Durant mes études, j'avais un ami qui avait une sour plus
jeune que nous que je regardais jusqu'alors plutôt comme
une petite fille. Vers l'âge de 16 ans, elle a commencé
à être autorisée à sortir, à condition qu'elle soit accompagnée
de son frère. Lorsque mon ami me parla de sa sour, j'eus
très peur d'être ennuyé par une petite fille ennuyante qui
nous suivrait partout. Je ne l'avais plus vue depuis longtemps,
aussi ma surprise fut très grande lorsque je la vis, elle
était extrêmement belle, Laetitia était une belle brune,
à la peau mate, de beaux cheveux bruns jusqu'à mi-épaule,
avec une très belle paire de fesses toujours dans des jeans
serrés et des seins qui m'excitaient beaucoup.
Je l'ai tout de suite draguée, nous avons vite sympathisé,
après quelques semaines nous formions un couple et j'eus
le plaisir de la dépuceler. Pour moi, c'était un bonheur
incroyable, chaque fois que nous faisions l'amour, j'étais
enchanté par ses formes, sa bouche pulpeuse, ses seins fermes
et sa chatte très douce. Cinq ans plus tard nous étions
mariés et après quelques années, j'avais alors 38 ans et
elle 29 ans notre couple était entré dans la routine. Lorsqu'un
jour, je reçu un appel téléphonique de la famille dans laquelle
j'avais été en Australie. Ils me demandaient si le fils
d'un de leurs amis ne pourrait pas passer un mois ou deux
chez nous durant l'été. C'est avec plaisir que nous avons
accepté.
Trois mois plus tard, Jonathan débarquait chez nous. C'était
un jeune garçon, assez beau, mais timide, avec un côté intellectuel.
Il étudiait les Lettres et il venait se perfectionner en
français dans une école de langue. Avec mon épouse, nos
relations étaient dans la routine et je pimentais nos ébats
en lui parlant d'un troisième partenaire. Si au début elle
avait été un peu étonnée, elle s'était laissée prendre au
jeu et nous fantasmions souvent sur des trios, sans vraiment
avoir l'intention de passer à l'acte. Et lorsque Jonathan
est arrivé, c'est naturellement sur lui que nos fantasmes
se sont tournés. Laetitia ne manquait pas durant la journée
d'un peu l'aguicher, il réagissait au quart de tour, en
devenant rouge lorsqu'elle venait prendre le petit déjeuner
en peignoir ou lorsqu'elle avait un joli décolleté et qu'elle
se penchait vers lui pour le servir ou pour autre chose.
Il était aussi très gêné lorsque nous nous embrassions.
Il devait séjourner durant 8 semaines chez nous et ensuite
voyager un peu en Europe. Après 5 semaines, j'ai sérieusement
demandé à Laetitia ce qu'elle pensait de faire l'amour à
trois, avec Jonathan. Laetitia était attirée par Jonathan,
mais craignait deux choses : mettre notre couple en péril
et elle n'était pas certaine que Jonathan soit intéressé.
Pour ce qui concernait Jonathan, je crois qu'il n'y avait
aucun doute, quel jeune homme célibataire de 19 ans aurait
résisté au charme d'une jolie femme, ne serait-ce que pour
l'aspect sexuel. Il est vrai qu'il n'était pas certain qu'un
trio l'attirerait, mais je pensais alors que les choses
viendraient d'elles-mêmes. Quand à la question de notre
couple, je n'y voyais pas de problème, je voyais plutôt
cela comme une expérience enrichissante et je croyais notre
amour assez ferme pour résister, de plus, le fait que Jonathan
était étranger arrangeait bien les choses, il repartirait
ensuite.
Après une semaine d'hésitation, de questions et de discussions,
nous avons décidé de passer à l'acte. Il ne nous restait
plus que deux semaines, si nous voulions vraiment réaliser
notre fantasme. Plusieurs matins de suite, Laetitia est
venu prendre le déjeuné avec un peignoir qui laissait bien
apparaître le haut de ses seins. Et en soirée, elle portait
aussi un chemisier avec un joli décolleté, qui était suggestif,
tout en ne laissant pas tout voir. Je constatais que Jonathan
n'était pas insensible au charme de Laetitia.
Le mercredi soir, j'annonçai que je partais, mais en fait
je suis allé dans notre chambre à coucher. Laetitia et Jonathan
ont regardé la tv. Puis, ils se sont séparés pour la nuit.
Laetitia est venue me rejoindre. Elle était tendue, légèrement
angoissée par la situation. De mon côté, j'étais impatient
et j'attendais la suite avec beaucoup d'excitation. Laetitia
s'est déshabillée, elle a enlevée son chemisier, son soutien-gorge,
son pantalon et son slip. Elle était très belle et je la
désirais plus que tout. Je l'ai embrassé doucement, amoureusement.
Elle m'a demandé, avec une voix tendue, si j'étais toujours
prêt. Je lui ai répondu que oui, je l'ai à nouveau embrassé,
caressé un sein. Elle m'a légèrement repoussé, elle a enfilé
son peignoir, s'est mis un peu de parfum dans le cou. Elle
ne portait que sa montre et des boucles d'oreilles très
discrètes. Ensuite, elle est allée vers la chambre de Jonathan,
elle a frappé et est entrée.
J'imaginais alors la scène suivante, Laetitia qui frappe,
elle entre dans la chambre, elle déclare à Jonathan qu'elle
veut encore bavarder avant de se coucher, puis elle s'approche
de son lit. Elle s'assied légèrement sur le bord du lit.
Et commence à discuter. De quoi parlent-ils ? Elle le questionne
sur ses projets, tout en discutant elle laisse sa main voyager
sur le lit. Lui ne la quitte pas des yeux, il observe ses
seins qu'il voit à travers son peignoir en soie quasi transparent.
Tout en discutant, Laetitia pousse sa main vers celle de
Jonathan. Elle l'a lui prend, joue avec. Puis, après lui
avoir fait un large sourire, elle prend la main de Jonathan
et la remonte sur son sein. Elle sourit, il lui répond par
un sourire et elle se penche et lui pose un baiser sur la
bouche. Elle se redresse, le regarde avec amour et se penche
à nouveau pour un vrai baiser. Elle lui prend à nouveau
la main la promène sur ses seins, puis elle enlève son peignoir,
soulève la couette et se met sur lui. Elle l'embrasse, se
met sur le côté et laisse Jonathan lui caresser les seins.
Il est fébrile, il embrasse ses seins, les malaxe. Gentiment
elle lui enlève son T-shirt, caresse son torse, l'embrasse.
Elle descend sa main, lui caresse le pénis en érection à
travers son short, soulève le short et sort son pénis, elle
fait deux ou trois va et vient avec sa main. Ils s'embrassent
à nouveau. Elle commence à lui tailler une pipe, elle s'arrête,
car elle sent qu'il va venir très vite. Elle le laisse découvrir
son corps, explorer son sexe, elle lui demande de caresser
et lécher son clitoris. Puis, elle se met sur lui, l'embrasse,
elle décide d'aller plus loin, elle prend sa bite d'une
main et la guide dans son fourreau et elle descend gentiment.
Elle s'arrête, regarde Jonathan dans les yeux et commence
un lent va et vient. Elle est heureuse.
J'en étais là dans mes pensées, lorsque soudain Laetitia
entre dans la chambre et se jette sur le lit. A sa tête
- et au temps écoulé, pas plus de 10 minutes -, je comprends
que tout ne s'est pas passé comme je l'imaginais. Je la
questionne gentiment, pensant qu'il n'a pas voulu d'elle.
Je lui donne un baiser dans le cou et la questionne à nouveau.
Et elle m'explique, très gênée, qu'elle n'a pas pu. Elle
n'a pas eu le courage. Elle est entrée dans la chambre et
elle n'a pas osé s'asseoir au bord de son lit, elle est
restée près de la porte, lui a parlé de nos activités du
week-end lui demandant s'il voulait nous accompagner ou
non, puis elle est revenue. Elle n'avait jamais couché avec
un autre homme que moi. Je commence alors à la caresser,
à l'embraser, elle se laisse gentiment aller. En la caressant,
en passant sur ses seins, je sens sa tension, je sens qu'elle
est prête au plaisir, ce soir là, nous faisons longuement
l'amour, je passe près d'une heure à la caresser, la couvrir
de baisers ; elle éprouve beaucoup de plaisir juste à mes
caresses, elle me dira plus tard qu'elle a éprouvé un orgasme
au seul contact de ma bouche et de mes mains sur seins,
ce qui ne lui était quasiment jamais arrivé.
Un peu dépité par cette tentative, nous en sommes restés
là, les jours suivants. Mais la dernière semaine, nous avons
recommencé à en discuter et à imaginer des plans, mais Laetitia
m'expliquait qu'elle n'osait pas franchir la barrière. J'y
avais quasiment renoncé. Nous étions vendredi et Jonathan
devait partir le lundi matin pour un voyage d'un mois à
travers la France et l'Europe et le vendredi soir il était
retenu par une fête d'adieu dans son cours de langue. En
semaine, le matin, je pars souvent très tôt, c'est ce que
je fis ce matin-là. Laetitia prenait habituellement son
petit-déjeuner avec Jonathan un peu après mon départ, parfois
elle mangeait en peignoir, alors que Jonathan était toujours
habillé. Mais ce matin-là, il vint en short pour prendre
son petit-déjeuner. Laetitia le remarqua aussitôt et la
tension monta d'un cran. Ils bavardèrent en mangeant, mais
lorsque Laetitia se leva, elle vit l'érection de Jonathan
à travers son short. Elle espérait qu'il ferait quelque
chose, c'est donc assez lentement qu'elle commença à ranger
la table. Il lui donna un coup de main, à un moment donné
ils se touchèrent légèrement, Laetitia m'a dit qu'elle l'avait
fait exprès, alors soudainement, après avoir posé un verre
sur l'évier, elle se détourna, s'est approchée de Jonathan,
elle a posé ses mains sur ses épaules, elle a approché son
visage du sien et lui a donné un léger baiser, puis un second
plus long et langoureux, leurs langues se sont mélangées,
dès lors elle savait que notre fantasme allait se réaliser.
Elle a ensuite pris la main de Jonathan qu'elle a posé
sur son sein, il a commencé à la caresser, puis à embrasser
ses seins, elle l'a alors pris par la main et entraîner
dans notre chambre. Devant le lit, elle l'a embrassé, elle
a enlevé son peignoir, puis elle a enlevé le t-shirt de
Jonathan. Elle lui a caressé le torse et embrassé, puis
l'a entraîné sur lit, là où quelques heures auparavant nous
avions fait l'amour. Elle l'a d'abord laissé découvrir son
corps, il était fébrile, doux, mais aussi un peu maladroit
et parfois un peu trop ferme lorsqu'il lui malaxait les
seins, son jeune âge et son probable manque d'expérience
le rendait nerveux. Elle lui a ensuite enlevé son short,
puis elle a caressé sa bite par quelques va et vient. Elle
a légèrement effectué deux ou trois va et vient avec la
bouche, mais elle s'est rapidement arrêtée. Elle lui a ensuite
demandé de la prendre, elle s'est couchée sur le dos, il
s'est mis sur elle, ils se sont embrassés, puis elle lui
a pris la bite avec une main qu'elle a guidée en elle. Il
s'est enfoncé en elle, puis elle l'a retenu ainsi quelques
instants, pour qu'il s'habitue, mais dès qu'elle a commencé
à bouger, elle a senti qu'il venait. Elle a continué, se
disant que c'était trop tard pour qu'il se retienne. Ils
sont restés ainsi quelques minutes, puis Laetitia s'est
dégagée. Elle l'a caressé et après 10 minutes de découvertes
mutuelles de leur corps il bandait à nouveau. Elle a alors
recommencé et elle l'a à nouveau guidée en elle. Il s'est
montré plus résistant, mais juste assez pour qu'elle éprouve
un début de jouissance, plus par la situation, le fait de
coucher avec un autre que son mari, que par les talents
de son amant. Ils sont restés ensuite un dizaine de minutes
au lit, puis ils ont pris une douche. En sortant de la douche,
ils se sont embrassés et comme Jonathan bandait à nouveau,
Laetitia l'a emmené dans notre chambre et ils ont recommencé
à faire l'amour. Jonathan est ensuite parti à ses cours,
d'autant plus que c'était son dernier jour.
Laetitia est restée longuement au lit, ses sentiments étaient
troublés, ses pensées voyageaient d'une idée à une autre.
Elle était bien, détendu et heureuse, mais en même temps
elle se sentait coupable, bizarre. Elle a attendu mon retour,
dès mon retour elle m'a emmené dans notre chambre, elle
m'a demandé de m'étendre sur notre lit et a commencé à me
raconter ce qui s'était passé le matin. J'étais jaloux,
mais très excité, elle a ouvert mon pantalon et commencé
à me masturber, tout en continuant à me raconter sa première
infidélité. J'étais d'autant plus troublé que je m'étais
fait à l'idée que rien ne se passerait entre eux et que
Jonathan partirait. Mes sentiments étaient vraiment troubles.
Mais tout en me racontant son histoire, elle continuait
à me masturber et elle a finit par me prendre en bouche
pour une éjaculation et une jouissance formidable. Nous
avons convenu qu'elle coucherait à nouveau avec Jonathan,
le soir, il est rentré vers 23h30, il avait été à une fête
d'adieu avec ses amis de l'école et il était légèrement
saoul. Et probablement gêné de me voir, il est directement
allé dans sa chambre. Nous sommes partis nous couchés avec
Laetitia, mais je l'ai encouragée à partir retrouver son
nouvel amant. Après 25 minutes, elle s'est levée et est
allée rejoindre Jonathan. Elle a frappé et est entrée. Il
était déjà couché, elle s'est approchée de son lit, elle
a enlevé son peignoir et est allée le rejoindre sous la
couette. Il était heureux, mais un peu tendu, elle lui expliqua,
après un baiser, que je dormais et que j'avais le sommeil
profond. Ils ont à nouveau fait l'amour, cette fois-ci plus
lentement, plus gentiment, avec tendresse et passion, l'alcool
aidant Jonathan fut plus résistant et Laetitia a pris beaucoup
de plaisir. Quarante minutes plus tard elle me rejoignait.
J'étais heureux et j'avais envie de lui faire l'amour, mais
elle ne voulait pas, elle était fatiguée, et elle avait
déjà fait l'amour plusieurs fois dans la journée. J'étais
un peu vexé et jaloux, car pour Jonathan, elle était en
forme.
Le lendemain, nous n'avons pas beaucoup vu Jonathan, je
crois qu'il se sentait très gêné. Des amis sont venus le
prendre et il est parti avec eux et il est rentré très tard.
Malgré notre attente, nous nous sommes endormis. Le dimanche,
il est resté longtemps au lit et en fin de journée, Laetitia
m'a demandé si elle pouvait passer la nuit avec lui. J'ai
accepté, nous avons décidé que je dirais que je devais partir
et j'irais dormir dans la chambre d'amis, elle passerait
la nuit avec Jonathan dans notre chambre. Je pris donc congé
de Jonathan et de Laetitia et m'en allai. Aussitôt que j'avais
tourné les talons, Laetitia a embrassé Jonathan et l'a entraîné
dans notre chambre où ils font fait l'amour longuement,
gentiment. Moi j'étais revenu discrètement et je suis allé
dans la chambre d'amis. Vers 23h30 Laetitia est venue me
rejoindre. Elle était très belle, détendue et heureuse.
Elle m'a dit qu'ils avaient fait l'amour une fois et qu'ensuite
elle lui avait taillé une pipe. Elle m'a embrassé et j'ai
touché son sexe, humide, avec le sperme d'un autre. J'étais
jaloux, dépité, heureux et surtout excité. Après l'avoir
un peu caressé, j'ai glissé ma bite en elle, excité par
le fait qu'elle venait d'avoir été prise par un autre et
que son sperme était encore présent. Nous avons joui quasiment
en même temps, j'étais comblé. Elle m'a dit qu'elle « retournait
vers son amant » et s'en est allée. Ils ont encore fait
l'amour tôt le matin.
Puis Jonathan est parti. Trois jours plus tard, Laetitia
m'a dit qu'elle l'avait appelé et lui avait demandé s'il
ne voulait pas revenir. Il ne paraissait pas enchanté, il
semble qu'il se sentait mal par rapport à moi. J'ai alors
suggéré à Laetitia de lui dire que j'étais au courant et
consentant. Ce qu'elle fit deux jours plus tard. Jonathan
hésitait toujours à revenir, mais une semaine plus tard,
suite aux appels de Laetitia, il est revenu.
Nous sommes allés le chercher à la gare, nous sommes revenus
à la maison. Nous avons bu un verre sans rien dire. Puis
Laetitia s'est approchée de lui et l'a embrassé. Elle est
venu vers moi, m'a embrassé, puis elle nous a pris par la
main et nous a entraînés dans notre chambre. Là, elle s'est
arrêtée, elle a embrassé Jonathan, pendant ce temps je lui
ai enlevé son pull, elle a fait de même avec Jonathan, puis
je me suis déshabillé. Je lui ai enlevé son soutien-gorge,
ses seins ont aussitôt attiré Jonathan, qui les a caressés,
soupesés, embrassés. Ils sont allés sur le lit en s'embrassant
et je les ai rejoint.
Laetitia embrassait chaque parcelle de peau de son amant,
léchant ça et là, une fois le ventre, puis sur le côté,
là où l'on est très chatouilleux. Puis elle glisse sa langue
sur sa bite, d'abord lentement et par petites touches, puis
elle l'a pris entièrement en bouche, effectuant quelques
va et vient, tout en me regardant, elle semblait me dire
: regarde comme je suis heureuse que tu me laisses ce jeune
amant, regarde comme je prends du plaisir à lui donner du
plaisir, regarde ton épouse chaste jusqu'ici qui se donne
à un autre. De mon côté j'étais très excité, je regardais
en me branlant gentiment. Puis je me suis approché de Laetitia,
je l'ai caressé ; Jonathan en fit de même et nous étions
deux à lui procurer du plaisir, nos langues et nos doigts
allaient de ses seins à sa bouche, de son ventre à son clitoris,
après une vingtaine de minutes de ce traitement, elle demanda
à Jonathan de la prendre. Il se mit sur elle et je pus observer
sa bite entrer dans le fourreau de mon épouse. J'éprouvais
un vrai plaisir à les voir faire l'amour, à observer cette
bite entrant et sortant, je ne pu m'empêcher de mettre ma
main sur le sexe de Jonathan alors qu'il continuait ses
va et vient. Je garde cet instant fixé dans ma mémoire.
Ils ont joui quasiment ensemble. Jonathan s'est retiré,
j'ai embrassé Laetitia et j'ai pris la place de Jonathan.
C'était très excitant de pénétrer mon épouse, alors qu'un
autre venait de se vider en elle. Pendant que je la prenais,
nous nous regardions dans les yeux, elle semblait me dire
: tu vois, je suis libre et heureuse, j'adore me donner
à un autre et je t'aime, tu me donnes beaucoup de plaisir.
Nous avons joui. Puis nous avons pris un verre pour nous
rafraîchir et nous sommes revenus dans la chambre. Les caresses
ont repris et pendant qu'elle taillait une pipe à Jonathan,
j'ai pris Laetitia en levrette, j'étais heureux, mes mains
allaient de sa taille à ses seins. Elle se donnait une peine
folle à sucer Jonathan, elle rythmait ses caresses, rapides,
puis lorsqu'elle sentait qu'il allait venir, elle ralentissait,
stoppait même parfois, pour embrasser ses couilles et reprendre
ses va et vient. Lorsqu'elle l'a désiré, elle l'a laissé
jouir, tout en gardant le fruit de sa jouissance en elle.
J'ai aussi joui. Et Laetitia s'est fait un plaisir de m'embrasser,
alors qu'elle avait encore le goût de son amant. Nous nous
sommes endormis, bien que notre sommeil ait été assez troublé.
Le matin, nous nous sommes réveillés très tôt, Laetitia
m'a embrassé et m'a remercié. Elle a ensuite embrassé Jonathan,
puis elle lui a caressé la bite. Elle l'a ensuite laissé
venir sur elle et elle a pris sa bite entre ses seins, après
dix minutes, il jouissait sur elle. Son sperme s'est répandu
sur le cou, un peu sur la figure et les seins. Laetitia
l'a étalé sur elle, je lui ai ensuite caressé les seins
et je les ai embrassé, ils avaient encore l'odeur étonnante
de son amant, un mélange caractéristique, légèrement salé.
Après une journée tranquille, nous avons repris nos ébats
le soir et nous nous sommes endormis. Au milieu de la nuit,
je me suis réveillé, ils n'étaient plus là, mais j'entendais
leur souffle venant du salon. Je me suis levé et je suis
allé voir ce qui se passait. Jonathan prenait Laetitia en
levrette sur le canapé. Laetitia m'a souri lorsqu'elle m'a
vu. Je me suis approché, je les ai regardé et j'ai commencé
à caressé Laetitia. Je pouvais lui caresser la croupe, les
seins et j'en ai profité pour lui présenter ma bite qu'elle
a prise en bouche. Après quelques minutes, Jonathan a joui
et je me suis aussi vidé.
J'avais pris deux semaines de vacances et nous avons passé
notre temps à faire l'amour. Si au début nos ébats étaient
assez traditionnels, nous prenions Laetitia à tour de rôle,
avec le temps, nous avons évolué et nous avons exploré de
nouvelles formules. Nous avons notamment fait un sandwich,
c'est-à-dire que pendant que Laetitia était sur Jonathan,
j'ai l'ai prise par derrière, c'était étrange, je l'ai pénétré
lentement, puis lorsque j'ai été en elle, j'ai senti la
bite de Jonathan et lentement nous nous sommes mis à bouger,
pour moi, ce fut l'un des moments les plus intenses de ma
vie, j'étais sur Laetitia, je la tenais par les épaules,
je voyais ses épaules, sa nuque, ses mains qui tenaient
le lit et lentement nous bougions, alors que je sentais
les mouvements de Jonathan. Bizarrement, je me rappelle
des boucles d'oreilles qu'elle portait encore et de sa montre.
Comme si nous étions conscients que ce moment était particulier,
nous bougions lentement, toute notre concentration allait
vers le plaisir de l'autre. Je crois que je n'ai jamais
ressenti un tel instant de bonheur et ma jouissance a été
formidable. Nous n'avons pas souvent répété cette position,
Laetitia appréciant moyennement la voie annale.
Notre vie s'est ensuite installée dans cette relation à
trois. Jonathan s'est inscrit à l'université et est resté
chez nous. Notre relation à trois est devenu le centre de
notre vie. Lorsque je rentrais du travail, il m'arrivait
souvent de les trouver en train de faire l'amour, où, plus
souvent je les trouvais dans notre lit, en train de se reposer
après avoir l'amour. C'était pour moi un excitant formidable
et je me déshabillais immédiatement et je faisais l'amour
à Laetitia, qui était comblée. Nous faisions souvent l'amour.
Il arrivait certains soirs, alors que nous regardions la
tv, que Laetitia et Jonathan commencent soudain à s'embrasser,
puis à faire l'amour au salon devant moi. S'il arrivait
que je n'aie pas envie de les rejoindre lorsqu'ils commençaient,
je m'excitais de les voir faire l'amour et prendre du plaisir
et je prenais Laetitia juste après Jonathan, sans vrais
préliminaires, que j'adore pourtant. Laetitia était vraiment
comblée, si elle ne jouissait pas avec Jonathan, c'est avec
moi qu'elle prenait son plaisir et parfois avec les deux.
Nous dormions souvent tous les trois ensemble, parfois
Laetitia souhaitait passer la nuit uniquement avec moi et
d'autres fois elle me demandait d'aller dans la chambre
de Jonathan, alors qu'ils dormaient ensemble. J'étais parfois
un peu jaloux. Lorsque nous étions les trois ensemble, l'enjeu
consistait surtout à satisfaire Laetitia, par des caresses,
des baisers et en la prenant à tour de rôle. Avec Jonathan,
nous évitions de nous toucher, mais un soir, alors qu'il
prenait Laetitia et que je regardais sa bite aller et venir,
il est sorti de la chatte de mon épouse, comme ma bouche
se trouvait près de sa bite, je l'ai prise en bouche. La
sensation était étrange, le plus étonnant était la chaleur,
un sexe d'homme est chaud, ensuite c'est le goût, ce goût
caractéristique du sperme et des sécrétions de Laetitia.
La sensation était étrange, j'entendais mon cour battre,
je prenais du plaisir, sans vraiment en connaître la raison.
Étonnement, j'ai pris du plaisir et j'ai laissé Jonathan
venir en moi. Dès qu'il eu joui, Laetitia m'a embrassé,
comme pour partagé la semence de notre amant. Aussitôt Laetitia
a pris mon sexe en bouche, elle m'a caressé lentement, avec
amour. Elle a embrassé Jonathan et l'a incité à me prendre
à son tour en bouche. Il s'est lancé et à son tour il m'a
donné du plaisir. Ma relation avec Jonathan en est resté
là. C'est-à-dire que nous prenions de temps à autre du plaisir
à nous tailler une pipe, mais toujours dans le feu de l'action,
lorsque Laetitia était avec nous.
Après deux ans de vie commune, Jonathan a souhaité retourné
en Australie. Au début, nous étions heureux avec Laetitia,
car nous voulions avoir des enfants. Mais après deux semaines,
il nous manquait beaucoup, mais ne pouvions rien faire.
Cinq mois plus tard, Laetitia m'a demandé de prendre un
nouvel amant. J'étais un peu réticent, car la relation entre
Laetitia et Jonathan était devenue tellement forte que je
commençais à être jaloux. J'avais peur qu'elle s'attache
à un amant. En même temps, je me refusais à fréquenter un
club échangiste ou des endroits de ce type, je voulais une
relation sérieuse, pas des baises vulgaires. Nous ne voulions
pas non plus du premier venu et un jeune homme tel que Jonathan
nous convenais à tous deux. Nous nous sommes donc inscrit
dans l'ancienne école de langue de Jonathan pour héberger
de jeunes étranger en séjour dans notre pays.
Nous avons d'abord hébergé deux filles, nous ne voulions
rien tenter avec elles, d'une part nous cela ne nous intéressait
pas et d'autre part nous ne voulions pas risquer des problèmes
pour attentat à la pudeur sur des filles que nous hébergions.
Finalement, nous avons eu un jeune homme d'Allemagne, mais
qui ne nous convenait pas vraiment. C'est alors que l'école
nous a proposé d'héberger un jeune Suédois, Marcus. Il avait
18 ans, était très beau et Laetitia était sous le charme
et moi aussi. A nouveau, nous ne savions pas comment commencer
cette relation, nous avions peur d'un refus, peur qu'il
accepte d'aller avec Laetitia, mais ne soit attiré par une
relation à trois. Nous avons toutefois très vite constaté
que Laetitia ne le laissait pas indifférent. Et un soir,
nous avons décidé de nous lancer. Après avoir passé la soirée
ensemble à discuter, nous sommes allés dans nos chambres.
Laetitia s'est déshabillée et a passé un peignoir en soie
transparente. Elle n'avait gardé que sa montre. Nous nous
sommes embrassés et avons décidé d'attendre quelques minutes
avant qu'elle n'aille rejoindre Marcus. Nous étions tendus,
j'avais la gorge serrée et Laetitia regardait sa montre.
Puis elle s'est levée et est partie le rejoindre. Comme
deux ans et demi auparavant j'étais très anxieux et excité.
Nous avions convenu qu'elle coucherait avec lui et viendrait
me rejoindre ensuite. L'attente fut longue.
Elle m'a ensuite raconté leur première nuit. Elle est entrée
dans sa chambre et elle est allée s'assoire dans sur son
lit. Elle a discuté avec lui, elle était paralysée et ne
savait que faire, mais elle remarquait que lui aussi avait
le souffle coupé et ne pouvait pas vraiment lui parler.
Elle a hésité, le fait qu'il ne parle pas était-il l'absence
d'intérêt ou d'une excitation très forte. Il pouvait voir,
à travers le peignoir les seins de Laetitia et cela ne devait
pas le laisser indifférent. Comme ils étaient tous deux
paralysés, Laetitia ne savait pas comment se lancer. Puis
soudain, alors qu'ils ne se parlaient plus, elle s'est penchée
et l'a embrassé. Ce baiser a entièrement libéré Marcus,
qui lui a aussitôt caressé les seins et l'a couverte de
baisers. Laetitia s'est laissée faire, elle était encore
sous le coup de son audace et charmée par cet élan juvénile
et fébrile. Pendant près de trente minutes, il n'a cessé
de lui prodiguer des caresses, lui caressant le corps, mais
sans vraiment s'attarder sur son sexe. Laetitia était charmée,
elle était considérée comme une princesse. Mais elle voulait
aller plus loin, elle l'a donc embrassé et a pris les choses
en main. Après lui avoir caressé et embrassé le torse, elle
a lui caressé la bite à travers son short, elle a enlevé
son short et caressé la bite avec la main, puis a posé un
baiser sur son sexe dressé. Elle a alors repris la bite
en main et commencé un va et vient, mais après un mouvement,
Marcus a éjaculé. Laetitia était heureuse de l'effet produit,
mais un peu déçue qu'elle n'ait pas pu choisir le moment
où elle allait le faire jouir et surtout qu'il ne l'ait
pas prise. Elle lui a demandé s'il avait déjà fait l'amour
et il lui a répondu par la négative.
Laetitia était heureuse, elle allait pouvoir lui apprendre
les plaisirs de l'amour. Ils se sont embrassés et à nouveau
elle l'a laissée la caresser et l'embrasser. Il était très
doux et Laetitia était heureuse, pensant qu'il allait devenir
un amant parfait. Après trente minutes de caresses, il avait
repris de la vigueur et Laetitia lui a proposé qu'il la
prenne, comme il était puceau, elle l'a laissé couché sur
le dos, s'est mise sur lui, a pris sa bite en main pour
la guider en elle, mais dès qu'elle voulu descendre sur
ce beau sexe, il a éjaculé. Laetitia était un peu déçue,
elle était très excitée, surtout à l'idée d'initier un jeune
homme et d'avoir un nouvel amant. Elle est restée avec lui.
De mon côté, j'étais très impatient, je ne pouvais pas dormir.
Au milieu de la nuit, lorsqu'il s'est endormi, Laetitia
est venue me rejoindre. Elle était heureuse qu'elle ait
pu initier une relation, légèrement déçue des performances
de son amant, mais compréhensive. J'étais très excité et
nous avons aussitôt fait l'amour, Laetitia était tellement
heureuse de me retrouver que nous avons fait longuement
l'amour.
Le lendemain matin, j'ai demandé à Laetitia d'aller rejoindre
Marcus. Elle s'est levée, elle était entièrement nue et
très belle, j'ai eu du plaisir à l'observer de dos et à
la voir partir vers son nouvel amant. Elle a frappé et est
entrée dans sa chambre. Il était réveillé, elle est allé
le rejoindre dans son lit, après quelques caresses, elle
a pu constater qu'il bandait fortement et elle lui a demandé
de la prendre. Cette fois-ci, elle s'est couchée sur le
dos et lui a demandé de venir sur elle, comme il était maladroit,
elle lui a pris la bite et l'a guidé vers son foureau, mais
avant qu'il ne la pénètre, il avait débandé. Elle l'a embrassé,
caressé et fait comme si elle n'avait pas fait attention
à sa défaillance. Finalement, elle l'a légèrement masturbé
et il a éjaculé.
Elle est venue me rejoindre, un peu dépitée, mais heureuse
qu'elle ait au moins pu lui donner un peu de plaisir. Je
l'ai prise immédiatement et elle était prête à me recevoir.
Pendant près d'une semaine, elle est allée le rejoindre
chaque soir, mais elle n'est parvenue qu'à le faire jouir
avec ses mains. Pensant qu'il réagissait ainsi en raison
de scrupules à mon égard, elle lui a dit que j'étais au
courant et consentant et un matin que j'étais seul avec
lui, je lui ai dit que je ne voyais aucun inconvénient à
ce qu'il couche avec Laetitia. Et un soir, Laetitia est
parvenue à ce qu'il la pénètre, mais après trois va et vient,
il avait déjà joui. Un soir, alors que nous regardions tous
les trois la télévision, Laetitia m'a embrassé et a embrassé
Marcus. Ils se sont ensuite déshabillés et caressés, j'en
ai fait de même, puis j'ai pris Laetitia en levrette sur
le canapé. Marcus se masturbait, je me suis donc interrompu
et l'ai engagé à prendre Laetitia, il l'a pénétré, mais
très vite il a débandé. Ses va et viens se sont vites interrompus.
Laetitia s'est dégagée et l'a embrassé et nous sommes partis
tous les trois dans notre chambre. Après quelques caresses,
il bandait à nouveau. Pendant que je prenais Laetitia, il
se masturbait et a joui en éjaculant sur notre lit. Le lendemain
matin, j'ai encouragé Laetitia à s'occuper de lui et après
quelques caresses, il l'a pris en bouche et il s'est montré
très résistant et il a joui ainsi. Notre relation a continué
ainsi, Marcus était incapable de prendre Laetitia, il bandait,
parvenait parfois à quelques va et vient, mais rien de plus.
Le plus souvent, il jouissait lorsque Laetitia le masturbait
ou lui taillait une pipe, ou alors il venait entre ses seins.
Il adorait nous voir faire l'amour, il n'était jamais autant
excité que dans ces moments-là et son plus grand plaisir
était que Laetitia lui taille une pipe alors que je l'a
prenais. Souvent il couvrait Laetitia de sa semence alors
que je l'a prenais.
Il est resté six mois avec nous ainsi, puis, une fin d'après-midi,
alors qu'il revenait d'une après-midi avec des amis, il
est allé vers Laetitia, l'a embrassé, a commencé à lui faire
l'amour comme d'habitude, mais soudain il l'a pénétré, tout
en maintenant son érection. Il l'a baisé près de quarante
minutes, Laetitia a beaucoup joui, elle a eu trois orgasmes,
elle était surtout excitée par le fait que Marcus la pénétrait
sans difficulté, par cette situation nouvelle. Lorsque je
suis rentré du travail, il l'a prenait à nouveau, ils étaient
sur le canapé, il prenait Laetitia en levrette. J'ai été
étonné, puis je me suis réjoui de voir qu'il avait surmonté
ses difficultés. J'étais un peu jaloux, car il y avait une
sorte de plaisir à ce que mon épouse avait un amant qui
ne pouvait pas totalement la satisfaire. Dès ce jour et
pendant près de trois semaines, ils ont fait régulièrement
l'amour, il y avait chez eux comme une envie de rattraper
le temps perdu, je les trouvais presque tous les soirs en
train de baiser et j'existais à peine pour eux. Je commençais
d'avoir peur de perdre Laetitia. C'est à ce moment-là que
Marcus nous a annoncé qu'il avait une amie et qu'il nous
quittait en fin de semaine. Avant de partir, il m'a expliqué
qu'il avait été amoureux de Laetitia dès le premier jour
qu'il était arrivé chez nous, qu'il l'avait mise sur un
piédestal, pensant ne jamais pouvoir avoir une relation
avec une femme mariée et plus âgée que lui. Et que lorsqu'elle
s'était donnée à lui, il n'avait pas vraiment assumé le
passage de la femme idéalisée à la femme réelle, sexuelle
qui se donnait à lui. En fait, c'est le fait d'en aimer
une autre, de descendre Laetitia de sa statue de femme aimée
qui lui a permis de vivre sa sexualité sans problème.
Avec Laetitia, nous avons décidé de stopper nos aventures.
Au début, ce fut un peu difficile, nous éprouvions un manque,
puis nous avons des enfants et notre vie a changée.
Paul Nicolas.
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