TITRE : Mlle ROULIN
Catégorie : 
Histoire érotique
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C’était le milieu de l’été. Je venais de terminer le livre que Mademoiselle Roulin, la remplaçante de français que nous avions depuis 3 mois, m’avait prêté. Jeune femme (la trentaine) dynamique et adepte de l’éducation moderne, elle possédait néanmoins une certaine autorité naturelle. Sans être vraiment belle, elle avait une espèce de charme sauvage qui faisait fantasmer nombre de mes comparses, ce qui avait le don d’énerver les filles de la classe. Suite à un atelier d’écriture de science-fiction, elle avait noté chez moi un certain talent et m’avait confié une bible de plus de 1000 pages sur le sujet.


Tout en me remémorant certaines anecdotes, je cherchai dans l’annuaire pour voir si je pouvais trouver où elle habitait. Elle vivait dans le même quartier et par chance je pus localiser où était son appartement... À 15 minutes de chez moi ! Je sortis donc. C’était le début de l’après-midi et le soleil tapait très fort.


Après avoir réglé cette histoire, j’irai retrouver mes potes à la piscine. Avec un peu de chance les autre coquines seront là, me disais-je. C’est en sueur que j’arrivai derrière la porte de Mademoiselle Roulin. J’avais déjà pensé à tout ce que j’allais lui dire, sur les passages que j’avais apprécié et l’interprétation que j’en tirais. Je sonnai. J’entendis des bruits derrière la porte, puis de l’agitation, des tiroirs qui s’ouvraient et se refermaient, le tout pendant près de 5 minutes quand la porte s’ouvrit soudain. D’un seul coup, tout mon argumentaire s’était échappé de mon esprit. La vision de ma remplaçante vêtue d’un bikini vert minimaliste me fit un moment oublier ce que j’étais venu faire par là. Elle était assez musclée tout en restant très féminine par ses seins généreux et ses hanches solides. Elle rougissait un peu, mais certainement pas autant que moi.

- Tiens, salut ! Excuse-moi, ce n’est pas toi que je pensais voir arriver...

Et j’en déduis qu’elle devait être nue au moment où j’avais sonné, bronzant sur la terrasse en attendant je ne sais quel amant lubrique.

- Ah, tu m’as rapporté mon livre, c’est gentil de ta part ! Me dit-elle en retrouvant son assurance.
- Alors tu as aimé ?
- Euh... Oui... Lui dis-je, bégayant, la regardant d’un air bête.
- Tu es sûr que ça va ? Me demanda-t-elle d’un air soucieux, typique des institutrices. Je crois que le soleil t’a tapé sur la tête ! Entre te rafraîchir un moment avant de repartir.
- Euh... D’accord...

Je la suivis dans un salon aux canapés verts et m’assis à la table en me faisant tout petit. Elle m’apporta un thé glacé que je bus d’un trait. Après un mal de crâne épouvantable dû au mélange chaud-froid, je retrouvais peu à peu mes esprits.

- Ça va mieux non ?
- Je crois oui.

Tout en essayant de ne pas trop la regarder, je lui contai mes impressions vis-à-vis du livre.

- Je serais vraiment content quand j’arriverai à écrire quelque chose de ce niveau, conclus-je.
- Oh mais ça devrait venir. Tu as déjà le talent et la sensibilité, ce qui te manque c’est juste un peu d’expérience, dit-elle tout en me passant la main dans les cheveux.

Un frisson électrique me traversa le corps depuis le sommet du crâne jusqu’au bout du gland.

- Des émotions fortes, des sensations extrêmes ! De là, tu tireras ta meilleure inspiration !

Je me sentais à nouveau gêné, je me disais qu’étant donné mes habits estivaux j’aurais énormément de mal à lui cacher l’érection fatale qui m’avait gagnée.

-Tu m’excuses deux minutes, je vais me changer, coupa-t-elle soudain.

Je luttais toujours contre l’érection mais c’était cause perdue. Je me dis que stratégiquement je serais mieux dans le grand canapé mou. Je m’y installai et observai par la fenêtre pour me changer les idées. Je n’entendis même pas les bruit de pas derrière moi quand soudain la main de Mademoiselle Roulin me saisit violemment par la queue.

- Je t’ai eu ! Tu n’as pas honte de bander ainsi sur une de tes professeurs ? Me demanda-t-elle d’un ton sévère.
- Euh, dis-je complètement désemparé.
- Je rigole ! Me susurra-t-elle. Alors, voyons comment mon petit prodige se débrouille avec les femmes...

Je restai paralysé un moment. Elle me regarda d’un air mi-navré mi-amusé et je me rendis compte qu’elle était complètement nue.

- Allons, ce n’est pas la première fois que tu te retrouves dans cette situation, non ? Quoique ce n’est pas une de ces petites putes de la fac qui t’aurait appris quoi que ce soit, elles ne savent même pas comment prendre leur propre plaisir...

Bien que je n’approuvais pas, elle voyait juste. L’excitation m’avait gagné, mais je ne me sentais pas sûr de moi. Il y avait une différence entre baiser une des coquines de l’école dans un champ le soir et devoir m’occuper de cette vieille de 30 ans dans cet appartement grand standing. Elle me grimpa dessus et je m’enfonçai dans le canapé sous notre poids. Elle commença à frotter sa chatte sur mon short tout en ramenant ma tête vers ses seins.

- Touche-les, frotte-les, lèche-les, suce-les, et surtout prend le temps de la gourmandise ! Ne sois pas pressé de me défoncer, apprécie chacune des phases jusqu’à ce que le désir te pousse ailleurs...

Mais je n’étais poussé nulle part. Les hormones de plaisir qui débordaient de ma tête logée entre ses deux seins mêlées à ses coups de chatte me faisaient perdre toute volonté propre. J’aurais même pu atteindre l’éjaculation de cette manière. Elle dut le sentir car elle m’arrêta :

- Allons, égoïste, prend le temps de me donner du plaisir avant de te laisser aller.

Après m’avoir enlevé mes habits, elle rapprocha sa chatte humide de ma figure et s’accroupit ainsi sur moi. J’étais un peu effrayé par mon manque d’expérience en la matière mais je me prenais au jeu. Je me mis à la lécher ardemment.

- Aaah, oui c’est bien. Attarde-toi plus sur le clitoris, suce-le, mordille-le.

Je m’exécutais tout en m’aidant de mes doigts pour lui explorer la chatte. Je m’étonnais de la facilité avec laquelle je pénétrais dans son orifice et de la quantité de cyprine qui en coulait. Elle commença à s’exciter vraiment, empoignant ses seins et s’agitant au dessus de moi dans des mouvements circulaires :

- Continue, ne t’arrête pas !

Sa sauvagerie était contagieuse. Je me mis à la branler plus ardemment. Soudain ma main glissa et je lui pénétrais involontairement l’anus. J’allais m’excuser mais elle m’en dissuada :

-Oh oui ! Vas-y, fourre-moi le cul !

Cette impression de violer un interdit fit encore monter d’un cran la violence qui m’emplissait. En un instant, je me glissai pour passer derrière elle et la renverser en avant. Elle s’enfonçait dans le canapé, seul son cul était levé bien haut devant moi. Libéré de mes inhibitions, je goûtai à la nouvelle sensation incroyable de lui pénétrer l’anus. L’endroit était exigu et pourtant il m’aspirait tout entier. Je me mis à la limer. À chaque passage je sentais son cul qui me serrait sur toute la longueur, j’avais plus que jamais la sensation de la remplir, de la maîtriser, de la défoncer. Reprenant de plus belle je goûtais à cette sensation de puissance et, malgré qu’elle avait la tête à moitié enfoncée dans le canapé, on devait entendre ses cris jusqu’au sous-sol. J’avais envie qu’on l’entende, j’eus une pensée furtive pour les gens de ma classe et la tête qu’ils feraient s’ils savaient mais je préférais me concentrer à nouveau sur le moment présent et cette délicieuse femme qui s’agitait sous mes coups de bite.


Je ne pus évidemment pas supporter ces sensations infiniment et l’éjaculation me saisit comme par surprise, tant et si bien qu’elle me fit sortir. En un cri qui me surprit moi-même, je lui jutai sur le cul, sur le dos, les cuisses, le canapé et même sur la figure quand elle se retourna pour profiter des dernières gouttes. J’aurais pu sombrer dans un profond sommeil mais elle ne me laissa pas le temps de reprendre mes esprits :

- Aïe, mon rendez-vous va bientôt arriver ! Vite rhabille-toi. Ah, le canapé, c’est une catastrophe !

Je me fis limite mettre à la porte mais j’eus droit à un baiser langoureux.

- C’était très bien ! Je pense qu’avec de l’entraînement tu deviendras un amant redoutable ! Me dit-elle de sa bonne humeur naturelle.

Sans trop comprendre encore ce qui s’était passé, je descendis les escaliers comme sur un nuage. Dans l’allée, je croisai un type d’une quarantaine d’années à l’air louche.

- Bonjour Monsieur !
- Bonjour jeune homme ! Me répondit-il.

Je sortis, amusé par cette situation et retrouvai mon insouciance estivale. Le soleil était encore loin d’aller se coucher et la piscine m’attendait.

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