TITRE : Mon médecin
Catégorie : 
Histoire avec une inconnue
<

Accueil Histoire érotique Histoires avec des inconnus

A l'aube de mes 19 ans, je n'étais qu'une gamine mal dans ma peau. Pas vraiment gâtée par la nature, je me faisais des complexes sur mes seins trop petit, mon manque de formes, ma peau pâle, mes cheveux blonds trop fins... Jusqu'au jour où je me rendit, comme tout les mois, chez mon médecin.
Souffrant de problèmes musculaires, j'avais l'habitude de prendre le bus jusqu'à son bureau. Je montai dans l'ascenseur et pressai sur le numéro 4.
Après quelque secousses, je me retrouvai au quatrième étage. Je poussai la porte du cabinet du Docteur Jones, mon médecin, et, après avoir salué la secrétaire, m'assis dans la salle d'attente, à ma place habituelle. Je pris un magazine et lu une histoire romantique d'un homme qui aimait la femme de son patron. Je soupirai. Je n'avais jamais connu l'amour, ni de relation sexuelle. A 19 ans, nombreuse de mes amies avaient déjà couché. La porte de la salle s'ouvrit et la secrétaire me dit en souriant que je pouvais venir. Je me levai et la suivit jusqu'à la porte du cabinet. Je toquai et entrai. Mr. Jones était assis à son bureau, et, parlant au télépone, jouait avec un crayon qu'il faisait tournoyer entre ses longs doigts. Il me fis signe de m'asseoir en me souriant. Je pris place sur le siège en face de lui et attendit. Du coin de l'oeil, je l'observais. Ses yeux noirs étaient perdus dans le vague. Sa voix profonde était teinté d'un accent américain, qui le rendait très attirant. Une tignasse de cheveux bruns foncés ébouriffés lui donnait l'air rebel, sensuel. Son visage au trait parfait me sourit lorsqu'il reposa le combiné.
- Bonjour Elisa! me dit-il en me tendant sa main.
- Bonjour, répondit-je en la serrant.
- Comment va tes muscles?
- Ils me font mal...
- Oho, on va voir ça! Lève toi, je vais t'examiner.
Je m'exécutai. Il me demanda d'enlever mes habits, exepté ma culotte. Rouge de confusion, je me déshabillai, fébrile. Les bras plaqués contre ma poitrine nue, je me plaçai dos à mon médecin, qui, assis sur un tabouret, me palpa les hanches.
- Tu avais mal ici la dernière fois, non?
- Oui...
- C'est toujours le cas?
- Oui.
Il avait les mains froides, ce qui fit que j'eus la chair de poules. La porte s'ouvrit à la volée, et une femme au formes généreuses entra. Elle avait de long cheveux noirs et bouclés, et elle était abondamment maquillée. Elle jeta un coup d'oeil sur moi, sur mon corps osseux, sur ma poitrine inexistante, sur mes cheveux ternes, et esquissa un sourire que je pris pour une insulte.
- J'y vais, mon chéri.
- Ok...
Avec un sourire moqueur, elle tourna les talons et ferma la porte. Rouge de honte, je dut faire tout les efforts que je pouvais pour ne pas éclater en sanglots. La femme de mon médecin était magnifique, et moi j 'étais laide, transparente. Remarquant mon trouble, Mr. Jones me dit:
- ça ne va pas?
Ma voix tremblait lorsque je lui répondit:
- Si, ça va...
- Ne fais pas attention à ma femme.
Une dizaine de minute plus tard, il me demanda de me rhabiller. Je m'assi sur le siège et attendit son verdicte. Mais, abattue par le manque de confiance en moi et par mes complexes, j'avais les yeux rouge de désespoir. Assis en face de moi, Mr. Jones me regardait.
- Si tu as quelque chose à me dire, n'hésite pas.
Je ne pu empêcher à une larme de couler sur ma joue.
- Mr. Jones...
- Appelle moi Nick.
- J'en peux plus, je ne m'accepte plus...
- Tu n'as vraiment pas de quoi te faire des complexes...
- Mais je suis laide!
- Je te trouve très jolie...
Cette remarque me rendit muette.
- Tu as déjà eu un copain?
- Non...
- Tu as déjà fait l'amour?
- non...
Il me regardait d'un regard chaud. Mon corps fut parcouru d'un frisson d'envie.
- Il n'est pas trop tard pour changer le cours des choses...souffla t-il.
Il se leva, fit le tour de son bureau, s'accroupit face à moi, me pris le visage dans les mains et m'embrassa. Sa langue caressait la mienne. Il me mangeait littéralement la bouche. Une main glissa dans mon coup, pendant que l'autre caressait mon ventre sous mon chemisier. Sa bouche descendit dans mon coup, me léchait les épaules. J'étais terrifiée, exitée et envoûtée à la fois. Une partie de moi me disait de fuire, et l'autre de profiter du fait qu'il vénérait mon corps. Perdue dans mes pensées, je ne me rendit pas tout de suite compte qu'il était entrain de dégrapher mon chemisier. Il enleva mon haut, et arracha mon soutien gorge, révélant mes petit seins au tétons durcis. Il les caressa tout en léchant ma poitrine. Je glissai une main dans son dos, lui empoignai les cheveux. Il avait déjà enlevé mon pantalon, et faisait à présent déscendre lentement ma culotte fine. Quand je fut enfin nue, il écarta mes jambes posa sa bouche sur mon sexe. Il lécha mon clitoris, glissa sa langue entre mes lèvres humide, passait un doigt sur ma fente. Moi, je soufflais, tout en lui tenant la tête. J'aurais voulu qu'il n'arrête jamais. Je sentit quelque chose d'étrange, quelque chose que je n'avais jamais ressentit auparavant. Je regardais et m'aperçu qu'il m'avait pénétré de son long index. Il faisait des aller et retour en moi, tournoyant son index, replongeant de plus en plus profond à chaque coup. Je soufflais de plaisir, j'adorais ça.
- T'aimes ça, Elisa?
- Oui.
- T'es adorable comme ça.
Il continua durant deux minutes, et stoppa son travaille pour revenir m'embrasser. Sa langue avait le goût étrange de ma mouille, que je trouvais délicieux. Il recula et enleva son patalon. Souriante, je le regardais entrain de se déshabiller. Quand son sexe apparu, il me dit:
- Ok, girl, vien par là.
Je descendit de mon siège et vint me mettre à genoux devans lui. Je pris délicatement son pénis entre mes mains, le caressa et l'observa. Il était grand, doux, beau. Je le caressais du bout de mes lèvre, avant de le lècher. Nick, poussait des soupirs légers, exitants. Je suçais le gland lisse, et emboucha l'engin d'un coup. Ca avait un gout bizarre, mais agréable. Je suçais doucement, allant de plus en plus vite. Il m'avait empoigné par les cheveux, et poussait de temps à autre ma tête pour que son sexe aille plus profondément dans ma gorge. Il soupirait très fort, lâchant quelque expression en anglais. ça m'exitait encore plus. Il m'agrippa mon crâne, et poussa de toute ses forces son pénis dur dans ma gorge. Je failli vomir, tellement il était profond. Il resta quelque instant comme ça. J'eus des spasmes, et je n'arrivais plus à respirer. J'essayai de retirer ma tête, mais il me laissa partir que lorsque son sperme jailli dans ma gorge. Il poussa un long gémissement, et m'éjacula sur la bouche et mon nez.
- Good girl, me dit-il en me tapotant la joue. Couche toi.
Je me couchai sur le dos. Il vint s'allonger sur moi. Il était lourd, et j'eus du mal à respirer, mais ça m'exitai, et je ne protestai donc pas. Je sentai son pubis chaud contre le mien, ce qui massait mon clitoris. Je mis les mais autour de sa taille. Il me pénétra doucement. Malgré le fait que je mouillai, j'étais vierge, donc mon vagin était très petit. Il força un peu, et laissa glisser sa verge dans mon sexe crémeux. La sensation était excise, et je poussai un soupir d'impatience. Il commença des va et viens doux, agréables, merveilleux. Je gémissais doucement. J'aimais son odeur, sa chaleur, son corps, son sexe. J'aimais la sensation qu'il me procurait. Ils devinrent de plus en plus rapide. Je poussai des cris de plaisir, lui aussi. N'y tenant plus, je criais, enfonçant mes ongles dans sa chair. Il fermait les yeux et se mordait la lèvre en gémissant. Qu'il était beau! Une vague de chaleur m'envahit, et je ne pu retenir le hurlement final.
Reprenant nos souffle, nous restâmes là quelque minute. Enfin, il se retira de mon corps, se leva et me demanda de me mettre à quattre pattes. Ce que je fis. Il se mis à genoux derrière moi et m'empoigna les hanches avant de me pénétrer à nouveau. Il fut plus violent. Ses testicules me frappait les fesses tellement il allait vite. Son pénis était brulant, et je lui criais tout le bien qu'il me faisait, tout le plaisir qu'il me donnait. L'orgasme qui nous pris les deux en même temps fut plus violent que le premier. Il me mis à genoux. Essouflée, je priais pour que mon plaisir de s'arrête pas là.
Nick enleva son pénis de mon sexe, se coucha sur le dos et me demanda de venir s'asseoir sur lui. Je me précipitai, enfourchant ses jambes et m'empalant sur son plaisir dressé. Je remuais le bassin, et fut pris à nouveau d'un torrent de plaisir. Il donnait de violent coup de bassin, ce qui faisait bouger mes petits seins libres comme des oiseaux. Mon dieu, que c'était bon! Je n'y tenais plus. Je m'effondrai sur son torse ferme, m'impregnant de son odeur. Je goutai sa peau, ses lèvres, pendant que le plaisir montait comme une flèche. Troisième orgasme. Je hurlais encore et toujours, et lui, criant, me suppliait de ne pas arrêté, me criait son plaisir dans sa langue natale. Nous étions les deux égaux, et totalement soumis par la jouissance. Affaiblis par tant de sensation, je tombais en arrière et restai là, couchée. Une dizaine de minute passa avant que Nick ne me demande de me rhabiller.
Quand se fut fait, je lui tendit la main, et il me la serra.
- Aurevoir Elisa.
- Aurevoir Mr. Jones



Accueil Histoire érotique Histoires avec des inconnus




Partenaire de communication avec logiciel fax internet
Nom de domaine et hebergement internet