Cet avocat m'a été recommandé par une amie.
Il a défendu ses intérêts dans une difficile affaire de
succession.
Elle ne m'a vanté que sa disponibilité et ses compétences
professionnelles.
C'était tout ce que je demandais.
Au téléphone, le courant n'est pas tellement passé ; il
était froid, distant voire hautain.
Au bout de plusieurs échanges téléphoniques et par mail,
nous avons dû nous rencontrer.
Lorsque je l'ai vu pour la première fois, ce qui m'a frappé
tout de suite, c'est qu'il était beaucoup plus jeune que
je ne l'avais imaginé : Pas plus de 35 ans.
Pour le reste, un look d'avocat : lunettes sévères, chemise
aux plis impeccables, cravate sans originalité…
Nous avons débattu de mon affaire de divorce.
Au bout d'une quinzaine de minutes, il m'a congédiée à
peine poliment. J'étais soufflée.
Deux jours après, c'est lui qui m'a appelée pour fixer
un nouvel entretien. Je me suis étonnée de devoir le revoir
si vite croyant avoir fait le tour de la question. Il a
argué du fait que certains éléments manquaient de clarté
et qu'il avait besoin de mon éclairage.
Il est venu me chercher dans la salle d'attente, je l'ai
suivi dans les escaliers ; j'ai ainsi remarqué la bonne
coupe de son pantalon mais je me suis aussi surprise à mater
ses fesses et ses épaules.
Je me suis vite reprise mais j'ai quand même senti que
je rougissais un peu quand il s'est effacé devant moi en
me tenant la porte ; a-t-il aussi regardé mon cul moulé
dans une petite jupe noire quand je suis passée ? J'ai regretté
d'avoir mis ces collants rose bonbon, un peu trop fun pour
un avocat !
Un petit couloir borgne menait à son bureau encombré de
dossiers, la porte grinçait de façon presque comique. L'équipement
informatique dernier cri jurait décidément avec la vétusté
des locaux .
Il s'est assis et chose nouvelle : il a souri ! Il a retiré
au même moment ses lunettes pour les essuyer et je suis
restée saisie par son regard bleu, très doux, le laissant
apparaître beaucoup plus vulnérable que dans son uniforme
de Maitre machin..et là je me suis sentie fondre….D'ailleurs,
je crois bien que déjà là j'ai commencé à mouiller ma culotte.
Plus j'essayais de ma raisonner en me disant que ce n'était
ni le lieu ni la personne…Que j'étais là pour une
affaire sérieuse, plus des images torrides affluaient dans
mon cerveau me représentant le baveux, qui décidément voulait
mériter le sobriquet , à genoux entre mes jambes, me léchant
avec ardeur, ou bien moi, cuisses écartées sur son bureau
au milieu des dossiers épars, le laissant me besogner à
loisir d'une queue que j'imaginais bien proportionnée.
Il dût sentir mon trouble car son sourire s'accentua et
il me demanda de but en blanc : « avez-vous un amant ? »
Je restais interloquée.
Il se reprit : « j'ai besoin de savoir si les attaques
de votre ex mari sont fondées »
J'avais eu plusieurs occasions de tromper Louis mais jamais
je n'avais souhaité rompre le contrat entre nous même les
derniers temps quand ça ne marchait pas très fort.
Mais, je ne sais pas ce qui me prit, je m'entendis répondre
: « pas encore »
«- Vous avez des projets ?
- Ca dépend
- De quoi ?
- Vous voulez dire de qui
- Vous avez quelqu'un en vue ?
- Ca se pourrait bien »
Je sentis qu'il ne savait pas si c'était du lard ou du
cochon.
Il me jeta un regard interrogateur, sourit, toussa, tira
un peu sa chemise et se rassit.
Reprenant une contenance toute professionnelle et se cachant
derrière ses montures, il me dit qu'il ne saurait trop me
conseiller d'être prudente tant que le divorce n'était pas
prononcé et, le cas échéant de le faire en toute discrétion.
Je le regardai droit dans les yeux, reculai un peu ma chaise
et relevai ma jupe de quelques bons centimètres pour décroiser
puis recroiser mes jambes, sans répondre.
Il se leva et fit le tour de son bureau pour se retrouver
face à moi ; il s'assit sur le bord et me regarda sans rien
dire.
Je soutins le regard .
Il avanca un peu et un dossier en équilibre précaire tomba
sur le sol.
« - Oops il a glissé, dit-il »
Nous étions tous les deux accroupis par terre à ramasser
les feuilles éparses sur le tapis.
Je remarquais au passage des paquets de pepito vides dépassant
de la poubelle : un gourmand me dis-je en moi-même. Je répondis
:
« - Eh oui un dérapage est si vite arrivé
- Etes-vous contre les dérapages, me demanda-t-il ? »
Je décidais de me jeter à l'eau :
« Il y a des gens avec qui on a plus envie de déraper que
d'autres…. »
Je jetais un œil sous sa ceinture et une petite bosse
m'indiqua, un qu'il portait à gauche, deux que mon discours
et mes collants lui faisaient de l'effet. Mais je sentis
qu'il lui fallait un signal plus clair. Avocat mais timide
; la peur du râteau ou de la gaffe…
Je lui tendis la dernière feuille et posais ma main sur
sa cuisse : « le terrain ici est glissant mais j'ai très
envie de déraper »
Il ne dit rien, posa le dossier sur le bureau tandis que
nous nous relevions.
Déçue par son absence de réaction, je me retournais pour
attraper mon manteau posé sur le dossier de la chaise ;
c'est alors que je sentis ses deux mains qui m'empoignaient
les fesses ; il les pétrit doucement d'abord, puis de plus
en plus fermement ; mon bassin se mit à onduler et je fermais
les yeux ; je sentais sa respiration contre ma nuque ;il
m'embrassa dans le cou, au coin des oreilles et m'entoura
de sas bras ; ses mains allèrent chercher mes seins ; ses
doigts se glissèrent sous le pull et le top, puis encore
sous le soutien gorge blanc en fine dentelle.
Il me caressa les tétons déjà au garde à vous ; j'avais
la chair de poule mais ce n'était pas le froid !
Je sentais ma culotte devenir de plus en plus humide ;
de petits filets coulaient le long de mes cuisses.
Justement, ses mains abandonnèrent ma gorge pour mes jambes
; il remonta des genoux au pubis à travers le collant et
il me glissa à l'oreille « tiens, mais il pleut ? »
Je répondis à mi-voix « à torrents ! »
Sans que je sache comment, je sentis en quelques secondes
son index qui courait le long de mes lèvres.
Je posais un pied sur la chaise et me mis à gémir doucement.
Son autre main se fraya un passage par derrière ; bientôt
dix doigts me parcouraient, me fouillaient tous les orifices,
trop heureux d'être visités et dégoulinants de plaisir.
Il baissa plus franchement mon collant découvrant mes fesses
rondes et blanches, bien charnues.
Je m'appuyais au dossier de la chaise, faisant saillir
mon cul ; il frotta son membre à travers son pantalon contre
ma raie.
Je me retournai, me mis à genoux et entrepris de dégrafer
son pantalon ; il vint à la rescousse car les agrafes et
boutons me résistaient.
Un shorty rose me barrait le passage, je m'écartais et
découvris un sexe magnifique, blanc, dressé, vigoureux ,
long et fort. Je le pris en bouche.
Au simple contact de son gland sur ma langue, je sens une
chaleur envahir ma chatte; je suis hyper excitée; j'ai toujours
aimé la fellation mais l'idée de sucer mon avocat est un
brin subversive et contribue à mon état.
Sa bite est dure comme du bois, toute dressée, je sens
le sang affluer dans les vaisseaux; ma langue s'active;
je lèche en tous sens à petits coups puis je lape comme
un chat ce membre qui me fait si envie; mes mains caressent
ses couilles et l'entrejambe, je me promène...Mes doigts
courent le long de ses cuisses, remontent et je pompe ce
dard à fond.
J'essaye de l'engloutir aussi loin que je peux; je salive,
je bave.. Je lèche avec ardeur. Il me tient par les cheveux
et de temps en temps imprime le mouvement.
Je sens qu'il est prêt d'éjaculer. Lui aussi.
Il me relève, écarte les dossiers et me couche sur son
bureau; il ôte mon collant ou plutôt l'arrache; les escarpins
partent avec, le string se retrouve sur un dossier vert
marqué confidentiel: ma jupe est relevée; je suis à plat
dos; je pose mes pieds sur ses épaules ; il plante son regard
dans le mien et me pénètre d'un seul coup; je mords ma main
pour ne pas crier; décidément il est bien membré ! Il va
et vient. J'ondule des hanches, je miaule.
Alors, je sens son doigt qui taquine ma rondelle et s'enfonce
lentement dans mon cul. Je lui crie "baise-moi". Il attendait
mon signal; le rythme s'accélère; son doigt entre et sort,
sa bite aussi.
Au moment de cracher son venin, il sort et m'envoie tout
sur mon pubis épilé.
Il me rattrape par les cheveux, je ne comprends pas tout
de suite ce qu'il veut; il me dit "lèche, nettoie-moi"
Et le lèche à nouveau son sexe qui mollit doucement dans
ma bouche; je le lèche pour effacer toute trace de sperme.
Moi, j'en suis couverte.. Et je suis cul nu sous ma jupe.
Le téléphone sonne. Il se rajuste et va répondre
Son prochain rendez-vous l'attend
Il prend un mouchoir dans sa poche et vient à son tour
m'essuyer puis, il récupère mon string, s'agenouille pour
m'aider à l'enfiler.
Je suis gênée.
Je finis de passer mon collant.
Il me dit "mets tes chaussures et appelle-moi demain"
Je ne sais pas s'il me défendra bien mais il m'a bien baisée
....
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