TITRE : Mon avocat
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites

Accueil Histoire érotique Histoires à l'extèrieur

Cet avocat m'a été recommandé par une amie.

Il a défendu ses intérêts dans une difficile affaire de succession.

Elle ne m'a vanté que sa disponibilité et ses compétences professionnelles.

C'était tout ce que je demandais.

Au téléphone, le courant n'est pas tellement passé ; il était froid, distant voire hautain.

Au bout de plusieurs échanges téléphoniques et par mail, nous avons dû nous rencontrer.

Lorsque je l'ai vu pour la première fois, ce qui m'a frappé tout de suite, c'est qu'il était beaucoup plus jeune que je ne l'avais imaginé : Pas plus de 35 ans.

Pour le reste, un look d'avocat : lunettes sévères, chemise aux plis impeccables, cravate sans originalité…

Nous avons débattu de mon affaire de divorce.

Au bout d'une quinzaine de minutes, il m'a congédiée à peine poliment. J'étais soufflée.

Deux jours après, c'est lui qui m'a appelée pour fixer un nouvel entretien. Je me suis étonnée de devoir le revoir si vite croyant avoir fait le tour de la question. Il a argué du fait que certains éléments manquaient de clarté et qu'il avait besoin de mon éclairage.

Il est venu me chercher dans la salle d'attente, je l'ai suivi dans les escaliers ; j'ai ainsi remarqué la bonne coupe de son pantalon mais je me suis aussi surprise à mater ses fesses et ses épaules.

Je me suis vite reprise mais j'ai quand même senti que je rougissais un peu quand il s'est effacé devant moi en me tenant la porte ; a-t-il aussi regardé mon cul moulé dans une petite jupe noire quand je suis passée ? J'ai regretté d'avoir mis ces collants rose bonbon, un peu trop fun pour un avocat !

Un petit couloir borgne menait à son bureau encombré de dossiers, la porte grinçait de façon presque comique. L'équipement informatique dernier cri jurait décidément avec la vétusté des locaux .

Il s'est assis et chose nouvelle : il a souri ! Il a retiré au même moment ses lunettes pour les essuyer et je suis restée saisie par son regard bleu, très doux, le laissant apparaître beaucoup plus vulnérable que dans son uniforme de Maitre machin..et là je me suis sentie fondre….D'ailleurs, je crois bien que déjà là j'ai commencé à mouiller ma culotte. Plus j'essayais de ma raisonner en me disant que ce n'était ni le lieu ni la personne…Que j'étais là pour une affaire sérieuse, plus des images torrides affluaient dans mon cerveau me représentant le baveux, qui décidément voulait mériter le sobriquet , à genoux entre mes jambes, me léchant avec ardeur, ou bien moi, cuisses écartées sur son bureau au milieu des dossiers épars, le laissant me besogner à loisir d'une queue que j'imaginais bien proportionnée.

Il dût sentir mon trouble car son sourire s'accentua et il me demanda de but en blanc : « avez-vous un amant ? »

Je restais interloquée.

Il se reprit : « j'ai besoin de savoir si les attaques de votre ex mari sont fondées »

J'avais eu plusieurs occasions de tromper Louis mais jamais je n'avais souhaité rompre le contrat entre nous même les derniers temps quand ça ne marchait pas très fort.

Mais, je ne sais pas ce qui me prit, je m'entendis répondre : « pas encore »

«- Vous avez des projets ?

- Ca dépend

- De quoi ?

- Vous voulez dire de qui

- Vous avez quelqu'un en vue ?

- Ca se pourrait bien »

Je sentis qu'il ne savait pas si c'était du lard ou du cochon.

Il me jeta un regard interrogateur, sourit, toussa, tira un peu sa chemise et se rassit.

Reprenant une contenance toute professionnelle et se cachant derrière ses montures, il me dit qu'il ne saurait trop me conseiller d'être prudente tant que le divorce n'était pas prononcé et, le cas échéant de le faire en toute discrétion.

Je le regardai droit dans les yeux, reculai un peu ma chaise et relevai ma jupe de quelques bons centimètres pour décroiser puis recroiser mes jambes, sans répondre.

Il se leva et fit le tour de son bureau pour se retrouver face à moi ; il s'assit sur le bord et me regarda sans rien dire.

Je soutins le regard .

Il avanca un peu et un dossier en équilibre précaire tomba sur le sol.

« - Oops il a glissé, dit-il »

Nous étions tous les deux accroupis par terre à ramasser les feuilles éparses sur le tapis.

Je remarquais au passage des paquets de pepito vides dépassant de la poubelle : un gourmand me dis-je en moi-même. Je répondis :

« - Eh oui un dérapage est si vite arrivé

- Etes-vous contre les dérapages, me demanda-t-il ? »

Je décidais de me jeter à l'eau :

« Il y a des gens avec qui on a plus envie de déraper que d'autres…. »

Je jetais un œil sous sa ceinture et une petite bosse m'indiqua, un qu'il portait à gauche, deux que mon discours et mes collants lui faisaient de l'effet. Mais je sentis qu'il lui fallait un signal plus clair. Avocat mais timide ; la peur du râteau ou de la gaffe…

Je lui tendis la dernière feuille et posais ma main sur sa cuisse : « le terrain ici est glissant mais j'ai très envie de déraper »

Il ne dit rien, posa le dossier sur le bureau tandis que nous nous relevions.

Déçue par son absence de réaction, je me retournais pour attraper mon manteau posé sur le dossier de la chaise ; c'est alors que je sentis ses deux mains qui m'empoignaient les fesses ; il les pétrit doucement d'abord, puis de plus en plus fermement ; mon bassin se mit à onduler et je fermais les yeux ; je sentais sa respiration contre ma nuque ;il m'embrassa dans le cou, au coin des oreilles et m'entoura de sas bras ; ses mains allèrent chercher mes seins ; ses doigts se glissèrent sous le pull et le top, puis encore sous le soutien gorge blanc en fine dentelle.

Il me caressa les tétons déjà au garde à vous ; j'avais la chair de poule mais ce n'était pas le froid !

Je sentais ma culotte devenir de plus en plus humide ; de petits filets coulaient le long de mes cuisses.

Justement, ses mains abandonnèrent ma gorge pour mes jambes ; il remonta des genoux au pubis à travers le collant et il me glissa à l'oreille « tiens, mais il pleut ? »

Je répondis à mi-voix « à torrents ! »

Sans que je sache comment, je sentis en quelques secondes son index qui courait le long de mes lèvres.

Je posais un pied sur la chaise et me mis à gémir doucement.

Son autre main se fraya un passage par derrière ; bientôt dix doigts me parcouraient, me fouillaient tous les orifices, trop heureux d'être visités et dégoulinants de plaisir.

Il baissa plus franchement mon collant découvrant mes fesses rondes et blanches, bien charnues.

Je m'appuyais au dossier de la chaise, faisant saillir mon cul ; il frotta son membre à travers son pantalon contre ma raie.

Je me retournai, me mis à genoux et entrepris de dégrafer son pantalon ; il vint à la rescousse car les agrafes et boutons me résistaient.

Un shorty rose me barrait le passage, je m'écartais et découvris un sexe magnifique, blanc, dressé, vigoureux , long et fort. Je le pris en bouche.

Au simple contact de son gland sur ma langue, je sens une chaleur envahir ma chatte; je suis hyper excitée; j'ai toujours aimé la fellation mais l'idée de sucer mon avocat est un brin subversive et contribue à mon état.

Sa bite est dure comme du bois, toute dressée, je sens le sang affluer dans les vaisseaux; ma langue s'active; je lèche en tous sens à petits coups puis je lape comme un chat ce membre qui me fait si envie; mes mains caressent ses couilles et l'entrejambe, je me promène...Mes doigts courent le long de ses cuisses, remontent et je pompe ce dard à fond.

J'essaye de l'engloutir aussi loin que je peux; je salive, je bave.. Je lèche avec ardeur. Il me tient par les cheveux et de temps en temps imprime le mouvement.

Je sens qu'il est prêt d'éjaculer. Lui aussi.

Il me relève, écarte les dossiers et me couche sur son bureau; il ôte mon collant ou plutôt l'arrache; les escarpins partent avec, le string se retrouve sur un dossier vert marqué confidentiel: ma jupe est relevée; je suis à plat dos; je pose mes pieds sur ses épaules ; il plante son regard dans le mien et me pénètre d'un seul coup; je mords ma main pour ne pas crier; décidément il est bien membré ! Il va et vient. J'ondule des hanches, je miaule.

Alors, je sens son doigt qui taquine ma rondelle et s'enfonce lentement dans mon cul. Je lui crie "baise-moi". Il attendait mon signal; le rythme s'accélère; son doigt entre et sort, sa bite aussi.

Au moment de cracher son venin, il sort et m'envoie tout sur mon pubis épilé.

Il me rattrape par les cheveux, je ne comprends pas tout de suite ce qu'il veut; il me dit "lèche, nettoie-moi"

Et le lèche à nouveau son sexe qui mollit doucement dans ma bouche; je le lèche pour effacer toute trace de sperme.

Moi, j'en suis couverte.. Et je suis cul nu sous ma jupe.

Le téléphone sonne. Il se rajuste et va répondre

Son prochain rendez-vous l'attend

Il prend un mouchoir dans sa poche et vient à son tour m'essuyer puis, il récupère mon string, s'agenouille pour m'aider à l'enfiler.

Je suis gênée.

Je finis de passer mon collant.

Il me dit "mets tes chaussures et appelle-moi demain"

Je ne sais pas s'il me défendra bien mais il m'a bien baisée ....

Auteur

Accueil Histoire érotique Histoires à l'extèrieur




Partenaire de communication avec logiciel fax internet
Nom de domaine et hebergement internet