Quand j'ai décroché ce nouveau boulot de responsable des
ventes, j'ai vite compris qu'il fallait aussi s'adapter
à de nouveaux horaires de travail. Fini le train-train de
rentrer chez soi à 17h. Ce n'était pas à un point où je
risquais de me faire bouffer les loisirs par le boulot,
mais toutes mes fins d'après-midi que j'utilisais pour bricoler
chez moi, ranger, nettoyer, faire des courses, traîner,
toutes ces fins d'après-midi disparaissaient. Il fallait
s'organiser autrement.
J'ai pris contact avec une association dont le rôle était
de mettre en rapport de futurs employeurs avec des employés
potentiels pour des tâches ménagères, de l'assistance à
domicile, etc. Une femme de ménage un après-midi par semaine
? Oui, c'était possible. Quand ça ? Au plus vite. Qui ça
? Une certaine Nadia N. Est-ce ça m'allait ? Ben oui, pourquoi
ça ne m'irait pas ? Rendez-vous pour le mardi suivant, vers
19H, pour régler les détails ? Ok, affaire conclue.
En entendant la sonnette le mardi en question, j'ouvre
la porte sans aucune idée de à quoi ressemble ladite Nadia
: le dossier ne m'étant pas encore parvenu, je n'ai pas
vu de photo d'elle. Derrière la porte, la surprise est plutôt
agréable : une charmante beurette m'attend, un sourire aux
lèvres. Âgée de 25-30 ans, un visage clair et lumineux,
des traits fins, et des yeux verts en amande qui pétillent.
Une impressionnante chevelure brune, qui cascade plus bas
que ces épaules. Une peau doucement cuivrée. Et, je le remarque
pratiquement au premier coup d'œil, une impressionnante
poitrine.
- Vous êtes Mademoiselle N ?
- Et toi, tu es André !
Alors que j'avance la main pour serrer la sienne, elle
s'avance pour me claquer la bise. Bon, on va pas se plaindre,
c'est plus sympa, elle a des joues douces et toniques, et
il va falloir que je me mette à l'unisson de sa décontraction.
On fait le tour de l'appartement, pour lui présenter les
tâches ménagères à réaliser, lui montrer où sont rangées
les choses, bref lui présenter le boulot. Elle, toujours
aussi décontractée, on a presque l'impression qu'elle est
déjà un peu chez elle. Moi un peu décontenancé. En partie
par son postérieur d'ailleurs. Elle a un cul assez sympa,
bien moulé dans son jean, de proportions amples, mais pas
trop. Et toujours cette opulente poitrine. Je ne peux m'empêcher
de lutiner l'une et l'autre en me déplaçant dans l'appartement
avec elle. Pas très discrètement sans doute : un petit sourire
et un regard en coin de la miss me fait comprendre qu'elle
a capté mes incessants coups d'œil.
- OK pour commencer début septembre ?
- Pourquoi pas dès lundi prochain ?
- Oui, pourquoi pas ?
La voilà repartie les clefs en poche : elle est engagée,
sur la foi des très bonnes recommandations de ladite association,
et de l'excellente impression qu'elle m'a faite. Je regrette
seulement que ses horaires de travail soient peu compatibles
avec les miens : j'aurais été ravi d'être à la maison quand
Nadia viendra y travailler, on ne rencontre pas tous les
jours une si jolie brune, mais vraiment ça ne colle pas.
Je propose juste à Nadia de passer le premier lundi soir,
à la fin de son temps de travail, pour voir comment elle
s'en sort et faire le point.
Le lundi, avant même de rentrer dans l'appartement, je
sais que Nadia doit y être : la radio, qu'elle a dû mettre
à fond pendant qu'elle passait l'aspirateur, s'entend de
l'autre côté de la porte. Pas la peine de sonner pour la
prévenir de mon arrivée, elle n'entendra rien. J'entre donc
sans prévenir, elle ne m'entend pas rentrer, et le spectacle
qui m'attend me laisse bouche bée.
De l'entrée, je peux voir Nadia dans le salon, en train
de faire le repassage. Rien d'original à cela sauf qu'elle
le fait en sous-vêtements... Un magnifique ensemble, composé
d'un shorty fuschia en soie, et du soutien-gorge assorti.
Et pour moi, une vue imprenable sur ses magnifiques fesses,
et sa poitrine plus que remarquable, un 95C au moins. J'en
reste tout bête à la regarder, impressionné, ébloui. Il
y a plusieurs secondes avant qu'elle ne remarque ma présence.
Elle sursaute alors, pousse une sorte de cri, et se jette
sur ses vêtements qui traînent à côté d'elle, sur le canapé.
- Excuse-moi, bredouille-t-elle, je suis désolée....
- Bonjour, Nadia !
- Bonjour, André. Je suis désolée, répète-t-elle en se
rhabillant à toute vitesse. Elle semble troublée, elle a
toutes les peines du monde à se rhabiller calmement.
Elle finit par s'expliquer :
- Il y a une telle canicule ce mois d'août, j'étais déjà
en sueur après l'aspirateur, j'ai préféré me mettre à l'aise
pour repasser, avec la chaleur du fer c'est insupportable,
tu comprends ?
Bien sur, je comprends. Et je ne vais pas me plaindre.
Au contraire. Je suis arrivé trop tôt, sans prévenir, j'ai
dû la surprendre, mais cette image de Nadia dans son ensemble
fuschia va rester pour longtemps gravé dans ma mémoire.
Elle part peu après, mais ma décision est immédiatement
prise : je passerai la semaine suivante revoir la surprenante
Nadia. Toute la semaine je guette la météo : pourvu que
la canicule ne faiblisse pas ! Qui sait si avec une telle
chaleur...
Le lundi suivant, la canicule est toujours là, et je ne
suis pas déçu en ouvrant la porte de l'appartement. La belle
est là, de nouveau en sous-vêtements, pas surprise cette
fois, plutôt souriante en me regardant pénétrer dans la
pièce. Adorable dans un ensemble en dentelles noires, craquante
à la folie, avec ses superbes formes si bien mises en valeur.
- Attends, je me rhabille, me glisse-t-elle, j'ai presque
fini le repassage.
Je me dépêche de la convaincre de n'en rien faire, et de
terminer en cette tenue. Je m'assois donc pour la regarder
terminer le repassage, et je suis comme au spectacle. En
s'agitant ses seins se trémoussent sous la dentelle, c'est
très animé dans son soutif. J'ai une envie d'aller calmer
ces 2 animaux rebelles qui s'agitent... Sans parler de ses
fesses qui elles aussi bougent pendant que son bras s'active
sur la planche à repasser : un vrai spectacle ! Le plus
sexy des spectacles !
Malheureusement, je vois le tas de linge à repasser fondre
à vue d'œil. Elle a bientôt fini, range le linge dans
mon armoire, et se rhabille. J'en ai pris plein les yeux,
mais le spectacle aurait pu durer des heures que je ne m'en
serais pas lassé. Une érection tenace m'a accompagné tout
le long de ma contemplation des formes de Nadia. Peu après
elle rassemble ses affaires, et m'annonce qu'ayant fini
son travail, elle va partir. J'ai beau essayer de la convaincre
de rester à prendre un verre, ou de se voir un autre soir
en ville, impossible : ce soir elle est pressée, et elle
a une semaine très chargée. Pourquoi pas une autre fois
?
Autant dire que la semaine suivante est longue. Je ne cesse
de penser à elle, de rêver à elle, de fantasmer sur elle.
Je rêve de la revoir au plus vite, bien sûr, mais aussi
d'en savoir plus sur elle. Est-elle cette ingénue encore
qu'elle prétend être ? Ou alors me mène-t-elle en bateau,
en jouant à échauffer mes sens ? Mais dans ce cas-là, pourquoi
? Elle semble par ailleurs se dérober. Je suis en tout cas
fou de sa lingerie, fou d'elle dans sa lingerie, et peut-être
tout simplement en train de devenir fou d'elle tout court.
Autre chose me trouble cette semaine-là. C'est vrai, je
suis un grand admirateur de lingerie féminine. Mais je suis
aussi un très gros amateur de lingerie masculine. J'ai une
quantité de sous-vêtements inouïe : slip, boxer, strings...
J'en achète pas mal, souvent assez cher, j'ai plusieurs
catalogues spécialisés ; j'achète souvent dans des magasins
pour les gays, car c'est vraiment là qu'on trouve les plus
belles pièces. Mais cette semaine-là, je suis troublé :
deux de mes sous-vêtements ont disparu : un de mes boxers
préférés, tout en résille, et un assez beau string, tout
noir éclatant, assez doux au toucher. Deux très belles pièces
donc. La demoiselle visiblement adore soigner sa lingerie.
Aurait-elle une même passion pour la lingerie masculine
? A-t-elle fait main basse sur une partie de ma collection
? Tout cela est bien curieux.
Le lundi suivant j'essaye de quitter le plus tôt possible
le bureau, mais malheureusement je ne peux pas partir aussi
tôt que prévu. En arrivant chez moi, j'essaye de rentrer
le plus discrètement possible dans l'appartement pour la
surprendre. Mais la surprise est pour moi. Et la déception
aussi : Nadia a perdu sa bonne habitude de vaquer à son
travail en tenue légère, elle est en train de laver les
carreaux dans une tenue nettement moins sexy : pantalon
de toile blanche légère, et T-shirt. J'essaye d'engager
la conversation du ton le plus neutre possible :
- Alors, pas de repassage, aujourd'hui ?
- Mais si, j'ai fait ça en arrivant. Pourquoi ?
- Pour rien...
- Ça ne va pas ?
- Si, si, ça va....
Elle doit pourtant deviner pourquoi je suis déçu et bougon...
Je poursuis :
- Dis-moi Nadia, depuis que tu mets le nez dans mon armoire
à linge, je n'y retrouve plus mes petits
- Ah bon ? Quel est le problème ?
- Je crois qu'il me manque des fringues. Tu vois ce que
je veux dire ?
- Euh... en fait, non, je ne vois pas. Tout y est, tout
est rangé comme c'était avant que tu viennes.
- Laisse tomber, on en reparlera.
Les dernières minutes où elle est là ne me permettent pas
de me calmer. Je remarque qu'elle a en fait un string très
foncé sous son pantalon, qui est particulièrement visible.
Beaucoup de femmes adorent que l'on voit leur string en
transparence sous leur pantalon : elles savent que c'est
un grand plaisir pour les yeux des hommes.... Mais là, à
ce point, c'est presque de la provocation. Une provocation
tout spécialement à mon égard ? Peut-être. Mais je suis
trop énervé pour en profiter.
La semaine suivante est une succession d'interrogation
pour moi. La question de base étant : à quoi joue-t-elle
? Cherche-t-elle à m'allumer ? Et alors, pourquoi me faire
le coup de la douche écossaise ? Que veut-elle ? Que veut-elle
de moi ? Quand arrive le lundi, je suis décidé à agir. Plus
question de me laisser mener en bateau par la belle. Si
elle cherche à m'allumer, il faudra qu'elle éteigne le feu.
Sinon, il faudra bien mettre les choses au point. Par ailleurs,
je vérifie mon armoire à linge : le boxer et le string sont
de nouveau là. Je n'ai pourtant pas rêvé...
J'arrive à l'appartement le lundi soir avec un sac à la
main. Je suis passé en vitesse acheter un petit quelque
chose dans une boutique qui devrait plaire à Nadia. J'entre
dans l'appart : cette fois de nouveau Nadia est normalement
habillée, avec un chemisier blanc en coton porté très près
du corps, et un pantalon bleu marine. Elle remarque tout
de suite le sac que je tiens à la main :
- Waouh ! Tu as fait des courses chez O. ?
- Tu connais ?
- Oui, c'est une super boutique pour la lingerie. J'adore
! J'y vais de temps en temps pour regarder. Essayer aussi
parfois. Mais je n'achète pas. Trop cher ! C'est pour ta
copine ? Tu la gâtes !
- Je n'ai pas de copine. Et c'est pour toi, peut-être.
- Pour moi ? Super ! Mais pourquoi peut-être seulement
?
- Je te le donne si tu acceptes de jouer le jeu de la vérité
avec moi. Je te poserai trois questions, si tu acceptes
de répondre franchement aux trois questions, ce qui est
dans le sac est pour toi.
Nadia réfléchit. Ce qui est dans le sac lui fait a priori
très envie, mais elle a peur de perdre le contrôle de ce
jeu.
- D'accord, me dit-elle. Mais moi aussi j'aurai le droit
de poser trois questions.
Je m'assois sur le canapé, elle s'assoit à côté de moi.
Nous sommes proches, mais nous ne touchons pas. Je suis
étrangement détendu. Je lui pose ma première question :
- C'est toi qui as emporté chez toi mon string et mon boxer
résille ?
Elle pose elle aussi sa question avant de répondre à la
mienne.
- Tu le portes sur toi aujourd'hui, ce fameux boxer résille
?
Je suis surpris par sa question, mais je réponds immédiatement,
très tranquillement. Elle me répond aussi du tac au tac.
- Oui.
- Oui.
Nous attaquons immédiatement le deuxième jeu de questions
:
- Il y a deux semaines, ce n'était pas à cause de la canicule
que je t'ai trouvée en sous-vêtements ?
- C'était une surprise agréable ?
Je réponds, rapidement, elle aussi
- Oui, très agréable, et bien plus que ça.
- Non, bien sûr que ce n'était pas à cause de la canicule.
Je poursuis immédiatement :
- Tu aimes que les hommes te regardent en sous-vêtements
?
- Tu t'es senti pris à mon piège ?
- Oui, un peu pris au piège, il y a de ça, suis-je obligé
de reconnaître.
- Oui, j'adore qu'on me regarde, me répond-elle.
Je sors du sac O. un paquet-cadeau, que je lui remets en
lui faisant la bise, et en lui confirmant qu'elle l'a bien
mérité. Elle me demande si elle peut l'ouvrir tout de suite,
je lui confirme que oui, elle est toute émoustillée, ravie,
et elle l'ouvre devant moi.
Je lui ai choisi un petit ensemble dans des tons bleu et
vert pastel, décorés de fleurs et de feuilles. Dans un tissu
synthétique, mais super agréable au toucher, presque de
la soie. Et surtout l'arrière du slip est très transparent
! Nadia est ravie. Elle pose la culotte et le soutien-gorge
contre elle pour en voir l'effet, et finit par me demander
:
- Je peux essayer tout de suite ?
- Bien sûr !
Evidemment, je n'attends que ça. Elle va dans la salle
de bains et s'enferme. Je suis super impatient, j'ai l'impression
qu'elle y passe des heures. Elle finit par en ressortir...
complètement rhabillée ! Elle se rassoit à côté de moi.
Elle doit voir ma mine déconfite, car elle éclate de rire.
Elle finit par me dire :
- Il est super. Mignon comme tout, très doux à porter.
Et parfaitement à ma taille : tu dois avoir mes mensurations
en tête ! Ça m'a tellement plus, je l'ai gardé sur moi.
Encore une fois, merci pour le cadeau, ça me va très bien.
Mais toi, ça n'a pas l'air d'aller.
- Si, si, ça va. Enfin non, ça ne va pas.
- Qu'est-ce qui ne va pas ?
- Mais enfin Nadia, tu t'en doutes : en t'offrant un tel
ensemble, je pensais que tu l'essaierais immédiatement,
mais je pensais évidemment que tu accepterais de me montrer
ce que ça donne sur toi.
- Ah ouiiii, s'exclame-t-elle. Pas de problème, je vais
faire ça pour toi, André. Mais avant, il faut accepter de
jouer à mon jeu de la vérité. Il n'y aura qu'une question,
mais toi aussi tu pourras en poser une.
Je ne vois pas de raison de refuser. Jusque là ce jeu de
la vérité m'a plutôt bien réussi.
- D'accord.
- Tu t'es branlé en pensant à moi ces derniers temps, me
demande-t-elle ?
- Et toi, tu t'es caressée en pensant à moi ?
- Oui bien sûr, lui réponds-je. Plusieurs fois. C'était
très intense. L'image de toi en culotte et soutif était
très forte dans mon cerveau. Pas besoin de photo de toi
pour que ça soit un grand moment.
- Moi aussi je me suis caressée en pensant à toi. Je frottais
ton boxer ou ton string contre mon sexe, et j'atteignais
vite l'orgasme.
Elle me regarde droit dans les yeux. Elle doit être émue,
excitée, ses joues ont rougi. Elle me dit :
- Eh bien, je crois que tu as gagné le droit d'ouvrir mon
chemisier et de regarder...
Nadia s'est mise bien droite sur le canapé, presque cambrée,
les bras le long du buste. Son chemisier ferme par des pressions,
faciles et rapides à ouvrir, mais je prends tout mon temps.
J'écarte les deux pans du chemisier pour mieux voir. Je
vois la poitrine de Nadia se soulever, elle respire vite
et fort. C'est magique à voir, cette poitrine gonflée qui
se soulève, si imposante, si joliment enrobée. Nadia finit
d'enlever son chemisier, elle est buste dressé à côté de
moi, tous deux assis sur le canapé. Je me rapproche d'elle,
et lui chuchote à l'oreille :
- Ils sont magnifiques. J'adore voir ça. Je peux toucher
aussi ?
Nadia me répond d'une voix douce que oui, elle n'attend
que ça. Elle rajoute :
- Mes seins, c'est mon point sensible...
Le soutien-gorge de Nadia est parfait à caresser. La matière
idéale au contact, la main glisse dessus, et c'est si bien
rempli, la forme harmonieuse, la texture doucement élastique.
Nos lèvres se rejoignent, et nous échangeons un baiser à
tomber par terre ; sa langue est incroyablement active contre
la mienne. Elle me chuchote à l'oreille qu'elle est hyper
excitée, mais ça n'est pas un secret pour moi, je sens que
les pointes de seins sont gonflées et durcies. De mon côté,
mon sexe est aussi très gonflé, à l'étroit dans le pantalon.
Mes mains passent derrière son dos pour détacher l'agrafe.
Pas pour retirer ce merveilleux soutien-gorge, non, juste
pour dégager un passage pour mes doigts entre le tissu et
les tétons. La caresse est plus précise, et encore plus
agréable pour moi à donner, avec l'excitation d'avoir un
contact à la fois avec le téton et le tissu. Je joue avec
ses pointes, je les cajole, les serre doucement, les excite
; Nadia soupire, respire fort. Elle finit par me dire :
- Tu ne voulais pas voir la culotte ?
- Si, bien sûr...
Nadia se lève, elle enlève son soutien- gorge, dégage ses
sandales, et laisse tomber son pantalon par terre. Elle
me regarde très fière, debout devant moi :
- Elle te plaît, cette culotte ? Moi, je l'aime bien.
- Forcément, je l'aime. Surtout qu'il y a tes fesses dedans.
- Elles te plaisent, mes fesses ?
- Viens là que je les voie de plus près avant de te répondre.
Elle se rapproche de moi qui suis assis sur le canapé,
elle debout, ses fesses à portée de mes mains. Quel cul
! Cette culotte quasi transparente était une idée de génie,
et ce tissu, on dirait qu'il est fait pour qu'une main soit
en permanence à caresser cette croupe. Elle a l'air d'aimer
ces mains sur elle, mais elle se dégage pour me dire, un
sourire aux lèvres :
- Moi aussi, j'aimerais te voir juste avec ton boxer.
Elle se penche sur moi pour m'enlever mon polo. J'en profite
pour flatter du bout de la langue un sein qui passe par
là. Puis elle se met à genoux devant moi, m'enlève mes chaussures
et chaussettes, bientôt s'attaque à ma ceinture et entreprend
de déboutonner mon pantalon. Je lui fais remarquer :
- C'est un rêve pour moi ! Te voir assise devant moi, vêtue
d'une seule culotte, à me déshabiller...
- Pour moi aussi, c'est un rêve, me répond-elle. J'ai fantasmé
sur toi, je me suis caressée avec ton boxer. Mais te voir
là avec juste ce superbe boxer, avec cette bosse bien attirante
au milieu, c'est vraiment autre chose.
Elle entreprend de me caresser l'entrejambe, ses mains
vont et viennent doucement sur la résille, j'ai l'impression
que mon sexe continue à grandir, et que mon excitation monte
encore.
Je fais se relever Nadia, et l'asseoir à côté de moi. Je
remarque au passage une petite tâche d'humidité sur sa culotte.
Je prends en main un de ses seins, et je le porte à ma bouche.
Ma langue est super active pour lécher le téton, mes mains
tiennent fermement le sein, j'aspire ce petit bout dur,
je le tète. Nadia ne tarde pas à gémir, mais elle n'oublie
pas mon plaisir. Sa main s'est infiltrée dans mon boxer
et me donne mille caresses. Son bas-ventre ondule, et je
sais ce qu'elle veut. Ma main vient se poser contre sa culotte,
pressée contre son sexe. Elle fait frotter son sexe contre
ma main à travers le tissu, et elle se donne du plaisir
ainsi, ses gémissements se font plus continus.
Pourtant, elle finit par retirer ma main ; mais c'est pour
la diriger vers l'élastique de la culotte. J'en profite
pour sortir mon sexe, et le lui mettre en main. Elle entreprend
immédiatement des mouvements réguliers sur ma tige, qui
me font un effet fou. Ma main rentre dans sa culotte, je
découvre qu'elle est presque entièrement épilée, et évidemment
complètement trempée. Elle me dit :
- C'est une des meilleures choses que peut me faire un
homme, glisser sa main dans ma culotte en me donnant du
plaisir par mes seins.
Ma main dans un premier temps reste contre son sexe humide,
plaquée, pendant qu'elle se frotte en ondulant. Puis un
de mes doigts pénètre en elle, puis un deuxième, pendant
que ma paume reste plaquée contre son mont de vénus. Le
va-et-vient de mes doigts, le frottement qu'elle entretient
contre ma main, et l'action de ma bouche et ma langue sur
ses seins créent rapidement leur effet : Nadia crie, son
orgasme est énorme, elle se raidit, et sa jouissance dure
de longues secondes, mes doigts en elle sentent la contraction
de son vagin sous le plaisir.
Elle finit par tomber contre moi, semblant épuisée, totalement
relâchée, les seins pressés contre mon buste. Elle reste
comme ça un moment, immobile, mais sa main n'a pas lâché
mon sexe dans la jouissance. Elle me gratifie d'un baiser
mémorable, comme on n'en échange qu'après avoir joui, puis
quitte le canapé, en me disant :
- À ton tour.
Elle s'agenouille devant moi, et entreprend de caresser
mon sexe, en prenant dans l'autre main mes boules à travers
le boxer. Puis rapidement, elle prend en bouche mon sexe,
d'abord juste le bout, puis elle fait de grands mouvements,
lents et appliqués pour avaler ma tige. Mon Dieu, ce moment
est magique, j'adore la voir, son visage si fin, ces cheveux
fous, qui s'applique à me donner du plaisir. Elle arrête
de me sucer un instant pour me dire :
- Préviens-moi quand tu seras tout prêt du plaisir.
Ça ne tarde pas à venir en effet, je lui dis, et elle se
relève face à moi à ce moment, me branle énergiquement et
vient placer sa culotte tout contre son sexe. Je comprends
ce qu'elle veut, et ça achève de m'exciter : j'explose contre
son sexe, mon sperme jaillit contre sa culotte en de longs
jets, elle m'encourage à lui en mettre encore plus, elle
semble ravie que cette culotte, l'étrange objet de mon désir,
soit trempée de mon sperme.
Les minutes qui suivent sont des moments de repos, de tendresse,
l'un contre l'autre. Les mains ne sont pas inactives, et
déjà les siennes recommencent à me titiller à travers mon
boxer. Je lui pose une question :
- Quand as-tu eu l'idée de m'exciter comme ça avec ton
repassage en tenue légère ? Dès le premier jour où nous
nous sommes vus ?
- Non, en fait l'idée m'est venue la première fois où je
suis venue travailler. J'ai compris en voyant traîner un
catalogue de lingerie féminine et ta super collection de
strings que tu étais comme moi un amateur fou de lingerie.
- Tu as bien fait...
Entre-temps mon sexe a gonflé à nouveau, et elle me chuchote
à l'oreille :
- N'espère pas t'en tirer à si bon compte.
Elle me regarde droit dans les yeux, et me dit :
- Bizarre quand même, que pour une amatrice de lingerie,
un des meilleurs moments soit celui de retirer sa culotte...
Elle soulève légèrement ses fesses, mes mains se posent
sur ses hanches, et je fais descendre doucement le tissu
mythique le long de son bassin puis de ses fesses. Elle
me dit :
- Le meilleur reste à venir...
Je porte à mon nez sa culotte, imprégnée de son odeur intime
et de mon sperme. Je crois bien qu'elle a raison...
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