TITRE :  Nouveau Boulot
Catégorie : 
Histoire au bureau

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Mon épouse vient de retrouver du travail dans la région. Cela n'a pas été chose facile et ce nouveau travail lui convient parfaitement. L'ambiance au bureau est bonne et ses collègues plutôt jeunes. Elle se lie rapidement d'amitié avec l'une d'entre elles, Émilie. Au bout de quelques semaines, les 2 filles ne se lâchent plus et elles commencent à se raconter des choses de plus en plus intimes. Bien sûr, Nat me raconte tous les soirs et je n'en perds pas une miette. Un soir, Nat rentre particulièrement impatiente de me dévoiler leur dernière discussion, qui a débuté pendant qu'elles étaient en train de faire des essayages dans une boutique le midi :

- Tu vois Nat, le problème avec ce pantalon, c'est qu'on voit ma culotte à travers !
- Tu n'as qu'à mettre un petit string blanc ou couleur chair, Émilie, et le tour est joué.
- Ouais, mais le problème, c'est qu'on va croire que je n'ai pas de culotte, et tu connais les mecs, ils vont me prendre pour une salope !
- Le problème avec toi, c'est que tu te fais toujours plein d'idées. Si je te disais que je n'ai rien sous mon pantalon, tu me croirais ?

Émilie ne sait pas si Nat plaisante et hausse les épaules.

- Et bien pourtant, c'est le cas ! Renchérit Nat.

Émilie reste perplexe. Elle referme le rideau de sa cabine d'essayage, plantant Nat devant. Nat a peur de l'avoir vexé et s'en veut. Au bout de quelques minutes, Émilie ressort de la cabine, rend tous les articles à la préposée aux cabines, et rejoint Nat qui l'attend devant le magasin. Il leur reste un peu de temps avant de reprendre. Elles vont prendre un café. Elles n'ont échangé que quelques mots.

Une fois assises, Émilie revint à la charge :

- C'est vrai ce que tu m'as dit tout à l'heure ?
- Je ne voulais pas te vexer, tu sais ?
- Non, t'en fais pas, mais ça ne te gêne pas de ne rien avoir ?
- Tu sais quand on met un string, il te rentre fatalement dans la chatte au bout d'un certain temps. Et puis les culottes font vraiment des marques horribles, donc j'ai pris cette habitude. Le seul truc, c'est qu'il ne faut pas mettre de pantalon trop serré qui te rentre dans les fesses, tu vois ce que je veux dire.

Nat fait référence à Émilie qui en porte un ce jour-là. Émilie l'écoute incrédule et surprise de découvrir cela chez sa copine.

- Et tu fais ça tout le temps ?
- Ben oui, sauf quand j'ai mes règles évidement !
- Non, je voulais dire, même quand tu te mets en jupe ?
- Bien sur, il suffit de faire un petit peu attention à ne pas se pencher en avant et de croiser les jambes. »
- Putain, c'est dingue, j'ai jamais rien remarqué.
- C'est normal, et d'une, personne ne peut le voir ni le deviner si je fais attention. Et de deux, est-ce que tu as souvent la possibilité de voir sous les jupes d'une femme. Je te dis, il suffit de faire un peu attention.

À ce moment là, un groupe de leurs collègues arrive au café et ils se réunissent ensemble, la discussion entre les 2 copines reste en suspend. Ne travaillant pas seules dans le bureau, elles n'aborde plus le sujet de la journée. Je dois dire qu'à l'écoute de ce récit, je suis un peu fier de mon épouse. En effet, c'est moi qui ai plus au moins imposé à Nat de bannir ses dessous. Comme beaucoup d'hommes, cela m'excite, et j'ai la chance d'avoir une femme complice qui s'est prêtée au jeu et qui y a prit goût. De plus, nous avons remarqué que, bizarrement, ma femme n'a plus de micoses depuis. Je lui suggère donc de se mettre en jupe le lendemain, pour voir quelle sera la réaction d'Émilie. Elle me dit que ça tombe bien, puisque de toute façon elle a prévu une robe mi-cuisse.


Le lendemain, j'attends avec impatience que ma femme rentre de son travail. Une fois arrivée, elle est papillonnante et fait mine de ne pas remarquer mon impatience. Ce n'est qu'une fois notre fille couchée qu'elle se dévoile. Ce jour-là, Émilie est habillée en jupe au-dessus du genou agencé d'un top assez décolleté (le décolleté, c'est la spécialité d'Émilie). Toute la matinée, Nat a sent qu'Émilie l'épie et que son regard se porte souvent au niveau de ses cuisses, afin de voir si elle aperçoit ce qu'elle devine déjà. Le midi, elles vont déjeuner dans ce qu'elles appellent leur cantine. C'est un petit resto sympa où il n'y a pas trop de touristes (sur la côte d'azur, c'est rare !). Pendant le repas, Émilie commence :

- Dis-moi, je ne veux pas paraître lourde, mais je suppose que, comme tu me l'as dit hier, tu n'as pas de culotte aujourd'hui ?
- Oui.
- Je t'ai observée toute la matinée, tu fais comme si de rien n'était.

Nat pouffe de rire puis dit :

- Bah oui, c'est pas une maladie que je sache. Et comme personne, à part toi, ne le sait, personne ne me regarde avec l'insistance que tu avais ce matin. T'étais vraiment pas discrète et je préfèrerais que ça reste un secret entre nous alors sois plus discrète, s'il-te-plait.
- Ok, excuse moi, mais je t'avoue que, jusqu'à hier, je croyais qu'il n'y avait que dans les films de cul et les clubs à partouzes qu'on voyait ça. Tu m'as scotchée.
- Pourtant, je peux te dire que les films de cul et les boîtes d'échangistes, c'est pas mon truc.
- Moi, j'aurais peur qu'on me prenne pour une salope, si j'étais comme toi.
- Tu sais, les rares fois où des mecs s'en sont aperçus, ils sont devenus comme fous, terriblement excités. Je crois que c'est un des fantasmes les plus courants chez les hommes. Mais ceux qui ont découvert mon secret sont toujours restés très corrects, dans la mesure où je ne les avais pas allumés volontairement. Tu vois, pour moi, une salope, ce serait une fille qui allume volontairement un mec, qui le provoque, qui le laisse espérer et qui n'a pas l'intention de faire quoi que ce soit avec. En clair, il faut assumer.
- Ouais, je crois que tu as raison.

Ensuite, elles changent de sujet. Alors qu'elles s'apprêtent à repartir travailler (il faut être motivé par cette chaleur du mois de juillet), Émilie va aux toilettes comme d'habitude car elle n'aime pas celles du bureau qui ferment mal et qui sont à côté de l'atelier. Nat se dit que cette fille est vraiment bizarre quand elle s'y met. Émilie revient et Nat trouve qu'elle a les joues rouges, probablement la chaleur (Nat ne le sait pas encore mais elle se trompe, Émilie préparait une surprise !).


L'après-midi, Nat remarque que sa copine a un comportement très agité, qu'elle ne tient pas en place, et surtout, qu'elle tournicote dans le bureau et plus précisément autour de celui de Franck, un dessinateur. Nat sait depuis longtemps qu'Émilie craque pour lui, ça se voit ce genre de chose quand on est une femme. C'est vrai que Franck est pas mal, pas très grand (1.70m) mais très brun, mat de peau, des yeux noirs et des pommettes qui font aussi craquer Nat. Il est cool et a de l'humour. Nat me dit souvent que si je n'étais pas là... Émilie, quand à elle, fait environ 1.70m aussi, elle est très fluette, blonde très clair (peut-être que le soleil est aidé par un décolorant), petits seins (suffisamment quand même !), petit cul mais elle plaît beaucoup.


Tout à coup, Nat remarque que sa copine est penchée en avant, le cul tendu vers Franck, elle fait mine de déplacer des dossiers tout en bas d'une armoire. Nat repense immédiatement à leur discussion du midi et se demande si elle le fait exprès ou pas. Non, aucun doute, elle s'est enfin décidée à allumer le beau Franck. Nat se déplace discrètement dans le bureau pour ne pas attirer l'attention des autres dessinateurs absorbés par leur planche à dessin. Elle veut en avoir le coeur net et surtout voir si Émilie a été jusqu'au bout de son allumage. Oui, c'est au tour de Nat d'être surprise par l'audace d'Émilie. Non seulement elle n'a plus rien sous sa jupe, mais la clarté de ses poils pubiens, associée à une épilation maillot très étroite, laisse parfaitement voir ses lèvres. Nat retourne à son poste de travail et continue d'observer le manège de sa copine.


Au bout de plusieurs exhibitions du même type, Nat se dit que la belle met vraiment le paquet mais que Franck n'a pas l'air d'y prêter trop attention malgré le rouge qui transparaît sur ses joues derrière son teint mat. Tant d'effort pour rien, ce serait dommage. Peut-être que Franck n'est pas disponible et qu'il est 100% fidèle (si, si, ça existe les mecs fidèles !). Ou peut-être qu'il est intimidé par tant d'audace. Il faut dire que ce n'est pas tous les jours qu'on se retrouve dans une situation pareille, de surcroît sur son lieu de travail.


Enfin, il se décide à venir l'aider pour bouger un gros carton. Il semble d'ailleurs qu'il n'est pas très lourd puisqu'il le pousse avec un bras sans forcer. Ils se chuchotent quelque chose et regagnent leur poste de travail. La pauvre Émilie est rouge comme un camion de pompier et ses yeux bleus brillent intensément. Nat espère que Franck ne lui a pas dit quelque chose de vexant. Cinq minutes passent et Émilie quitte la pièce toujours aussi écarlate. Va-t-elle pleurer à l'abri des regards sa désillusion ? Nat s'en veut et s'apprête à partir à sa recherche pour la réconforter lorsque Franck se lève et quitte le bureau à son tour.


Franck est-il pris de remord ou y a-t-il anguille sous roche entre ces deux-là ? Nat est piquée au vif et décide illico de le suivre. Il traverse l'atelier et se dirige tout droit vers les toilettes. Elle le rejoint discrètement sous l'oeil rigolard du chef d'atelier dont le bureau jouxte l'accès aux toilettes. À l'intérieur, il y a trois cabines : une femme, une homme et, au milieu, une plus grande réservé aux handicapés. Comme par hasard, la cabine handicapés est fermée à clé. Il est donc à l'intérieur. Sans faire de bruit, Nat rentre dans la cabine femme et, s'accroupissant, jette un oeil à côté. Elle reconnaît les sandales d'Émilie. Le silence relatif de la pièce lui permet d'entendre des bruits et de s'imaginer ce qui se déroule dans la cabine voisine.


Elle les entend s'embrasser et s'étreindre avec fougue. Ils ne disent rien. Elle entend le bruit d'une ceinture qui se détache, d'une braguette qui s'ouvre et le froissement d'un pantalon qu'on descend à la hâte. Elle imagine qu'Émilie le suce maintenant. Nat se baisse de nouveau, elle distingue les genoux d'Émilie. Elle le suce longtemps, apparemment elle s'applique car Nat entend la respiration de Franck changer. Soudain, elle entend un petit râle presque contenu de Franck. Émilie toussote plusieurs fois, elle a dû avaler de travers pense Nat qui sait s'y prendre pour ne pas s'étrangler au moment fatidique.


Elle tousse encore lorsque la porte des toilettes s'ouvre. Un technicien de l'atelier vient d'entrer. Il pisse en sifflotant, à croire que ça coule mieux. Nat s'est toujours demandée pourquoi les hommes sont sans arrêt en train de siffler n'importe quoi dès qu'ils n'ont rien à faire avec leur bouche. Pendant qu'il se soulage la vessie, le silence n'est rompu que par le bruit de son jet dans l'eau de la cuvette. Nat imagine Émilie, à genoux devant Franck, lui le pantalon en bas des pattes, le sexe ramollissant et elle essuyant le sperme qui doit lui avoir maculé le visage après son petit étranglement. La situation fait sourire Nat. Enfin, l'homme termine, se lave les mains et repart en ayant siffloté le même air une quinzaine de fois.


La cabine voisine reprend un peu d'activité et les deux tourtereaux échangent quelques mots :

- Excuse-moi pour ton pantalon mais j'ai pas pu faire autrement. Toi, quand tu éjacules, tu fais pas semblant !
- Ne t'en fais pas, ça n'a aucune importance. Je te remercie, c'était génial. Tu es vraiment une super suceuse et je veux que tu le prennes comme un compliment. Je t'aime.

Nat, entendant ça, se dit qu'il va vite en besogne le beau gosse.

- Moi aussi, je t'aime.

Là, Nat se dit que sa copine a perdu la tête. On ne dit pas je t'aime comme ça. Sur ce, ils se remettent à s'embrasser. Nat se demande comment elle pourra sortir des toilettes sans se faire repérer car leur absence risque de se faire sentir dans le bureau. Mais elle sait qu'en ouvrant sa porte, il va y avoir un grincement (ça le fait à chaque fois). Alors, elle attend en espérant qu'ils ne vont pas tarder. Elle n'écoute même plus ce qu'ils se disent.


Tout à coup, elle entend un bruit d'emballage qu'on déchire. Elle se penche et voit un emballage de capote par terre. Non, ils remettent ça ? Selon la position de leurs pieds, elle est debout, penchée en avant, et lui est derrière. Il n'a pas mis de temps à rebander le Franck. Elle entend le claquement feutré de son ventre sur ses fesses. Ils essaient de ne pas faire trop de bruit, mais le rythme s'accélère. Nat est gênée mais terriblement excitée par cette situation. Nat aimerait que je sois là et que je lui fasse la même chose. Elle se caresse doucement puis plus rapidement calcant involontairement son rythme sur celui d'à côté.


Elle entend le bruit de leurs corps qui ne font plus qu'un. Ils ne se contrôlent plus aussi bien et laissent échapper l'un et l'autre des petits cris. Nat aussi d'ailleurs, de toute façon ils sont bien trop occupés pour y prêter attention. Nat sent qu'elle ne va plus tarder à jouir et elle ne lâche plus son clitoris tendu. Ils ont tous les trois un orgasme quasi simultané, Émilie et Nat ayant poussé un cri en même temps.


Après quelques bisous, les tourtereaux sortent. Lui, d'abord, elle trente secondes plus tard. Nat a encore les jambes molles quand elle sort enfin. Le chef d'atelier lui fait un clin d'oeil avec un sourire en coin quand elle passe devant son bureau vitré. Il va se faire une drôle d'opinion des deux copines celui-là. Si ça se trouve, c'est lui qui est venu pisser tout à l'heure en plus.
De retour à son poste de travail, Nat voit que personne ne semble s'être aperçu de leur absence. D'ailleurs, bien que le moment lui ait paru très long, ça ne fait que vingt minutes à peine qu'elle est partie. Émilie a repris son poste et une couleur de peau normale, les joues seulement rosées. Franck a le nez sur sa planche à dessin. Elle guette le reste de l'après-midi, des signes entre les deux amants, mais reste sur sa faim pour cette fois-ci.


Nat et moi avons passé une très agréable fin de soirée, car le fait de se remémorer les évènements de l'après-midi a remis Nat dans un état volcanique, dont je profite bien sûr largement.

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