Ma nièce Lydia, m’appelle un bon samedi matin
et me demande si elle peut venir me voir pour que je lui
montre comment fonctionne Internet. Comme mon épouse travaille
et que je suis seul toute la journée, cela me fait un grand
plaisir d’accepter, surtout qu’il s’agit de ma nièce préférée.
J’ai toujours eu un faible pour elle. Elle est très belle,
elle vient d’avoir 19 ans, blonde, très bien foutue et ce
qui fait son charme c’est qu’elle a conservée son visage
enfantin. Comme elle ne demeure qu’à deux rues de chez moi,
elle arrive presque aussitôt.
- Bonjour Lydia, ça va ?
- Très bien et comment va mon oncle préféré ?
- Je suis en pleine forme. Veux-tu que l’on commence tout
de suite à voyager sur le net ?
- Ouais, j’ai plutôt hâte d’apprendre.
Je l’amène dans mon bureau et je lui dis de s’installer
devant l’écran. Je lui explique les règles de base durant
la première heure. Je suis assis très près d’elle et souvent
je pose ma main sur sa cuisse la plus rapprochée de moi
et elle me laisse faire. Elle porte une jupe assez courte,
ce qui me permet de savourer la douceur de son bas de nylon.
Cela m’a toujours excité de toucher à cette fine lingerie
qui donne beaucoup d’avantage aux cuisses des jolies femmes.
Plus le temps passe et plus je remonte ma main. Puis elle
se décide à me demander :
- Mon petit mon oncle préféré, montre-moi des sites pour
adultes.
- Mais ... je ne sais pas si je devrais, tu es encore jeune.
- Aller, je suis plus une môme, je suis une femme maintenant,
tu ne trouves pas ?
- Oui, tu as raison. Allons-y. Quelle genre veux-tu voir
?
- Je veux tout voir. Des sites avec des photos, des histoires
qui racontent des aventures cochonnes, enfin tout. Montre-moi.
Je lui fais un sourire complice et je lui fais découvrir
les sites les plus chauds de l’heure. Je l’emmène sur www.annuaire-histoire-erotique.com
puis sur www.casting-photos.com Elle se délecte chaque fois
qu’une photo s’ouvre sur l’écran, aussi bien les photos
de femmes que de celles d’hommes. Je guette ses réactions.
Elle admire le corps de chaque femme sur www.31-cochonnes.fr.st
et s’émerveille devant les pénis des hommes sur www.eclatesophie.com
Tandis qu’elle mate avec trouble, je me lève et m’installe
derrière elle. Je lui masse la nuque et les omoplates avec
les pouces.
- Comme cela fait du bien, continue, me lance-t-elle.
Encouragé, je poursuis mon massage pendant qu’elle dévore
les lignes de textes pornos. Je décide d’essayer de pousser
plus loin mon massage et lentement je lui masse le bas du
cou en me dirigeant vers le devant. Elle me laisse faire.
J’accentue un peu la pression avec mes doigts et les descends
lentement. Elle clique sur une autre histoire qui raconte
une aventure lesbienne. Je la sens devenir plus nerveuse
et plus tendue mais aussi très intéressée. Je descends lentement
mes mains pour que le bout de mes doigts puisse toucher
à la base de ses nichons. Ne rencontrant toujours aucune
opposition de sa part, je glisse mes doigts sous le replie
de sa blouse et détache un bouton. Elle baisse les yeux,
regarde mes doigts puis continue à lire son histoire. Je
détache un deuxième bouton et introduit ma main droite sous
la blouse tout en continuant à masser. Je remarque qu’elle
dépose sa main gauche sur sa cuisse, juste à la hauteur
de sa chatte. Je faufile mes doigts sous la naissance de
sa brassière et fait glisser mes doigts sur le début de
l’origine de son sein gauche. Je décide qu’il est temps
de prendre le contrôle :
- Je sais Lydia que tu es lesbienne. Ta compagne c’est Vicky,
ta meilleure amie !
- Mon dieu ! D’où tu tiens ça ?
- Cela n’a pas d’importance. C’est vrai n’est-ce pas ?
- Oui mais... J’aime aussi les mecs mais je trouve que ceux
de mon âge sont cons, ils ne savent pas s’y prendre.
- Donc tu as déjà fait l’amour avec des mecs et aussi des
filles ?
- Oui, c’est mal ?
- Non, il n’y a rien de mal dans le sexe. Tout se joue dans
la tête des gens. Si nous trouvons un grand plaisir dans
ce que nous faisons, il n’y a rien de mal, au contraire.
Moi, je suis pour que l’on s’éclate dans le sexe. Cela nous
permet de nous défouler.
- Tu as bien raison, mon petit oncle. C’est tellement bon...
Elle regarde à nouveau vers l’écran et reprend sa lecture.
Comme elle n’a pas enlevé ma main de sa blouse, je continue
mon massage. Elle a des frissons à répétition. J’en profite
pour entrer toute ma main dans le bonnet du soutif et lui
masse doucement le sein gauche. Elle avance les épaules
pour me donner la chance d’avoir plus d’espace pour ma main.
Je masse son sein quelques minutes mais je suis à l’étroit.
Elle remplie drôlement bien tout le bonnet. Je sors ma main
et déboutonne le restant de sa blouse. Des gouttelettes
de sueur apparaissent sur son front. Comme je suis debout
derrière elle, je lui soulève le menton de l’index pour
que sa tête penche en arrière vers moi et lui embrasse le
front. Elle me dit, à ma grande surprise :
- Fais-moi l’amour, mon petit oncle.
Je la regarde tendrement et, avant de coller mes lèvres
aux siennes, je lui dis :
- Laisse-moi te mettre à l’aise, tu sembles avoir chaud.
Je l’embrasse. Elle ouvre les lèvres et glisse sa langue
dans ma bouche. Je lui retire sa blouse. Elle dépose ses
mains sur mes bras et me les serre tendrement. Je place
mes deux mains sur chacun de ses nichons, par-dessus son
soutif et les lui masse. Sa langue s’active dans ma bouche.
Ses yeux clos me prouvent qu’elle apprécie ce que je lui
fais. Puis j’étire mes bras et remonte sa jupe jusqu’au
ventre. Je rentre mes mains dans sa petite culotte et la
caresse un bon moment. Je descends jusqu'à son bouton d’amour
et le lui frotte tendrement. Elle écarte les jambes. Elle
a une peau douce et satinée comme un bébé. C’est un vrai
aphrodisiaque que de toucher cette jeune fille si douce.
J’en veux encore plus. Je retire mes mains de sa culotte.
- Non, continue. C’est trop bon ce que tu me fais, continue,
je t’en supplie.
- Laisse-moi faire.
Je me relève et lui pousse dans le dos pour qu’elle s’avance
un peu. Je détache le soutif et lui enlève. Je tire sur
mon t-shirt et le passe par-dessus ma tête et le jette au
loin. Je la ramène vers moi pour qu’elle s’appuie sur le
dossier de la chaise, m’empare de ses nichons que je tripote
allègrement. Ils sont superbes. Très fermes, ils se tiennent
superbement bien. Ils sont volumineux. Elles doit faire
du 90C. Plus je les pétrie et plus ils durcissent. Je roule
ses tétines entre mes deux doigts. Elle bouge ses épaules
de plus en plus.
- Tu aimes te faire triturer les aréoles ?
- Oh ! oui, c’est ce que j’oblige Vicky à me faire le plus
souvent.
Je change de position et je m’installe à côté d’elle :
- Rentre ta main dans mon slip mais ne les enlève pas tout
de suite.
Elle tourne son corps vers moi, ayant toujours ses gros
nibards dans mes mains, elle détache ma ceinture de pantalon,
baisse ma fermeture éclair et laisse tomber mon pantalon
à mes chevilles. Je m’en débarrasse tout de suite. Elle
me regarde droit dans les yeux. Elle tire sur le devant
de ma culotte et y enfonce la main droite.
- Wow ! Quel calibre !
- Tu l’apprécieras encore plus… Masturbe-moi lentement et
parle-moi de ta Vicky, côté sexe, évidemment.
- Comme tu la connais, Vicky est très gênée et se laisse
facilement dominer. Elle fait tout ce que je lui ordonne,
tant que je veux et au moment où je le désire.
- Est-il vrai que tu l’as déjà insulté dans les gradins
du stade de foot ?
- Oui. Mais comment le sais-tu ? Plus je lui dis des choses
humiliantes et plus elle se soumet à mes désirs. Je la gifle
souvent, je lui donne la fessée en baissant sa petite culotte
pour qu’elle se sente entièrement sous ma domination. Elle
adore cela et elle me dit qu’elle est chanceuse de m’avoir
comme maîtresse.
- Est-ce qu’elle te soumet parfois ?
- Tu veux rire… Jamais elle ne ferait ça !!
- Tu aimerais qu’on t’humilie pour abuser de toi ?
- Ça oui ! Mais je n’ose pas le demander, on va me prendre
pour une malade.
- Intéressant ! Maintenant enlève mon slip et suce-moi.
- Je suis pas experte. Désolée !
- T’en fais pas, tu vas le devenir, compte sur moi.
Elle s’avance sur le bout de sa chaise et enlève ma culotte,
mes souliers et mes bas, à ma demande.
- À genoux, maintenant et suce !
Elle rougit légèrement et obéit. Elle s’agenouille face
à moi, prend ma queue dans sa main droite et la contemple.
Elle ouvre bien la bouche et la gobe. Elle utilise sa langue
pour me caresser le gland qui suinte déjà. Elle serre avec
ses lèvres le plus qu’elle peut. J’ai une main dans ses
cheveux et je l’oblige à me pomper en les tirant assez fortement.
Elle suce bien la petite salope et je sens monter la pression
dans mon manche.
- Je sens que je vais venir. Tu en avales un peu puis tu
t’arroses la figure avec le reste sans jamais t’arrêter
de me branler, compris ?
Un grognement affirmatif se fait entendre. La pression dans
ma queue n’est plus endurable. Je ne peux plus me retenir.
J’ai les couilles pleines à craquer. Elle va y goûter comme
elle ne se doute pas. Un premier jet chaud s’éjecte dans
la bouche de ma nièce. Je tire ses cheveux vers l’arrière.
Ma queue sort de sa bouche.
- Continue à me branler et arrose-toi la tronche et les
nibards, petite salope.
Mon orgasme et très abondant. Elle a fait du bon boulot.
Avec ses deux mains sur ma queue, elle me masturbe avec
vigueur. Des jets abondants lui inondent le visage que je
retiens en position bien droite avec la poigne que j’ai
dans ses cheveux. Le jus coule sur ses joues et longe son
cou. Elle abaisse mon long manche et de nouveaux jets abondants
vont atterrir sur ses grosses mamelles appétissantes. J’allonge
le bras et m’empare de ma caméra numérique sur le bureau.
Je prends plusieurs photos. Lorsqu’elle m’a complètement
vidé, elle lèche les dernières gouttes sur mon gland.
- Ne t’essuie pas tout de suite. Lève-toi. Tu commences
à avoir l’air d’une vrai cochonne. Ne bouges pas.
Je lui enlève sa jupe.
- Assieds-toi les fesses sur le bout de la chaise et continue
à lire. Je vais m’installer sous le bureau, entre tes jambes.
Je me glisse en dessous du bureau et m’assois par terre.
Lydia s’installe. Elle avance sa chaise, dépose ses fesses
sur le bout du siège et recommence sa lecture. Elle a les
jambes bien écartées pour me faire de la place. Je caresse
ses cuisses recouvertes de ses bas de nylon. C’est un plaisir
suprême. Remontant à la rencontre de ses belles cuisses,
j’introduis mes pouces sous sa petite culotte. Je trouve
facilement son bouton de jouissance qui est bien gonflé.
Je l’écrase du pouce
gauche pendant que le droit pénètre sans aucune difficulté
entre les lèvres de son sexe très humide. Ses fesses s’avancent
et se reculent sans arrêt. Sa moule s’inonde de plus en
plus.
- Je te défends de jouir sinon je devrai te punir !
Elle essaie de crisper sa vulve pour se retenir. Je retire
mes pouces de sa petite culotte dont je prends les bords
et je la déchire. Enfin le chemin libre. Je promène ma langue
sur le haut de ses cuisses en me dirigeant vers sa caverne
d’amour. Je lui lèche les lèvres longuement. Des gouttes
sortent de son sexe et descendent vers son anus.
- Écarte un peu plus.
Elle avance un peu plus ses fesses sur le bout de la chaise
et ouvre les cuisses le plus qu’elle peut. J’enfonce mes
deux pouces dans sa fente et tire très fort pour ouvrir
son sexe au maximum. Elle fait une grimace. Je la déguste.
Elle ne peut plus se retenir et me décharge un orgasme abondant
dans la bouche. Je savoure, en connaisseur, cette liqueur
divine. J’en avale le plus possible mais elle en déverse
tellement que je ne peux tout avaler. Ce qui ne prend pas
la direction de ma bouche, se fait un chemin entre ses fesses
et inonde son anus. J’enfonce ma langue dans son vagin tout
chaud et, tout en faisant de l’exploration à l’intérieur,
je parviens à lui enfoncer mes dents du haut sur le clitoris.
C’est l’extase totale pour cette jeune sans expérience.
Un autre orgasme, encore plus abondant que le premier, m’explose
dans la figure. La cyprine coule sur mon menton et mouille
ses fesses jusqu'à son petit orifice brun. Voyant cela,
je place mon index sur cette ouverture encore vierge, j’en
suis certain, et je pousse lentement. Bien humidifié, il
parvient à se faire facilement un chemin et s’enfonce dans
le joli petit cul de ma nièce. Je rentre mon index jusqu'à
la jointure. Lorsqu’il est complètement entré, je le dirige
vers sa vulve et le fait bouger le plus que je peux.. Un
orgasme déverse une autre grande quantité de son liquide
si intime.
Je me relève, bandé comme un taureau. J’oblige Lydia à se
plier le ventre sur le dossier d’une chaise. Elle m’offre
ainsi le plus beau spectacle : une superbe paire de fesses
! Le jus miroite sur ses fesses. J’aperçois les lèvres de
son sexe trempé. La tentation est trop grande. J’empoigne
ma queue et l’enfonce immédiatement dans la grotte de joie
de ma nièce. Je la laisse prendre le temps de savourer mon
superbe morceau. Je sens les contractions de sa vulve sur
mon manche puis, lentement, elle se dilate. Cette petite
salope jouit à nouveau. Je la pistonne encore un moment
puis, comme je sens monter la sève à mon tour, je retire
ma queue de son anus pour lui enfoncer dans le vagin. Elle
se colle à moi et s’agrippe fortement. Elle commence à se
faire aller sur mon pieu. Je la sens glisser un peu. En
essayant de mieux la retenir, je touche à son anus. J’y
enfonce un doigt de la main droite. J’ai ainsi une bien
meilleur prise. J’Éjacule dans son ventre avec la puissance
d’un boyau de pompier… Puis les forces m’abandonnent et
je dois la déposer sur le bureau, exténué. Nous reprenons
notre souffle. Elle me regarde et me fait un grand sourire
avant de me dire :
- Tu es un champion, mon petit mon oncle d’amour.
On s’esclaffe de rire et on se jette dans les bras l’un
de l’autre. Après quelques minutes de repos bien mérité,
je regarde Linda d’un air sévère et lui dit :
- Maintenant je dois te punir pour m’avoir désobéi. Je t’avais
ordonné d’attendre avant de jouir, lorsque j’étais sous
le bureau. Lydia baisse la tête, n’osant me regarder. Je
m’assois sur une chaise et lui ordonne :
- Tu vas t’allonger sur mes genoux pour recevoir la fessée.
- Mais, mon oncle, je suis bien trop vieille pour recevoir
la fessée.
- Il n’y a pas d’âge pour cela, allez, obéit.
Lydia me regarde et réalise que je suis sérieux. Elle baisse
à nouveaux les yeux et rougit. Elle s’avance lentement puis
se couche sur mes genoux, les fesses à ma portée. Je commence
à lui administrer une fessée. Les claques commencent lentement
pour augmenter rapidement de force et de vitesse. Elle se
lamente au début puis, lorsqu’elles sont bien rouges, elle
bouge beaucoup moins, allant même jusqu'à se laisser faire.
Puis, c’est la jouissance qui fait place à la douleur. Lydia
a un autre orgasme...
Et maintenant, il ne me reste plus qu’à initier Vicky aux
plaisirs d’Internet !!!
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