TITRE : Moi et mon parrain
Catégorie : Histoire Extra conjugale

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Je me prénome sandrine et je suis une petite brune, yeux verts, 85c et un bon cul bien rond. C'était les vacances d'été, mon parrain qui est également mon oncle me demanda de venir passer quelque semaines pour m'occuper de mon neveu de 6 mois. Ma tante devait reprendre son travail d'infirmiere, quant à mon oncle il était en arret maladie suite a une opération du dos.

Les premiers jours furent normaux baby sitting, bronzage repas et soirée télé, je m'occupais au mieux comme si j'étais chez moi, ma tante était super attentionée avec moi et mon oncle l'était encore davantage. Je sentais très souvent son regard sur mes seins dans mon décolleté et sur mes cuisses ou mon cul, je dois dire que j'y prenais plaisir à le sentir excité. Certains soirs j'entendais le lit qui grinçait et ma tante jouir malgré ses cris étouffés. Je ne pouvais m'empecher de plonger ma main dans ma culotte et de me faire la fete toute seule.

Un après-midi, alors que je regardais la télé avec mon oncle, à l'écran une scène où l'on devinait un couple se caresser, je sentis la main de mon oncle se poser sur ma cuisse. Par mon manque de réaction il comprit vite qu'il avait gagné, il remonta sa main vers le haut de ma cuisse puis fit des aller retour, et se posa sur mon minou et commenca a me caresser au travers de mon short.

Je fixais la télé, n'osant croiser son regard. Je sentis une chaleur m'envahir, ses mains remontèrent sur mes seins et les pincèrent au travers de mon top, je poussais un petit cri de surprise, il entreprit de m'oter mon top et mon short, il me demanda de venir m'assoir sur lui en lui tournant le dos de mettre une jambe de chaque coté de lui. Je sentis une main sortir mes seins de leur bonnet et il les caressait, les pinçait, son autre main se posa sur ma culotte et se frotta dans ma fente.

Je commençais à haleter, je me mordais les levres pour ne pas crier, dieu que c'était bon. Après quoi il me fit assoir au bord du canapé et me dévora ma petite chatte de sa bouche, il lécha encore et encore jusqu'à ce que je crie ma jouissance. Ce jour la nous en restons la, ma tante devait rentrer de son travail, il me demanda de ne rien dire à ma tante si je voulais aller plus loin et que demain ça serait à moi de lui donner du plaisir.

Je vous raconterais ca une autre fois dans un second récit.


Sandrine


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