je me suis habillée d'une guêpière porte-jarretelles blanche
avec des bas de la même couleur, que j'avais mise par hasard
dans ma valise et je me suis regardée dans la glace. Je
me suis trouvée désirable, avec le volume de mes seins mis
en valeur par le soutien-gorge laissant dépasser leurs pointes
brunes et avec la toison foncée de mon pubis que ne recouvrait
aucune petite culotte.
Quand je suis sortie de la chambre, Grégoire a poussé une
exclamation :
- Mon Dieu, que tu es bandante !
Il m'a prise dans ses bras et m'a embrassée tandis que
ses mains parcouraient mon corps. Je me suis dégagée de
son étreinte, et me suis dirigée vers les toilettes.
Il m'a suivie :
- Je veux te voir...
Je me suis assise sur la cuvette, j'ai écarté les jambes
en grand et me suis penchée en arrière pour exposer mon
intimité le plus possible. J'éprouvais un plaisir spécial
à m'exhiber ainsi, et tandis que j'urinai, Grégoire m'effleura
le clitoris, me mettant dans un état d'excitation extrême.
Mon gendre a alors dégrafé son pantalon, a dégagé son membre
de son slip, a enjambé la cuvette et me l'a présenté devant
le visage. Je n'avais pas besoin d'explications et je l'ai
embouché sans hésitation. Pendant que je le suçais, Grégoire
m'a demandé :
- Caresse-toi en même temps, c'est ça, avec les deux mains
!
J'exécutai à la lettre ses désirs, m'enfonçant les doigts
d'une main dans mon chaton tandis que de l'autre je frottai
vigoureusement mon bouton de plaisir.
Je revois souvent cette scène, ainsi que beaucoup d'autres,
et j'ai essayé de comprendre comment moi, pourtant de nature
assez pudique, j'ai pu me livrer à de pareils ébats. Je
pense que je me sentais tellement coupable de faire l'amour
avec le mari de ma fille, que finalement tout le reste n'avait
plus d'importance et je pouvais laisser libre court à ma
véritable nature, je me découvrais vicieuse et débauchée.
Donc pendant que je me caressais, Grégoire allait et venait
dans ma bouche et pour cette première étreinte de la journée,
le plaisir est venu très vite. J'ai commencé à jouir quand
mon gendre a explosé dans ma bouche, il a envoyé trois ou
quatre jets de sperme sur ma langue, puis il est sorti de
ma bouche et a envoyé le reste de sa semence sur mon visage
pendant que mon orgasme allait crescendo, jusqu'au feu d'artifice
final.
Grégoire a passé son index sur mon visage, récupérant les
gouttes de liquide et me les faisant lécher jusqu'à ce qu'il
ne reste rien.
Nous sommes ressortis des toilettes, j'avais un peu froid
et je suis allée m'installer devant la cheminée. Grégoire
s'est rendu dans la cuisine, a ramené un peu de poulet froid,
du fromage et des fruits, ainsi qu'une bouteille de vin
rouge, le même que celui de la veille.
Le feu ronflait dans la cheminée, il faisait chaud, Grégoire
s'est mis nu, nous avons mangé et bu en nous caressant,
en nous touchant, le sexe de mon gendre était bien raide,
et je me penchais de temps en temps pour y déposer mes lèvres,
je caressais son corps avec mes mains, ne me lassant pas
de découvrir le corps de mon gendre, mon nouvel et premier
amant.
C'est alors que Grégoire a dit :
- Comme dessert, je veux une Banana Split !
II m'a fait allonger sur le divan, a écarté mes cuisses,
puis a passé sa langue sur ma minette à plusieurs reprises
pour la préparer. J'étais déjà bien ouverte, alors il a
épluché une banane qui se trouvait sur le plateau et me
l'a enfoncée dans le minou. Le fruit oblong est rentré presque
en totalité dans mon vagin. Grégoire s'est penché et a tranché
d'un coup de dent la partie du fruit qui dépassait.
Il s'est mis ensuite à me titiller sans appuyer le clitoris
avec la langue, et sous l'effet de cette caresse et de la
banane enfoncée dans ma chatte, les parois de mon sexe se
contractaient autour du fruit qui, n'ayant pas de résistance,
s'écrasait en moi.
- Resserre-toi !
Je me suis contractée et les morceaux de banane sont ressortis
de mon intimité, directement dans la bouche de mon gendre
qui les a dégustés tous mouillés du jus de mon désir.
Puis, il s'est relevé et avec sa grosse queue a dilaté
à nouveau mon minou en me pénétrant à plusieurs reprises
de toute la longueur de son pénis. Après quelques va-et-vient,
il est sorti, m'a présenté son gland à lécher et m'a dit
de goûter. J'ai passé ma langue sur la peau lisse, absorbant
les petites particules qui y étaient déposées et qui avaient
un goût indéfinissable de banane mûre et de pulpe de citron.
Il s'est à nouveau allongé sur moi, s'est enfoncé et m'a
baisée. C'est à ce moment que je me suis surprise à lui
murmurer entre mes halètements et mes soupirs de jouissance
:
- Chéri, chéri, baise-moi, enfonce-toi bien, jouis dans
ma minette, arrose-moi bien de ton sperme, remplis-moi,
je suis ta femelle, tu me fais tellement de bien avec ton
énorme queue, gicles, c'est ça, gicle fort tout au fond,
encore..............je jouis... je jouis !!!!!!!
Après ce nouvel assaut, il est resté allongé sur moi deux
ou trois minutes, puis nous nous sommes assis. Cette fois
son membre avait réduit de taille, il n'était pas infatigable
comme il s'en était vanté... Nous nous sommes câlinés un
moment, il m'embrassait la pointe des seins, le cou, les
lèvres, je lui caressais le sexe, les parties, lui rendant
ses baisers, lui demandant :
- Redeviens dur, je te veux dans mon cul comme hier, je
deviens aussi vicieuse que toi, j'ai l'impression de redécouvrir
l'amour !
- Tu vas voir chérie, dans cinq minutes, je vais t'enfoncer
un morceau de bois dans la rondelle, quand je pense que
tout à l'heure tu faisais ta crise de conscience, de te
faire niquer par un beau mec ça a étouffé tes scrupules
!
Mes caresses et mes paroles ont eu rapidement de l'effet,
et son sexe s'est dressé à nouveau entre ses cuisses, dur
comme un menhir.
Je me suis assise sur ses genoux, lui tournant le dos,
il me laissait faire, j'ai pris son membre entre mes mains
et l'ai placé contre mon ouverture postérieure, j'ai appuyé.
Tout doucement, le gros tronc s'est enfoncé dans mon anus
jusqu'à ce que mes cuisses reposent sur celles de Grégoire.
Nous sommes restés un instant dans cette position et j'ai
commencé à remuer le cul. Mon amant me caressait les seins
et la minette, pendant que ses lèvres parcouraient mon cou
et mon dos provoquant de petits frissons dans mon dos. Nous
sommes restés longtemps dans cette position, je tournais
la tête pour coller ma bouche à la sienne chaque fois qu'un
mini orgasme me prenait le bas-ventre.
J'ai soudainement senti la pression augmenter dans mon
cul et la main de Grégoire se crisper sur mon pubis. Il
s'est relevé violemment et je me suis retrouvée debout,
penchée en avant, les mains appuyées sur le bandeau de la
cheminée, tandis que son membre me pilonnait la rondelle.
J'ai hurlé quand il a déchargé sa semence, un cri rauque
venu du fond de mes entrailles, un cri de jouissance absolue.
Epuisée, je suis tombée sur le canapé, suivie de Grégoire
aussi fatigué que moi.
J'ai été réveillée par le téléphone, vers dix heures, c'était
Alban qui m'annonçait qu'il arrivait en début d'après-midi
pour voir sa fille et son petit fils.
La maison était dans un état indescriptible, les draps,
le canapé étaient tâchés de sperme, les reliefs du repas
de la veille trônaient près de la cheminée, et j'avais vraiment
besoin de prendre un bain.
Nous avons juste eu le temps de tout remettre en ordre
et de nous rendre à Marignane pour récupérer Alban. Il a
voulu aller tout de suite voir Mélodie et nous avons passé
l'après-midi avec elle. Mon mari allait d'un bord de l'autre,
accaparait l'attention de ma fille, ce qui m'a permis de
cacher mon trouble et de retrouver une contenance naturelle.
Le soir, Grégoire nous a emmenés manger au restaurant,
puis nous sommes rentrés à la maison.
Alban m'a caressée, m'a fait l'amour, puis s'est assoupi.
Ma minette s'était habituée à la grosse queue de Grégoire
et Alban ne m'avait procuré que de vagues et fugitives sensations,
me laissant en manque. Je me suis levée pour aller prendre
une douche, j'étais à peine dans la salle de bains que Grégoire
s'est glissé derrière moi, il a refermé la porte à clé et
a ouvert les robinets de la douche. Je lui ai demandé :
- Qu'est ce que tu fais, tu es fou ?
- Je t'ai entendue faire l'amour avec ton mari, ça m'a
trop excité, tourne-toi, je vais te le mettre !
- C'est pas possible, Alban est juste à côté, je ne peux
pas faire ça, il va entendre !
- Si tu ne dis rien, il n'entendra que le bruit des robinets,
tourne-toi, on n'a pas beaucoup de temps... Oui, comme ça,
appuie-toi au lavabo, cambre, putain c'est bon, tu as la
moule pleine de foutre, ça glisse bien !
- Oh c'est bon, vas-y défonce-moi avec ton gros engin,
plus vite, plus vite, plus fort, je viens.....
- Moi aussi, çà y est, merci Caroline, c'est trop bon !
- Laisse-moi maintenant, il faut que je retourne dans ma
chambre...
Grégoire est sorti, j'avais du sperme qui coulait de mon
minou, me mouillant les cuisses, j'ai pris une douche en
vitesse et j'ai rejoint Alban, réveillé et étonné du temps
que j'avais passé dans la salle de bains.
La journée du lendemain s'est passée normalement, entre
la maternité et la visite de Toulouse.
Le soir, j'ai préparé le repas et nous avons dîné chez
ma fille tous les trois, et après avoir regardé la télé,
nous sommes allés nous coucher. Alban s'est endormi presque
aussitôt, je ne trouvais pas le sommeil, le lendemain Mélodie
rentrait à la maison et nous reprenions l'avion pour Paris.
Les souvenirs de ces deux folles soirées m'assaillaient,
j'ai mis ma main entre mes jambes malgré moi, mon minou
était tout trempé et ouvert. Je me suis un peu caressée,
mais prise d'une soudaine pulsion, je me suis levée sans
bruit et traversant le hall, j'ai ouvert la chambre de Grégoire.
Il était en train de lire et quand il m'a vu entrer, il
m'a souri et m'a dit :
- Je t'attendais, je savais que nous ne pourrions nous
quitter sans faire l'amour encore une fois, tu y as pris
goût et moi aussi, viens !
Il a soulevé les draps, son membre était déjà en érection
et je n'ai eu qu'à l'enjamber et à me l'enfoncer entre les
cuisses. Et nous avons à nouveau fait l'amour. Mon corps
ondulait sur celui de Grégoire, il avait pris mes seins
entre ses mains, et chacun de nous contrôlait son propre
plaisir pour être en symbiose avec l'autre. La jouissance
est venue, forte, longue, exacerbée par mon prochain départ
et la semence de mon gendre jaillissant dans ma minette
a encore accru la plénitude de mon plaisir.
Je ne pouvais pas rester dans son lit, je l'ai quitté après
un dernier baiser et je ne me suis pas lavée pour garder
le plus longtemps possible mon puits d'amour rempli de son
plaisir.
Le lendemain, après avoir dit au revoir à Mélodie et à
son petit garçon, j'ai repris avec mon mari l'avion pour
Paris.
Depuis, trois mois ont passé, je n'ai pas cessé de penser
à mon gendre, à ses étreintes, et demain ils arrivent à
la maison pour passer quelques jours chez nous.
Et je sais que si Grégoire me touche, si ses mains se posent
à nouveau sur mon corps, si je sens son sexe se presser
contre moi, malgré toute ma volonté je ne pourrai pas lui
résister.
Je l'appréhende et le souhaite en même temps, que va-t-il
arriver ?
Auteur
|