Je suppose que vous vous êtes souvent demander pourquoi les hommes peuvent-ils toujours prendre leur pied partout et beaucoup plus discrètement qu'une femme ? C'est vrai, ça n'étonne personne de voir un homme passait « discrètement sa main » sur mon pantalon alors qu'une femme. Vous je sais pas mais moi si ! Et ça me saoule, c'est pour cela que je me suis dit que cela ne devait plus durer.
J'étais chez une amie, chez qui je devais passer la nuit quand son superbe voisin est passé nous voir. Il est l'exemple typique de ce que je vous racontais.
Alors que l'ont mangé tout les trois, Lucie ( l'amie en question) a reçu un coup de téléphone. Elle devait nous quitter.
Alexandre en bon mec de bas m'a donc proposé de prendre le dessert chez lui, deux étages plus haut.

Une fois dans son studio, il me tends une part de gâteau à la cerise. Mais Dieu sait que je suis maladroite et l'une d'entre elle tomba entre mes seins et resta prisonnier du soutien gorge. Il faut dire qu'il fait une chaleur et puis ma poitrine étant assez généreuse. le tissus du chemisier est assez tendu, pas évident que ce soit tomber.
Tendit que je passe ma main pour aller chercher cette perverse de cerise, je remarque la main d'Alex passer négligemment sur son sexe une première fois, puis une seconde fois avant de l'enlever rapidement lorsqu'il surpris mon regard.
Ainsi soit-il, je lui lance un regard de vierge effarouché tendit que je prépare dans ma tête un pur moment d'extase.
La cerise a glissé dans le bonnet du soutient gorge, pas moyen de la récupérer discrètement maintenant, mais bon. ce n'était pas mon intention. Je passe ma main sur mon sein, sous le chemisier à la naissance de la poitrine, puis doucement je fais courir mes doigts jusqu'à une pointe, dure. Un regard en coin me prouve qu'Alex en loupe pas une miette, mais si lui ne voit que mon téton et ma main qui joue avec a travers le tissus. Le tissus me frotte la peau, râpe mon téton dans un petit bruit.

J'arrive jusqu'à la cerise, je l'attrape doucement et la fait rouler autour de la pointe rosée, le long du sein avant de la mettre dans ma bouche.

Sans le regarder, je veux pas qu'il pense que je chercher à l'exciter, pour se donner une contenance il sort des bougies et les allument, certainement pour qu'il puise se toucher sans que le voit...

Le repas reprend sans anicroche, même si je vois que son regard dévie régulièrement sur l'ouverture de mon chemisier que je n'ai pas remis.

Tendit que je bois une gorgée d'eau, je constate que sa main se fait de plus en plus pressante sur la bosse de son pantalon. Dans un sourire, je lui demande gentiment si je peux prendre une douche chez lui, vu que Lucie ne reviendrait pas avant un petit moment. Il accepte sans aucun problème et me laisse le nécessaire avant de m'annoncer qu'il allait faire un tour et qu'il revenait.

Je descend chez Lucie chercher mes affaires avant de remonter chez lui.
Dans la salle de bain, je constate que la douche est en verre transparent. Et que si mes connaissances sur les hommes ne sont pas mauvaises, je devais pouvoir m'amuser un peu.

Moi qui adore les bougies, je vais en chercher dans le studio et je les ramène dans sa salle de bain, avant de me déshabiller d'allumer la musique et de me glisser sous la douche, j'entends le bruit d'une porte que l'on ferme doucement, je me dépêche de faire couler l'eau.
Alors que je passe le produit parfumée sur la peau, je sens un courant d'air puis plus rien.

Je n'entends plus rien que le bruit de la musique, et je n'ose pas me retourner vers la vitre. Je commencer donc a passer le gant sur ma peau, le long de mon cou, sur le ventre, le dos, une jambe, l'autre.
Puis j'enlève le gant de ma main, met de la crème dedans avant de la passer sur la poitrine, d'abord doucement, puis ma main se met à pétrir mon sein, le pouce joue avec le téton qui durcit, il roule sous mon doigt.
Mon autre main assène la même torture au sein délaissé, dans un gémissement je jète un laisser coup d'oil sans la vitre. Il est là, le dos collé contre le mur, le pantalon au niveau des genoux, la main dans bosser jouant un va et vient universel.
J'ai envie d'aller vers lui que ma langue remplace sa main, de lécher son gland, de prendre son sexe dur et chaud dans ma bouche. Je veux toucher ses testicules, les masser.

Mais. déjà une de mes mains glisse le long de mon ventre, contournent ma forêt avant de jouer avant mes lèvres. Je sens mon corps se tendre, et de le savoir si près en train de me désirer me rends folle. Le jeu a assez duré, je me retourne face à lui. Il a l'air étonné, dans un sourire, me m'accole contre le mur opposé et continue de me masturber, de pétrir mon sein, déjà je sens mon doigts me pénétrer, puis deux. Mais ça me suffit pas, je vois que sa main s'agite.

Je prends la première bougie qui vient, l'éteint. Son regard ne se décroche pas la bougie, puis dans un simple mouvement, je la sens en moi. Je suis tellement excitée que je sens sur mes cuisses un liquide chaud et tendit que je resserre et frottent mes cuisses autour de la bougie, je le vois s'approcher de moi.

Il délaisse un instant son pénis pour jouer avec la bougie qui est en moi. Mes légers gémissements se transforment en râles de plaisir, avant d'être envahie par un orgasme.

Il me sourit, me laisse reprendre son souffle. ce n'est pas ainsi que je voyais la fin du jeu.

Alors que j'enlève cette bougie je m'approche de lui et fini de le déshabiller. Nous sommes tous les deux, nus, dans la salle de bain, son pénis gorgé de désir qui ne demande qu'à sortir.
Je me colle contre lui, ma poitrine collé contre son torse et je descende lascivement jusqu'à son sexe qui m'est enfin offert. je le veux dans ma main, je le veux entre mes seins, mais encore plus le veux dans ma bouche ! Je passe ma langue sur le gland, je le rends en entier dans ma bouche, j'exerce des légères pressions qui ne le laissent pas indifférent.

Quand tout à coup il me force à relever avant de ma plaquer contre le mur et de me forcer à monter sur luit. Mes jambes entourent sa taille, l'eau coule toujours sur nous, il me pénètre d'un coup de rein. Nos hanches s'accordent dans un moment de va et vient.

Je lui murmure à l'oreille « encore ». Je m'apprête à le caresser quand il prend mes mains et les retient au dessus de ma tête.
Je sens qu'un deuxième orgasme va me prendre.. lui aussi doit le ressentir car je sens d'un coup son sperme se déverser en moi.

Gwladyss