TITRE : Obéissant et Docile
Catégorie : 
Histoire Sado Maso

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Ce soir là, j'avais envie de sortir dans un bar pour me décontracter. Alors je sautai dans la douche et me préparai pour une sortie dans un endroit réservé et tranquille.


J'entrai dans un bistro qui n'était pas très loin de chez moi et pris un banc près du bar, je me commendai une bière fraîche. En levant les yeux devant moi, il y avait une femme d'une élégance frappante. Je lui fis signe de la tête pour la saluer et elle me répondit par un large sourire. Elle vint s'assoir près de moi et on se mit à discuter de tout et de rien. Elle me dit qu'elle était femme d'affaires et célibataire, ce qui ne fit qu'allumer ma curiosité à son sujet. Qu'est-ce qu'une si belle femme fait dans un bar toute seule ? Elle se leva et me dit qu'elle devait partir pour un rendez-vous urgent. J'étais un peu déçu mais elle me remit un mot qui disait : "Viens me rejoindre chez moi à 10h00pm." Et à la fin de cette missive il y avait son adresse.


Je me demandai si je devais me rendre à sa demeure. J'étais incertain, après tout je ne la connaissais pas. Je quittai le bar vers les 9h30pm et entrepris une balade en voiture. Sans le savoir, je me retrouvai devant sa porte. Je descendis de voiture et sonnai à la porte. Elle m'ouvrit avec toujours aux lèvres ce sourire magnifique. Elle portait toujours le même tailleur complet dont elle était vêtue au bistro. À l'exception qu'à ses pieds, elle avait un soulier talon aiguille noir.


Elle me fit passer au salon et m'offrit un verre. Je lui demandai si elle avait de la bière au frigo et elle me répondit par l'affirmative. Elle m'ammena ma bière dans un verre, je lui fis remarquer que j'aurais bien pu la boire en bouteille, mais elle me répondit que ça faisait plus classe de cette façon.


Je ne sais pas ce qui c'est passé par la suite mais je me réveillai couché dans un lit complètement nu... Et quand j'essayai de me relever, je me rendis très vite compte que j'étais attaché. Elle était là près de moi, cravache à la main.

- Bonsoir, tu as bien dormi ?
- Qu'est-ce qui s'est passé ?
- Rien qui pourrait te nuire, ne t'inquiète pas, juste un petit sommifère...

Je lui dis de me détacher immédiatement et de me donner mes vêtements. Elle s'approcha de moi et me dit :

- À partir de maintenant, tu m'appelleras Madame ! Tu es mon esclave et tu devras te soumettre.

À ces mots, elle braqua sa cravache sur mon pénis tout en appuyant dessus. Je la fixai, héberlué de la situation où je me trouvais mais à la fois je ressentis une étrange sensation d'exitation...

- Est-ce que tu seras obéissant ? Sinon tu passeras la nuit couché là et tu ne pourras rien faire pour parvenir à défaire tes liens, c'est moi qui détient les clés. Alors tu es prêt à m'obéir esclave ?

Je voyais bien qu'elle n'avait pas l'intention de me relâcher. Elle était déterminée à me dominer et j'avoue que j'aimais bien l'idée. De plus, elle portait maintenant une robe noire tout d'une pièce avec un décolleté qui laissait entrevoir ses seins superbes et gonflés. J'acquiesçai de la tête.

- Je t'ai dit tout à l'heure que tu devais me dire Madame !!!
- Oui Madame, je vais me soumettre à vos ordres.

Elle fit le tour du lit et souleva sa robe jusqu'à sa cuisse. Mon Dieu, je me sentais mourir, elle avait des jambes divines ! Je sentis mon membre qui se gonflait d'exitation. En s'approchant de celui-ci, elle le prit entre ses lèvres doucement, comme une caresse. Sa langue experte s'enroula autour de mon gland et entreprit une descente jusqu'à mes testicules. Elle ouvrit la bouche et les prit entièrement. Elle les lèchaient goulûment, ses mains glissaient sur mes cuisses et vinrent prendre mon membre dans un mouvement de va-et-vient. Je ne pouvais plus tenir, je sentais que j'étais sur le point d'éjaculer. Et c'est à cet instant qu'elle s'arrêta.

- Non ne t'arrête pas maintenant. Je me repris... Madame ne vous arrêtez pas s'il vous plait !
- Je ne veux pas que tu éjacules... Un esclave ne peut recevoir ce privilège que s'il le mérite.

Elle défit mes liens et m'ordonna de la suivre. Je me levai et la suivis dans un sombre couloir. Tout en marchant, je regardais ces jambes qui avaient un galbe à faire rêver. Ses lambes magnifiques étaient revêtues d'un bas de nylon à la parisienne, ceux qui formaient un petit pli à chaque mouvement de son pied. J'étais toujours en érection et j'avais de plus en plus envie de les caresser.


Je descendis un escalier qui menait à un sous-sol. Comme lumière, il n'y avait que quelques bougies qui illuminaient la pièce. Il y avait deux bancs, un d'un cuir satiné et un autre de bois. Elle me fit prendre place sur ce dernier et me rattacha les mains. Debout devant moi, elle me dit :

- Tu as encore cette érection ? Tu voudrais bien pouvoir te libérer de toute cette semence n'est-pas ?
- Oui Madame laissez-moi éjaculer.

Elle me fit signe négativement de la tête tout en venant poser sa jambe le long de ma cuisse pour me caresser. J'en frissonnait tellement c'était pénible pour moi. J'aurais bien pu lui désobéir et éjaculer, mais je ne voulais pas la contredire, je prenais même plaisir à son jeu. Toutefois, je ne savais pas à quoi m'attendre, j'étais là devant une étrangère à qui je devais me soumettre.


Elle s'assit sur le divan de cuir et croisa les jambes. En levant l'une d'elles, Madame se mit à la caresser de sa cravache.

- Tu aimerais bien pouvoir les toucher ? Regarde comme elles sont douces, tu pourrais les embrasser, les lècher ?

Elle approcha son pied vers ma bouche et me força de la pointe de son soulier à l'ouvrir.

- Lèche Esclave !

Je pris le bout de son soulier et me mit à le lècher comme si ma vie en dépendait. Elle le retira, se releva, fit le tour et se plaça derrière moi. Je sentis ses mains dans mon dos, la pointe de ses ongles qui s'enfonçaient légèrement dans ma chair. Elle glissa ses doigts dans mes cheveux et me balança la tête vers l'arrière pour m'embrasser tout en me mordillant les lèvres. Je croyais devenir fou. J'étais vraiment à la merci de cette femme.


Elle revint devant moi et défit mes liens pour une deuxième fois.

- Mets-toi à quatre pattes juste ici.

Elle m'indiqua où avec sa cravache. Devant son divan, je n'avais pas remarqué qu'il y avait une barre qui passait d'un côté à l'autre de celui-ci. Elle me rattacha les poignets à cette barre. Sa cravache jouait avec mon membre, je ne savais plus comment me retenir. Elle la faisait glisser sur mes testicules qui étaient chargées, je ressentis une certaine douleur mais à la fois tellement excitante.


Elle s'assit devant moi et releva sa robe jusqu'à ses hanches avant d'ouvrir les cuisses.

- Dis-moi qu'elle est belle que tu aimerais la lécher.

- Madame donnez-moi juste la permission d'éjaculer !
- Tu devras le mériter Esclave, pour l'instant tu n'as rien fait pour avoir ce privilège.

J'étais tellement déçu et je voulais tellement lui obéir à la fois. Alors je répondis à sa question :

- Madame vous avez une chatte magnifique, laissez-moi la lècher.
- Fais-le esclave !

Elle s'avança légèrement vers moi et, d'une main elle ouvrit ses lèvres, et de l'autre m'attira vers elle. Mais je ne pouvais presque pas l'atteindre, je ne faisais qu'effleurer son clitoris du bout de ma langue. Je compris que c'est ce qu'elle voulait, que je ne lui touche pas du tout ou presque et j'entrepris de lui faire un cunnilingus qu'elle n'oublirait pas de sitôt. Elle gémit et sa main s'aggripa à mes cheveux, sa jouissance se faisait de plus en plus grande, jusqu'au moment de l'orgasme. Je ressentis une douleur intense à la tête quand elle essaya de me rapprocher pour que je puisse prendre son clito entièrement. J'émis un cri de douleur, ce qui la fit jouir immédiatement. J'avais son clitoris entre les lèvres et le roulait sur ma langue, son corps était agité de soubresauts. Elle avait un orgasme que seule une femme peut connaitre.


Elle se releva et vint près de moi.

- Maintenant tu peux éjaculer.

Ses mains couraient sur mon échine et aggripèrent mon membre pour le masturber. J'aurais voulu qu'elle me fasse une fellation mais elle en resta là. J'étais tellement sensible à la moindre de ses caresses que je ne mis pas beaucoup de temps à éjaculer. Elle me détacha et me remit mes vêtements avant de sortir de la pièce. Quand je remontai à l'étage, elle n'était plus là, elle avait complètement disparue. Je sortis de la maison et pris place dans ma voiture. C'est alors que dans mon manteau je trouvai ce mot :

"Tu devras t'attendre à te soumettre chaque fois que je t'en donnerai l'ordre ESCLAVE!!!!"

Voilà qui promettait d'être réjouissant !!

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