TITRE :  Mohamed
Catégorie : 
Histoire interraciale

Accueil Histoire érotique Histoires interraciales

Je me rappelle une histoire qui nous est arrivée voici environ 25 ans.

A l'époque dans notre région il y avait une coutume concernant la caserne militaire de notre sous-préfecture, les nouvelles recrues après les trois mois de classe étaient accueillies dans un village des alentours et pris en charge par les habitants pendant un week-end. C'était pour renforcer la cohésion de l'armée avec la population bien mise à mal après les événements de mai 68.

Nous habitions dans cette petite ville et notre rôle consistait à héberger une recrue le soir du samedi (dîner et coucher) le conduire au défilé du dimanche matin et de participer à la sauterie d'après la prestation militaire. Ma femme appartenant au conseil municipal a été mise à contribution car si le nombre des habitants souhaitant héberger les soldats (école de sous-officiers) était suffisant il en restait quand même quelques-uns uns difficile à caser.

- Eh Claude (c'est moi 28 ans à l'époque) ! On me propose un jeune soldat, un invité du Bénin, car l'école dans le cadre de la coopération franco-africaine avait quelques sous-officiers étrangers.
- Tu sais Françoise (mon épouse 25 ans ) je ne suis pas raciste mais tu n'as pas mieux ? .
- Il s'appelle Mohamed N'Gour.
- D'accord et en plus il est arabe !

Disposant d'une chambre d'amis dans mes combles nous avons accepté.

Ce week-end est arrivé. Le samedi en fin d'après midi les soldats sont arrivés et autour d'un pot offert par la mairie et après pas mal de discours les recrues ont été présentées et remises aux familles d'accueil.C'est là que nous avons vu arriver un grand noir et même bien noir qui avec son grand sourire m'a fait penser à une pub Banania, il devait bien faire deux mètres.

Arrivés à la maison, l'installation fut rapide et nous nous sommes retrouvés dans le salon pour l'apéritif. Les discussions étaient d'une grande banalité, mais peut être à cause de la chaleur de ce mois de juin et aussi très certainement aux nombreux punchs bien frais, sauf Mohamed car sa religion lui interdisait, le contact entre nous a bien pris et les rires ont pris le dessus.

Au repas notre principal sujet de conversation était la vie courante dans son petit pays (le Bénin), les coutumes et les habitudes de ses habitants. Puis nous avons dévié sur la religion et on lui demande comment il la vit, si les contraintes ne lui pèsent pas trop. Pour lui la non-prise d'alcool ne lui fait rien mais son plus gros problème était les femmes, car si la femme du voisin est sacrée, les jeunes filles doivent rester vierges jusqu'au mariage sous peine de ne jamais trouver de mari. Mais selon lui faire l'amour avec une femme blanche n'était pas un péché car n'étant pas musulmane il pouvait y aller.

Françoise de plus en plus rouge lui posa des questions beaucoup plus précises sur la sexualité féminine noire.

La polygamie est très répandue, environ 3 à 4 femmes par homme, celui-ci ne pouvant pas honorer souvent leurs femmes, elles doivent pour pouvoir assouvir leurs fantasmes sexuels avoir recours assez souvent à des moyens artificiels. L'artisanat local est beaucoup inventif pour elles ; des godemichés en bois exotiques de formes diverses ou des objets dont le seul usage n'est que de donner du plaisir.

Je voyais Françoise de plus en plus cramoisie, ses pupilles dilatées et la bouche ouverte. Elle buvait ses paroles et je sentais en elle de plus en plus d'attention surtout quand il se mit à parler des décoctions d'herbes, de fleurs ou de feuilles dont les femmes ou jeunes filles se passent sur les parties les plus sensibles de leur corps pour accéder au plaisir suprême.

D'ailleurs si vous voulez voir ce que c'est, j'ai une boite avec moi que je dois transmettre à une cousine de Paris et à qui je dois lui apporter tout de suite après notre week-end.

- Oui dit doucement Françoise dans un souffle.

Mohamed monta dans sa chambre, je vis ma femme se masser le bas ventre je n'en revenais pas elle si discrète d'habitude, quand il revint il nous montra une jolie boite en bois rouge d'environ 30 cm de long et 10 de haut. Il l'ouvrit, elle se sépara en deux, le couvercle était rempli de petites étagères où se trouva d'innombrables petites fioles de toutes les couleurs et de diverses contenances. Dans le bas était disposés des objets en bois quenous pouvions deviner facilement l'utilisation, des godemichés de différentes tailles surtout un très gros tout en bois sculpté même avec les veines apparentes et le gland très suggestif. Il le prit, le donna à Françoise qui après un mouvement de recul le soupesa et eu un sourire radieux.

- Oh la la ! si tous tes compatriotes sont de cet acabit je plains (ou j'envie) vos femmes
- Pour la comparaison pas de problèmes lui dit Mohamed.

Ce dialogue me parut surréaliste ma femme si réservée, elle qui ne veut faire l'amour que dans le noir ou la pénombre. Il sortit un flacon, prit un peu du contenu sur le doigt (une sorte de crème) le tendit à Françoise

- Gouttez !

Devantson hésitation il en prit sur le bout de sa langue

- Vous voyez ce n'est pas un poison !

Elle consentit à en prendre un peu sur le bout des lèvres.

- Mais ça pique, c'est du piment ?
- C'est un mélange de plantes préparé par les femmes du village, directement de laproductrice à la consommatrice, elles se le mettent aux endroits sensibles plus particulièrement sur le bout du sein, sur le clitoris ou autour du sexe. Vous voulez essayer ?

Elle devint toute rouge. Elle ne s'était déshabillée que devant son docteur ou devant moi.

- Bon je veux bien essayer sur les seins (car pratiquant les seins nus à la plage elle avait moins d'appréhensions à se dévêtir devant un inconnu). Mais je veux que se soit Claude qui me la passe.

Elle s'assit sur une chaise, se tourna vers moi et se débarrassa de son corsage et de son soutien gorge. Ses beaux seins apparus les bouts très gros et rouges démontraient l'état d'excitation de ma femme. Mohamed me tendit le flacon. Je pris de la crème dans le fond de ma main et comme on passe de la pommade sur un corps je massais délicatement ses seins sur le pourtour en passant sur le bout et remalaxant en rond en revenant toujours sur les bouts qui durcissaient de plus en plus.

La crème dut faire son effet car je la voyais respirer de façon pas très normale, elle fermait les yeux et poussait des soupirs d'aise.

- Ça brûle dit-elle c'est sensationnel cela parcourt tout mon corps du bout du sein au plus profond de moi.

Mohamed me fit placer derrière Françoise.

- Continuez !

Il se plaçât devant elle, mit ses paumes de main sur ses genoux et remonta doucement le long des cuisses.Ma femme eut un sursaut et tout de suite resserra les jambes.

- Laissez moi faire, se serait dommage de vous priver de sensations inoubliables.

Je ne voyais que sa tête, placée comme je l'étais situé mais j'ai tout de même aperçu ses mains qui remontaient en me penchant un peu et en regardant comme un voyeur. Françoise écartait maintenant les cuisses, arrivé sur la culotte il la prit à la taille et commença à la descendre, elle se souleva pour en faciliter la chute, ce qui prouve bien sa complète soumission. La culotte au bas des chevilles il lui souleva le pied pour la dégager, il avait la figure au niveau de son sexe, il retroussa aussi sa jupe d'été ample puis avec aussi un geste précis il la fit passer par la tête.

Mon épouse se retrouva toute nue. Elle était complètement aux exigences des deux hommes, moi qui lui massait toujours les seins avec des approches sur son petit ventre plat, Mohamed reprit de la crème sur le bout du doigt lui entrouvrit les lèvres intimes et mit sa crème sur les lèvres et sur le pourtour du clitoris, elle eut un sursaut puis se calma en poussant des petits cris, j'ai un drôle de sentiment en le voyant faire je bandais à mort. Mais quand j'ai vu ses grands doigts reprendre de la pommade et lui rentrer profondément dans son vagin j'ai compris que j'étais devenu un voyeur pas encore cocu mais content. Françoise se tendit comme un arc et se mit à crier comme je ne l'avais jamais entendu.

Nous l'avons prise puis posée sur la peau de bête qui était située en face de la cheminée bien sur éteinte en cette nuit d'été. Elle se mit en position recroquevillée en se massant le corps, les seins son ventre en marmonnant des paroles incompréhensibles, puis au bout d'au moins 5 minutes que nous avons passé à la regarder elle se releva.

- Je n'ai jamais connu cela, j'ai eu au moins une dizaine d'orgasmes et tout mon corps en tremble encore, ton produit est vraiment phénoménal. Je suis trempée, elle mit un doigt dans son vagin puis le sentit. Je suis crevée.

Elle s'assit en tailleur les jambes bien écartées le sexe en contact avec la peau de bête, toutes inhibitions enlevées.

- Bon ! Qu'est ce que tu me propose maintenant ? dit-elle
- Elle en veut encore dit Mohamedet bien tu va en avoir !

Tiens ils se tutoient maintenant ? Et moi je bandais toujours. Je lui aurais bien fait l'amour mais je n'étais pas encore prêt aux partouzes.

Mohamed se leva, la prit aux épaules et la coucha sur le dos. Il prit un coussin lui passa sous ses fesses ce qui eu pour effet de soulever son sexe, il lui écarta les cuisses puis prit sa toison intime toute trempée à la main.

- Quelle forêt ! Pour que la lotion aille plus profondément il faut que tout ça soit rasé !

Il prit dans sa boite une autre petite poche, elle contenait des ustensiles de coiffeur. Il me demanda une serviette pour lui passer sous les fesses, puis prenant la toison à pleine main il la coupa avec son ciseau, les boucles tombant par terre. Françoise ne disait plus rien elle fermait les yeux et écartait les cuisses au maximum. Il riait et de temps en temps introduisait ses doigts dans son intimité ou sur le clito. Le plus gros de sa touffe étant partie, il sortit un rasoir comme on en voyait avant chez le barbier, l'aiguisa sur son affûtoir, puis de sa main gauche saisie ses lèvres intimes, tira dessus pour ne pas les blesser par la lame acérée et commença son rasage très lentement sur tout le tour du sexe. En dix minutes le résultat était saisissant, un sexe tout poli faisait place à la forêt plutôt disgracieuse d'auparavant, mais ce qui me parût énorme c'était son clitoris très rouge, proéminent qui se dégageait, peut être que cela était normal ou alors ses orgasmes consécutifs l'avaient développé.

Il sortit de sa boite un autre flacon, avec une autre pommade de couleur rose et lui en passa sur les traces du rasoir. C'est du suif de singe, un singe commun dans notre pays qui se distingue par ses pratiques sexuelles continuelles, tu va voir sur le coup cela apaise leu feu du rasoiret après c'est un autre feu qui le remplace, beaucoup plus intime. Il continua à la pommader, lui en passant maintenant dans le sexe, sur le clito, dans le vagin et même sous mes yeux complètement ahuris, il tourna autour de l'anus qui se resserra de lui-même car elle était vierge de ce côté là. Il reprit de la potion se remit sur son œillet rose avec l'index il la pénétra d'un seul coup, elle sursauta, il me dit de la maintenir de lui triturer les seins ce que je fis sur-le-champ. Il avait l'index planté dans son cul et le pouce et un ou deux autres doigtsdans son vagin ou sur son clito, il bougeait sa main dans tous les sens. Elle ne savait plus où elle était, elle recommençait à pousser des cris, elle bougeait beaucoup.

- Cela lui fait de l'effet dit Mohamed et tu n'as encore pas fini.

Il saisit dans sa boite le gros godemiché que nous avions vu au début de la soirée, mit au milieu du faux membre en ébène une bague de poil de bête, l'enduisit de la pommade et lui introduisit tout doucement dans le vagin. Elle se mit à crier, pas des cris de douleur mais des cris de jouissance extrême, je compris l'utilité de la bague à chaque mouvement de pénétration en même temps que le godemiché buttait au fond du vagin la bague aux poils drus se frottait sur le clitoris, l'excitait encore plus. Il laissa le gros god en place au fond de ses entrailles, la retourna avec mon aide sur le ventre toujours avec le coussin sous son ventre. Françoise prit elle-même le god et le tourna dans son intimité en poussant des cris de plus en plus aigus. Pendant qu'elle se donnait du plaisir il prit un autre petit godemiché, mit une autre crème dessus et l'introduisit doucement dans l'anus de ma femme, cela donnait une image très cochonne de la situation, Françoise arracha le gros god se pinça se tritura le clito pendant que Mohamed faisait du va et vient dans son cul.

Je ne tenais plus, mon sexe était énorme et d'un seul coup je me suis mis à décharger tout seul.

Ma femme eut des gestes brusques, des propos incohérents puis se détendit se mit en chien de fusil et semblait dormir.

Tu sais me dit Mohamed, avec le traitement que je viens de lui faire subir elle peu très bien avoir au moins une vingtaine d'orgasmes consécutifs, il ne faut pas lui faire cela tous les jours. Emportons la dans son lit. Elle ne bougeait plus, son souffle étant lent comme pour un dormeur et avec un sourire radieux sur ses lèvres. Elle n'eut aucun geste etquand on la posa sur le lit, elle se remit en chien de fusil.

- Tu permets me dit-il ?

Je ne voyais pas comment lui dire non. Il se déshabilla, je vis alors son sexe noir au bout rose, pas très gros mais très long. Il se mit derrière ma femme toujours couchée sur le côté, il mit son sexe dressé entre ses fesses et lentement il l'introduit dans son sexe.

- Elle est trempée ce ne sera pas trop dur à la pénétrer.

Il bougeait à peine, Françoise ne disait rien, il la limait consciencieusement, il la ceintura et avec ses doigts longs et calleux lui pinçait les seins lui caressait le ventre le clito. Il se masturbait plus qu'il ne lui donnait du plaisir. Toute cette initiation a du lui aussi l'exciter, il se cabra et se mit à décharger dans son sexe profondément. Il se leva, me dit bonsoir et à demain et se rendit dans sa chambre me laissant seul désemparé. Je me couchai mon sexe encore démesuré, je pris la place de Mohamed derrière ma femme. Elle était vraiment inondée parses effluves personnels d'abord mais aussi par le sperme du soldat, je mis mon sexe dans son vagin mes bras autour de son corps le bout des seins était très durs et à mon contact ils frémissaient encore et en demandaient toujours. Je ne bougeais pas dans son ventre sinon dans l'état d'excitation que j'étais, je déchargerais tout de suite, mais ce fut elle qui se mit à onduler du bassin mon gland enfoui tout au fond se trouva malaxé par le col de l'utérus. Mon sexe se mit à gicler de longs jets puissants, je croyais que cela n'allait s'arrêter, je trempais dans toutes sortes de liquides, je pris une serviette dans l'armoire pour éponger, me recouchai. Elle se retourna me posa un petit baiser au coin de lèvres.

- Merci mon chéri

Et nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre crevés mais heureux.

Claude

Auteur

 

Accueil Histoire érotique Histoires interraciales




Partenaire de communication avec logiciel fax internet
Nom de domaine et hebergement internet