Cette histoire est véridique et relatée dans ses moindres
détails. Elle m'est arrivée au mois d'octobre 2002. Pourquoi
avoir attendu presque un an avant de l'écrire ? Tout simplement
par désir de me confier. Personne jusqu'à présent ne connaît
cette histoire.
Mais d'abord laissez-moi me présenter. Je m'appelle Florence,
j'ai 48 ans, je mesure 1 mètre 55 je suis rousse un petit
peu enrobée avec de très jolis petits seins, vous comprendrez
plus tard pourquoi je dis qu'ils sont très jolis. Je suis
mariée à Daniel depuis plus de vingt ans, nous avons deux
filles Carole et Nadine toutes deux majeures. Jusqu'à ce
fameux mois d'octobre 2002 les 14 15 et 16 octobre précisément
je n'avais jamais trompé mon mari. Daniel est un homme plein
d'humour qui travaille dans une banque et qui gagne très
bien sa vie. Moi je suis cadre commerciale dans une entreprise
de produits manufacturés. Je considérais notre vie sexuelle
normale, mais après chaque rapport avec mon mari je ressentais
comme un goût d'inachevé, d'incomplet. Nous abordions et
continuons à aborder toutes les facettes du sexe, j'adore
sucer, me faire pénétrer la chatte et je ne refuse pas la
sodomie bien que ce ne soit pas ce que je préférais jusqu'à
ce fameux mois d'octobre 2002. En résumé une vie banale.
Bien voilà mon décor personnel planté. Je vous explique
maintenant le décor professionnel. Je suis je l'ai déjà
écrit plus haut cadre commerciale dans une entreprise de
produits manufacturés située à Bordeaux. Le premier juillet
2001 est entré dans notre entreprise un employé de bureau
qui avait répondu à une offre d'emploi. Il s'appelle Hugues
il est âgé de 46 ans. Grand, mince, cheveux châtain légèrement
dégarni mais charmant. C'est moi qui lui ai fait visiter
l'entreprise l'ai instruit sur le travail qui l'attendait
et lui ai précisé après l'avoir installé dans son bureau,
qu'il pouvait venir me demander tous les renseignements
dont il aurait besoin. Et pendant plus d'un an il venait
souvent me demander des renseignements. Je sentais qu'il
n'étais pas insensible à mon charme de 48 ans et je dois
l'avouer j'en étais troublée, mais jamais il ne m'a proposé
quoi que ce soit ni même d'aller boire un café en sa compagnie.
J'en étais un peu frustrée mais je l'ai dit jamais je n'avais
trompé mon mari et même, sentant l'attirance que je représentais
pour Hugues, je n'envisageais pas du tout de le faire, c'est
une idée qui ne me venait même pas à l'esprit. Le huit octobre
2002 notre directeur de l'époque m'appela au téléphone et
me demanda d'aller le voir dans son bureau en me précisant
de dire à Hugues de venir aussi. Je passe donc par le bureau
de Hugues et lui dit que nous sommes attendus tous les deux
dans le bureau du patron. L'entrevue à trois fut brève mais
le patron nous apprit que l'entreprise allait se doter d'un
nouveau logiciel informatique de gestion acquis auprès d'une
société parisienne et que pour cela deux personnes devaient
se rendre à Paris en quelque sorte en éclaireurs afin de
s'initier aux rudiments de ce nouvel outil informatique.
Les deux personnes choisies étaient moi Florence, et Hugues,
et les billets de train étaient déjà retenus pour le 14
octobre 2002 à 12 heures 30.
Nous voilà donc au 14 octobre 2002 dans le train. Tout
le voyage se déroula normalement. Hugues était extrêmement
gentil et galant il voulu absolument me laisser la place
à la fenêtre pour que je puisse profiter du paysage. Nous
avons longuement bavardé de tout, loisirs, cuisine, sport,
culture. Arrivés à destination nous avons pris le métro
Parisien pour nous rendre jusqu'à notre hôtel (Etap hôtel)
vers 19 heures 30. Là nous avons convenu de nous retrouver
dans le hall de l'hôtel vers 20 heures 30 dans le but de
trouver un petit resto. 20 heures 30 nous nous retrouvons
et je propose à Hugues de nous rendre sur les Champs Elysées
car je connais la bas un resto sympa le Bistrot Romain.
Voilà toute la scène est plantée car c'est maintenant que
commence vraiment mon infidélité conjugale. Après un petit
apéritif nous entamons le repas, à vrai dire je ne me souviens
plus de quoi il était composé, mais à ce moment je me suis
aperçue que j'avais oublié d'appeler une amie (en fait il
s'agit de ma grande confidente à qui je n'avais rien caché
de ma vie y compris mon espèce d'insatisfaction sexuelle)
que j'avais invité à déjeuner chez moi le lendemain, et
je ne pourrai pas pour cause de déplacement. Je prie donc
Hugues de m'excuser et saisis mon portable pour appeler
mon amie.
• Allo Christine, c'est Florence. Je t'appelle pour te dire que le déjeuner de demain est annulé je suis en déplacement dans la capitale. • C'est pas grave on remettra ça pour une autre fois. Tout va bien pour toi. • Oui merci.
• Et ton problème d'insatisfaction ?
Il faut dire que Christine croyait que j'étais seule pendant
cet appel et puis lorsque je discute avec elle je suis tellement
détendue que je perds parfois toute notion d'intimité.
• Toujours pareil, on fait l'amour et je reste sur
ma faim pour ainsi dire. J'aurai presque envie de recommencer
de suite mais Daniel est un rapide et il s'endort de suite
après.
Et puis après de nombreux bla bla.
• Au fait Christine je ne t'ais pas donné mon nouveau numéro de téléphone. • Tu as changé ? • Oui prends un papier et un crayon et note le c'est le 06……..
• Merci on se rappelle à bientôt ma chéri.
Je m'excuse auprès de Hugues pour ce petit intermède puis
nous reprenons notre repas au cours duquel je trouve Hugues
encore plus prévenant, je sens son pied qui touche parfois
le mien et quelquefois sa main vient jusqu à frôler la mienne.
Enfin notre repas se termine et nous rentrons bien sagement
à l'hôtel. Arrivés devant l'hôtel Hugues me souhaite bonne
nuit et me dit qu'il va rester quelques minutes en bas pour
fumer un cigarette. C'est vrai qu'il fume mais peu. Je retrouve
donc ma chambre je me déshabille, prend une douche, et garde
comme seuls habits pour dormir, une chemise de nuit et une
culotte.
C'est au moment ou j'allais entrer dans le lit que mon
portable se met à sonner. Je décroche.
• Allo.
• Allo bonjour Madame.
J'ai immédiatement reconnu la voix de Hugues et j'ai cru
qu'il voulait un renseignement professionnel c'est pourquoi
j'ai répondu tout normalement comme sur un ton de plaisanterie.
• Bonjour monsieur.
• Madame j'ai déjeuné ce soir à une table voisine
de la votre, j'ai entendu que vous communiquiez votre numéro
à votre correspondant et je n'ai pu m'empêcher de le noter,
car je vous ai observé tout le repas et vous êtes absolument
charmante je tenais à vous le dire.
A ce moment tout m'est revenu en mémoire en un éclair,
et j'ai compris qu'il ne voulait pas qu'un simple renseignement.
J'en fus troublée et flattée et je ne pus que répondre avec
un chevrotement dans la voix mais en continuant et en entrant
dans cette sorte de jeu.
• Et bien monsieur c'est très gentil de votre part et je suis très flattée mais vous avez aussi certainement compris que je suis une femme mariée. • Oui madame je l'ai aussi entendu et je dois vous dire que je suis moi aussi marié. J'ai aussi entendu que vous connaissez quelques difficulté……sexuelles avec votre mari. • C'est vrai mais il est mon mari, et je ne l'ai jamais trompé. • Moi aussi madame je n'ai jamais trompé ma femme et je connais aussi avec elle des problèmes du même genre que les vôtres. • C'est à dire ? • Que je ne suis pas entièrement satisfait sur le plan sexuel.
• Et comment se manifeste cette insatisfaction.
La situation commençait à m'exciter. Ma voix devenait de
plus en plus chevrotante, mes petits seins commençaient
à pointer sous ma chemise de nuit une douce chaleur envahissait
mon ventre et je sentais ma chatte devenir humide.
• Et bien mon épouse n'accepte pas toutes les caresses
cela est pour moi comme une frustration.
Moi qui bien qu'en préférant certaines caresses à d'autres
n'en refuse pour autant aucune, devenais toute tremblante.
Je ne pensais plus à mon mari, j'étais collée sur mon téléphone
à écouter la douce voix de Hugues qui elle aussi chevrotait
maintenant.
• Et pourquoi me dire tout cela maintenant à cette heure ?
• Parce que je vous ai suivi depuis le restaurant,
parce que je suis devant votre hôtel, parce que je discute
avec vous en ce moment merveilleux, parce que vous êtes
absolument charmante et terriblement sensuelle et……………..
Ho mon dieu que tout cela était bon à entendre. Je voulais
en entendre encore plus, je lui dis.
• Et ? n'ayez pas peur ni honte de dire ce que vous voulez dire. On ne rougit pas au téléphone. • Et que j'aimerai que vous m'ouvriez votre porte pour……. • Pour ?
• Pour passez une nuit ensemble.
J'ai ressenti une énorme poussée d'adrénaline j'ai hésité
2 ou 3 secondes qui pour Hugues ont certainement été une
éternité mais sans me reconnaître moi-même je me suis entendu
répondre.
• Et bien monsieur je suis en chambre 332.
Quelques minutes plus tard j'ai entendu un petit tapement
à la porte de ma chambre. J'étais dans un état effervescent
je tremblais et vêtue seulement d'une culotte et chemise
de nuit. J'ai ouvert, Hugues m'a souri il est entré. Sitôt
la porte refermée et avant que je ne me retourne vers lui
il s'est plaquée derrière moi sa tête contre mon oreille,
ses mains son venues se positionner sur mes hanches et continuant
à jouer son jeu il m'a dit.
• Je m'appelle Hugues ALLEGRINI et vous ?
• Florence LECLAUX ai-je répondu sans même m'en rendre
compte, comme dans un nuage sensuel.
Ses mains son remontées vers mes petits seins déjà durs
et il a murmuré.
• Madame LECLAUX je suis fou de vos jolis petits
seins je vais les dévorer toute la nuit je vais les sucer
comme je vais vous sucer la chatte à vous en faire crier.
Après ces paroles j'ai compris ce qui me manquait avec
mon mari. Tout simplement ces paroles un peu crues que jamais
mon mari conventionnel n'oserait prononcer. Elles résonnaient
dans ma tête comme un appel au sexe à deux, délivré des
ses derniers tabous, reliées par le vouvoiement de cet homme
que je côtoyais chaque jour, et par cette scène de jeu.
Elles me faisaient plaisir à entendre j'avais envie d'en
entendre encore plus et d'en prononcer moi aussi des plus
sales encore, et comme si Hugues avait deviné mes pensées
il poursuivit en disant.
• Cela ne vous gêne pas si je vous parle ainsi.
En guise d'acquiescement je répondis.
• Oh sucez mes petits seins sucez ma chatte. • Madame LECLAUX je vais vous sucer toute la nuit et vous baiser toute la nuit. • Baisez moi enfilez moi bourrez moi par tous les trous.
• Par tous les trous vous en avez envie ?
Et là j'ai oublié le vouvoiement.
• Oui j'ai envie que tu baises ma chatte que tu baises
ma bouche que tu m'encules jusqu'à m'élargir le trou cul.
J'étais folle et complètement libérée. Ces paroles sales,
je les connaissaient mais c'était la première fois que je
les prononçaient pendant l'amour et j'y prenait un énorme
plaisir. Hugues m'a alors guidée vers le lit je me suis
allongée sur le dos il à commencé à m'embrasser puis ses
mains on fait glisser les bretelles de ma chemise de nuit,
dans la pénombre il a découvert mes petits seins dont il
m'a répété qu'il en était fou, il les a sucé un bon quart
d'heure ils me faisaient mal tellement les pointes étaient
dures. Ensuite il a ôté ma chemise de nuit complètement
et à travers ma culotte il à commencé à me sucer la chatte
il a recommencé à me sucer les seins et a passé sa main
dans l'échancrure de ma culotte. Il me masturbait tellement
bien titillant mon bourgeon qui était dur je sentais ses
doigts glisser dans ma grotte complètement noyée, à ce moment
il a enlevé ma culotte et s'est jeté sur ma chatte j'ai
écarté les cuisses le plus largement possible sa langue
entrait au plus profond de moi ensuite il a écarté mes lèvres
d'une main tandis qu'il entrait un puis deux doigt dans
un lent puis rapide va et vient. Le clapotis de ses doigts
et de ma chatte était tellement excitant que je lui ai demandé
• Baise moi baise moi fort maintenant je veux sentir ta queue au fond de moi.
• Non tu ne connais pas encore ma queue tu vas d'abord
me sucer. Je suis sûr que tu aimes avoir une queue dans
la bouche. Elle est belle ta bouche tu vas bien me pomper
je veux jouir dans chacun de tes trous et sur ton corps.
Et joignant le geste à la parole il s'est relevé à baissé
son pantalon, je me suis assise sur le lit n'y tenant plus
j'ai baissé son slip et la j'ai découvert ce que n'osait
espérer une queue large, longue d'au moins 20 cm (celle
de mon mari ne fait que 14 cm en pleine érection qui ne
dure pas longtemps, et de plus il n'est pas large) et dure
comme une barre d'acier. Sa queue dans ma bouche je l'ai
pris par les fesses et l'ai attiré sur le lit. Allongée
sur le dos lui au dessus de moi j'avais son énorme mandrin
dans la bouche et il s'employait à le faire coulisser pour
me baiser la bouche comme il m'avait dit plus tôt. Comme
je l'ai dit plus haut j'adore sucer mais j'ai horreur que
l'on jouisse dan ma bouche chaque fois que je fais une pipe
à mon mari je lui demande de me prévenir et lui enrobe la
queue dans une serviette lorsqu'il joui. Mais ce jour là
je n'avais même plus conscience que la grosse bite de Hugues
pouvait décharger à tout moment dans ma bouche il s'était
maintenant allongé sur le dos et me tenait par l'arrière
de la tête et je suçait parfois lentement, parfois rapidement
en enfonçant son engin le plus profondément et je sentais
mes joues se gonfler par cet énorme pieu qui parfois venait
buter au fond de ma gorge soudain Hugues m'a demandé :
• plus vite mon amour plus vite je vais décharger
dans ton gosier.
Et bien que je n'aime pas cela je lui ai dit.
• Tu veux jouir dans ma bouche ? tu veux que j'avale
tout ton foutre oui j'ai envie de te boire j'ai envie que
tu me gave de ta crème tu vas me remplir la bouche et l'estomac
avec tout le jus de ton énorme bite mais garde des force
je veux absolument que tu me défonces par tous les trous.
Tout en disant cela je continuais à le masturber lentement
pour qu'il garde toute sa vigueur. Puis j'ai repris sa queue
en bouche j'ai recommencé à le manger lentement ensuite
plus vite soudain j'ai senti tout son corps se raidir sa
queue prendre une dimension encore plus grosse et tressaillir
dans ma bouche et un long jet chaud et crémeux me couvrir
la gorge puis un deuxième et un troisième et pendant qu'il
jouissait je continuais à le sucer comme une folle (j'ai
failli m'étouffer) et j'avalais en essayant de pas perdre
une seule goutte de sa liqueur. J'ai tout avalé avec délectation
ensuite Hugues m'a embrassé goulûment en essuyant mes lèvres
de sa langue il semblait prendre beaucoup de plaisir à goûter
les restes de son sperme sur ma bouche.
• Ta bouche et tes lèvres sont salées. • Cela te plait ?
• Oui.
Nous sommes restés enlacés un long moment à nous bécoter
nous caresser. C'est durant ces caresses que j'ai senti
à nouveau le sexe de Hugues grossir je me suis alors jetée
dessus fiévreusement pour le reprendre en bouche. Il était
aussi gros qu'auparavant j'ai demandé à mon amant.
• S'il te plait prends moi, prends moi par derrière j'ai trop envie de te sentir en moi. J'ai envie de ta grosse bite dans ma chatte en feu.
• Viens mets toi à genoux je vais te défoncer ma
florence chérie.
Je me suis mis à genoux par terre les bras et le torse
appuyés sur le lit. Hugues s'est positionné derrière moi
mais alors que je m'attendais à recevoir son énorme pieu
dans ma grotte inondée de mes sécrétions j'ai entendu Hugues
qui salivait dans sa main et qu'il passait celle-ci sur
mon petit trou. Je n'ai pas eu le temps de lui dire que
je voulais d'abord le recevoir dans la chatte. Sa queue
est venue se loger entre mes fesses je l'ai senti appuyer
sur ma rondelle et d'une poussée vigoureuse qui m'a écrasé
sur le lit son gland énorme est venue me déchirer le cul
et m'a arraché un cri de douleur.
• Salaud tu me casses le cul tu es une bordille je
te voulais dans ma grotte d'abord.
Il m'a proposé de ressortir pour la forme car il ne l'a
pas fait et en plus j'avais vraiment envie qu'il m'encule
bien à fond.
• Tu me traites de salaud alors que tu en veux comme une pute. Jamais je t'aurais cru aussi chienne dans le plumard tu en veux encore plus ? • Oui enfonces la bien au fond, défonces moi le trou, ramone moi, élargi moi l'œillet casse moi le cul.
• Espèce de salope tu vas pas le regretter tiens
prends la toute entière.
Toujours son énorme vier dans mon cul il réussi à se mettre
sur ses jambes et à grands coups de boutoir il fit coulisser
son membre dans mon petit cul que je sentais s'élargir de
secondes en secondes ( et oui jusqu'à présent seul mon mari
m'avait enculée, et peu membré comme il l'est, jamais mon
trou ne s'était évasé ) il y allait tellement fort que son
bassin faisait des "clacs" énormes lorsqu'il buttait dans
mes fesses.
• Oh oui défonces moi encore plus fort, encules moi toute la nuit, c'est bon je sens tes couilles frapper ma chatte, je veux que tu me casses le cul toute la nuit, tu ne me troncheras que demain au réveil après que je t'ai sucé. • Ha tu en veux au fond de ton boyaux prends ça pute que tu es.
• Oui je suis une pute, ce soir je suis ta pute,
et ramone mon cul.
Il m'a ramoné le cul cassé la rondelle il a élargi mon
trou et dans un râle s'est déversé dans mon boyau. Lorsque
j'ai senti sa bite se détendre un peu il s'est retiré et
m'a dit.
• Je vais me nettoyer.
• Non laisse je vais le faire avec ma bouche.
J'ai pris sa queue molle dans ma bouche, elle sentait fort,
elle avait un goût d'excréments, car dans la pénombre je
ne pouvais deviner s'il y en avait dessus, mais qu'importe
j'avais envie de ça, il m'avait comblée au cul je voulais
l'épuiser, le vider complètement. Je l'ai donc consciencieusement
nettoyé et j'ai senti qu'il recommençait à prendre vigueur.
• La salope, tu me fais encore bander, tu en veux
encore je vais t'en donner.
Et entre deux mouvements de pompes.
• Oui donnes m'en encore dans le cul, la chatte c'est pour demain. • Tu veux encore te faire défoncer ton joli petit cul rose. Tu est une vraie pute déchaînée tu fait pareil avec ton cocu de mari. • Non avec mon mari ça dure 5 minutes lorsqu'il me baise la chatte ou que je le suce, et encore moins longtemps quand il m'encule.
• Mets toi en position sur le dos c'est comme ça
que je vais t'élargir encore ton petit trou.
Je me suis mise sur le dos il a prit mes jambes les a relevées,
coincées dans ses épaules et à présenté sa bite devant mon
cul. Cette fois ci il est rentré d'une seule poussée je
ne peux pas dire que j'e n'ai rien senti mais la douleur
n'a pas été la même. La première fois c'était une douleur
de déchirement quant à celle ci c'était une douleur due
à l'irritation après une sodomie puissante et prolongée.
Mais j'ai quand même appréciée une nouvelle fois. Il m'a
limé le cul pendant vingt bonne minutes encore avant de
décharger une nouvelle fois dans mon boyau, mais moins puissamment
que la fois précédente, après quoi je l'ai encore sucé pour
le nettoyer et bien qu'il se mît à rebander nos ébats se
sont arrêtés là. Quelques bisous après nous dormions comme
des ….bienheureux. Le lendemain matin au réveil j'ai
laissée glisser ma main vers sa queue et après quelques
caresses il s'est mis à bander comme un taureau cette fois
il m'a baisé la chatte et j'ai éprouvé un immense bonheur
lorsque j'ai senti sa liqueur inonder mon ventre. Les 15
et 16 octobre nous avons continué nos ébats tant et si bien
que le 16 lorsque il a fallu se résoudre à rentrer j'étais
toute triste. Nous avons pris le train et pendant le trajet
je n'ai pu m'empêcher de prendre sa main, de la passer sous
ma jupe, et de l'aider à enfoncer un doigt au fond de ma
grotte toute humide. Depuis nous poursuivons notre relation.
Cette histoire de sexe s'est transformée en histoire d'amour.
Il m'a avoué m'aimer et je lui ai dit que c'est réciproque.
Il m'a demandé de quitter mon mari en me disant qu'il est
prêt de son coté à quitter sa femme. J'ai dit non, par respect
pour la famille, par peur de peiner mon mari et par goût
de …………….l'argent qu'il apporte
au sein de notre foyer.
C'est dur et injuste pour Hugues qui m'adore et que j'aime
d'un amour très puissant ( je le lui ai dit ).
Mais si jamais il me redemande de venir vivre à ses cotés……………..oui je dirai oui je l'aime, je t'aime Hugues je t'aime mon amour.
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