Je me prénomme Laurence, 41 ans , blonde - châtain,
mariée depuis 20 ans , mais je suis peu désirée par mon
époux Jean-Marc,et dernièrement, me fuit, prend comme prétexte
son entreprise à qui c'est vrai il s'y consacre avec passion.
Je pense être une femme qui ne laisse pas indifférent les
hommes. Lors de dîners d'affaires,
Je vois bien le regard de certains hommes se poser sur ma
personne de façon obscène.
L'un d'eux m'a accostée au buffet en me mettant une main
aux fesses en faisant des sous-entendus déplacés, je l'ai
laissé sur place, furieuse de ne pas avoir été respectée
et d'avoir subie le culot de cet homme.
Je me retrouve ds une situation difficile d'une épouse parfaite
telle est l'expression, de mes belles-sours, une femme tjs
derrière son époux, élevant de beaux enfants, acceptant
tous les sacrifices.etc.
Sauf que je cachais à toutes, que j'étais complètement délaissée,
triste sexuellement,malgré ts les sous-entendus que je lançais
à mon mari : des baisers appuyés, des dessous sexy ou tenues
moulantes, des plats aphrodisiaques, des attitudes sans
équivoque en apparaissant n u e (alors que je suis très
pudique), quand nous nous retrouvons seuls, je lui ai même
suggéré d'être son esclave si cela peut l'exciter ! mais
rien .
J'en avais assez de penser que c'était passager, et me contentais
seule en me touchant ds mon bain. Mais je ne suis pas prête
à céder à d'autres hommes.
Un seul homme à qui je pense depuis son adolescence, me
fait fondre, il s'agit d'un de mes neveux par alliance,
Stéphane, 25 ans actuellement, discret mais sensuel, attirant,
j'avoue que je le mate jalousement.
En général,j'entame rarement la conversation avec lui de
crainte qu'il voit, sente, que je suis disponible, désireuse,
qu'il me prenne pour une vicieuse, et ne veut pas le nuire
en provoquant un scandale sexuel familial.
Lors des dernières vacances d'été, lors d'une invitation
de ses parents, je me rends avec mon époux mes 2 petites
filles, habiter leur grande maison de campagne. C'est vrai,
que secrètement j'espérais que mon neveu préféré s'y trouve,
car il me trouble et je suis flattée qd il est présent ds
la même pièce que moi, silencieux, je sens des ondes, un
magnétisme entre nos corps.
Nous passâmes, une belle semaine tranquille, et mon beau-frère
nous proposa d'aller pique-niquer ds des cascades d'eau
pure avec des bassins naturels de toute beauté.
Mais il nous recommanda de prendre des crèmes solaires,
car la réverbération y était assez forte. Mon mari n'est
pas trop escaladeur, et préféra rester à la maison étudier
un dossier.
Je décidai d'emmener mes filles s'éclater ds ce lieu exquis.
Ainsi je débarquai prudemment sur les rochers en portant
ma petite Flora, et tenant par la main l'aînée Aline, Stéphane
qui fermait la marche, me proposa de porter mon panier ,
et je marchais lentement derrière ma belle-soeur.
La trotte durait de bonnes minutes, je yeutai le paysage
aux alentours et me retournait naïvement pour voir le chemin
parcouru, et je vis mon neveu dévorer des yeux mon postérieur.
Il ne vit pas mon visage surpris, et je tournais rapidement
la tête en sachant qu'un coquin me matait silencieusement
ds mon dos.
Nous arrivâmes au lieu-dit, libérait mes enfants qui tâtaient
timidement l'eau fraîche tt en étant derrière eux. La famille
posait le camp, et leurs enfants s'élancèrent vers le bain,
et surveillèrent mes filles.
A mon grand étonnement, ma belle-sour, dégrafait son soutien-gorge,
et me proposa, d'en faire de même pour prendre le maximum
de couleurs ds ce lieu il est vrai magnifique.
De nature méfiante et pour ne pas tenter, je ne le faisais
qu'une fois allongée sur le ventre, je sentais un souffle
froid et agréable d'un petit vent venant fouetter mon dos,
et je me mis à lire.
Le soleil tapait très fort, et oubliant toute pudeur, je
me levais et alla me baigner. J'entrais pas à pas, la froideur
de l'eau m'atteignait et nageais doucement ds cette grande
étendue.
Je ne restais pas longtemps à l'eau car mal à l'aise les
seins nus, je sortais de l'eau et vis mon neveu Stéphane
sous ses lunettes de soleil regarder ds ma direction, j'étais
furax d'avoir oubliée de remettre mon haut, je portais mes
mains à ma poitrine pour cacher mes seins, ce qui le fit
sourire.
Je me séchais et me rhabilla.
Après le déjeuner, il était prévu que les garçons aillent
faire du canoë plus bas.
Je fus prise d'une forte envie de faire pipi, et m'éloigna
du camp, où seules les femmes restaient.
J'avais enfin repéré un endroit peu accessible, à l'abri
des regards, j'abaissais mon maillot, le posa sur une roche
et m'accroupie pour me libérer.
Je me relevais et je ne comprenais pas en ne voyant pas
le maillot à la place où je l'avais posé.
Il est vrai que le vent redoublait, et l'avait probablement
déplacer.
Je regardais à 4 pattes sous les roches, je me relevai en
restant courbée pour ne pas dévoiler ma position et inspectait
au loin du regard une possibilité.
Après qq moments, je fus prise de panique, en me sentant
désemparée, à moitié nue ds cet endroit à l'étroit, vulnérable,
à la merci d'un traîneur sans scrupule, qui , je n'osais
imaginer ce qu'il me ferait, surtout après ce que me révélait
ma belle-sour qui surnommait l'endroit les roches de l'amour
en surprenant des couples nus en train de s'apprécier.
Ma peur grandissait en imaginant un voyeur me dérobant ma
culotte pour m'épier avec jouissance ds cette situation
humiliante pour moi, et qu'il allait soudainement apparaître
Et me prendre de force.
Je perdais patience, et il fallait que j'agisse, en sortant
de ce guêpier, je devenais folle !
Je me relevais normalement et entendais des pas sur le côté,
qui se rapprochaient de mon endroit, je vis rassurée que
c'était mon neveu Stéphane.
Il fut étonné de me voir debout « immobilisée » au milieu
de rochers, et je lui demandais de m'aider à retrouver mon
maillot, il sourit de façon très gênée en me sachant à moitié
nue.
Il me le retrouva, et enjamba le rocher pour me le donner
gentiment, tout en jetant un oeil rapide sur mon entre -jambe
nu.
Surprise par sa venue audacieuse, je n'osais baisser mon
regard à hauteur de son maillot et voir une flagrante érection
trahissant ses intentions, mise en alerte, (nos corps étaient
très proches, et mon neveu est + grand que moi), mes craintes
et instincts de mère de famille m'obligeaient à ordonner
de manière autoritaire à Stéphane de ressortir et de se
retourner pour que je puisse enfiler mon maillot.
Il se retourna, et j'en profitai pour m'abaisser et passer
une jambe ds mon maillot, mais , je fus ceinturée et propulsée
contre une roche, Stéphane s'écriait « oh pardonnes moi
Laurence t'es tellement baisable ».
Il cédait complètement à ses pulsions, tout en se collant
contre moi,il me tripotait, me caressait, je ne tentais
rien, j'étais dominée par ce jeune adulte, séduite par son
attention, ses mvts tendres, il passait longuement ses mains
et ses lèvres sur mes épaules, ma nuque, il humait ma peau,
en répétant plusieurs fois « Laurence, Laurence », ce qui
me troublait. Tout allait très vite, mon neveu plongeait
délicatement sa main droite ds mon Entre -jambe, faisait
des va et viens timides et appuyés qui me mettaient en excitation,
je sentais mon soutien-gorge se dérober, libérant mes seins
à l'air libre, j'étais toute n u e maintenant. J'entendais
Stéphane beugler d'envie en abaissant son maillot de bain,
et en pelotant mes fesses.
Mais en sentant son sexe contre mon postérieur, j'eue la
chair de poule, et une certaine frayeur s'empara de moi
à l'idée de tromper pour la 1ère fois mon époux, de me faire
saillir par un autre homme, de commettre l'interdit.
Mon neveu fut très entreprenant, il devait ressentir une
excitation en voyant mes jambes trembler légèrement, et
l'odeur épouvantablement forte de mon urine devait saliver
ses sens.
Il écarta mes jambes et plongea son zizi en moi, je fus
saisie de suite. Je sentais fortement un long sexe coulisser
merveilleusement en moi, ma pisse facilitait son passage.
De plus mon neveu me touchait fortement, faisait de grands
mouvement de bassins, en gémissant, je fermais les yeux
, abandonnée aussi ds ce plaisir tant réclamé.
Des sensations formidablement agréables arrivaient chez
moi lorsqu'il pelotait fermement mes seins en les élargissant,
en les pressant tendrement, je me surprenais à miauler d'envie.
Il se mit à faire des pénétrations rapides qui m'atteignaient,
je gémissais en libérant un « maman», je me mettais à émettre
des filets de bave que je tentais de repousser avec ma langue,
c'est alors que Stéphane dominant, et + « éveillé » que
moi, me tournait le visage de biais, et plongeait ses lèvres
à l'intérieur des miennes, absorbant ma salive, enroulait
sa langue autour de la mienne accueillante.
C'est alors, que je sentais intensément 1 première slave
de liquide chaud arrivée entre mes jambes, suivie d'une
+ grosse poussée de sperme qui me gagnait tt le ventre.
Il se retira de moi, et me retourna face à lui, j'étais
soumise à mon neveu, il se mit à lécher chacun de mes seins,
tt en caressant mes poils, me fit de magnifiques et inoubliables
tétées qui me firent basculer la tête en arrière, je me
sentais partir, partir.
Mais nos ébats sexuels furent perturber par un bruit de
pierre en dessous de nous, qui fit réagir mon neveu. Nous
vîmes à 200 mètres environ homme en train de monter ds notre
direction, d'un pas rapide.
Il fallait partir vite, je remettais difficilement ma culotte,
prise ds la précipitation de se sauver.
Et devant l'insistance de mon neveu, j'abandonnais mes chaussures
« bateau » et le suivait. Je n'eue pas le temps de remettre
le haut, et m'élançait les seins à l'air, légèrement écartés,
recouverts de filets de salive par endroit laissés par mon
neveu qui séchaient au contact du vent. Je n'étais pas fière
de ma position à l'idée de croiser des personnes sur notre
course qui me dévisageraient à coups sûrs.
Nous nous éloignions du camp pour tromper notre poursuivant,
Stéphane connaissait bien le coin, mais je freinais considérablement
notre fuite, étant pieds nus, le sol était chaud et les
cailloux hostiles, nous nous retournions fréquemment sans
heureusement voir le type.
Stéphane m'effraya en m'abandonnant ds une petite cachette
près du chemin très emprunté, pour pousser cet individu
à le suivre. Il est vrai que j'étais bien dissimulée par
un roc mais le risque était présent, que toute personne
très motivée, peut avoir la curiosité d'entrer ds ce petit
passage très sauvage et emprunté. Je priais le ciel, dès
que mon neveu me quittait. J'hésitais à remettre mon soutien-gorge,
de crainte de faire du bruit trahissant une présence
J'étais aux aguets, appuyée contre un rocher, morte de trouille,
car il ne s'agissait pas d'un film, l'homme avait une mine
patibulaire, et moi pieds nus, ma poitrine à l'air libre,
seule et sans défense,je paraissais une femme facile, chaude,
stimulante, malgré mes rejets, protestations.
Je ne m'étais jamais retrouvée ds cette situation d'infériorité!
Je me disais que j'allais payer de mon acte, le Ciel allait
me punir.
J'imaginai le pire : Il m'aurait abusée sexuellement de
façon brutale, Il m'aurait contrainte à toute chose dégueulasse,
(je n'aime pas faire de fellation ), et finir par me violenter
et me tuer.
Je n'eue pas à attendre longtemps, j'entendais le souffle
pesant d'une pers sur le point d'arriver à hauteur de mon
« abri », le thriller était à son comble : allait-il s'arrêter
pour reprendre son souffle , et en tournant sur lui-même
voir le petit chemin qui mène à moi? arriver directement
à moi, car il connaît aussi le lieu et a tellement envie
d'une femme qu'il ne laisse rien au hasard ?
L'homme passa sans s'arrêter, je ne le vis pas mais seulement
ses sandales, il faisait des bruits de bouche vulgaires,
et avait effectivement des mauvaises intentions quand je
l'entendais marmonner des propos obscènes sur ma personne.
J'attendis un bon moment avant de me rhabiller et de remonter
prudemment le chemin. Quand je revins au camp, je ne pus
raconter les moments heureux et dramatiques vécus, mais
mourrai d'envie de révéler à la mère de Stéphane que son
fils était un véritable prince sexuel.
Et étrangement, mon neveu quitta rapidement la région pour
revenir à Paris, sans qu'on ait pu s'expliquer.
Je profite de cette confession, et en espérant que tu me
lises, Stéphane, que je ne t'en veux pas :
De m'avoir baisée ds ce milieu sauvage.
De m'avoir traitée de belle putain, quand tu as peloté mes
seins, Jean-Marc le faisait à la belle époque et je lui
rétorquais mon beau Salaud qd il m'enfilait avec engouement.
D'avoir éjaculé en moi, et de déverser abondamment(je ne
soupçonnais aucunement que tu étais un gros éjaculateur),
sur mes poils quand tu suçais mes seins, c'est la vie.
Tu as répondu au vide sexuel qui s'est emparé ds notre couple,
et m'a redonnée du moral en prouvant que j'étais une femme
désirable même pour un homme + jeune que moi et très beau.
J'étais ravie d'entendre tes cris jouissifs pendant nos
ébats, tes caresses sincères, bien situées, qui m'ont emmenées
au plaisir.
Je suis séduite par toi, et suis prête à offrir mon corps,
à répondre à toutes tes envies, lassée et écoeurée par la
mauvaise volonté de Jean-Marc à mon égard. Je retombe ds
la routine de la femme au foyer, et mère de famille mais
pas de femme désirée au + haut point comme tu me l'as manifesté.
Maintenant, je rêve de toi, que tu me prennes sauvagement,
que tu te lâches en me pelotant lors des fêtes familiales,
et que nous nous éloignions pour satisfaire nos envies.
Ne regrettes pas, c'est la nature, nous sommes attirés corporellement.
La seule chose que je crains c'est d'avoir été prise en
photo, ou filmée par un quelconque voyeur,car il est vrai
que nous étions visibles à une certaine hauteur, surtout
vers la fin avec nos cris profonds, et de nous retrouver
sur un site érotique, que nos proches tombent sur ces clichés.
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