Bastille - J'étais avec ma femme dans le métro,
c'était l'heure de pointe, une matinée de semaine synonyme
de travailleurs stressés et de cohue. La gare de Lyon avait
engouffré son flot de voyageurs pressés d'aller en découdre.
Mais pas pour nous, c'était congé, c'était l'été, et nous
voulions nous promener, profiter d'une belle journée pour
aller d'abord aux Tuileries.
St Paul-Le Marais - Ma femme était adorable, comme toujours.
Elle avait revêtu une petite robe de jean bleu, assez courte,
et fermée sur le devant par des boutons. Ce matin, je l'avais
vu enfiler un string arachnéen plus que minimal.
Alors qu'elle se comprimait contre moi dans la rame, me
tournant le dos, je me disais que c'était l'occasion ou
jamais. J'avais vraiment envie de passer ma main sous sa
robe, de flatter sa croupe parfaite, d'immiscer mes doigts
entre ses fesses, de sentir ces poils qu'elle a nombreux,
j'adore cela. Les pubis épilés, glabres, cliniques des films
pornos me laissent froid. J'aime les poils, les odeurs,
et spécialement celles du sexe et du cul de ma femme.
Je l'ai sentie se figer lorsque je glissai ma main droite
sous sa robe légère. Je pris sa petite fesse dans ma main,
la soupesai. Je n'en revenais pas de mon audace, je prenais
décidément de l'assurance, et je savais qu'elle aussi était
en train de s'émanciper, la preuve en était son absence
de réaction hostile. Quelques années de mariage, la meilleure
connaissance du conjoint, la confiance mutuelle, tout cela
avait provoqué chez ma femme une relaxation concernant les
choses du sexe. Je savais qu'elle pouvait aller bien plus
loin que moi, même si j'étais capable de fantasmer sur les
scénarios les plus crades. Mais dans la vraie vie, j'avais
toujours peur d'être pris sur le fait, par exemple.
Je surpris le regard du type à ma gauche, alors que je
glissais un doigt à l'orée du sexe de ma femme. Le type
me souriait, quant à ma femme, elle ne s'était pas rendue
compte qu'elle était observée. Pris d'une impulsion subite,
je retirai ma main, et pris celle de l'homme, qui comprit
sur le champ. Sans un mot, je la tirai vers le bas, et c'est
lui qui prit en main le cul de ma femme.
Je me demandais si elle se rendrait compte du changement.
Je guettais ses réactions, tandis que je discernais le poignet
mouvant de l'homme. Il s'en passait de belles là dessous.
Que lui fait-il ? Il doit bien bander, le salaud.
Je la vis soudain réagir, quelque chose l'avait surprise.
Je lui dis vite à l'oreille « Ne crains rien ». Elle tourna
la tête vers moi, et je vis dans ses yeux un affolement
lié à la compréhension de la situation.
Hôtel de Ville - Je remis ma main sous sa robe, et rencontrai
les doigts fureteurs, rodant entre le sexe et le trou du
cul. Le sexe de ma femme était poisseux, gras, elle écartait
les jambes au mieux pour y donner accès, je décidai d'y
mettre un doigt. Je tentai de discerner son visage, voir
sa réaction, une crispation, de l'embarras, je ne voyais
rien. Je sentis seulement sa main droite appuyer sur mon
sexe qui bandait douloureusement dans mon jean. La main
de l'homme frôla la mienne et je compris qu'il allait lui
glisser un doigt dans le cul. Je crevais d'envie de sortir
ma queue. Je regardais les autres voyageurs, rien que des
hommes autour de ma femme. Et s'ils se rendaient compte
? Et s'ils s'y mettaient tous, à fourrer leurs mains, à
peloter ma femme que j'ai offerte et qui doit commencer
à perdre la tête ?
Châtelet - L'homme est toujours là, il a poussé mes doigts
et a glissé les siens dans la chatte ruisselante de ma femme,
il lui a parlé à l'oreille. Alors qu'il murmurait, j'ai
senti mon sexe soudainement serré par sa petite main. Tout
d'un coup c'est la cohue, des voyageurs sont sortis, d'autres
sont entrés, des Japonais. Ils parlent, font un bruit d'enfer,
et je suis soudain séparé d'elle, dix centimètres qui font
des kilomètres, d'autant plus que l'homme est toujours collé
derrière elle, et je le vois qui parle, et je devine la
petite main de ma femme qui se dirige vers l'arrière, vers
sa queue.
Louvre-Rivoli - J'ai bougé de cinquante centimètres, et
je vois son visage à elle. Elle me regarde, je ne comprends
pas bien ce qu'elle me dit muettement, mais de toute évidence,
elle prend son pied. Je vois bien son visage à lui, également.
Il est moche, super moche même. Pas du tout son genre, ce
qui m'excite d'autant plus, de la voir pelotée par un type
qui n'aurait d'ordinaire aucune chance, je n'ai même pas
l'aiguillon de la jalousie. Mais il a gagné la timbale,
ce matin.
Les Japonais parlent toujours. Je réussis à me rapprocher
d'elle, me glisse juste devant et alors que nous sommes
collés, je l'embrasse. Et je glisse furtivement ma main
dans sa culotte, et caresse rapidement son clitoris. Je
la sens vibrer, c'était ce qu'il manquait. Elle part, tandis
que mes doigts glissent plus loin, où ils rejoignent ceux
de l'homme, qui sont plantés dans sa chatte. Elle jouit
en soupirant, soupir quasi inaudible dans cette clameur,
mais je sens sa main serrer très fort la mienne. Et je lui
dis que je l'aime.
Musée du Louvre - Le type sort avec les Japonais, sans
un mot. J'espère que nous ne le reverrons jamais.
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