C'était par une belle fin de journée du mois de mai, ce jour-là, je sors du travail plus tôt que prévu : des heures à récupérer.
Je fais le trajet du retour sans encombre et m'apprête
à garer la voiture. Tiens, Laurence est déjà rentrée, super
!
Mon coté voyeur me prend soudain et j'ai envie de voir ce qu'elle fait quand je ne suis pas la, seule dans la maison. Il ne devrait pas y avoir un super spectacle mais bon, je fais le tour de la maison et m'avance dans les fourrés, à travers les sapins je distingue notre salle à manger, et là je la vois, NUE, je m'étais trompé, il y a du spectacle, mais je suis loin, et j'ai du mal à voir. Je sens ma bite se dresser dans mon slip, l'image de Laurence nue dans le salon m'excite, surtout qu'elle est plutôt du genre à fermer les rideaux. Je continue de scruter et maintenant je vois son dos, que fait-elle dans cette position. L'envie est trop forte ! Je refais le tour de la maison, espérant ne pas tomber sur un voisin qui me fera perdre mon temps.
Ouf, personne ! Je passe sur le coté et m'avance prudemment
; et là stupeur ! Laurence est tout simplement en train
de sucer un voisin qui, quelques mois auparavant, lui avait
fait des avances. Un bel homme d'une quarantaine d'années
! Je vois aller et venir sa queue tendue dans sa bouche,
la langue de Laurence passe délicatement sur ce membre veiné,
de belle taille ; elle titille son gland gonflé du bout
de la langue. Je vois ses seins pointant de désir, eux aussi
tendus par l'envie, je suis comblé et excité, si un autre
voisin me voit, il va se demander ce que j'espionne chez
moi, mais le plaisir est trop fort, je m'en mets plein les
yeux.
Laurence est là, nue dans le salon, suçant la queue d'un
inconnu, elle y prend un plaisir fou. Je la vois suçant
et branlant cet homme ; je me croirais dans un film X. Elle
y met la même ardeur, l'homme a l'air satisfait, Laurence
l'avale presque entièrement, elle y met vraiment tout son
coeur !
Laurence quitte cette bite, c'est vrai qu'il est bien monté,
et passe sa langue le long de son ventre, remonte jusqu'à
son torse et va trouver sa langue, ils s'embrassent fougueusement,
ses seins sont pétris, léchés par notre voisin, il lui mord
les tétons, le salaud pensai-je.
Laurence s'allonge maintenant dans le canapé, sa chatte
presque entièrement rasée est toute luisante de mouille,
elle qui ne mouille pas abondamment a l'air de dégouliner
aujourd'hui. Elle doit être vraiment dans un état d'excitation,
je le suis bien moi. L'homme se met à genoux devant sa chatte,
avec ses deux mains il lui écarte un peu plus. Quelle vision
! Je vois sa langue laper doucement ses lèvres, il la suce
de haut en bas, descendant sa langue jusqu'à son petit trou,
il s'attarde aussi sur son clito gonflé lui aussi de désir,
puis il rentre un doigt. Les yeux de Laurence en disent
long sur le bien que ça lui fait, je dis ses yeux, mais
c'est surtout le blanc que je vois.
Il la doigte doucement, ces gestes sont lents et précis,
aucune précipitation, est-ce la première fois ? J'en doute,
vu le temps qu'ils prennent, à moins que justement ce soit
la première fois, enfin le moment n'est pas aux questions,
il est au spectacle. Pendant mes interrogations, l'homme
a inséré un autre doigt, il les porte à sa bouche afin de
sucer ce jus de femme. De son autre main, il se branle toujours
doucement, du liquide s'écoule de son membre, formant de
longs fils jusque sur le carrelage, trois doigts fouillent
maintenant la grotte de ma femme, les jambes outrageusement
écartées, de la mouille coulant, j'ai abandonné mes craintes
et me caresse aussi au coin du mur, ma bite aussi est tendue,
plus que celle du voisin, qui perd un peu de sa superbe,
mais qui ne perd pas de ses envies de faire plaisir à mon
épouse.
Laurence se met à genoux sur le fauteuil, lui offrant ses
fesses qu'elle écarte. Tout en la doigtant dans cette position,
il lui lèche l'anus, il y introduit un doigt aussi, décidément
tous ses orifices auront été honorés, qu'ils sont beaux
tous les deux dans cette position.
Laurence en veut plus il y a l'air. Elle se retourne, embrasse son compagnon en passant et le reprend dans sa bouche pour lui redonner une belle vigueur, ce qui ne se fait pas longtemps attendre. Sa bite se redresse fièrement en quelques coups de langue puis Laurence s'allonge à nouveau et l'attire entre ses jambes. Ça y est, il la pénètre, le veinard, sa bite entre et sort de son vagin toujours trempé, ses va et vient n'en finissent plus, tantôt rapides, tantôt lents. Laurence est aux anges. Cette bite la pénétrant lui procure un bien immense. Je me sens prêt à exploser, je suis moins endurant que notre voisin ou plus excité encore que lui. Laurence se met à quatre pattes, offrant de nouveau ses fesses à notre vision, mais c'est son cul qu'elle offre à son amant ! Je le vois présenter sa tige à l'entrée de son petit trou. Il y va vraiment en douceur, tous ses gestes sont calculés et Laurence apprécie vraiment. Sa bite entre centimètre par centimètre, Laurence grimace un peu, est-ce de plaisir ou de douleur ? Son amant s'enduit de temps à autre la bite de la mouille de ma chérie et reprend sa lente progression entre ses fesses. Cette progression a l'air de durer des heures, et voilà notre voisin est planté dans le cul de ma femme jusqu'à la garde, il reste immobile.
Laurence se caresse la chatte et c'est elle qui donne le
signal : elle s'avance un peu puis se recule, de nouveau
s'avance un peu plus maintenant et recule encore. Son amant
a compris, avec ses mains sur ses hanches, il commence ses
va et vient. Quelle vision torride j'ai là ! Maintenant,
il sort complètement sa bite et aussi sec il lui remet dans
le cul. Je distingue quelques cris de plaisir, Laurence
est là sur le canapé en train de se faire enculer par une
autre bite que la mienne, et moi je me réjouis du spectacle,
c'est ce que j'ai toujours voulu, que ma femme se fasse
prendre par un inconnu.
Ça y est ! Il va venir ! Je le vois qui se retire et se
tient la bite. Laurence s'agenouille devant lui ; pas possible
elle va le reprendre en bouche. Et si ! Elle reprend cette
bite gonflée entre ses lèvres ; il se branle sur sa bouche,
elle l'ouvre. Je vais m'évanouir ! Et il explose en longs
jets, Laurence est aspergée, vraiment je n'ai jamais vu
ça, et Laurence qui en avale, alors que je n'ai jamais réussi.
Elle n'avale pas tout car c'est bien trop pour elle mais
il a fini maintenant. Incroyable, elle le suce encore alors
que sa bite se ramollit doucement. Elle se lève, se colle
à lui et l'embrasse sur les lèvres, avant de disparaître
dans le couloir, "elle monte à la salle de bain", je pense.
Notre voisin se rhabille tranquillement, essuie toutes
preuves compromettantes. Je vois Laurence descendre en peignoir,
elle l'embrasse encore une fois avant de lui ouvrir la porte.
J'attends quelques minutes, et je rentre. Je ne sais comment
réagir. Je monte dans la salle de bain, Laurence est sous
la douche.
- Bonsoir ma chérie !
- Bonsoir mon amour !
On s'échange des banalités de fin de journée, je la regarde, je l'aime.
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