TITRE : Mon beau-père
Catégorie : 
Histoire Sado Maso

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Ma mère se mariait souvent, tous les cinq ans environ. C'était comme ça. Elle vivait selon son cycle. Rien de bien grave en somme. Elle changeait de mari comme certaines changent leur déco. A quinze j'avais pris le rythme. Au fond je crois que cela m'amusait. Je la sentais libre et je ne souhaitais que son bonheur. D'abord il y eut mon père. Ensuite son second mari Mathieu, pas spécialement beau et pas spécialement sympathique. Ensuite vint Georges. Un homme viril qui me regardait bizarrement. Puis arriva dans la vie de ma mère et dans la mienne par la même occasion, Roberto. Il venait tout droit d'Espagne, des terres brûlées de Castilla y Leon. Il se montra doux et gentil à mon égard. Ma mère l'adora tout de suite. Nous le rencontrâmes le soir de mon anniversaire, dans une pizzeria. Je fêtais alors mes quatorze printemps.

Roberto était le directeur du restaurant. Il avait de grandes mains et la peau hâlée. Son accent fit fondre ma mère qui minauda instantanément aux premiers mots, aux premières syllabes. Roberto dragua ma mère ce soir là comme savent le faire les latins. Il lui lançait des regards chaleureusement ardents que le noir de ses yeux accentuait. Il l'enveloppa immédiatement et je sus aussitôt que ce soir là le bel hidalgo irait rejoindre ma mère dans son lit, dans cette chambre qui jouxtait la mienne. Nous vivions dans un petit appartement, enfin pas si petit mais suffisamment pour nous croiser tout le temps. Et comme je l'avais deviné, Roberto frappa doucement à la porte ce soir là. Je ne dormais pas encore. Ma mère alla lui ouvrir. J'étais attentive. Je ne sais pas pourquoi mais je l'étais.
Debout, l'oreille collée à la porte j'écoutais ce qu'ils se disaient. Je n'entendais pas vraiment. Ils murmuraient et riaient. Des rires sous cape qui font tendre l'oreille d'avantage. Puis je les entendis s'aventurer dans le couloir de nos chambres. Je sentais et entendais leur frôlement et leur étreintes. Ils entrèrent dans l'antre de ma mère. Je collais alors mon oreille au mur. Je ne sais pas ce qu'il lui faisait mais ma mère avait l'air ravie et délicieusement heureuse.

Puis j'entendis le lit grincer. Alors avec le plus grand des courages, j'ouvris le plus discrètement la porte, et je m'aventurais dans le couloir. Je me baissais et mis mon oil à la serrure de la chambre de ma mère. Il était là, à genoux sur le lit et ma mère était à quatre pattes. Elle avait le sexe de cet homme dans la bouche et semblait le savourer. Je la vis faire des vas et viens, le sexe entrant de plus en plus dans sa bouche. Il lui tenait les cheveux. S'enfonçait en elle. Et je ne sais par quel miracle, le simple fait de les voir ainsi, cela me fit mouiller. Pour la première fois de ma vie j'eus envie de connaître cela. D'une main ma mère astiquait ce truc énorme, et de sa bouche et de sa langue je voyais Roberto défaillire. Ainsi donc les hommes et les femmes faisaient ensemble ce genre de trucs.
- prends moi, mon gros cochon, prends moi comme une chienne, lui lança ma mère.


Violemment je vis Roberto la retourner.

- T'es une belle salope, tu vas t'en prendre plein le cul, ma salope, t'es une vraie pute toi, comme je les aime ! lui répondit il en la retournant.

Je le vis lui écarter les fesses. Il avait un sexe tout droit, tout dressé et énorme. Une sorte de pieu. D'un coup sec il s'enfonça en elle. Il commença à la labourer et moi devant ce spectacle je me mis a me toucher. Je les regardais un certain temps faire leur truc, j'entendais ma mère gémir. Elle semblait si heureuse. Roberto prit ma mère dans tous les sens. Il ramonait comme un sauvage, tenant entre ses grosses mains ses hanches. Cela dura longtemps avant qu'il ne sortit de l'antre secrète de ma mère pour l'asperger d'un drôle de liquide qui sortait tout droit de son sexe. Elle en prit dans la bouche et sur le corps. Se massa comme s'il s'était s'agit d'une crème pour le corps. Je retournais alors dans la chambre. Malheureusement excitée et ne sachant pas vraiment comment me calmer.

Ma nuit fut longue et un peu agitée. Les sons et les images ne m'avaient pas laissés de marbres. Puis je m'endormis enfin au petit matin.

Quand je m'éveilla, à dix heures du matin, ma mère était déjà partie au travail. Je filais tout droit dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner quand je me trouva nez à nez avec Monsieur gros Bâton. J'eus sûrement l'air gêné de l'espionne qui ne sait pas mentir et qui avait assisté à tout. Il me regarda avec ses yeux fouilleurs. Il regardait mes seins et mes reins. Je le sentais. C'était presque palpable. J'entrepris alors de faire chauffer mon lait, pour mon chocolat chaud matinal. Bizarrement dans un même mouvement, discrètement, je défis ma ceinture de robe de chambre. En dessous j'étais juste en caleçon. J'attrapais un bol, le plus haut placé et je sentais son regard sur moi. Je fis semblant de me retourner l'air endormi. Je savais qu'il regardait mes seins. Qu'il me scrutait du regard. Je retournais à ma casserole. Il se leva et vint vers moi.

- tu as bien dormis ? me demanda t il.
- Oui et vous ? lui répondis je.
- Tu peux me dire tu.
- Bien et toi ?

Il me regarda droit dans les yeux. Il avait un petit sourire. J'étais anéantie. Ses yeux se portèrent sur ma poitrine à demi couverte puis sur mon ventre, sur mon entre-jambe et enfin sur mes cuisses. Son regard m'enveloppait littéralement.

- Tes seins ont l'air d'être encore plus beaux que ceux de ta mère. Me dit-il doucement de son accent ravageur.

Je rougis.

- j'ai passé une très bonne nuit pour répondre à ta question. J'ai passé une très bonne nuit car je t'ai entendu nous espionner. As tu aimé ?

Je ne savais plus ou me mettre. J'aurais voulu a cet instant disparaître a jamais. N'avoir jamais existée. Mais son regard continuait de me perforer l'ame.

- Y'a pas de honte à se demander ce qu'est le sexe à ton age. Y'a pas de honte a vouloir comprendre ce qui se passe entre un homme et une femme. Quand j'étais gamin, m'expliqua-t-il, j'ai vu mon père rendre heureuse les copines de classe de ma sour. Il les prenait sur la table de la cuisine ou bien sur le canapé de la salle a manger. Une fois je l'ai vu enfiler la meilleure amie de ma sour au bord de la piscine. Elles avaient l'air si heureuse. Le sexe, ce n'est que du bonheur. Tu te pose des questions mais sache qu'avec le corps que tu as tu vas rendre les hommes heureux. Encore faut il savoir comment te servir de ce corps, de ton corps.

- as tu deja été empalée par un homme ? me demanda t il soudain.
- Non lui répondis-je apeurée.

Et je ne sais pas pourquoi mon regard se porta sur son caleçon. Je vis que le bâton grossissait. Je fus un peu prise de vertige. J'avais envie de lui. J'avais quatorze ans et j'avais envie de lui. Comment était-ce possible ?

Sans attendre d'autre réponse il posa une main sur ma cuisse gauche. D'un geste il remonta délicatement vers mon caleçon. C'était chaud et j'étais toute mouillée. De son autre main il fit glisser ma robe de chambre. J'étais presque nue devant lui.


- Je vais te prendre de force, te défoncer, tu vas sentir ma bite dans ton corps. Laisse toi faire. Tu vas aimer.

Sans même avoir le temps de répondre, il me souleva et me je me retrouvais a genoux sur la table de la cuisine. Une seconde après j'eus mal. Je fus déchirée. Puis je sentis un membre chaud en moi. Ses mains posées sur mes hanches, il entreprit un doux va et vient. Puis il commença à devenir plus brutal, j'avais la sensation d'etre une petite chose entre ses mains. Il me ramonait. Furieusement.

- T'es une salope, t'es une vraie petite salope. Prends ça petite pute ! me disait-il. Et je prenais. Je prenais pour mon plus grand plaisir. Je sentais sa bite aller et venir dans mon corps, ce truc chaud, je me sentais excitée.
- '
- t'as un beau petit cul ma salope, gémissait-il en me donnant de furieux coup de rein. Une de ses mains se porta sur mon sexe et je sentis mon plaisir décupler.
Soudain, la chatte profondément plaquée contre son sexe il me souleva et s'assit sur la chaise. J'avais les jambes totalement écartées. Il me soulevait et me ramenait à lui sur un rythme effréné. Il me défonçait. Je me faisais baiser comme une chienne. Il criait ; « putain, petite putain, putain, putain, t'aime ça salope, je vais te rendre dingue ».
Je me souviens avoir été mise dans tous les sens. Il m'a prise sur le sol, à quatre pattes, sur l'évier, contre la machine à laver, il me portait au bout de sa queue partout ou il pouvait. Je me suis fais défoncer. Devant derriere, devant, derriere. Je me souviens de sa main sur mon sexe, il me branlait en même temps. Cela dura peut etre une heure. Une heure de plaisir intense. Il déchargea dans ma bouche. Je tenais son sexe entre mes mains. J'étais prête à tous ses délires après ce qu'il venait de me faire vivre. Je le voulais heureux. IL m'aspergea le visage et m'étala son liquide par des caresses, sur les joues, le cou, les seins.

Ma mère a épousé Roberto, et chaque matin, je me fais défoncer par l'homme de sa vie. Parfois meme le midi quand je rentre manger à la maison. En fait je me fais prendre comme une chienne et c'est son sexe que je mange avec le plus grand délice.



Serena.

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