Aujourd'hui, c'est ma première sortie en public avec ma
nouvelle personnalité. Il va falloir que j'en teste l'effet
sur une population un peu spéciale, celle des étudiants de
la fac de droit. Sans oublier les profs bien sûr, hommes ou
femmes. Justement, j'ai un cours de droit des affaires ce
matin et je sais que monsieur Ducloux, le vieux prof (entre
nous, nous l'appelons papi) est assez amateur de jolies filles.
Je vais me faire un plaisir de l'allumer un peu pour guetter
ses réactions. Je suis certaine qu'il ne restera pas insensible
à mes charmes juvéniles.
La séance d'hier soir, avec le veilleur de nuit m'a confirmée
ce que je pensais. Je suis faite pour jouir et faire jouir mes contemporains.
Depuis que j'ai trouvé le plaisir dans les bras de mon premier amant,
les évènements s'enchaînent à merveille. Je vais
continuer sur ma lancée et je ne compte pas m'arrêter en si bon
chemin. J'ai déjà perdu trop de temps. Il faut que je profite
de mes atouts pour séduire autour de moi tous ceux et toutes celles qui
sauront me donner ce dont ma chatte et mon cul ont besoin.
Avant de partir, je me fais belle et excitante. J'enfile une tenue d'écolière
complète : une petite jupe écossaise, comme il se doit, des mi-chaussettes
blanches et des souliers vernis, un chemisier sage, mais relativement transparent.
Je n'ose pas sortir sans soutien-gorge, pas encore. On pourrait voir mes seins
à travers mon haut et j'ai peur que cela soit trop suggestif pour une
première sortie. Je passe donc un soutif de dentelle blanche pour masquer
plus que pour tenir mes tout petits nichons. Ah, sous ma jupe j'ai aussi enfilé
une culotte de coton blanc ! Il sera bien temps, plus tard, d'exhiber ma petite
chatte rasée à des voyeurs inconnus.
Pour couronner le tout, je m'occupe de mes cheveux. Je les sépare pour
en faire deux petites couettes. Ils ne sont pas très longs, mais j'ai
décidé de les laisser pousser pour pouvoir porter une queue de
cheval bientôt. Les petites filles adorent les queues de cheval. En attendant,
je me contente donc de mes couettes. Je suis sûre que les vieux messieurs
adorent les filles en couettes. Je me maquille très peu pour le moment.
Par contre, j'ai déjà pensé à sortir peinte comme
une pute avec ma nouvelle tenue. Je crois que ça ferait un effet terrible.
Sans doute trop terrible pour une première visite à la fac. Ce
sera pour plus tard. Quand je me regarde dans le miroir, je me trouve vraiment
craquante. On dirait presque une héroïne de manga (le sourire niais
en moins).
Ainsi accoutrée, je me rends à la fac. J'ai sagement revêtu
un imperméable, non seulement parce qu'il pleut en ce jour d'avril, mais
surtout pour ne pas risquer de mauvaise rencontre dans les couloirs encore déserts
de la Cité U. Il faut dire que, pour les mâles qui hantent ces
lieux, je serai une proie de choix. Aujourd'hui, j'ai décidé d'exciter
mes camarades de fac et mon vieux prof, pas de me faire prendre dans une sordide
chambre d'étudiant par le premier black venu. Au passage j'ai tout de
même lancé un petit signe amical à mon gardien préféré
qui termine sa nuit. Il m'a bien prise hier au soir et je dois garder de bons
contacts avec lui. Ca peut servir.
J'arrive juste à l'heure pour le début du cours. Mes préparatifs
ont été plus longs qu'à l'accoutumée et je suis
un peu à la bourre. J'ai quand même le temps de déposer
mon imperméable au vestiaire et de descendre les escaliers pour aller
m'installer à ma place habituelle, tout en bas de l'amphi, en face du
large bureau du prof (et oui, je suis une étudiante attentive et sérieuse).
J'effectue le trajet qui me conduit vers ma place calmement, un peu plus lentement
que d'habitude. J'ai envie qu'on me voit. Comme je suis l'une des dernières
à arriver, les autres étudiants sont pour la plupart déjà
installés. J'essaye de faire en sorte que ma démarche soit la
plus naturelle possible, même si une douce excitation me gagne. Je crois
sentir des regards qui se posent sur moi, j'imagine que certains ou certaines
se poussent du coude en s'interpellant sur mon passage, je veux croire que,
déjà, des gars ou des filles me désirent. Je n'ose pas
tourner la tête pour en avoir la confirmation. En quelques secondes, j'atteins
le banc qui m'accueille presque tous les jours depuis des mois. J'y pose mon
sac et mon cul, au bon moment pour le début du cours de " papi ".
Je crois bien que lui aussi m'a remarquée. Comme chaque fois, il me
sourit, mais aujourd'hui je crois déceler un peu plus de chaleur dans
son sourire. Tout au long de son cours, je vais tester l'influence de mes charmes
sur lui. Je m'installe bien au bord de la banquette de moleskine. Je mets les
lunettes qui me sont indispensables pour lire au tableau noir. Ainsi, je fais
vraiment petite écolière première de la classe. Je place
mon bloc-note sur la tablette qui me fait face et me saisit de mon stylo. Je
ne suis pas très concentrée sur le cours qui commence. J'ai d'autres
choses en tête.
Au début, j'essaye malgré tout de suivre les propos rébarbatifs
de monsieur Ducloux. Puis, au bout de quelques minutes soporifiques, je me laisse
aller à le provoquer. J'ouvre mes jambes sous la tablette. Je me suis
un peu écartée de ma voisine pour avoir de la place. Avec mes
mains, je tire sur ma jupe écossaise et je la remonte délicatement
sur le haut de mes cuisses. Ainsi, le prof a une vue imprenable sur ma petite
culotte. Je fais bruyamment tomber mon stylo pour capter son attention. C'est
réussi, il me regarde. En me relevant après avoir ramassé
mon outil, j'en profite pour l'observer fixement. Quand ma main passe près
de mon slip, j'effleure volontairement le coton, lentement. Il ne peut pas rater
ce geste. D'ailleurs, il ne le rate pas si j'en juge à son air surpris.
Je décide de pousser mon avantage. Je continue tant bien que mal à
prendre des notes mais ma main gauche vient se coller entre mes cuisses, juste
sous ma jupe relevée. J'ai pris un marqueur en main et je me passe le
gros bout sur la fente doucement. Le regard du prof se porte de plus en plus
souvent sur moi. Il n'ose pas me regarder franchement. Pourtant, à un
moment, mes yeux croisent son regard un instant. Il baisse vite la tête
et rougit. A partir de là, je sais que j'ai réussi à capter
son attention. Je me demande comment il peut continuer à débiter
son cours. Sans doute l'expérience acquise au cours d'années de
pratique lui permet-elle de continuer en roue libre.
Je continue à me caresser sous la tablette. Le surligneur glisse sur
l'étoffe de ma culotte. De temps à autres, je laisse aller mes
doigts sur le tissu. Je m'excite. Je sens que je mouille mon sous-vêtement
de gamine. Oh, il est encore trop tôt pour que ma main sente l'humidité
naissante de ma vulve ! Mais bientôt, je sais qu'une tâche de mouille
va apparaître. Une auréole de mon jus va trahir mon état
aux yeux de papi. Il va comprendre que je suis excitée par la situation.
Le prof vient de s'asseoir derrière son bureau. C'est assez inhabituel.
Les autres étudiants n'y ont sans doute pas prêté attention,
mais moi, je sais bien pourquoi il s'assied. D'ailleurs, l'un de ses bras pend
ridiculement sous le bureau. Je suis sûre qu'il se touche en me matant.
C'est bon signe. Ce vieux cochon n'est décidément pas insensible
à mes charmes. Je vais lui faire plaisir en attendant qu'il me soit plus
utile.
Pour finir de l'exciter, je passe le bout du surligneur sur le côté
de ma culotte. Je ne lui montre pas encore ma fente. C'est trop tôt. Il
doit seulement imaginer le bout du marqueur qui me touche la vulve. Moi, par
contre, je sens l'action du feutre qui m'écarte légèrement
les lèvres. Je me reprends. Je ne peux tout de même pas me l'enfoncer
dans la chatte, là, dans cet amphi ! Je me contente donc de le diriger
vers mon petit bourgeon. Timidement, je me caresse le clito, retenant à
contrecœur les gestes plus appuyés qui pourraient me combler. Je
me satisfais à moitié des attouchements du surligneur sur mon
bouton sensible. Ca ne m'empêche pas de couler maintenant comme une fontaine.
Cette fois-ci, le prof ne peux plus ignorer que je mouille abondamment en me
touchant.
Le pauvre vieux est tout rouge. Il a du mal à continuer son cours. Le
voilà qui se sert un verre d'eau. Peine perdue, il suffoque ! On ne lui
a peut-être jamais fait ce coup là dans toute sa carrière.
Pensez-vous, une étudiante déguisée en écolière
modèle qui se branle sciemment devant lui ! A son âge, c'est tout
de même chaud à supporter. Déjà, quelques élèves
affolés s'approchent de lui pour s'inquiéter de son état.
Il les disperse d'un geste rapide et à l'aide de quelques paroles rassurantes.
Mais le cours est prématurément terminé pour aujourd'hui.
Il doit se reposer.
Je range mes affaires à regret et un peu dépitée de ne
pas avoir pu continuer à me masturber. En quittant ma rangée,
je jette un oeil vers le bureau du prof. Il doit sentir mon regard et lève
la tête vers moi. Je lis du désir dans ses yeux. Visiblement ma
tenue de salope et mon comportement pervers ont fait merveille. Cela augure
bien de la suite. Je crois que je reverrai " papi Ducloux" bientôt.
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