Voici mon histoire. Un soir, par jeu, mon épouse m'a demandé de me travestir. Ça m'a fait rire mais j'ai accepté. Le week-end suivant, elle a voulu que je recommence, mais cette fois-ci entièrement et elle avait tout prévu. Durant la semaine, elle avait acheté une perruque, des chaussures à talons à ma taille. Pour les vêtements pas de problèmes, nous avons à peu près la même taille.

Donc je me suis habillé mais avant elle m'a mis sous la douche et, avec une crème épilatoire, elle a fait disparaître le moindre de mes poils. Ensuite, j'ai mis une guépière en dentelle et un string assorti, des bas couleur chair et une robe moulante et pas très longue. Elle m'a maquillé avec beaucoup de goût, a coiffé la perruque, m'a mis les chaussures à talons et nous sommes passés à table.

Vers 21h30, elle m'a mis au défi de sortir et de l'accompagner dans sa sortie. J'ai accepté ; vu qu'il faisait déjà nuit, je me suis dit que je ne risquais pas grand chose. Nous avons pris la voiture en direction de la ville à 8 km, nous sommes sortis faire quelques pas dans une rue sombre pour m'apprendre à marcher avec des talons et, au bout de 15 minutes environ, direction le centre-ville, beaucoup plus fréquenté. Je ne savais plus où me mettre.

On a marché environ une heure et, au moment de rentrer, mon épouse est tombée nez-à-nez avec un de ses collègues de travail. Au moment des présentations, je me demandai comment elle allait me présenter mais, quand elle a dit à son collègue "je te présente mon mari", j'ai cru que j'allais mourir. De plus, elle lui dit que je suis sa chose et qu'on peut me demander tout ce que l'on veut. Jérôme, "son collègue", nous invite à boire un verre chez lui mais j'avais beau protester, ça n'a rien changé.

Arrivés chez lui, il nous propose un verre et on commence à discuter. Bien sûr autour du "cul" et bien sûr du mien, savoir si j'avais déjà sucé un homme ou si je voulais me faire prendre. Un deuxième verre, puis un troisième, moi qui ne bois jamais, et je me sentais très à l'aise, au point que je me suis mis à danser au son de la musique.

Jérôme m'a rejoint et je ne sais pas pourquoi mais, quand il a commencé à m'embrasser, je me suis laissé faire. En même temps, il me caressait et je dois dire que j'aimais bien. Aussi, quand il m'a emmené dans sa chambre, je l'ai suivi sans rien dire et quand il a baissé son pantalon et qu'il m'a présenté son sexe, c'est tout simplement que je me suis mis à le sucer. Ma femme me disait comment faire pour lui faire plaisir.

Au bout de je ne sais combien de temps, il m'a renversé sur le lit et, après m'avoir lubrifié mon trou du plaisir, il m'a sodomisé, entrant en moi d'un coup. C'est comme si on m'avait ouvert en deux et je crois que je n'ai jamais crié comme ça. Je me souviens aussi avoir pleuré de honte, je pense, sans bouger pendant quelques secondes. Il a commencé à me labourer, doucement puis rapidement et là aussi j'ai crié, d'abord de douleur mais très vite de plaisir.

Au moment d'éjaculer, il s'est retiré et il s'est vidé dans ma bouche et m'a forcé à tout avaler. Pendant que je m'efforçais de ne pas rendre tout ce foutre, ma femme me sodomisait, arnachée d'un gode ceinture. Ça a duré une bonne partie de la nuit et quand nous sommes rentrés chez nous, elle m'a avoué qu'elle avait tout prévu, que son collègue était homo, qu'il m'avait vu une fois et qu'il avait flashé sur moi, qu'il en avait parlé à ma femme et que dans la semaine, ils avaient mis au point la sortie, la rencontre et la soirée chez lui.

Cette histoire s'est passée en décembre 2008 et, depuis un an, ma femme et moi sommes divorcés. Je suis devenu homo à 100%, je me travestis tous les jours et je ne compte plus les amants que j'ai eus depuis ce "fameux" soir. Au fait, je me prénomme Gaelle, si ça vous intéresse.


Gaelle