quand j'ai lu certaines confidences , je me suis décidée à en faire moi
aussi. Je sais que beaucoup vont me railler de cette confidence, mais
j'ose la faire. Vous qui avez reve souffert, aimé follement avec la chaleur
et la fougue du désir soyez indulgent pour moi. Cela s'est passé apres
la mort de mon mari. j'avais quarante ans. mon fils avait repris les
affaires familiales malgré son jeune age. Il était brillant. Il fréquentait
les camarades de son école et les amenait à la maison. Ce fut le temps de
ma nouvelle jeunesse. je me laissée baisée par qui me plaisait, sans
réfléchir, sans calcul, indifférente à la profondeur des sentiments que
j'inspirais comme à leur durée probable. Mon fils amenait ses camarades
avec la meme sérénité.Je ne prenais plus de précaution. Il me paraissait que
le temps m'était mesuré,trop court pour en perdre les précieuses minutes.
Je me plaisais aupres des jeunes et je les engageais à me prendre quelques
fois à trois.
j'avoue que je descendais une pente quand j'eus le bonheur
de rencontrer SEBASTIEN, un ami à mon fils. Tout de suite je l'aimai.
J'étais l'objet d'un sentiment ardent, profond, exclusif pour la
première fois je fut maitrisée par une volonté plus haute que la mienne. Je
fus dominée délicieusement. je ne prétais plus attention aux autres
camarades de mon fils. Trois années se succédèrent, les meilleurs de ma vie.
De pures années d'amour au cours desquelles ni la passion de Seb ni la
mienne n'eurent la défaillance. Ce fut le rachat de mes années d'avant.
Celles du désordre sentimental. TOUT CE QUI N'ÉTAIT PAS MON AMOUR
m'importais peu. MON FILS LE savait-il? le cacartère de mon fils me donne
l'hypothèse d'une complaisance.
Le reve fini brusquement. Un matin une lettre de Seb m'annonça qu'il se
mariait. Il épousait une autre veuve plus jeune que moi. Je passais tout un jour
et toute une nuit dans un état d'hébétude qu'aucune pensée ne traversa.
Puis la fièvre me prit, et, durant des semaines, je fus, réellement entre la
vie et la mort. Quand les sens me revinrent, j'aperçus à mon chevet mon
fils, qui m'avait veillé, me dit-on, avec sollicitude. Cette sollicitude
continua pendant ma convalescence; et, quand mon corps et ma tete furent
hors de danger ce fut lui encore qui me soigna mon ame meurtrie qui me pansa
par de douces paroles, par milles délicatesses et des tendresses.
Sans lui je n'aurai pas eu le courage de vivre. Le jour où j'ai cru mes forces
tout à fait revenues, j'osai tenter une épreuve qui jusque là, m'avait
épouvantée. Appuyée sur le bras de mon fils, je marchai jusqu'a la grande
glace qui est dans ma chambre et je m'y regardai. Ce n'était plus moi, ce
que je voyais, c'était le spectre de la jeune femme que j'avais connue
vivvante et vibrante, amoureuse et aimée. Je poussais un de désespoir et
tombai dans les bras de mon fils. il me serra passionément et, posant sa
bouche sur mon oreille, il y glissa ces paroles qui descendirent en moi
comme un baume: \" Tu es belle, toujours belle toujours jeune, toujours
désirable....je t'aime Gabrielle\"
répète un peu ce que tu viens de dire.___ Oui, tu es belle et désirable. Il me
prit dans ses bras et me déposa au lit. c'est alors que j'ai remarqué la
bosse au devant de son pantalon.___ je crois que c'est vrai ce que tu dis
APPROCHE TOI. Il s'approcha. Je défait son pantalon et libère un sexe
considérable je l'ai pris à deux mains et le passais sur mon visage sur
mes lèvres, sur mon cou et plus bas. Il memit debout et me déshabilla. Il
me contemplait et me caressait partout.
il était attiré par mes seins. il les pétrissait les tetait il allait
d'un sein à un autre puis me coucha sur le lit et m'embrassait partout
j'étais vibrante de désir. Il promena son sexe sur chaque partie de mon
corps. J'avais hate de le sentir en moi. Finalement il vint sur moi, je le
guidai en moi il me pénétra doucement délicieusement en memurmurant:\" il
y a bien longtemps que j'ai revé de toi\"
___Ne dis plus rien, prends moi, pousse encore plus loin, j'ai besoin de
ton sexe entier.finalement il arriva à me combler et commença un va et
vient d'abord doucement puis j'ai passé mes jambes derrière son dos
pourqu'il me prenne plus fort. O! qu'il était puissant il me secoua et
me pilonnait je le sentai venir et je me suis lachée en meme temps que lui
j'ai senti un liquide chaud m'envahir
Je ne sais pas ce qu'il pense de moi. Moi, je suis prète à recommencer.
Auteur.
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