TITRE :  Mes vacances aux Sénégal
Catégorie : 
Histoire interraciale

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Après mon aventure sexuelle avec Karim un de mes élèves, je me lance pour vous narrer une autre histoire qui m'est arrivée il y a deux ans.

En août 2003, je suis partie avec mon homme pour quinze jours au Sénégal. Nous voulions vraiment passer du bon temps et surtout nous reposer un maximum. L'année avait été difficile, car je venais de passer l'agrégation de mathématiques et mon ami du moment s'était fait licencier de son job. Nous avions donc choisi une formule où tout était compris. Il suffisait juste de se lever le matin, farnienter toute la journée sur la plage ou près de la piscine et consommer. Pas très culturelles ces activités, mais bien agréables quand même.

Si vous avez lu ma première aventure sur le site, vous devez savoir que je suis une jeune femme qui aime plaire et séduire. C'est donc sans aucune gêne que je me laissais draguer par les hommes présents au club. Ça allait du vacancier célibataire en proie à une partie de jambes en l'air facile au père de famille qui me faisait les yeux doux derrière le dos de sa femme ou encore par ces gros dragueurs d'animateurs. Tous attendaient le départ de mon homme pour me faire comprendre que je leur plaisais. Moi, j'étais ravie de toutes ces attentions à mon égard. J'aime être draguée et je ne me gênai pas pour rentrer dans leur jeu. Tout était fait de façon plus ou moins discrète, selon la situation et l'éloignement de mon chéri. Vous l'avez bien compris, tout cela m'amusait et me faisait très envie aussi. Certes mon homme me contentait, mais j'ai rarement pu résister aux avances d'hommes charmants et entreprenants.

Mais celui qui me faisait le plus d'effet et me donnait envie de fauter était le directeur de l'hôtel. Il devait avoir dans les cinquante ans, très bien bâti et charpenté. Un physique vraiment agréable et tout le charme des hommes de couleur en plus. Un sourire charmeur, une très grande délicatesse et le savoir-vivre d'un homme d'un certain âge. Mais par-dessus tout, un déhanchement incroyable lorsqu'il dansait. Je suis très attentive aux qualités de danseur d'un homme, car se sont souvent de très bons baiseurs. Je ne devais pas être la seule à le penser, car beaucoup de femmes aimaient danser avec lui pendant les soirées de l'hôtel. Lui s'amusait à toutes nous inviter une fois dans la soirée. Affaires obligent....

Je me souviens ce soir-là avoir mis une robe noire très courte sur le haut des cuisses. Un wonderbra noir qui relevait ma poitrine prête à exploser. J'avais aussi chaussé pour l'occasion des escarpins noirs très ouverts. J'avais les cheveux lâchés dans le dos et m'étais maquillée de façon très sexy. Toute la soirée, mon homme n'a pas arrêté de me dire qu'il allait me faire l'amour comme un fou et tous les mecs du club me faisaient les yeux doux. On avait déjà sympathisé avec des personnes et une bonne ambiance régnait.

Tout se précipita quand Ibrahima m'invita à danser une espèce de « saga africa... ». C'est avec enthousiasme que je le suivis sur la piste. Il se positionna derrière moi et me prit dans ses bras pour me faire bouger au rythme de la musique. Il avait ses mains sur mes cuisses et il m'avait posé sur les siennes. Je me laissais guider ainsi. Je sentais ses mains toucher ma peau sur mes cuisses dénudées ; ma robe remontait par la pression de ses doigts et par le déhanchement de son bassin. Il me portait complètement et j'avais juste à me laisser guider par mon danseur sénégalais. Quand il posa une main sur mon ventre, j'ai senti en moi une décharge dans le corps. Il devait s'en rendre compte, car il caressait mon ventre et ma cuisse droite. Moi j'étais au contact de ses cuisses et je sentais sur mes fesses une pression exercée par son pénis. Je vous promets que je le sentais sur mes fesses et je ne pouvais m'en défaire tellement il m'excitait. J'exerçais des mouvements de bassin sur son sexe pour le faire bander encore plus ; plus je bougeais, plus il appuyait sur mon ventre. Je sentais la cyprine inonder mon entrejambe, j'avais la chair de poule, mes jambes étaient tremblantes ; c'était vraiment une danse très très chaude. Quand la chanson s'arrêta, il fallait retrouver nos esprits. Pour garder la face, il me retourna et vint me faire un baise-mains en me remerciant. Il ne m'a rien dit de ce qui venait de se passer, mais dans son regard j'avais vu plein de désir à mon égard. Et il partit inviter une autre femme. Je retournai vers notre groupe. J'étais vraiment chancelante et je me devais de bien paraître devant mon homme. Il m'a d'ailleurs félicitée pour ma danse. Il me fit juste le reproche d'avoir mis une robe trop courte, car on avait paraît-il vu mon string. J'avais chaud, j'étais rouge de chaleur et lorsque les autres croyaient que c'était à cause de la danse, moi je savais que c'était parce que mon beau black m'avait rendue folle de désir. Et se ne sont pas nos vingt ans d'écart qui me donnaient des remords.

Plusieurs jours se sont écoulés, quand mon homme et des copains partirent la journée pour faire de la pêche au gros. La sortie durait la journée et c'est avec des idées coquines que je le laissais partir.

Après une grasse matinée, je me levais pour aller déjeuner. J'avais envie de séduire Ibrahima, alors je mis un soin particulier à ma préparation. Je mis une petite jupe en jean, un caraco rose très décolleté. J'attachais mes cheveux en queue de cheval et me voilà partie vers le restaurant. Comme tous les matins, c'est lui qui nous accueillait. Il était à l'entrée, prêt à me recevoir.

- Bonjour Séverine. Comment vas-tu ce matin ? Pas trop esseulée, j'espère ?

- Non t'inquiète, je pense que je vais pas trop m'ennuyer. Et puis je compte sur toi de toute façon...pour me tenir compagnie en cas de déprime.

Il me fit un clin d'œil et recevait déjà les autres vacanciers.

La matinée était déjà bien avancée et je lézardais près de la piscine. J'avais déjà reçu plusieurs assauts d'hommes en manque de femmes. Ils devaient se dire que mon mec étant absent, c'était le moment ou jamais. Ils n'avaient pas tort, mais moi, c'est mon black que je voulais.

Vers 11 heures, je me levais pour aller prendre une douche et me changer pour midi. Je vis Ibrahima au loin me faire signe de venir. Mon cœur battait la chamade mais je ne me fis pas prier.

- Séverine, je dois aller en ville pour régler des problèmes administratifs, tu veux m'accompagner ?

- Avec plaisir, mais je dois être rentrée pour l'arrivée des pêcheurs...

- Ça tu peux être tranquille, j'ai demandé aux marins de prendre leur temps.

Vu son air taquin, j'étais sûre qu'il avait tout prémédité. Je donnais mon accord sans problème pour partir avec lui.

- Tu me rejoins près des cuisines ma voiture est là-bas.

- D'accord, je vais me changer et j'arrive.

- A tout de suite, beauté.

En arrivant dans ma chambre, j'avais juste à me refaire une petite beauté. Je me remaquillais légèrement en changeant mon rouge à lèvres. J'optais pour un rouge très vif qui se démarquait très bien avec mes cheveux noirs. J'enlevais mon maillot de bain pour passer un joli string ficelle rose et pour achever ma préparation, je passais mes mules roses assorties à mon haut. Elles ont des talons de huit centimètres. Mon homme les adore, car elles me font des jambes de gazelle, paraît-il. J'étais déjà excitée à l'idée de ce qui allait se passer. Je ne laisserai pas passer l'occasion d'avoir une aventure avec Ibrahima. Mais avant de le rejoindre, je passais dans les toilettes de l'hôtel pour retirer des préservatifs au distributeur.

- Ah, te voila enfin, ma belle. Dis donc t'es magnifique mon trésor. C'est pour moi tout ça ?

- Une invitation par le grand directeur de l'hôtel, je ne pouvais pas venir comme une vielle fripe.

- Ils vont être jaloux en ville, quand ils vont te voir.

- Ben dépêchons-nous avant que ce ne soient toutes les femmes de l'hôtel qui soient jalouses. Tu vois j'aimerais pas que ça s'ébruite.

- Tu as raison, trésor, et puis on sera mieux seuls.

Toute cette conversation s'était déroulée avec de l'humour, de la séduction et de l'envie. Je le regardais avec des yeux de petite chatte.

Avec toute la galanterie qui le caractérise, Ibrahima m'ouvrit la portière du 4X4. En me prenant la main, il m'aida à monter sur mon siège. Vu la longueur de ma jupette, il a dû se rincer l'œil en matant mes fesses. Surtout que je me suis cambrée pour venir m'asseoir. Il fit le tour de la voiture, démarra et s'engagea sur la route qui menait à la ville.

J'étais toute chaude, car la situation m'excitait vraiment beaucoup. J'étais assise en me tournant vers lui. J'avais relevé ma jambe droite pour la faire reposer sur la portière. J'étais certaine qu'il avait une vue imprenable sur mon entrejambe.

Tout en me complimentant sur mon physique, Ibrahima posa une main sur ma cuisse gauche.

- Tu as la peau comme du velours, ma puce. J'adore tes cuisses.

Il montait et descendait sa main le long de ma cuisse. Il la malaxait entre ses doigts jusqu'à mon intimité. Il s'arrêtait juste avant et continuait ce traitement jusqu'à me faire mouiller. Je sentais ma cyprine tremper mon string. A chaque fois qu'il allait arriver près de mon sexe, j'avançais le bassin pour rentrer en contact avec ses doigts ; et lui s'amusait à m'exciter et me faire languir. J'en pouvais plus d'excitation. Je pris sa main pour la poser sur ma chatte. Je m'écartais au maximum. Il avait une vue entière sur mon string. En passant son doigt sur ma fente, il remarqua la tache sur mon string.

- T'es trempée ma puce. Tu aimes mes caresses.

- Oh oui, tu m'excites depuis le début. T'arrêtes pas de m'allumer à chaque fois qu'on se croise. Depuis notre danse de la dernière fois, j'arrête pas de penser à toi, à ce qu'on pourrait faire tous les deux.

- J'étais sûr que t'en avais envie ; il fallait juste que l'occasion se présente.

Je le regardais avec plein de désir. Tout mon corps le réclamait. Tout en l'aguichant du regard, j'écartais les bords de mon string pour libérer les lèvres de ma chatte. Tout de suite il insinua un doigt dedans. Je fermais les yeux et vins à la rencontre de sa caresse. Je pensais que la grosseur de son doigt devait être en rapport avec une autre extrémité de son corps. Il me branlait divinement bien. Il faisait venir son doigt dans ma fente et avec les autres, il aguichait mon clitoris. J'étais aux anges avec mon amant.

- Tu m'excites, ma petite coquine. Tu me fais bander comme un fou. Je suis sûr que t'aimerais voir une grosse bite de noir.

-J'en meurs d'envie.

-Vous êtes toutes pareilles, les blanches. Toujours envie de se faire un africain. Tu vas être servie, mon trésor.

J'avais maintenant deux doigts dans ma fente. Ils étaient au fond et venaient buter sur mon utérus. Je me suis mise à me tortiller : je sentais le plaisir arriver.

- Branle-moi vite. Je viens, vas-y à fond, branle-moi, branle-moi ! Ahhh, je jouis, ouiiiii !!!

- T'aimes ça ma coquine. T'aimes te faire branler.

- Ouiii, j'adore. Caresse-moi un peu le clito. Ça me calme, chéri.

- J'ai réservé une chambre d'hôtel en ville, Séverine. Tu veux y aller ?

En guise de réponse, je posai ma main sur la bosse de son pantalon et le caressai. C'était énorme et je me demandai ce que j'allais trouver dedans. On était entré en ville et on devait être soft. Il devait avoir l'habitude, car nous sommes passés par l'arrière de l'hôtel et nous sommes montés directement dans la chambre.

Dès que la porte de la chambre fut refermée, Ibrahima me prit dans ses bras pour m'embrasser. Ses mains se dirigèrent directement sur mes fesses. Il les avait en mains et commençait à les pétrir. J'étais aux anges grâce ces caresses, mon corps était électrisé par mon bel amant. Tout en me tripotant, il me plaqua sur son ventre. Je sentais sa queue gonflée appuyer sur mon ventre. Ça me paressait gigantesque. Sans plus attendre, je me suis mise accroupie. J'allumais mon amant en passant mes mains sur son sexe. Je le regardais réagir en lui faisant les yeux doux, prête à le dévorer. Je mordillais sa queue à travers le pantalon. Ibrahima avait remonté ma jupette et mes fesses étaient impudiquement cambrées pour l'exciter. Que c'était bon de se sentir salope, allumeuse. J'entrepris de défaire son pantalon pour enfin en extraire sa queue. Et là, je découvris un sexe d'homme comme je n'en avais jamais vu de ma vie. Un monstre de longueur et de grosseur. Je suis persuadée qu'il faisait plus de 25 cm, avec comme diamètre l'équivalent d'une bombe aérosol.

- Alors ma chérie, t'as déjà vu une bite comme la mienne ?

- Elle est magnifique. J'en meurs d'envie depuis l'autre soir.

- Goûte-la, elle va te plaire !

Je l'avais déjà en main pour le branler. J'étais obligée de me servir des deux, tellement il était gros. Je passais le bout de ma langue sur son gland, en me demandant comment j'allais faire pour le prendre en bouche et ailleurs par la même occasion. Je commençais par avaler son gland. Je le suçais et le branlais en même temps. Je commençais à avoir les mâchoires échauffées, car j'avalais de plus en plus. Sa queue avait une odeur épicée, elle sentait bon l'excitation. J'entrepris enfin de l'avaler le plus loin possible. J'avais la bouche et la gorge pleine alors qu'à peine la moitié était enfoncée.

Ibrahima me releva et m'attira sur le lit. Il s'allongea sur le dos et me fit mettre sur lui à califourchon. J'avais sa queue qui frottait sur mon string. Je bougeais du bassin pour me branler dessus pendant que lui me déshabillait en enlevant mon haut. En m'attirant vers lui, il se mit à me dévorer les seins. C'était hyper bon de se sentir dans cet état d'excitation ; mon amant savait y faire pour me faire mouiller. Avec son autre main, il écarta mon string et vint poser ses doigts sur ma rosette. Il me massait un sein avec une main, me suçait l'autre et j'avais un doigt qui me pénétrait l'anus. J'étais folle de désir pour lui, il me le fallait tout de suite.

Je pris dans une de mes poches de ma jupette un préservatif que je posai sur son sexe. Je me remis dans la même position pour qu'il continue.

- Ecarte mon string, mon amour

- Tu me veux, ma coquine ?

- Oui, je suis assez trempée pour que tu me baises. Viens, mets-moi ta grosse queue maintenant.

Tout en me soulevant et en me prenant la bouche, je sentais sa queue à l'entrée de ma chatte prête à le recevoir. Elle s'ouvrit naturellement pour le laisser me pénétrer. Les parois étaient tendues au maximum. J'avais l'impression d'être écartelée tellement son sexe m'élargissait. J'étais folle de plaisir. Je gémissais déjà, tellement mon black me faisait du bien. Je bougeais du bassin pour le sentir à fond pendant que lui avait repris ses caresses avec sa bouche et ses doigts.

- T'aime ça, ma petite blanche, me disait-il

- Hummmm, c'est trop bon. Fais de moi tout ce que tu veux.

- J'vais te défoncer la chatte avec ma queue.

- Viens, baise-moi...

Il se retira et me retourna. J'étais à quatre pattes au milieu du lit et pendant qu'il finissait de se déshabiller, je l'aguichais en me cambrant au maximum.

- Tu le trouves beau, mon p'tit cul ? Il te plait ?

- Cambre-toi bien que je voie tes trous.

- Regarde je me doigte pour toi

Il se positionna derrière moi, la bite en main et d'un coup s'enfonça dans ma grotte d'amour. Son corps entama des mouvements lents et profonds. Je sentais ses mains sur mes fesses qui les pétrissaient. J'étais en train de me faire mettre comme une reine. Le premier orgasme arriva, suivi de deux autres. Ibrahima m'allongea sur le dos et vint me prendre en missionnaire. Il devenait de plus en plus excité. Moi je jouissais à ne plus finir. Mon amant me transporta dans un plaisir que je n'avais jamais ressenti auparavant. Les dimensions de son sexe, mais aussi les mouvements de son corps, me rendaient dingue de lui. Dans mon sexe, je sentis Ibrahima jouir et se vider. Un abondant plaisir que je sentais buter contre les parois de mon vagin.

Il s'allongea sur le dos, essoufflé par sa performance. Malgré mon corps complètement pétrifié de plaisir, j'entrepris de lui enlever le préservatif pour venir caresser son sexe. Je ne savais pas si l'occasion de m'en occuper allait se reproduire, alors j'entrepris une dernière branlette. Il se mit à rebander et éjacula une nouvelle fois, mais sur moi, ce coup-ci. J'étais aspergée de sperme. J'étais heureuse de lui avoir fait ce plaisir.

Je ne vous cache pas que j'avais encore envie de lui, mais nous devions rentrer, car il se faisait tard. Je pris le soin de me nettoyer rapidement avant de m'habiller. Le chemin du retour fut très tendre. Je m'étais mise sur son épaule et lui me caressait les cheveux. Je lui fis promettre d'essayer de nous revoir avant la fin des vacances, car j'avais trop aimé baiser avec lui.

Mon homme arriva peut être une heure après moi. Le soir-même, nous faisions l'amour ensemble. Je ne vous cache pas que le plaisir n'était pas le même. Depuis, je fantasme sur mon black d'amour, sur sa queue gigantesque. D'ailleurs en rentrant en France, peu de temps après, je me suis achetée un godemiché de grande taille et noir bien entendu.

Pour la petite histoire, sachez que nous avons refait l'amour à la dernière soirée. Mon mec complètement bourré par les gins tonic, je me suis faite une dernière baise avec Ibrahima derrière notre bungalow, sur la pelouse.

J'espère que ce récit de mes vacances au Sénégal vous a plu. Faites_le moi savoir en m'écrivant

Bisous. Sève.

Auteur

 

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