L'histoire que je vais raconter ici est absolument
véridique. Elle m'est arrivée il y a environ douze ans,
délai suffisant pour que je puisse la rapporter sans manquer
de respect à quiconque.
Agé de 22 ans, je vivais alors avec une jeune femme très
attirante, mais très peu intéressée par les choses du sexe
: elle se contentait du strict minimum et je la soupçonne
même rétrospectivement de s'être parfois forcée.
Nous avions été invités à passer le réveillon de 1992 dans
un restaurant de Brest, ville dans laquelle nous vivions.
Avant de nous rendre au restaurant, nous devions passer
prendre l'apéritif chez de vagues connaissances, qui accueillaient
de nombreuses personnes que nous ne connaissions pas. Très
rapidement, un des invités, éméché, s'est mis à faire des
blagues graveleuses, auxquelles tous les mecs de l'assistance
ont ri et ont répliqué. C'est alors que j'ai remarqué qu'une
des jeunes filles me regardait avec insistance, ne me quittant
pratiquement pas des yeux. Elle était mignonne, mais je
ne lui prêtais pas trop d'attention, étant même gêné par
son attitude en présence de ma copine.
Arrivés au restaurant, la même jeune fille s'est installée
en face de nous et a poursuivi son manège. Ma compagne,
très rapidement saoule, n'a plus été en mesure de se rendre
compte de quoi que ce soit. Ma séductrice, Stéphanie, s'est
montrée de plus en plus entreprenante et m'a suivi aux toilettes,
me proposant - je la cite - de passer "un bon moment". J'ai
refusé énergiquement, mais elle m'a souri d'un air entendu
en me faisant comprendre qu'elle avait compris qu'elle ne
m'était pas indifférente. Avant de sortir des toilettes,
elle m'a plaqué la main sur le sexe, le serrant à travers
mon pantalon. J'étais littéralement estomaqué par un tel
comportement, auquel je n'étais pas du tout habitué. A partir
de ce moment, je n'ai plus pensé qu'à une chose : envoyer
ma copine se coucher et rester seule avec Stéphanie.
Me débarrasser de ma compagne n'a pas été bien difficile
et Stéphanie a proposé aux derniers convives de la suivre
chez sa mère, qui était absente, pour prendre un dernier
verre. Là, elle m'a sorti le grand jeu : la conversation
s'est orientée presque aussitôt sur le sexe, et notamment
sur le triolisme, qu'elle disait refuser, et sur la fellation,
qu'elle prétendait adorer. J'étais de plus en plus excité,
mais, naturellement, je ne pouvais manifester mon intérêt
pour la belle en public.
Deux heures se sont passées ainsi, jusqu'à ce que, très
fatigué, je décide de rentrer chez moi, en me disant que
Stéphanie n'était qu'une allumeuse. Au moment où j'ai quitté
son appartement, elle m'a suivi sur le pallier. J'étais
encore en train de chercher une formule pour lui demander
s'il me serait possible de la revoir quand elle s'est littéralement
jetée sur moi. Mi-excité, mi-paniqué (j'avais peur que quelqu'un
nous repère), je l'ai entraînée un peu plus bas dans les
escaliers. Très rapidement, et avec une assurance qui m'a
sidéré, elle a défait ma ceinture, ouvert ma braguette et
sorti mon sexe, tendu à se rompre. Elle a commencé à me
branler très fort en me disant de ne surtout pas jouir.
Je n'ai pas voulu être en reste et j'ai commencé à lui caresser
les seins. Au bout de quelques secondes, elle m'a demandé
- littéralement - de la branler. J'étais véritablement comme
un fou ; j'ai retroussé sa jupe, abaissé légèrement son
collant, et j'ai commencé à la caresser à travers sa petite
culotte, qui était déjà complètement trempée. Elle gémissait
et me demandait tout bas à l'oreille si j'étais excité de
lui caresser la chatte. Je lui ai répondu par quelques grognements
et elle m'a demandé - ordonné plutôt - de la lécher. Je
me suis exécuté aussitôt, me mettant à genou, baissant sa
culotte et me jetant avidement sur sa chatte. La position
était très inconfortable, le lieu risqué, mais j'y ai pris
un plaisir fou, tandis qu'elle gardait plus nettement son
contrôle, me donnant des conseils un brin autoritaires qui
ne faisaient que renforcer mon excitation.
Au bout de quelques minutes, elle m'a dit de me relever,
et m'a entraîné vers le sous-sol, dans un box où sa mère
conservait quelques meubles. Elle m'a poussé sur une banquette
de béton qui longeait un mur, et, en me regardant, s'est
débarrassée de son collant et de sa culotte. Elle s'est
alors mise à genou et a commencé à me sucer très lentement,
en m'avalant entièrement, et surtout en serrant très fort
les lèvres. J'étais réellement sur le point de jouir dans
sa bouche, mais elle contrôlait très efficacement ses mouvements.
De temps à autre, elle sortait ma queue de sa bouche, passait
sa langue sur mon gland et me regardait dans les yeux avec
un air aguicheur. Tout était nouveau pour moi, et je vivais
là un moment dont je n'avais que fantasmé.
Après quelques instants de ce traitement, elle s'est assise
sur la banquette en retroussant sa jupe, m'a littéralement
saisi par la queue, et l'a glissée dans sa chatte. J'ai
encore le souvenir des sensations merveilleuses que cette
pénétration a provoqué en moi. Elle ne quittait pas des
yeux ma queue qui allait et venait, et, au bout de quelques
instants, s'est mise à se toucher le clitoris. Elle m'a
lors demandé de lui parler. Un peu interloqué, je lui ai
demandé de quoi elle voulait que je lui parle. Elle m'a
répondu qu'il fallait que je lui décrive ce que je ressentais
et ce que je voyais. Je lui ai alors dit à quel point j'étais
bien dans sa chatte, à quel point elle m'excitait. J'ai
vu que les compliments avaient un effet très sensible sur
son état et j'ai poursuivi dans ce registre, en me prenant
au jeu. Rapidement, je me suis mis à la traiter de "petite
cochonne", de "salope", et à ma grande surprise, elle a
apprécié. Sur la fin, je la pilonnais littéralement, en
proférant des obscénités; elle gémissait, puis a enfin atteint
l'orgasme. Elle m'a alors demandé de sortir ma queue et
de me finir à la main devant elle, ce que j'ai fait avec
le plus grand plaisir.
Stéphanie, que je n'ai jamais revu, conserve une place
à part dans mes souvenirs.
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