Ce soir là, nous recevions Franck, un ami de
longue date, et le repas avait été un petit peu plus arrosé
que de coutume.
Au digestif, les sujets étaient devenus plus grivois et
nous en étions arrivés à parler tour de poitrine.
Celui de mon épouse étant plus qu'avantageux (95D), je
le mis en avant dans la conversation. Aussitôt, Olivia se
mit à rougir, gênée, elle qui n'aime pas trop ses gros seins
lourds.
Franck répliqua qu'elle ne devait surtout pas en avoir
honte et qu'il m'enviait de pouvoir faire l'amour à une
femme avec d'aussi jolis seins.
A cet instant, étant placé juste à coté d'elle, je déposais
un baiser dans son cou.
L'alcool aidant et ayant ma petite idée derrière la tête,
et sachant très bien qu'elle n'avait pas mis de soutien-gorge,
je décidais de lui frôler le sein gauche en insistant sur
le téton pour voir sa réaction. Instantanément, celui-ci
se mit à durcir et à pointer à travers le tissu du chemisier,
ce qui ne pouvait échapper à notre ami placé juste en face
d'elle.
Très excité par la situation, je continuai mes caresses
et mes baisers, tout en les faisant plus pressant. Devant
ce spectacle, Franck n'en croyait pas ses yeux et ne savait
trop quoi faire.
Moi-même, je ne reconnaissais plus ma femme, d'habitude
très réservée, et qui se laissait ainsi carrément peloter
devant un autre homme. Les petits soupirs qu'elle poussait
prouvaient d'ailleurs le désir qui montait en elle.
Jouant-le tout pour le tout, je commençais à déboutonner
son corsage et en peu de temps je libérais sa poitrine épanouie
devant les yeux de Franck, ravi du spectacle et commençant
à se douter de la fin de soirée que j'envisageais. La respiration
d'Olivia s'était faite haletante et ses tétons pointaient
comme jamais : je me mis à les sucer à tour de rôle.
Je sentais Franck partagé entre la gêne et l'excitation
et je lançais « Ce serait dommage d'avoir deux bouches et
deux mains à disposition et de ne pas en profiter, non ?
».
La réponse de mon épouse me stupéfia : « Et surtout deux
bonnes grosses queues ! »
Je fis alors lever Olivia et la conduisis vers le canapé
en faisant signe à Franck de nous rejoindre.
En moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, mon épouse
était en train de se faire lécher et caresser les deux seins
en poussant de petits râles plaintifs. Franck s'en donnait
à cour joie en gobant à tour de rôle ses deux gros nichons.
De ma main libre, je commençais à lui caresser l'intérieur
des cuisses tout en soulevant sa jupe. Sa culotte en dentelle
était déjà humide et en l'écartant, je découvrais une chatte
toute poisseuse d'excitation dans laquelle j'introduisis
deux doigts.
Comme si c'était le signal du départ, elle commença à masser
nos sexes durcis à travers nos pantalons tout en écartant
plus largement les cuisses.
Franck s'agenouilla alors devant elle, et, faisant glisser
en même temps jupe et culotte, la déshabilla complètement,
ne lui laissant que ses escarpins vernis.
«Bouffe- moi la chatte pendant que mon mari mate» lui dit
alors Olivia, d'une voix tellement excitée que j'eus du
mal à la reconnaître.
Ne se faisant pas prier, Franck enfonça sa langue entre
ses lèvres ouvertes et commença à lui bouffer consciencieusement
la chatte. De mon côté, je continuais à caresser ses seins
tout en ne perdant pas une miette de ma femme offrant son
intimité à un autre homme. Ses tétons pointaient comme des
torpilles et elle avait les yeux mi-clos de plaisir. Elle
replia alors les cuisses sur son ventre en écartant très
largement les jambes afin que Franck puisse la fouiller
au plus profond de son sexe. Je remarquais que ce cochon
en profitait également pour lui soulever légèrement les
reins afin de titiller son petit trou.
«Montre-lui ton cul» lui ordonnais-je alors, tout en sortant
ma queue de mon pantalon pour me branler.
Franck m'avait de nombreuses fois complimenté sur le postérieur
de mon épouse et je savais que cela lui ferait plaisir de
l'admirer dans cette posture.
Se mettant à quatre pattes et se cambrant au maximum, Olivia
présentait maintenant son cul dans toute sa splendeur à
mon ami qui ne se fit pas prier pour élargir le champ de
ses explorations buccales. Lui écartant les fesses à deux
mains, il se mit à lui enfoncer la langue dans l'anus. Dans
le même temps, je me glissais sous mon épouse, en position
de 69, et commençais à lui lécher le con. Elle était tellement
excitée de se faire ainsi bouffer les deux trous en même
temps que son jus d'amour me dégoulinait littéralement dans
la bouche. Presque aussitôt, elle se mit à me pomper goulûment.
Jamais elle ne m'avait si bien sucé, faisant disparaître
à chaque mouvement une bonne partie de ma verge au fond
de sa bouche tout en me massant la hampe de la langue.
Ma queue fut bientôt rejointe par celle de Franck qui s'était
enfin déshabillé et qui venait se faire honorer à son tour.
Son sexe était dur comme du béton, pratiquement à la verticale,
et son gland était violacé par le désir. « Mets toi à genoux
et suçe nous » lui ordonna alors Franck. Obéissante, mon
épouse se mit à nous sucer alternativement à tour de rôle.
Bientôt , elle se cantonna à la bite de Franck, me faisant
ainsi comprendre qu'il serait peut être temps de me servir
de la mienne.
Je la fit alors mettre en levrette et, me plaçant derrière
elle, commençais à l'enfiler lentement, faisant pénétrer
ma verge centimètre après centimètre.
«Baise- la comme une chienne pendant qu'elle me suce »
me lança Franck qui avait l'air d'apprécier tout particulièrement
le traitement de faveur qu'accordait mon épouse à sa grosse
queue.
Alors qu'une demi-heure auparavant nous discutions autour
d'un café, nous étions là, tous les trois, entièrement nus,
en train de baiser comme des sauvages sur le canapé, les
gros seins de ma femme se balançant au rythme soutenu de
mes coups de bite.
Jamais je n'avais connu sa chatte aussi trempée. J'avais
l'impression d'enfiler une fontaine et mon sexe en ressortait
tout brillant de mouille. A chacun de mes va et vient, un
bruit de succion se faisait entendre, suivi du bruit de
mes couilles claquants contre ses fesses.
Olivia se dégagea brusquement et me fit mettre sur le dos.
Aussitôt, elle vint s'empaler sur ma queue tout en continuant
à sucer la verge de Franck. Ses mouvements de bas en haut
faisaient tressauter sa lourde poitrine que je m'empressais
de peloter. Placé comme je l'étais, je ne pouvais rien rater
et je voyais distinctement la grosse bite de mon pote aller
et venir dans la bouche de ma femme. La voir se conduire
comme la dernière des salopes m'excitait énormément et je
devais faire de gros efforts pour ne pas gicler prématurément.
Instinctivement, je me mis à lui caresser le trou du cul
qui avait été si bien lubrifié par les coups de langue de
Franck. En effet, c'est sans grand effort que je pus faire
pénétrer un doigt, puis un deuxième, encouragé par Olivia
qui me demanda alors de l'élargir en des termes peu raffinés
et que je n'avais pas l'habitude d'entendre de sa bouche.
Soudain, entre deux gémissements de plaisir, Olivia demanda
à Franck « Fourre- moi ta grosse bite dans le cul».
Ne se le faisant pas dire deux fois, Franck, vint présenter
son sexe à l'entrée de son anus déjà dilaté. Lorsqu'il la
pénétra, sans difficultés, je sentis distinctement sa pine
aller et venir à travers les parois de son vagin. J'étais
surexcité et j'encourageais Franck qui n'en avait pourtant
pas besoin : « Démolis- lui le cul, éclate lui la rondelle
à cette pute! ».
Olivia n'était plus qu'un objet sexuel entre nos mains,
et nous la remplissions ainsi alternativement à tour de
rôle, ne quittant son cul que pour mieux lui bourrer la
chatte.
Elle était en nage, déchaînée. «Plus fort mes salauds,
déchirez- moi, je sens que je vais jouir !!! ». Prise en
sandwich, pilonnée en rythme par nos queues, défoncée comme
la dernière des catins, elle eut deux orgasmes successifs.
Brusquement, Franck se retira, se leva et vint présenter
son sexe devant la bouche d'Olivia. A ma grande surprise,
elle entreprit immédiatement de sucer une bite qui sortait
pourtant à peine de son cul. Très excité par ce que je voyais,
je laissais tomber sa chatte et pris la place de mon ami
afin de la sodomiser à mon tour. Son anus ressemblait à
un cratère béant et je n'eus aucun mal à m'y enfoncer jusqu'à
la garde.
Franck se plaça alors sous elle et se mit à lui bouffer
la chatte pendant que continuais à enculer ma garce de femme
qui de son coté continuait de pomper mon ami de plus en
plus rapidement.
En quelques secondes, Franck jouit à son tour et déversa
une giclée de sperme dans la bouche d'Olivia qui en recracha
une partie qui dégoulina sur le canapé.
Quant à mon tour je dis que j'allais venir, elle me dit
« Viens, je veux boire ton jus ».
Ce n'était plus ma femme que j'avais en face de moi, c'était
une belle petite chienne, avide de sexe et qui en redemandait.
Je lui enfilais donc ma bite dans la bouche sans ménagement
et au moment de jouir, je lui maintins la tête pour qu'elle
n'en recrache pas une goutte. « Avale, salope. ma petite
salope à moi », dis-je en balançant mon foutre tout au fond
de sa gorge. Jamais je n'aurai osé me conduire de la sorte
avec elle avant ce soir là mais il était évident qu'elle
prenait un grand plaisir à se soumettre aux caprices de
deux hommes. De plus, j'avoue que ce changement qui s'opérait
chez elle n'était pas pour me déplaire, me dévoilant des
horizons nouveaux.
« Maintenant, tu vas tout nettoyer » lui dit Franck en
lui présentant de nouveau sa pine qui n'avait pas encore
totalement débandée. Immédiatement, cette petite chienne
lécha chaque recoin de nos sexes jusqu'à ce qu'il ne reste
plus une trace de mouille ou de sperme.
Elle qui avait toujours refusé de participer à un trio,
pourtant mon plus grand fantasme, venait d'être particulièrement
gâtée pour une première. Son sourire encore tout barbouillé
de sperme était pour moi la plus belle des récompenses ainsi
que la promesse de futurs alléchants.
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