Tut...Tut...Tut.
Oh, c'est pas vrai, râle Valérie, maintenant que j'étais prête. Que
j'allais venir, j'étais toute
mouillée.
En effet, elle était assise sur Jenny, nue sous
sa blouse ouverte, jambes écartées, en train de se
faire caresser les seins et la chatte. Une demi heure avant, c'est elle qui faisait jouir
Jenny. Et là, un appel de la chambre douze la coupe
au meilleur moment.
-Fait vite, dit Jenny, je te reprendrai après.
Valérie reboutonne sa blouse,et va voir ce qui se
passe. Elle arrive dans la chambre assez en colère.
Roger, un homme de cinquante huit ans est allongé
sur le lit.
-Qu'est-ce-qu'il vous arrive encore,demande
Valérie.
-J'arrive pas à dormir, répond-il. Mais vous avez
l'air fâchée.
-Vous me dérangez toujours pour rien, dit Valérie. C'est lassant à force. Ou sont vos gélules?
-Dans le tiroir, répond-il.
Valérie s'avance vers la table de nuit en lui
tournant le dos. D'un geste vif, il l'a saisit et
lui plaque sa main gauche sur la bouche. Il l'a
tire sur lui ,et l'allonge en travers de son
ventre. Les deux jambes de Valérie sont dans le
vide, faisant cambrer son corps. Valérie est
surprise par la force herculéenne du malade. En plus, elle ne peut même pas appeler.
De sa main droite, Roger déboutonne la blouse et
l'ouvre, découvrant le corps splendide de Valérie. Il commence a la caresser : d'abord les seins, très
durs, et ensuite la chatte, offerte entre les cuisses écartées.
-Oh la, mais qu'est-ce-que tu étais en train de
faire pour mouiller comme çà, demande-t-il.
Il continue son exploration. Il joue avec le clitoris, puis rentre un doigt
dans la fente, le
faisant aller et venir, jouant avec les lèvres.
-Je suis pas salaud, je vais te libérer, dit Roger.
Elle a la force de secouer la tête pour lui dire non.
-Je vais lever ma main, ajoute-t-il, tu me diras ce
que tu veux.
-S'il vous plait,continuez à me caresser,dit-elle,
c'est bon de se faire gratter le bouton. Ne vous
arrêtez pas, faites-moi jouir ma petite chatte. Branlez moi, salaud oui ouiii, je viens,plus fort.
-Tu aimes çà petite vicieuse. Quand tu envie, tu
peux venir me voir.
Valérie, honteuse, referme sa blouse et regagne la
salle de garde.
Jenny l'attend, une main entre les cuisses, en train
de se caresser.
-Viens ma chérie, dit-elle, je suis impatiente de te
faire l'amour. Je vais te finir.
Valérie s'avance, blouse ouverte, et s'assied sur les genoux de Jenny,qui
glisse une main vers sa
chatte.
-Mais, tu as joui, remarque Jenny.Qu'est-ce-que tu
as fait?
Et Valérie relate l'épisode de la chambre.
-Sale pute, t'es qu'une chienne, tu as osé me
tromper. Tu mériterais un raclée, gronde Jenny.
Je préfère aller faire mes visites.
Elle quitte la chambre en claquant la porte. Valérie a les mains devant son visage.
"Qu'est-ce-que j'ai fait mon dieu"
Jenny réapparait une heur plus tard. Les deux filles se tournent le dos.
-C'est fini entre nous, dit jenny. Je vais demander mon changement d'horaire.
-Non,supplie Valérie, çà se produira plus, je te
promet. Mais ne me laisse pas, je t'aime Jenny.
-Je sais pas ce qui me retiens de te mettre une fessée, poursuit Jenny.
-Vas-y dit Valérie.Si tu penses que je le mérite, vas-y.
Jenny se retourne. Valérie a ôté sa blouse, et s'est
penchée sur le bureau, jambes écartées pour mieux
offrir ses fesses.
"Qu'elle est belle dans cette position,constate
Jenny. Et si je lui donnais une petite fessée, pour
rire".
Elle attrape une serviette.
-Tiens, mord çà,qu'on t'entende pas crier, dit Jenny
Les gifles s'abattent sur les fesses de Valérie,
violemment, à la volée. Les fesses deviennent rouge.
Jenny prend un malin plaisir. De temps en temps
elle frotte la chatte de Valérie, insérant deux
doigts pour la branler, tandis que du pouce, elle lui force l'anus.
Valérie bave, son nez coule, elle pleure. Elle sort
des mots inaudibles.
-A ye..ou..ii.
Jenny retire la serviette.
-J'ai pas compris. Qu'est-ce-que tu dis, bordel.
-Tu me fais jouir, vas-y, puni moi, implore Valérie
oui oui,oh oui, je jouis.
Jenny redouble ses pénétrations. Pour s'offrir aux
caresses, Valérie a mis un genoux sur la table
offrant ses orifices aux assauts de Jenny,qui en
profite.
-Vas-y, t'arrête pas, dit Valérie, je t'en prie
viole moi.
Valérie a un orgasme, le deuxième. Les gémissements
sont de plus en plus forts. Jenny reprend les gifles sur les fesses de sa
proie, la tire en arrière.
Valérie tombe a genoux, les coudes sur le bureau.
-Tu es belle, lui dit Jenny. Quand ton mari va voir
ton cul tout rouge, qu'est-ce-qu'il va penser.
Valérie est toujours en larmes. Ses fesses lui font mal. Elle peut pas
s'asseoir.
-pourquoi tu m'as fait çà, sanglote Valérie,tu
m'aimes plus. Pourtant moi je t'aime tu sais.
J'ai pas pu me défendre. Il était trop fort. Pardon
Jenny, pardonne moi, tu veux bien?
Jenny a ses deux mains sur sa figure.
"Mon dieu, qu'est-ce-que j'ai fais, de quel droit.
J'ai perdu la tête.
-Moi aussi je t'aime, avoue Jenny. Excuse moi ,tu
m'as rendu jalouse. Je savais plus ce que je
faisais. J'ai envie de toi, Valérie.
-Mais moi aussi j'ai envie de toi, répond Valérie,
tu le comprend pas çà. Tu es tout pour moi.
-On va aller chez moi, reprend Jenny. Je vais te
soigner, j'ai ce qu'il faut. Puis on restera au
lit toute la journée et on fera l'amour. D'accord?
-Oh oui, répond Valérie, prend moi dans tes bras
s'il te plait. Embrasse moi fort, j'en ai besoin.
Les deux infirmières s'habillent et quitte l'hôpital en se tenant par la
taille.
La nuit d'après, le voyant de la chambre douze se
met a sonner. Tut..Tut...Tut..
Jenny et Valérie se regardent.
-On y va toute les deux, ordonne Jenny.
Les deux infirmières sont nues sous leur blouse.
-Et bien dit Roger, deux filles pour moi tout seul?
-Qu'est-ce-qu'il y a, demande sèchement Jenny. On va
vous faire dormir. Vous nous dérangerez plus.
Jenny prépare une piqure et s'avance du lit. Là,
Roger, lentement, glisse une main entre les jambes de Jenny et la plaque
sur sa chatte, un doigt
écartant les lèvres. Elle est paralysée par tant de
finesse. Elle a les yeux hagards. Valérie, en face, se
demande ce qui lui arrive. Elle s'approche du lit
et Roger fait la même opération.
Les deux infirmières sont accrochées aux doigts du
patient. Il commence à les caresser toutes les deux
Elles ont leurs mains appuyées sur le lit. Elles
ont déboutonnées leur blouse et écartées les jambes au maximum. C'est
Jenny qui gémit en premier.
-Comme il me doigte ce salaud, râle-t-elle, qu'est-
ce-qu'il met à mon bouton oh oui ouioiouiiii.
-Oh oui, fait Valérie, il m'a eu moi aussi, que
c'est bon, je joui ho ouioi si tu voyais mon clito
Jenny a découvert le corps de Roger, et joue avec
sa queue. Valérie se penche et prend la bite dans
la bouche. Jenny la rejoint. La queue décalottée
de Roger est sucée par les deux filles à tour de
rôle.
-Ohoo, je crache, crie-t-il, salopes, vous me faites
jouir han han oui ouaaa.
Les deux infirmières reçoivent les jets de sperme
en plein visage.Elles éclatent de rire.
-Allez,dodo maintenant,on reviendra la nuit
prochaine.
Frankie.
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