TITRE : Naissance de Julie
Catégorie : 
Histoire Trans et Travesti

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Je suis d'origine eurasienne, de taille moyenne, les cheveux bruns très foncés avec des yeux noirs en amandes.

Jusqu'ici rien de bien anormal, au contraire. D'après les quelques aventures que j'ai eues je suis plutôt beau gosse. Le hic, c'est que pour un mec j'ai vraiment un physique de femme. Imaginez : je pèse 56 Kilos pour 1mètre 72 avec une pilosité quasi inexistante !!! Je chausse du 39 et mes mains sont longues et fines. Une vraie allure de femme.

Ces dernières me disent gentiment que j'ai un visage d'ange. Les mecs me traitent de gonzesse, voire d'avorton. Ce fut très dur à supporter lors de mon adolescence. J'en pris mon parti lorsque je devins étudiant.

Mes parents m'avaient loué un appartement pour que j'étudie tranquillement et pour que j'aie une certaine autonomie. Le problème, c'était que le soir je m'ennuyais à mourir entre ces quatre murs. J'avais bien des collègues d'études mais, du fait de mon physique, peu de véritables copains ou copines.

Aussi, à force de passer pour une femme aux yeux de tous, je décidai de faire le grand saut.

Est-ce que vraiment, je ressemblais tant que cela a une femme ? Il fallait que je vérifie. J'achetai quelques fringues féminines et me travestis en rentrant à l'appartement.

Ce furent des sensations extraordinaires. Pour la première fois je me trouvai beau, enfin... belle! Je crois que l'homme que j'étais était tombé amoureux de la femme qu'il contemplait dans le miroir.

Je ne pouvais dès lors, plus me passer de ces apparitions.

Après chaque fin de journée estudiantine, je fonçais faire les magasins pour étoffer et améliorer ma garde robe. Rapidement, je me retrouvai avec plusieurs paires de chaussures et différentes possibilités d'ensembles. Des produits de maquillage, une perruque et divers bijoux et accessoires venaient compléter la panoplie.

Chaque soir c'était le même cérémonial : je m'habillais avec mes nouvelles acquisitions, passais un long moment à me maquiller et finissais par une séance de masturbation devant le miroir de mon armoire murale.

Mes transformations devenaient de plus en plus réalistes, au point que j'en étais moi-même complètement bluffé. Je poussai le détail de manière extrême jusqu'à acheter des lunettes pour femme !!! (Adaptées à ma vue car je suis légèrement myope...)

Je faisais mes achats sans me travestir. Au pire, on me regardait avec un sourire en coin mais la plupart du temps on me traitait comme une jeune femme faisant ses emplettes.

Bien sûr, j'avais laissé mes gros godillots au placard et laissé mes cheveux quelque peu repousser. De ce fait, l'ambiguïté se faisait chaque jour plus forte et bientôt, lorsque je rentrais dans un magasin et qu'on me lançait des "Bonjour Mademoiselle !", cela me faisait jubiler...

Pourtant, je ne sortais jamais habillé en femme. Je ressentais une certaine angoisse à affronter le regard des autres. J'avais surtout la crainte que quelqu'un me reconnaisse et, dans cette ville étudiante de moyenne importance, qu'il me "grille" à la fac.

Aussi décidai-je de continuer mes expériences, tranquille, chez moi, le soir, après les révisions. J'achetai même un caméscope pour immortaliser mes meilleures transformations et les revoir sur mon magnétoscope. Cela me permettait également d'affiner et de retoucher certains détails sur mes manières, mes habits, mon maquillage.

L'année universitaire se déroula ainsi très vite et les premiers exams arrivèrent.

Je décidai de rester réviser dans mon appart pour ce week-end et de ne pas retourner comme d'habitude, chez mes parents. Cela me permettrait également de tester un nouvel ensemble acheté la veille.

Le samedi, je révisai donc jusqu'en milieu d'après-midi, puis je sortis faire quelques achats en vue d'une longue soirée de "transformation". J'achetai ainsi quelques bijoux de pacotilles, un sac à main, de la lingerie et un nouveau rouge à lèvres.

Une fois rentré, j'avalai rapidement un petit truc et filai à la douche pour me raser sous toutes les coutures... Ensuite commença la séance de maquillage, où je devenais de plus en plus expert et rapide. Cela me prit tout de même trois quarts d'heure. Plus difficile fut la mise en place de la perruque. Je l'avais choisie de ma couleur de cheveux, à savoir bruns très foncé. Les cheveux étaient raides et m'arrivaient jusqu'aux épaules.

Je choisis comme sous-vêtements un ensemble culotte soutien-gorge, noir et rose, en dentelle et satin. J'enfilai par-dessus un tailleur veste-pantalon noir avec de fines rayures blanches et complétai mon habillement par une paire d'escarpins à petits talons.

Un coup d'œil dans le miroir et... merde !!! J'avais oublié de me faire une poitrine ! Les bonnets du soutien-gorge furent aussitôt garnis par des préservatifs remplis d'eau. La touche finale était composée de longues boucles d'oreilles pendantes.

Wouaaaah ! Ce que je suis belle ! me dis-je en me regardant dans la glace. J'installai mon caméscope pour ne rien perdre de la soirée et pris ensuite un certain nombre de positions tout en me matant. Lorsque je fus bien excité, j'ouvris mon pantalon-tailleur jusqu'au bas des fesses. Ma petite verge gonflée jaillit automatiquement du petit bout de dentelle qui essayait de la maintenir. Je m'en emparai et commençai à me masturber. Que c'était bon !... J'en fermai les yeux de bonheur.

C'est au moment où je sentis venir mon éjaculation que j'entendis la porte d'entrée de l'appart s'ouvrir. Mon dieu ! J'avais oublié de la fermer à clé ! Heureusement, le couloir me cachait à la vue de l'intrus. En un quart de seconde je me relevai, rangeai mon bazar et remontai mon pantalon.

- Salut Seb, c'est m...

Je me retrouvai devant Alain, mon pote d'amphi à l'université. Celui-ci avait l'air aussi surpris que moi et restait bouche bée. Un long silence s'ensuivit avant qu'Alain ne prenne enfin la parole.

- Euh, excusez-moi, je suis bien chez Sébastien M... ?

Ouf ! Ce con ne m'avait pas reconnu ! Je pouvais peut-être m'en sortir en la jouant finement. Je pris ma voix la plus fluette et lui répondis :

- Je suis sa petite amie. Seb est rentré chez ses parents et m'a prêté son appart ce week-end pour réviser au calme.

- Désolé pour l'intrusion, mais j'ai frappé à la porte et personne n'a répondu. J'ai vérifié à tout hasard si la porte était fermé et voilà comment je suis entré.

- Ce n'est pas grave, je dirai à Sébastien que tu es passé.

Tout en parlant, je sentis Alain, dragueur invétéré, me reluquer de la tête aux pieds.

- Ok... Euh... Tu sais, Seb ne m'a jamais parlé de toi et c'est bien dommage. Mais je le comprends... Si j'avais une amie aussi jolie, je n'en parlerais pas aux copains. Au fait c'est quoi ton prénom ?

Putain, ça y est, voilà qu'il me faisait un plan drague ! Comment allais-je m'en sortir ?

- Euh... Julie ! Mon prénom, c'est Julie.

- Un bien joli prénom pour une belle demoiselle... Dommage que Seb ne soit pas là, il fallait que je lui demande un truc pour les exams. Bon... eh bien dis-lui que je le verrai lundi, à la bibliothèque. Ravi de t'avoir rencontrée...

Je n'y croyais pas ! J'avais réussi à m'en sortir, ouf ! Vite, je m'empressai de le raccompagner à la porte, où il voulut me faire la bise. Sensation étrange que de faire des bises à son copain de fac...

Je refermai la porte et, cette fois, la verrouillai.

Ah là là, quel stress ! J'en avais des suées sous ma perruque. A peine avais-je réussi à restaurer un rythme cardiaque normal, que quelqu'un frappait à la porte.

Oh non c'est pas vrai !... Qui cela pouvait-il être ?

La réponse fut rapide : une voix traversa la porte :

- Julie ? C'est moi Alain. J'ai oublié de te dire un truc.

Qu'est-ce qu'il vient encore m'embêter celui-là ?! J'espère qu'il ne veut pas me draguer, sinon je vais être dans de beaux draps.

Bon, me dis-je. Je lui ouvre, prends le message et le fous dehors !!!

Dès la porte ouverte, je constatai que ce ne serait pas si facile. Alain s'invita à entrer et ferma la porte derrière lui. Il me regarda alors avec un sourire malicieux puis s'installa dans le canapé.

- J'ai envie d'une bière...

Il ne s'emmerde pas celui-là ! Je ne suis pas sa boniche.

- Heu... J'ai pas le temps de boire un verre avec toi, il faut que je révise moi aussi mes exams, répondis-je. On boira un verre une prochaine fois, si cela ne te dérange pas ?

Toujours aussi souriant, Alain me lança :

- Cherche-moi une bière...

Je restai ébahi un moment puis essayai un timide :

- Mais pour qui tu te prends ?

Sa réponse me coupa le souffle.

- Et toi... Julie ? Ou devrais-je dire... Seb...?

Je faillis m'évanouir et il me fallut quelques secondes pour récupérer mon souffle. Alain continuait à me regarder avec un sourire espiègle.

Ne sachant que faire, mort de honte, je le suppliai et partis dans une explication vaseuse.

- Euh... Ecoute, Alain. Je ne suis pas homosexuel, c'est juste qu'il m'arrive de m'habiller en femme. Cela m'excite et...

- Moi aussi !!! me coupa-t-il. T'es bien fringué, et finalement tu ne t'en sors pas mal en gonzesse. Si tu n'avais pas gardé ta montre je ne t'aurais pas reconnu.

Mais quel con !!! J'avais effectivement oublié d'enlever ma montre. Avec un peu plus d'assurance je lui lançai :

- Bon, bouge pas, prends une bière au frigo, je me change et on en parle ensuite.

- Surtout ne te change pas ! me dit-il d'une voix douce. Tu restes comme tu es et on en parle tout de suite.

- Ok, comme tu veux, lui répondis-je, un peu inquiet. Je voulais juste dire que...

- Tu aimes t'habiller en femme au point que tu te filmes dans cette tenue. C'est ok pour moi, je te trouve d'ailleurs très bandante... J'avais déjà repéré ton côté féminin à la fac, mais là c'est vraiment saisissant.

- Tu trouves ? avançai-je prudemment.

- Ouais ! T'es vraiment superbe et sache que tu m'excites beaucoup. Tu veux pas me chercher une bière ? J'ai un peu chaud...

Je me levai, encore honteux d'être ainsi découvert. Je me dirigeai vers la cuisine pour récupérer une bière dans le frigo quand...

- Ça alors !!! entendis-je. Une véritable caverne d'Ali Baba !

Je retrouvai Alain le nez dans l'armoire de la chambre. Il sortait tous mes habits de femme et faisait sur chacun un commentaire salace.

- T'en as combien comme ça ? Ça fait longtemps que tu te travestis ?

Alain me posa ainsi de nombreuses questions, tout en sirotant sa bière. Il avait fait le tour de ma garde-robe. La conversation me rassura un peu.

On quitta la chambre tout en continuant à discuter de mes préférences vestimentaires ainsi que de mes techniques de maquillage.

Je me sentais de mieux en mieux. Le choc était passé. Alain s'était assis à nouveau dans le canapé et je lui faisais face dans le fauteuil. Il sirotait tranquillement sa bière tout en écoutant attentivement mes explications.

Je lui racontai mes premières transformations, ma gêne lors des premiers achats, pourquoi j'aimais cela... Oubliant que j'étais toujours travesti, en tailleur-pantalon, avec mon meilleur ami, je devenais un véritable moulin à paroles. Je dus le saouler, car Alain semblait ne plus m'écouter. Son regard était fixé sur moi, mais je n'avais pas vraiment l'impression que mes paroles l'intéressaient. Au bout d'un certain temps, alors que j'étais toujours en plein monologue, Alain descendit lentement sa main vers sa braguette. Il l'ouvrit délicatement, sortit un chibre turgescent et doucement se mit à se masturber.

Complètement interloqué, je lui demandai:

- Mais... Alain ! Ça ne va pas ?

- Si, si. Continue, je t'écoute.

- ...

Je restai bouche bée, choqué par le geste d'Alain.

- Bon, apparemment tu n'as plus rien à me dire, alors... que dirais-tu de me faire une bonne petite pipe !

- Qu...oi ? T'es malade !!!

- Moi ? Non. Pourquoi ? J'ai une superbe nana en face de moi, qui m'invite à boire une bière, qui me parle fringues et me fait bander. Je tente donc ma chance, normal, non?

- Arrête, Alain, tu me fais peur. Je suis pas une nana, c'est moi Seb !

- Dorénavant, et si tu le veux bien, tu seras Julie, ma petite pute. Ça te plaît comme prénom ?

- Heu... Oui, c'est joli...

- Bon, alors t'es d'accord pour me sucer ?

- Mais je ne l'ai jamais fait ! Et puis...

- Tu vas voir, c'est facile... Et puis tu en meurs d'envie et moi aussi !

Alain se leva d'un bond et, avant que je puisse effectuer le moindre geste, se planta devant moi. Il attrapa l'arrière de mon crâne et le ramena vers son sexe dressé.

J'en étais à quelques millimètres, tellement près que je pouvais sentir son odeur légèrement âcre. Je ne savais plus que faire. Sa pression sur le haut de ma nuque se faisait de plus en plus forte. Son sexe se dressait devant moi et vint heurter mon nez, puis mes lèvres.

Mon dieu, non ! Il était énorme. Je détournai les yeux, à la recherche d'une excuse de dernière seconde. Je m'aperçus alors dans les grandes portes miroirs de l'armoire murale du salon. Ce que je vis fut fantastique : moi, ou plutôt une belle brunette BCBG, assise face à un mec qui allait lui empaler la bouche.

L'effet sur moi fut immédiat. Je bandai instantanément. Heureusement j'étais assis, Alain ne pouvait le remarquer...

Sa queue se faisait toujours plus pressante. J'étais tiraillé entre le côté monstrueux de ce qu'on allait faire et l'excitation de la scène. N'était-ce pas là le fantasme que j'espérais depuis que je m'habillais en femme ?

Son sexe butait maintenant régulièrement sur mes lèvres et mes dents. Ma résistance ne faisait que renforcer son excitation et son impatience.

- Arrête de faire ta vierge effarouchée !... Tu vas me la sucer, salope ?!

Je jetai un œil vers le miroir mural et décidai d'aller au bout de l'expérience. Après tout je pouvais être fière d'être désirée par un homme, cela prouvait que j'étais belle. De plus, Alain était réputé pour ses conquêtes. C'était un beau garçon. Je desserrai les dents, mes instincts et mes envies secrètes ayant finalement pris le dessus...

A peine ma bouche fut-elle entrouverte que son sexe y pénétra violemment. Manquant de m'étouffer, j'essayai de me reculer. En vain. Alain me tenait toujours fermement la tête.

Il enfonça son sexe aussi loin que possible. J'allais vomir quand d'un coup sa queue se retira.

En relevant les yeux vers Alain, je le vis surexcité. Il me dit :

- Alors tu vois, petite garce ! C'est pas la mer à boire !!! Allez, ouvre, qu'on s'amuse un peu.

Complètement déboussolé, je m'exécutai. Une fois de plus son sexe s'imposa dans ma cavité buccale. Puis Alain entama un mouvement de va-et-vient, prenant ma bouche pour un sexe féminin. Toutes les deux secondes, j'avais l'impression qu'on voulait m'étouffer.

- Ouvre ta bouche, tu me fais mal avec tes dents.

J'obéis. Il m'avait anéanti, je sentais maintenant que j'obéirais à tout ce qu'il me demanderait. Je continuais à nous regarder dans la glace et je trouvais le spectacle très excitant.

Je me sentais belle, fragile et surtout femme. Tout ce dont je rêvais depuis des mois. Et c'était Alain qui me le faisait découvrir. A sa façon, certes, mais je devinai que je lui devais beaucoup.

Aussi y mis-je un peu du mien.

Petit à petit ma langue tourna autour du gland. C'était difficile, car Alain continuait à me défoncer la mâchoire. Cependant, il perçut mes efforts et relâcha son étreinte sur ma nuque. Lentement, délicatement j'embrassai ce sexe fièrement dressé.

J'essayai de me rappeler ce que j'avais vu dans certains films pornos. Je serrai la trique entre mes lèvres tout en parcourant les bords du gland avec la langue, massant les testicules en même temps.

Après l'avoir bien léché, je le pompai avidement jusqu'à en avoir des crampes aux joues. De temps en temps, je prenais du repos, en le branlant doucement, délaissant sa queue pour lui lécher délicatement les couilles. Il avait l'air d'aimer ça, malgré ma maladresse de débutant. Cette fois-ci c'est moi qui menais la danse. J'allais et venais, doucement, en faisant attention que mes dents ne le blessent pas.

- Mais on dirait que tu y prends goût ! T'es vraiment qu'une grosse pute sous tes airs de bourgeoise !

Devant ces "encouragements" et pour lui faire plaisir, j'essayai d'enfoncer son pénis le plus loin possible dans la bouche. Un haut-le-cœur me rappela rapidement que c'était la première fois et qu'il fallait que je m'habitue. Je me forçai tant bien que mal et, peu à peu, pompai sur un rythme soutenu.

Un regard dans le miroir me renvoya l'image d'une véritable chienne en chaleur. J'étais excité au plus haut point. Au milieu des respirations saccadées et des bruits de succion, j'entendis les premiers gémissements d'Alain. Le sentant au bout, je le masturbai encore plus vite en accompagnant ma bouche de ma main.

Soudain il me repoussa violemment dans le fauteuil, attrapa son sexe, se masturba énergiquement tout me reprenant la nuque.

- Ouvre la bouche et tire la langue, pétasse !!!

Je m'exécutai, sachant trop bien ce qui allait se passer. La bouche grande ouverte, les yeux fermés derrière mes lunettes, j'attendis l'explosion. Avec un râle profond, Alain m'éjacula en pleine face. Cela devait faire un moment qu'il n'avait pas fait l'amour car ce fut un véritable raz-de-marée. Une première giclée éclaboussa mon visage par un liquide chaud et visqueux. La deuxième vint remplir le fond de ma gorge, au point que je ne pus déglutir.

Par réflexe, je recrachai la semence.

Enfin la troisième giclée vint s'échouer sur mon cou et le haut de ma chemise. J'ouvris les yeux mais tout était flou. Alain avait complètement souillé mes lunettes. Je commençais à les retirer quand il me dit :

- Tu vas maintenant nettoyer ma queue.

Je n'avais jamais goûté à du sperme. Pour une première, j'étais verni ! Je repris son sexe et le léchai sous toutes les coutures.

- Avale !

Je dus ainsi ingurgiter tout ce que je nettoyais. Le goût était étrange, ni désagréable ni inoubliable. Il ressemblait à du blanc d'œuf cru, légèrement poivré. Dès que j'eus terminé de nettoyer le sexe d'Alain, celui-ci le souilla à nouveau en récupérant sa semence sur mon visage maculé. Au bout d'un moment et à force de la lécher, je vis sa queue se dresser à nouveau.

Une peur subite m'envahit : et maintenant, qu'est-ce qui va se passer ?


Alain lut dans mes pensées, car il rentra son sexe derrière sa braguette, me prit par le menton et me dit :

-T'as été à la hauteur ma petite Julie. C'était une super pipe, tu m'as véritablement vidé les couilles et je crois que je n'ai jamais déchargé comme ça. C'est super bandant de se faire pomper par toi. On va faire de grandes choses ensemble. Je passerai te voir demain.


Et il partit aussi rapidement qu'il avait rangé son bazar, me laissant perplexe, assis dans mon fauteuil .

Je gambergeai longuement sur ce qui venait de se produire. Alain m'avait un peu poussé mais finalement cela m'avait plu. Au contraire, je ne m'étais jamais sentie aussi femme et cela me confirmait qu'on m'avait attribué le mauvais sexe à la naissance.

En regardant à nouveau dans le miroir, je revis celle qui, il y a quelques instants encore, suçait furieusement une queue. Malgré le sperme qui tachait mes vêtements et collait certaines mèches de ma perruque, malgré mon maquillage défait et mon rouge à lèvres qui débordait de partout, je me trouvai carrément bonne...

Toutefois je m'interrogeais sur le futur et me demandais comment allait évoluer cette situation.

Les dernières paroles d'Alain avant qu'il ne parte, me laissaient perplexe. Je pouvais enfin assouvir mon besoin d'être une femme et avec un beau mec en plus.

Mais où cela pouvait-il m'entraîner ? Je n'étais pas une femme et Alain les aimait beaucoup. Qu'allait-il faire ?

Je décidai de ne pas trop y penser, histoire de ne pas paniquer et me dirigeai vers la douche...

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