TITRE : Mon amant commentait pour ses copains
Catégorie : 
Histoire Groupes et Partouze

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- « Vous avez vu la belle chatte qu'elle a, je l'ai bien excitée pour accueillir vos queues et elle mouille d'enfer. Et vous allez voir sa bouche, elle suce comme une pro et elle aime tellement ça qu'elle avale tout mais le plus beau c'est son cul. Vous le savez hein ? »
- « Oui, tu as raison elle a un cul d'enfer et elle le sait, elle nous a allumés toute la soirée avec son chemisier transparent et sa jupe bien serrée. »
- « Et bien elle va vous l'offrir maintenant, mais avant je veux la voir tous vous sucer à fond. Ça me fait bander de la voir tailler une bonne pipe à mes copains, Georges elle va commencer par toi. Allez vas-y, Sandrine, tu vas aimer ça. »

C'est vrai, j'étais excité de voir toutes ces belles queues bander pour moi. Alors docilement, j'ai enlevé le ceinturon, ouvert le pantalon et avec son aide je le lui ai enlevé ainsi que son mini slip qui libéra sa queue déjà bien tendue. Elle était pas très longue mais assez épaisse avec un gros gland tout rose qui commençait à pointer. Je la pris en main et commençai à la branler doucement décalottant complètement son gland qui grossissait à vue d'oil. Il avait de grosses couilles qui pendaient apparemment bien pleines et je les caressai aussi tout en approchant ma langue de son sexe. Lorsque j'ai commencé à le lécher Julien lui demanda :

- « Alors c'est bon, elle est douce sa langue. »
- « Oui super, une vraie suceuse, elle me fait tellement bander que je crois que je vais tout lui envoyer dans la figure. Tu caches bien ton jeu, tu sais. »
- « Attends un peu, elle va te le pomper comme jamais tu n'as été sucé. »

Je lui ai bien léché le sexe, doucement, insistant avec ma langue bien baveuse sur son gland qui était énorme puis je l'ai embouché et aspiré entre mes joues. Il couinait de plaisir en me tenant par les cheveux et il grossit encore dans ma bouche pendant que je le pompais. Je le léchais, lui prenais son gland entre mes lèvres, le faisais ressortir pour lui lécher ses grosses couilles bien dures. Alors que je passais la pointe de ma langue sur son méat et l'embouchais de nouveau il se mit à jouir brusquement. Il m'envoya de longs jets de sperme au fond de la gorge et alors que je reculais sous l'abondance du sperme que je n'arrivais pas à avaler, je reçus ses dernières giclées dans les cheveux. Il avait joui super vite, mais alors quelle puissance et quelle abondance. Il se branlait la queue devant moi.

- « Super pipe, tu m'as vidé les couilles comme jamais. Voir ta langue me lécher, ta belle bouche avaler ma queue bien dure, tu m'as fais gicler fort, je crois que j'ai jamais déchargé comme ça. C'est super bandant de se faire pomper par toi. »
- « Oui c'est vrai tu lui as envoyé une sacré dose. »
- « Mes couilles doivent être complètement sèches, mais de la voir offerte avec ses seins et sa chatte à l'air ça me fait encore bander. »

Julien me redressa et en me félicitant il me coucha sur le bureau tout en me caressant les seins dont les tétons étaient tout durs. Il m'ordonna d'écarter les cuisses, il cherchait du regard une belle queue.
Et c'est Georges qui avait déjà mis à l'air sa grosse queue bien gonflée qui vint se planter entre mes jambes. Il me prit les chevilles et les écartant bien, il planta son sexe bien dur dans ma chatte humide qui s'ouvrit sous la poussée. Son gland et sa tige forçaient mes chairs intimes à se distendre, je le sentais énorme en moi et ça me faisait mouiller d'être possédée par un membre pareil qui allait m'envoyer en l'air et me remplir de sperme. Il arriva en butée sans avoir enfilé la totalité de sa queue et commença à me pistonner :

- « Tu es vraiment bandante, ta petite chatte me serre bien et tu mouilles comme une fontaine, elle te plait ma queue ? »
- « Oui, oui c'est bon, elle est bien grosse, viens bien au fond. »
- « Bien sûr, tiens prends la et donne moi tes tétons, je vais te les faire grossir. »

Il saisit mes seins qui ballottaient au rythme de ses coups de piston et se mit à pincer, tirer mes tétons qui durcirent instantanément sous ses doigts et pointaient comme des appels à sucer. Il faisait chaud dans cette salle, tout mon corps réagissait aux caresses et je m'abandonnais complètement en gémissant comme une chienne pendant que les autres se branlaient et qu'un autre désigné par Julien, venait me mettre sa queue entre les lèvres. Mais mon baiseur sortit de ma chatte et écartant bien mes cuisses il se mit à me lécher le sexe, sa langue me fouillant partout, de mon petit trou du cul jusqu'à mon clitoris qu'il aspirait divinement. Elle était douce, râpeuse et dure à la fois et rapidement il m'envoya en l'air une première fois, ma jouissance se déclenchant pendant qu'il titillait mon clitoris. Je jouissais comme une folle offerte à tous ces mâles qui étaient bien montés et qui allaient profiter de la situation à fond. Mon lécheur ne s'arrêtait pas, la tête entre mes cuisses, il léchait mon jus dégoulinant de ma chatte presque imberbe, fourrant régulièrement sa langue dans mon cul qu'il léchait bien, l'écartant pour avoir accès à mon petit trou. Lorsqu'il se redressa, sa queue pointait toujours bien droit devant lui et avec son assistant, ils m'enlevèrent ma jupe et allèrent s'asseoir. Julien appela alors plusieurs copains et je me retrouvai nue au milieu d'eux.

Ils étaient sept ou huit et me branlaient la chatte, me caressaient le cul et les seins en pinçant mes tétons qui pointaient fièrement. Leurs queues me touchaient, me frôlaient, s'insinuaient entre mes fesses et ils finirent par me mettre sur la table, à quatre pattes, et tous à la suite ils me présentèrent leur sexe à sucer. J'étais juste à la bonne hauteur et je commençai par sucer celui d'un grand rouquin: il bandait comme un âne, sa queue raide bien longue et épaisse, son gland gonflé à bloc que je pris entre mes joues avait le goût de ma chatte dans laquelle il avait fait quelques aller retour. Il se retira vite et laissa la place à un autre qui me balada d'abord son gland sur tout le visage avant de le glisser entre mes lèvres et de me l'enfoncer au fond de la gorge. Il me tenait par les cheveux et se servait de ma bouche comme de mon sexe. Il grossissait entre mes lèvres et j'avais du mal à le sucer complètement mais je l'entendais soupirer d'aise et m'encourager à bien le pomper alors que j'avais mon arrière train bien offert.
Tout à coup je sentis deux mains s'emparer de mon cul, tout en écartant mes fesses, des langues me léchaient de partout. Un autre était derrière moi et il m'avait introduit une grosse canette de bière dans la chatte et il me branlait avec.

- « Tu es vraiment faite pour baiser, Sandrine, et on voit, on entend aussi que tu aimes ça. Tu as un cul magnifique et je crois qu'on va se le faire. »

Il me l'enfonçait profond et j'avais du mal à sucer la queue de Georges qui lui disait de me l'enfiler dans le cul. Eric sortit la bouteille de ma chatte et il plaça le bout en forme d'énorme suppositoire contre mon petit trou et doucement il poussa. Surprise je me retournai pour échapper à l'introduction mais Georges me maintenait sur la table en m'ordonnant de rester tranquille si je ne voulais pas une bonne fessée.

Ils bandaient tous bien dur de me voir offerte comme ça et Éric continua sa poussée. Il me faisait mal mais l'embout franchit mon sphincter d'un coup et il commença à me ramoner le cul avec cette bouteille qui faisait au moins 50 cm et qui m'ouvrait les reins en deux. Je leur demandai d'arrêter mais en pure perte et il l'enfonça doucement de la moitié puis commença des aller retour entre mes fesses. Ils étaient excités et petit à petit moi aussi je prenais plaisir à cette pénétration, mon cul s'ouvrant tout seul sous les poussées qui allaient de plus en plus profond. Je gémissais de plus en plus fort et Georges me remit sa queue dans la bouche tout en me caressant les cheveux. Je salivais sur son gland et sa queue, je le léchais avec application et je prenais mon pied : il était énorme dans ma bouche et je sentais le plaisir monter dans mes reins ouverts par cette espèce de queue qui me transperçait. Je gémissais de plus en plus fort comme les garçons qui me traitaient de tous les noms mais je m'en foutais complètement tellement le plaisir prenait le dessus.
Je lâchai le gland de mon amant et m'abandonnant à la jouissance qui montait je demandai à son assistant de bien m'enculer, de m'enfiler profond. Il se fit un plaisir de me pistonner avec sa bouteille en la faisant presque sortir de mon cul à chaque fois et dans un grand ouiiiiiii j'ai fini par jouir comme jamais sous leurs yeux.

Tout mon corps jouissait, l'onde remontant de mes reins à la pointe des seins qui étaient tendus et durs à l'extrême. Ça n'en finissait pas et tous les autres mecs continuaient à m'enfiler par procuration me promettant de me la mettre aussi profond tellement je les faisais bander. Quand il me retira enfin ce gode énorme de mon cul j'avais l'impression d'être ouverte pour toujours et je n'ai pas pu récupérer longtemps.
Julien me demanda alors si mon mari voudrait assister par téléphone à nos ébats :

- « Il fantasmerait comme un fou de me voir baiser par d'autres, mais il est sensible. »
- «Ca peut être intéressant pourtant, il t'entendrait jouir comme jamais il n'aurait imaginé. Je suis sûr que cela l'exciterait beaucoup et qu'il banderait comme un malade de t'entendre baiser par des hommes bien montés qui gicleraient dans tout tes trous, tu crois pas ?»
- « Certainement, mais je ne veux pas.»

Julien s'approcha de moi, j'ai cru qu'il voulait mater de près ; mai j'ai su plus tard qu'il avait appelé mon mari et qu'il approchait le téléphone pour que Jean Philippe m'entende jouir de prés. Il a pu participer ainsi à cette soirée et il m'a dit qu'il avait beaucoup bandé d'entendre mes cris.

Julien appela un autre copain qui vint se placer derrière moi et m'annonça que j'allais le prendre, lui, maintenant dans ma chatte et qu'il allait me remplir de jus.

Il balada son gland entre mes cuisses, entre mes fesses puis il le positionna entre mes lèvres et il entama sa poussée en me tenant fermement par les hanches. J'étais tellement mouillée qu'il m'enfila d'une poussée jusqu'au fond et dans un grognement de plaisir il me colla à lui. Il m'enfilait bien profond et je sentais sa queue grossir encore à chaque aller retour, remplissant ma chatte qui dégoulinait de mouille.

De temps en temps il sortait complètement et après avoir baladé son engin sur mon arrière train, je sentis son gland énorme m'embrocher de nouveau. Il allait bien au fond et il me plaquait contre son ventre dur, ses couilles rentrant presque dans ma petite chatte. J'étais son jouet sexuel, mes seins aux bouts durs ballottant sous moi, les autres me regardant en attendant leur tour tout en se branlant lentement et se faisant sucer de temps en temps. Je gémissais de plaisir et je lui demandai de me remplir la chatte de son foutre :

- « Tu es vraiment bonne, ta chatte me serre bien et ton cul bien ouvert ferait bander un mort. Tu aimes ça dis moi ! »
- « Oui j'adore ça, enfile moi bien, je suis à toi, tu me fais trop jouir. »
- « Attends je vais t'envoyer en l'air et tu vas sentir ma décharge, j'ai les couilles pleines à ras bord et te voir embrochée et sucer les grosses queues de mes potes c'est vraiment trop bandant. »
- « Ouiii, oui enfile moi bien, transperce ma chatte à fond, je veux ton sperme au fond de moi, plein de sperme. »
- « Tu vas être gâtée, j'ai les couilles pleines à ras bord et je vais te le mettre où tu veux. Dans la chatte ou dans le cul ? »
- « Ouiii, c'est bon, gicle dans ma chatte, je la veux remplie. »
- « Tiens prends ça. »
- « je vais t'enfiler de plus en plus fort et en plus avec tous ses sexes tu vas en prendre un maximum ma belle. Tu es une belle femelle en chaleur, tu aimes les grosses queues hein ? »
- « Oui j'adore ça, c'est trop bon avec vous. »
- « Tu es ma chienne maintenant, tu vas obéir sans discuter à tous mes désirs, mes ordres quels qui soient. Tu entends, dis bien fort que tu es mon esclave, que tu te donnes à moi . »
- « Oui, je suis ton esclave, je t'obéirai, je ferai tout ce que tu veux . »
- « C'est bien, tu vas en avoir du sexe avec moi, Sandrine, du bien dur, bien gros et bien profond. »

(Plus tard Jean Philippe me confia qu'il avait tout entendu et joui comme une bête de m'entendre parler crûment, hurler de plaisir à chaque orgasme.) Son sexe était énorme en moi et il venait en butée à chaque fois qu'il m'enfilait. Mes seins ballottaient sous moi, j'étais agrippée au bord de la table pour encaisser ses coups de bite et je gémissais de plus en plus fort pendant que lui poussait des cris de bûcheron à chaque fois qu'il m'embrochait. (Mon mari en prenait plein les oreilles)
Tout mon corps prenait plaisir à cette pénétration profonde et à cette exhibition devant ces jeunes mecs. Julien les appelait un par un et ils me caressaient les cheveux et me passaient leurs bites sur le visage, les mettaient entre mes lèvres humides et je les léchais entre deux coups de boutoir de mon maître baiseur. J'ai commencé à jouir quand il explosa dans ma chatte, je sentais son gland énorme au fond de moi et son sperme me remplir, et l'onde de plaisir se propagea à tout mon corps jusqu'à la pointe de mes seins. J'étais secouée par cet orgasme, excitée comme jamais par tous ses mecs, je criais mon plaisir de jouir et j'en redemandais, je voulais être remplie et continuer de jouir. Il se vida en moi en longues giclées puis ses couilles collées à mon cul il resta au fond de moi un long moment avant de se retirer en me donnant une claque monumentale sur les fesses.

Julien était resté près de moi savourant le spectacle et surtout avait laissé le portable pour que mon mari m'entende hurler de plaisir.
Je me suis retournée et allongée de tout mon long sur cette table de travaux pratiques, je récupérais de mes orgasmes successifs complètement offerte à leur regard et à leurs caresses les plus audacieuses.

Mes tétons étaient encore durcis du plaisir que j'avais pris et un inconnu continuait de les caresser en me soufflant qu'il allait lui aussi me remplir, mes jambes étaient écartées et je sentais le sperme couler de ma chatte et s'insinuer entre mes fesses.
Un autre me regarda en souriant, sa grosse queue dressée devant lui et il m'annonça tranquillement qu'il allait me renvoyer au 7e ciel avec son engin. Il s'installa entre mes cuisses et tout en me les écartant bien il m'approcha au bord de la table son gland venant toucher mes lèvres humides du sperme de mon amant précédent. Avec ses doigts il me caressa le sexe, insinuant son majeur dans ma chatte trempée, puis il me fouilla avec deux doigts tout en mettant à l'air mon clitoris. J'étais super sensible et quand il me branla mon petit bouton je me mis à gémir et tout en m'ouvrant au maximum pour favoriser la caresse je frissonnai de tout mon corps.

- « Tu es bien sensible, et ça te fait sacrément mouiller d'écarter les cuisses. »
- « Oui, j'adore ça, j'aime les grosses queues comme la tienne. »
- «Hum, et moi j'adore ta petite chatte et tes beaux seins bien gros, bien gonflés.»
- «Je vais te planter ma queue entre les cuisses et te remplir comme tu l'aimes. Baiser une belle chienne comme toi c'est vraiment trop bandant. »

Il pointa son engin à l'entrée de ma chatte et m'enfila doucement : son gland me perçait sans difficulté, ma chair s'ouvrant sous la poussée de ce jeune qui m'enfila jusqu'à être en butée. Je sentais son gland au fond de mon vagin et pourtant il n'avait pas introduit la totalité de sa longueur : sa bite était vraiment grosse et longue et il me bourrait comme s'il voulait me transpercer au delà de la chatte.

- « Arrête, elle est trop grosse, tu es bien au fond. »
- « C'est bon et tu me la serres fort, tu aimes ça ? »
- « Oui, oui, baise moi .»

Il se mit à me pistonner en poussant des grognements de plaisir et je me sentais comme ouverte en deux à chacun de ses coups de reins. Mes seins remuaient en rythme et il me regardait avec un petit sourire en coin apparemment satisfait de m'arracher des cris de plaisir et de se faire une jolie femme qui s'offrait sans retenue à ses assauts. De temps en temps il sortait de ma chatte, passant sa tige entre mes lèvres dégoulinantes, venant mettre ses couilles à l'entrée de mon con, puis il m'embrochait de plus belle son gland grossissant encore de plus en plus en moi. Les autres, qui bandaient eux aussi comme des malades, me saisissaient à tour de rôle les poignets et j'avais leur paire de couilles au-dessus du visage. Ils me faisaient caresser leurs fesses bien musclées et de temps en temps je leur léchais les couilles qui semblaient de nouveau pleine de foutre. Etre le jouet de plusieurs hommes, soumise à leur plaisir, me procurait des sensations inconnues; tout mon corps était de nouveau en sueur et parcouru par des ondes de plaisir. Tous ses sexes durs comme une barre de fer me remplissaient le ventre comme jamais. Chacun m'apportait un orgasme nouveau, différent des autres. Et j'avais envie de découvrir d'autres bites.

Ce fut le tour d'un autre qui m'enfila lentement en me maintenant les cuisses bien écartées et je sentais toute sa longueur dans mon sexe qui mouillait comme une fontaine, il se penchait de temps en temps pour sucer mes tétons, les pincer, me lécher de façon divine. Alors qu'il venait encore une fois en butée au fond de ma matrice je partis dans une jouissance folle en poussant malgré moi des gémissements de plaisir. Je remuais dans tous les sens, amenant mon bassin à la rencontre de son sexe, le réclamant toujours plus profond, l'orgasme m'emportant vraiment au 7e ciel. Lui continuait de me pilonner en poussant des cris de bûcheron, son sexe continuant de gonfler et de m'ouvrir en deux lorsqu' enfin il poussa un long oui tout en explosant au fond de moi. Mon orgasme redoubla d'intensité pendant qu'il se vidait en longues giclées au fond de moi. Je sentais son sperme m'inonder tellement il jouissait fort, il m'envoyait son foutre bien au fond en me tenant arrimée à son sexe les cuisses toujours ouvertes au maximum. J'en voulais encore d'autres.

- « Tiens prends mon jus bien au fond, je me vide complètement les couilles tellement tu m'excites. Elle est bonne ta chatte, aussi bonne que ton cul. »
- « Oui, c'est bon, encore, encore, vide toi bien, enfile moi, transperce moi. »
- « Tu es déchaînée ma belle, tiens prends ça, ça te fait jouir d'être prise par plusieurs mecs hein dis moi ? des étalons bien montés. »
- « Oui j'adore ça, vos queues sont trop bonnes, elle sont toutes différentes et elles me font toutes jouir différemment. »

Un autre me prit par les hanches et me pilonna encore plus fort que les autres. Il lâcha encore quelques jets de foutre au fond de moi en poussant des cris de délivrance. J'étais épuisée, remplie de sperme et lui il débandait à peine en moi caressant mes seins comme un fou avec ses grosses mains. Quand enfin il sortit de moi, sa queue était encore gonflée, luisante, et il me la présenta pour que je la lèche. J'ai dû m'exécuter et nettoyer son gland en avalant le jus mêlé de leurs spermes et de ma mouille déclenchant même une dernière giclée de foutre que je pris au fond de la gorge.

Ses grosses couilles pendaient complètement vidées de leur sperme mais le gland que je suçais avec application et sa tige étaient encore bien gonflés et je savais qu'il allait rebander vite et qu'il serait capable de me reprendre dans peu de temps. Ces jeunes avaient une capacité de récupération phénoménale et j'allais être leur jouet pendant un moment mais aujourd'hui j'aimais ça, j'aime me faire baiser par ces jeunes mecs, être soumise à leurs caprices et jouir. Je découvre que je suis folle de leurs queues, que j'adore sucer et recevoir les giclées de sperme au fond de ma gorge, sur mes seins, avaler leur semence. J'adore me faire enfiler et ramoner par leurs engins, je réalise que de me faire baiser par de grosses queues, à plusieurs, n'est pas qu'un fantasme et que ça me procure du plaisir comme jamais. Les voir bander comme des ânes pour mon corps, mes seins, ma chatte bien mouillée et mon cul rebondi et bien fendu, me rend folle.
Ils avaient tous eu envie de moi et chacun m'avait possédé d'une façon différente. C'était excitant : chaque pénétration avait ses particularités et je ressentais toujours quelque chose de nouveau, d'original qui me faisait découvrir d'autres jouissances. Quand le dernier retira enfin sa queue de ma bouche je me relevai et m'assis sur la table, nue à l'exception de mes chaussures, en sueur d'avoir tant donné et tant joui, mes seins gonflés, les tétons avaient triplé de volume. J'avais le goût de leur sperme dans la bouche, ma chatte était en feu et ils me regardaient tous avec envie, fiers de m'avoir possédée et envoyée en l'air, contents de m'avoir fait jouir. Julien qui pensa que mon mari avait assez joui du spectacle arrêta le portable.

Julien choisit Eric, le plus vicieux, le grand blond s'approcha de moi, m'allongea sur la table et m'écarta les cuisses. Il me prit le visage entre ses deux grosses mains et me roula une pelle d'enfer, sa langue s'insinuant dans ma bouche et s'emparant de la mienne. Je me laissais faire, répondant à son baiser, sentant son sexe tout contre le mien. Il m'embrassait et me léchait, puis il descendit vers mes seins qu'il empoigna et malaxa fermement avant de les lécher puis d'aspirer leur pointe entre ses lèvres. Il ne s'arrêta pas là et se mettant à genoux entre mes jambes il entreprit de me lécher l'intérieur des cuisses qu'il écartait au maximum en se rapprochant peu à peu de mon sexe presque lisse. Lorsqu'il posa sa langue râpeuse sur mes lèvres un frisson parcourut tout mon corps. Sa langue dure et douce à la fois s'insinuait dans ma chatte, tournoyait autour de mon clitoris qui gonflait de nouveau, ressortait pour aller explorer mon cul, revenait entre mes lèvres intimes. Il poussait des grognements de plaisir, léchant et aspirant mon clitoris, le jus mêlé de mes jouissances précédentes avec le sperme de mes amants. J'étais de nouveau en train de partir lorsqu'il se redressa la queue raide comme un piquet :

- « Tu es bonne de partout et ça te fait mouiller de te faire prendre comme ça, hein. Dire que j'ai bandé toute la soirée avant de pouvoir t'enfiler, à te regarder et plus sans que tu fasses attention à moi. »
- « Normal, non, j'étais avec Julien, je ne pouvais pas te céder comme ça et je ne savais pas qu'un blond comme toi me plairait autant. »
- « Pourquoi, tu n'as essayé que des bruns, jamais de blonds ni d'arabes ni de blacks ? »
- « non je n'ai jamais essayé, pas jusqu'à aujourd'hui en tout cas. »
Ma réponse donna une idée à Julien :
- « Sandrine tu vas pouvoir essayer ce soir un arabe ou un black, tu as le choix ; ils sont tous bien montés. »
- « je veux pas un arabe ! »
- « Alors ce sera un black ; Georges va chercher Edmond à la buvette ! Il a une bite d'âne et se fera un plaisir de la défoncer. »
- « Je suis sûr que tu vas aimer un black, assieds-toi sur le rebord de la table et quand il arrivera tu le déshabilleras puis tu le prendras dans ta bouche. »

J'attendis un long moment, puis je vis arriver un géant noir qui me sourit en me voyant nue, offerte à ses désirs, entourée par mes amants. Il s'approcha de moi et je l'ai déshabillé lentement. Sa peau dégageait une odeur forte poivrée d'abord repoussante puis enivrante. Son sexe m'impressionna, au repos il était déjà très long et lorsque je le pris dans ma main il n'arrêta pas de grossir jusqu'à atteindre une taille incroyable .

Je n'osais pas le sucer, mais son odeur poivrée m'excita et je me mis à le lécher goulûment. Il me présenta son gland et j'eus du mal à l'avaler. Il me dit alors

- « Tu vois ma grosse bite de noir et bien je vais te la mettre dans le cul et tu m'en diras des nouvelles car j'ai les couilles bien pleines pour toi et ton beau cul va s'en souvenir. Je vais te faire hurler de plaisir. »

Ma chatte était grande ouverte face à ce colosse noir ; il positionna son gland juste à l'entrée et attendit. J'étais à la fois inquiète et excitée par cette attente, je n'osais respirer. D'un coup violent il m'enfila d'une poussée puissante et brutale jusqu'à la garde. Surprise je me mis à hurler de plaisir sans pouvoir m'arrêter. J'avais l'impression qu'une barre de feu brûlait l'intérieur de mon ventre.
Il me tenait maintenant fermement par les hanches, me ramonant à grands coups de reins, et je me sentais toute petite entre les mains de cet athlète de 1m90 qui me regardait dans les yeux prendre mon pied. Ses grosses mains remontèrent vers mon ventre qu'il caressa doucement puis vers mes seins qu'il pressa fermement, saisissant mes tétons déjà tendus entre deux doigts pour les étirer encore et les pincer. Il était beaucoup plus brutal que les autres, il se dégageait de lui une sorte de force animale. Il commença par me donner des claques sur mes seins et mes fesses de plus en plus fort. Je criais tout d'abord de surprise, puis de douleur qui se transforma petit à petit en jouissance. Il me faisait mal et plaisir à la fois, des ondes d'excitation me parcourant tout le corps en me faisant de nouveau mouiller comme une fontaine et gémir comme une chienne en chaleur. Je découvrais des plaisirs inconnus et j'adorais ça.

Il sortit alors de ma chatte, la queue luisante de mon jus, et me prenant par la main il me força à me lever et à le suivre jusqu'à l'estrade. En passant il récupéra plusieurs pinces à linge sur un fil. Il s'assit sur une chaise son sexe raide comme un piquet et tendu, gonflé au maximum comme si de m'enfiler le faisait grossir à vue d'oil. J'allais me prendre dans le cul une queue énorme ! Mais je n'étais pas au bout de mes surprises : Il prit deux pinces à linge et les approcha de ma poitrine. Je compris alors et je frémis : mes gros bouts gonflées de désir, rendus ultra sensibles par toutes les caresses allaient subir une douloureuse morsure. Je reculais Edmond, me regardait d'un sourire sadique.
Julien me parla :
- « laisse-toi faire Edmond est un expert, tu vas découvrir d'autres jouissances. »

Soumise et résignée je m'avançais ; lentement il approcha les pinces de mes seins. Il attendit un long moment puis d'un coup elles se refermèrent sur mes pointes. Surprise je poussais un cri violent. La douleur fut vite remplacée par une intense chaleur comme si une bouche goulue aspirait fortement mes bouts. Je hurlais, puis haletais de plaisir :
- « Maintenant Sandrine tu vas t'empaler toute seule sur cette queue et mes copains et moi on va regarder ton beau cul avaler son engin. »
- « Tu veux que je m'assois sur lui ? »
- « Eh oui, de dos en te mettant sa queue dans le cul, ton beau cul qu'il va arroser avec plaisir, allez ! »

Edmond me fit tourner, écarter les jambes et en me prenant par les hanches il me mit à l'aplomb de son sexe. Il se tenait la bite bien droite et je sentais entre mes fesses son énorme gland qui jouait avec mon petit trou. Puis ses mains ouvrirent mes lèvres pour chercher mon clito. Il commença par l'exciter ; il le pinçait, l'étirait violemment. Mes gémissements se transformaient en cris. Edmond m'excitait de partout à la fois et me rendait folle : mon cul vibrait sous les caresses de son gland, mes seins tremblaient sous la morsure des pinces et mon clito bandait entre ses doigts.

Mais je n'étais pas au bout de mes surprises. Je sentis entre ses doigts un objet froid qu'il plaça contre mon clito. Il avait attendu que celui-ci se dresse pour lui fixer ??? une. ?.pince !!!!..oh !!!!...non !!!!..
La pince emprisonna mon clito qui se mit à gonfler, trembler et bouger dans tous les sens. Je poussais un hurlement qui résonna dans la piéce. AAAAAhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ...!!!!!!!!!!!!!!!!!!!.....
Complètement déchaînée, j'hurlais de plaisir sans pouvoir m'arrêter. Je ne contrôlais plus rien et bougeais dans tous les sens..

Alors d'un coup violent je me suis enculée toute seule jusqu'à la garde. Je me suis assise sur lui et mon petit trou a avalé son gland. Sentir sa queue entre les reins me procurait des sensations inouïes surtout qu'il grossissait encore en moi. Je remuais à fond sur son engin, profitant au maximum des ondes de plaisir qui se déclenchaient dans mes reins et qui faisaient de nouveau durcir mes tétons. Edmond soufflait et m'encourageait à bien faire le piston en disant que j'avais le plus beau cul qu'il ait jamais vu et qu'il bandait comme jamais dedans. Les pinces me procuraient une sensation inconnue incroyable. Avec ses mains il parcourait mon corps : Il jouait avec les pinces en tirant ou tournant, ce qui chaque fois me faisait crier de plaisir. Il griffait mes fesses et accompagnait mes mouvements avec de fortes claques, m'obligeant à reculer de temps en temps pour m'enculer de nouveau encore plus profond.
Je gémissais à chaque fois que son gland franchissait mon anus et que je le sentais ensuite m'ouvrir en deux. Ses claques mettaient mes fesses en feu et me rendaient folle. J'étais enfilée à fond sur ce pal quand mon portable résonna et Edmond me saisit par les hanches pour m'empêcher de me lever. Julien dit - « Tu restes sur sa queue et tu réponds comme ça, Sandrine, je t'apporte ton téléphone. »
- « Julien tu ne dis rien, ça doit être mon mari. »

C'était effectivement Jean Philippe qui m'appelait et je lui répondis en essayant de parler normalement et d'oublier que j'avais la grosse pine d'Edmond dans le cul. - « Tu as fini ta soirée, chérie, tu me rejoins bientôt. »
- « Non, mais c'est presque fini et je vais rentrer tout à l'heure à la maison. »

Edmond bandait comme un âne dans mon cul, donnant de petit coup de queue qui me faisait tressauter sur lui et il se mit à étirer les pinces sur mes tétons et mon clito manquant de me faire gémir dans le téléphone. Il me murmura dans l'oreille que je devais aimer ça et qu'il allait tout m'envoyer dans le cul. Toute excitée, je serrais les dents pour ne pas crier dans le portable.
- « Sandrine, je sais que tu es avec plusieurs mecs, Julien a appelé tout à l'heure et j'ai tout entendu. »

Et Jean Philippe me répéta mes propres paroles dans le portable :
« Oui j'adore ça, enfile moi bien, je suis à toi, tu me fais trop jouir. » « Ouiii, oui enfile moi bien, transperce ma chatte à fond, je veux ton sperme au fond de moi, plein de sperme. »
« Oui j'adore ça, vos queues sont trop bonnes, elle sont toutes différentes et elles me font toutes jouir. »

- « Sandrine, j'ai trop aimé, c'était trop bon, J'ai rappelé parce que je veux encore t'entendre jouir, hurler de plaisir, ne raccroche pas s'il te plait. »
- « D' accord ce ne sera pas difficile, en ce moment je me fais enculer par un black.AAAAAAAhhhhhhhhh !!!!.Ouiiiiiiiiiiii !!!!!!...
- le saloooop !!!!..m'excite le bout des seins !!!.AAAmmmmmhhhh !!!.
- avec des pinces à linge.aaaaaiiiiiiieeeeeeeee !!!.
- il me donne des tapes sur les fesses !!!.OOOOhhhh !!!.ouuiiiii !!!.
- et me défonce le cul comme une brute !!!.OOOuuuaaaahhh !!!.
- c'est trop bon !!!. Huuummmmmmmmmmmmm... !!!..
- je vais jouiiir pour toi aaaahhhh.aaahhh. !!!.
- Mais je donne le portable à Julien, l'orgasme arrive je ne contrôle plus rien : AAAAAhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!!!!!!!!!!!...... »
- Oouuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!.... »
Julien avait pris le portable et Jean Philippe put entendre l'orgasme le plus phénoménal de la soirée. Tout mon corps tremblait parcouru par des décharges électriques foudroyantes : mes seins et mon clito vibraient sous la pression des pinces à linge, mon petit trou se contractait pour expulser en vain l'énorme engin qui l'avait envahi.Au bout d'une minute j'arrêtai de crier et retrouvais peu à peu mes esprits.

Edmond était toujours en moi et les pinces continuaient à m'exciter. Progressivement il me fit reprendre mes mouvements de piston sur sa queue déclenchant aussitôt chez lui et chez moi des gémissements de bêtes en rut. Il criait que c'était trop bon, que j'avais un petit trou qui serrait bien et un cul à faire bander les morts. Dans un grand cri et en m'enfilant jusqu'à la garde il jouit en envoyant ses giclées de sperme au fond de mon cul.
Il se vidait en moi en me tenant fermement les hanches. J'étais empalée à fond sur sa tige raide qui palpitait entre mes reins au rythme de ses jets de foutre, il me remplissait tout en pétrissant mes seins et en tirant sur les pinces. Un orgasme phénoménal me secoua, mon corps était tétanisé et je criais de plaisir comme un folle. Pour me calmer il finit par me prendre la tête et il m'embrassa longuement, sa langue prenant possession de la mienne et vaincue par le plaisir procuré je répondis à ses baisers. Des ondes électriques partant des trois pinces continuaient à parcourir tout mon corps et je ne pouvais m'empêcher de crier. Edmond m'obligea à rester empalée sur sa queue.

Les autres se branlaient doucement en me regardant jouir. Edmond en expert entretenait ma jouissance en jouant avec les pinces. Ils bandaient tous comme des fous excités d'entendre mes hurlements et je les vis se rapprocher. Georges en premier présenta son gland à ma bouche que j'ouvris, toujours assise sur la bite d'Edmond qui ne débandait pas.

- « Tu es belle comme ça, tu es vraiment faite pour baiser et tu as l'air d'aimer ça avec nous. C'est les grosses queues bien dures que tu aimes. »
- « Oui j'adore ça, surtout avec des beaux mecs comme vous, bien musclés, jeunes. Je mouille rien qu'à voir l'effet que je vous fais. Et je suis toute excitée de savoir que mon mari prend un plaisir immense à m'entendre jouir.»
- « Eh bien, pour l'exciter on va tous t'envoyer une dernière giclée avant ton départ, tu aimes qu'on te gicle dessus ? »
- « Oui mais j'aime surtout sucer et sentir le gland exploser dans ma bouche, sentir le foutre gicler, couler sur mon corps, être obligée d'avaler votre sperme. Je me sens vraiment femelle comme ça, soumise à votre volonté, à vos désirs. »

À peine je sortais ma langue qu'il éjaculait en pénétrant ma bouche et je recevais son foutre crémeux au fond de la gorge que j'avalais en lui massant les couilles qui maintenant pendaient complètement vides. Il fut aussitôt remplacé par tous les autres qui avaient eux aussi leur sexe bien gonflé. Je les caressais lentement en les regardant dans les yeux avec un sourire ironique. Successivement ils introduisirent leur queue entre mes lèvres et je me mis à aspirer, à téter en faisant tournoyer ma langue sur tous ses glands gorgés de sang. Ils me prirent le visage entre les mains et après que chacun d'eux ait effectué plusieurs aller-retour dans ma bouche ils jouirent tous en poussant de grands cris de bonheur. Ils m'envoyèrent leurs jets de sperme qui tapissèrent le fond de ma gorge et tout mon corps.

Les jets successifs de leur sperme sur ma peau et dans ma bouche me procuraient une jouissance incroyable. J'en recevais et j'en voulais encore plus. Edmond prenait plaisir à me faire crier en jouant avec les pinces. Julien savourait le spectacle et restait près de moi pour que Jean Philippe entende tous ces bruits. Les orgasmes et mes cris se succédaient sans s'arrêter, entretenus par le contact des pinces qui faisait vibrer mes seins et mon clito. Au bout d'un long moment, lorsque je fus proche de l'épuisement, Edmond retira les pinces et petit à petit l'excitation diminua.
Des larmes de bonheur inondaient mes paupières. Il m\'avait fallu attendre tout ce temps pour que des inconnus me fassent découvrir les plaisirs extrêmes du sexe et me libèrent de ma pudeur. J'avais envie de parler à Jean Philippe :
- « La prochaine fois que nous ferons l\'amour, je te laisserai porter ton sexe partout où tu auras envie de le mettre dans mon corps: Si tu pèses sur mes épaules, je saurai déchiffrer le message, m\'agenouiller devant ta verge, prendre ton sexe entre mes lèvres et te rendre fou avec ma bouche . Si tu regardes mes fesses je t'exciterai en te disant : chéri, encule-moi, défonce mon petit trou. »
- « Oh Sandrine je suis heureux que maintenant tu aimes le sexe et que tu puisses me parler comme ça. Je t'ai entendu jouir et c'est vraiment très excitant. Je bande encore et j'ai pourtant éjaculé cinq fois, c'est incroyable. J'ai encore envie de t'entendre jouir et hurler de plaisir dans le portable. Il est quatre heures, dis à Julien que je te laisse jusqu'à l'aube pour qu'il te fasse découvrir des plaisirs et des orgasmes inconnus ! »

- « Julien, Jean Philippe me laisse jusqu'à l'aube à condition que tu me fasses découvrir des sensations fortes et nouvelles. »
- « Très bien Sandrine, j'ai quelques idées hard : une bonne fessée, un strip-tease, plusieurs doubles pénétrations. Et Edmond qui manie si bien les pinces sera le maître de cérémonie et moi je m'occuperai du portable. »

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