Je m'appelle Cyndia et j'ai 26 ans. Je suis mariée et je travaille dans
une boite de service informatique. Avec une copine, nous avons été voir le
spectacle "Le monologue du vagin". Apres ce spectacle, les discussions
vont bon train à l'extérieur du théatre. Avec ma copine Alexiane, nous nous
éclatons en repassant tel ou tel extrait. A coté de nous, un groupe de trois
nanas en font autant et nos fou-rires sont complices dans le souvenir du
spectacle. Au moment où j'allais partir pour raccompagner Alexiane chez
elle, une des trois filles nous invite à venir prendre un verre chez elle
pour papoter du spectacle. Je ne suis pas partante car mon mari n'aime pas
que je rentre trop tard mais Alexiane hausse les épaules et un peu
contrainte, nous suivons les trois nanas à pieds jusque dans l'appartement
qui se trouve à coté du théatre. En entrant, je suis surprise de voir un
méga poster de deux filles nues enlacées dans un éclairage psychédélique. Je
ne me sens pas à l'aise malgré la bonne humeur qui règne dans la pièce.
Notre hotesse qui se nomme Laurence propose des boissons alcoolisées ou non.
Je table sur un Coca et la majeur partie des filles choisissent une boisson
de type jus de fruits. Chacune raconte l'extrait du spectacle qui lui a le
plus plu et il est très interressant de voir comment chacune ait été
accrochée par des traits différents du spectacle. Pour ma part, j'avouais
que le fait de faire une thérapie sur le vagin avec un miroir et une
masturbation tout en se regardant m'avait choquée. Chloé, une fille un peu
forte se mis à rire et me demanda si j'avais déjà vu mon sexe avec un
miroir. Je lui répondit que non et que l'idée ne m'était même pas arrivée.
Alexiane et l'autre fille Béatrice rigolaient de bon coeur et j'avais les
boules d'être la risé de la soirée. Je demandais si quelqu'un avait déjà
essayer. Je crois que je n'aurais jamais poser cette question car la suite
de cette histoire a été déclenchée par ma question. Laurence avoua
ouvertement qu'elle se masturbait régulièrement et qu'elle adorait voir
son sexe dans tous ses états. Chloé avoua qu'elle était prête à essayer.
Alexiane en dit autant et Béatrice ne fit pas mine d'être choquée. Laurence
proposa de faire la thérapie maintenant et de voir si nous pourrions nous
découvrir un peu mieux. J'avais l'impression d'être tombée dans la
troisième dimension et je faisais des appels vers Alexiane pour que l'on
partent avant que cela dégénère encore plus. Alexiane vint à moi et je lui
dis que je voulais partir. Alexiane me demanda pourquoi et me dit qu'il
n'y avait que des nanas et qu'il n'y avait aucun risque de faire des
infidélités.
J'allucinais complêtement en voyant Laurence fermée à double tour sa
porte d'appartement. Chloé et Béatrice avait déjà un miroir à la main et
Alexiane fouillait dans son sac pour trouver le sien. Prise dans ce piège,
je décidais de suivre le mouvement mais avec la plus grande prudence pour ne
pas faire des trucs dégueulasses. Dans une ambiance complêtement hors du
temps, je me suis retrouvée avec un miroir à la main avec les cuisses
écartées et la robe relevée sur les genoux. Chloé avait retirée son pantalon
et était en culotte. Laurence avait tout retiré le bas et avait sa touffe
brune à l'air libre. Alexiane et Béatrice étaient assisent cote à cote avec
le pantalon en bas des mollet et leurs mains sur la culotte. Une musique
sortait de la radio et Laurence indiqua qu'elle commençait sa thérapie.
Elle était assise devant moi et je la vit écarter ses cuisses pour glisser
son miroir devant son sexe et commencer à se caresser doucement. Je voulais
partir et quitter cet appartement de dingues mais je ne pouvais pas le faire
sans me faire lyncher par cette bande de folles. J'étais déçue par Alexiane
que je voyais me faire un grand sourire tout en se caressant sa culotte.
Doucement, je mis ma main sur ma culotte et attendit que le temps passe. Je
regardais Laurence se caresser de plus en plus fort en glissant ses doigts
sur son sexe pour les mettre en elle. Je voyais bien son vagin luisant aux
lueurs des lampadaires. J'avais Alexiane qui avait écartée sa culotte et
regardait dans le miroir ses doigts jouer avec son clito. Je voyais Alexiane
et sa touffe de poils chatains qui entouraient une vulve délicate. A côté
d'elle, Béatrice enfoncait trois doigts en elle avec des gémissements de
plus en plus forts. Quand à Chloé, elle était la plus choquante car elle
était en tailleur et elle passait son temps à se masturber et de temps en
temps, elle léchait ses doigts recouverts des sécrétion de son sexe.
Malgré mon sentiment de dégout, voir toutes ces filles se faire du bien me
donnait un peu le tournie. Chaque fille émettait des gémissement de plaisir
et cette ambiance sexuelle m'échauffait la tête et le ventre. Je ressentait
la chaleur de ma main sur ma toison et mon sexe devint sensible. Je sentais
mon corps changer et malgré mon refus de me laisser aller, je sentais ma
vulve se dilater. Laurence, devant moi avait ouvert son débardeur et elle
se caressait les seins avec la tête posée en arrière sur le fauteuil sur
lequel elle s'adossait. Alexiane embrassait Béatrice tout en se mastrucbant
en coeur. Chloé était stable dans son action. Mes doigts exercèrent une
légère pression sur mon bouton et mon sexe réagit plus vite que la lumière
en me lançant un frisson qui me parcouru l'échine. Je fermais les yeux et
mon esprit était envahie par les images de Laurence, Alexiane, Béatrice et
Chloé. Je commençais à me caresser sur le tissus de ma culotte. Petit à
petit, mon autre main écartais la culotte et je posais deux doigts sur mon
clito gonflé et presque sortant de son fourreau. D'un seul coup, c'est
comme ci j'avais les doigts dans la prise 220V et mon sexe fut envahie de
mouillure avec un désir, ou plutôt une obligation de plaisir. Sans m'en
apercevoir, je commencais à avoir une respiration rauque et de petits
gémissements m'échappais en fonction des pressions sur mon sexes. De temps
en temps, j'ouvrais les yeux et j'avais l'impression que mon regard était
dans un brouillard où tous les mouvements étaient devenus lents. Laurence
avaient retirer son soutif et montrait une belle poitrine avec de
magnifiques tétons dressés. Alexiane avait son sexe recouvert de la main de
Béatrice pendant que ma copine tétait les petits seins de cette inconnue.
Quand à Chloé, elle continuait imperturbable sa masturbation avec les yeux
fermés et un léger fil de bave sur le coin des lèvres. Laurence s'approcha
de moi à quatre pattes et je voyais ses seins pendre et se balloter à chaque
mouvement. Je la laissais venir sans arrêter ma caresse. Je n'étais plus
coincée, je n'avais plus envie de partir et la voir venir à moi ne me
gênais pas du tout. Elle me dit "Met toi à l'aise et commença à me faire
glisser le zip de la robe. Elle glissa sa main sous le tissu et posa sa main
chaude sur un de mes seins. Je n'étais plus moi-même et je voulais qu'elle
me prenne, je voulais être à elle pour qu'elle fasse de moi ce qu'elle
voulait. Je fis les mouvements necessaires pour que Laurence retire ma robe
et elle défit le soutif pour libérer ma poitrine. Aussitôt, elle happa un de
mes tétons et je ne pu retenir un petit cri. Durant toute la soirée, avec
Laurence, nous avons fait l'amour avec des caresses que je ne soupçonnais
même pas. Elle m'a lécher le sexe avec une expertise digne de la coupe du
monde. Je l'ai embrassée et je lui ait lécher et sucer les seins. Elle m'a
fait la masturber et j'y ait trouvé beaucoup de plaisir. La soirée s'est
terminée doucement avec un retour auprès de mon mari qui ne sait absolument
rien de cette soirée.
Avec Alexiane, cette soirée fait parti d'un de nos grand secret. Nous
avons essayer de nous caresser toutes les deux mais cela n'a pas durer car
nous ne trouvions pas le même élan.
J'ai revue Laurence à deux/trois reprises mais elle était distante.
Je crois savoir qu'Alexiane revoit de temps en temps Béatrice pour des
soirées à thème comme elle dit.
Moi, je suis toujours avec mon mari mais je dois bien avouer que je ne
regarde plus les autres femmes avec le même regard.
Pour la touche humour, Chloé n'a pas bronchée de toute la soirée avec sa
masturbation sans fin. Si Laurence ne l'avait pas forcer à sarréter, elle
serait encore en tailleur avec ses doigts en elle. Je lui reconnais de la
percévérence mais je trouve dommage qu'elle soit aussi mécanique que ça.
Voilà pour mon histoire, j'espère que cela pourra servir d'autres femmes
qui n'osent pas l'homosexualité. J'ai changé mon point de vue et je crois
que les femmes entre elles peuvent se faire du plaisir avec une puissance
sans équivalence.
Bises
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