Je me prénomme Marie-Jo, J'ai 41 ans. En Juillet 2005, j'étais en
vacances près de Saint-Tropez avec mon mari et une amie Denise. Nous avions
loué une villa avec piscine mais Denise préférait la plage et la mer. Nous
allions donc plusieurs fois par semaine à l'une des plages bien connues,
entre Saint-Tropez et Ramatuelle.
Nous avions remarqué un groupe de jolis garçons qui se promenaient sur la
plage en proposant des services quelque peu originaux: soit un massage sur
place c'est-à-dire à même le sable, soit un massage dans une petite
"cabane" construite en bordure de plage (en fait de cabane, il s'agissait
d'un enclos constitué de 4 paravents en bambou), soit de vous enduire le
corps d'huile solaire.
Un après-midi, un de ces jolis éphèbes bronzés est venu nous demander si
nous voulions un massage, Sans nous concerter, Denise et moi avons répondu
que oui. Le prix était de 25 euro pour une demi-heure de massage, de 40 euro
pour une heure et de 20 euro pour l'huile solaire. Nous avons opté pour
l'huile solaire. Le garçon s'appelait Elio. Il était superbement bronzés
et son bronzage faisait ressortir sa très belle musculature. Il portait un
mini maillot épousant le relief de son sexe. Il a demandé si nous voulions
être "traîtée" sur place ou dans la cabane. J'ai choisi sur place. <
Elio m'a demandé de m'allonger sur le ventre. Il a commencé par étaler
l'huile sur la nuque, les épaules, le dos, avant de descendre vers la
taille. Ce jour-là, je portais non pas un string mais une petite culotte
brésilienne et il m'a demandé si je voulais la conserver. En guise de
réponse, j'ai soulevé les fesses. Il a compris et il a lui-même ôté ma
culotte. Il m'a enduit les fesses, puis a continué vers les cuisses. Il
était très doux. D'une légère pression, il m'a invitée à écarter les
jambes. Il est resté quelques temps sur les cuisses, avant de descendre pour
masser les mollets et les pieds. Puis il est revenu sur les cuisses. Ses
mains s'approchaient de mon sexe et par moments, ses doigts effleuraient
mes lèvres. Puis il est remonté sur mes fesses dont il a écarté les globes.
Je sentais l'excitation monter et ma chatte était toute mouillée. J'ai
tendu un bras en direction de Denise. Elle a pris ma main entre les siennes.
Mon corps avait besoin de carresses. Je soulevais les fesses à la rencontre
des mains d'Elio. Je savais que j'étais impudique. Je me sentais belle et
désirable et j'en ressentais une immense fierté. Elio continuait à masser
l'intérieur de mes cuisses et mes fesses. Il glissa une main sous mon
ventre. Etant complètement épilée, il ne trouva qu'un petit monticule
gonflé par l'excitation et une peau douce. Il prit mon pubis dans la paume
de la main et le pressa plusieurs fois comme un fruit mur. Je dosais la
pression. Je devais lui laisser suffisamment d'espace pour qu'il puisse me
peloter et d'autre part, je voulais me lover au creux de sa main. Il cessa
de me peloter le pubis pour remonter le long de mes lèvres, un doigt de
chaque côté de ma fente humide et il termina par un doigt sur mon oeillet.
J'étais hyper excitée et celà commençait à me faire mal. J'avais une envie
folle qu'il me soulage en carressant mon clito ou glissant un doigt dans ma
chatte. Mais au lieu de celà, il versa de l'huile entre mes fesses. Je la
sentis couler sur ma fente. Lorsque le liquide atteignit mon bouton, je
ressentis le début d'un orgasme.
Juste à ce moment, Elio m'invita à me retourner. Il se mit à genoux dans
le sable, un genou de chaque côté de ma tête. Il massait maintenant mes
épaules et le dessus de mes seins. Il était si près de ma tête que je
sentais son odeur virile. Innocemment, je me suis étirée jusqu'à ce que mon
crâne vienne en contact avec son sexe. Il bandait. Denise serrait ma main de
plus en plus fort. Je ressentais non seulement son excitation mais aussi une
sorte d'encouragement. Elio est passé sur mes seins, insistant sur les
flancs dont il avait remarqué l'extrême sensibilité. Maintenant c'était
lui qui pressait sa queue sur mon crâne. Et en même temps, il pinçait mes
têtons. Sans le vouloir vraiment mais aussi sans rien faire pour
l'empêcher, j'ai commencé à bouger les hanches. Elio s'est allongé au
dessus de moi pour y verser de l'huile. Pendant quelques secondes, j'ai eu
son sexe au dessus du visage. J'ai pensé soulever la tête et l'embrasser
au travers du maillot mais la peur d'être vue et de provoquer un scandale
m'a fait hésiter quelques secondes. Son mini maillot épousait parfaitement
la forme de son sexe, laissant apprécier un tige longue et un gland bien
dessiné.
Entre temps, Elio était passé au dessus de moi pour s'agenouiller à
hauteur de mes hanches. Il a versé de l'huile sur le ventre et sur les
jambes. Il est passé rapidement sur le ventre. Comme il l'avait fait
précédemment, il m'a invité à écarter les jambes. Il massait les cuisses,
les mollets, revenait sur les cuisses, puis sur les hanches, resdescendait
sur les cuisses en passant sur les côtés de ma vulve. Mon sexe était trempé.
En m'invitant à écarter les jambes encore un peu plus fort, Elio s'est
assuré une fois de plus que j'étais consentante. Alors il s'est remis
carresser mon pubis et les lèvres. Je les sentais gonflées mais encore
fermées comme une cicatrice d'adolescente. Jamais un homme ne les avait
carressées aussi longtemps et avec autant de sensualité. La plupart de mes
amants se pécipitaient vers ma chatte à peine entr'ouverte ou vers mon
clito à peine sorti de son écrin. Elio lui me carressait avec une infinie
douceur, comme s'il m'avait carressé la joue et que cette carresse était
la seule carresse possible. Puis j'ai senti que mes lèvres
s'entr'ouvraient. J'ai d'abord ressenti l'air un peu plus frais. Puis
Elio a versé un peu d'huile tiède sur mon clito. Quand l'huile a ruisselé
sur mon bouton, je n'ai pas pu retenir un petit cri de plaisir. J'ai alors
soulevé les fesses pour l'inviter à accélérer le rythme.
Denise avait glissé un petit coussin gonflable sous ma nuque et je
regardais Elio droit dans les yeux ou alors le mouvement de ses mains sur
mon sexe. Je sentais que mon regard augmentait son excitation. Denise qui
était allongée à côté de moi s'était mise sur le flanc, histoire de me
protéger un peu de la vue des voisins. Elle me tenait toujours la main mais
son autre main se promenait sur ses seins. De la main gauche, Elio s'est
mis à me titiller le clito pendant que de la main droite, il avait glissé le
pousse dans ma chatte et l'index ou le majeur dans mon anus. J'ai joui en
quelques secondes. L'impudeur de la situation et le fait que cet homme ne
se souciait que de mon plaisir sans chercher à me baiser me rendait folle de
désir, folle du désir de jouir encore et encore. Elio n'avait cessé de me
regarder pendant que je jouissait. Puis j'ai senti son pouce dans mon vagin
et son index dans mon oeillet qui se remettaient en mouvement. Je sentais
ses deux doigts qui se refermaient à l'intérieur, qui pincaient. C'était
bon. J'étais prête à recevoir toutes les carresses, les plus intimes, les
plus perverses. Rarement un homme avait carressé mon sexe avec ses deux
mains. Je sentais mon anus vibrer autour de son doigt. Il m'a sentie prête
à jouir et il a pincé mon clito. J'ai joui pour la seconde fois. Il en
était fier. Un large sourire tout blanc illuminait son visage buriné par
plusieurs semaines passées au grand soleil.
J'aurais voulu que celà continue, qu'Elio me fasse jouir encore et
encore, qu'il me baise, qu'il m'offre sa queue ... je l'aurais prise
comme une récompense. Je me voyais les bras autour de son cou, mes jambes
autour de sa taille et lui me limant avec fougue. C'est à ce moment que
j'ai senti le souffle de Denise sur mon visage, ses lèvres s'approchant
des miennes et m'embrassant avec tendresse. J'ai ouvert les yeux. Je l'ai
regardée. Elle était belle. Je savais qu'elle s'était carressée en nous
regardant mais qu'elle n'avait pas voulu ou osé aller jusqu'à l'orgasme.
Alors j'ai souhaité que mon bel éphèbe s'occupe d'elle et la fasse jouir
sous mes yeux. Je me suis redressée, j'ai passé un bras autour du cou
d'Elio et pour le remercier j'ai déposé un baiser sur son sourire.
Elio m'a quant même demandé si le "service" m'avait plu et s'il
pouvait maintenant s'occuper de mon amie. Evidemment qu'il pouvait
s'occuper d'elle. Non seulement, il le pouvait mais je le voulais. Les
sensations continuant à se mélanger dans mon esprit, les mots tardaient à
sortir de ma bouche. Denise a pris l'initiative de dire qu'elle était
prête mais qu'elle souhaitait que le massage se passe dans la cabane. Elle
s'est levée, m'a aidé à me relever. J'ai remis ma petite culotte et nous
avons suivi Elio derrière les paravents de bambou. Mes jambes tremblaient.
Je sentais ma chatte couler dans ma petite culotte. Elio a accroché un petit
écriteau sur lequel il était écrit "occupé".
Derrière les paravents, à l'abri des regards, Elio s'est occupé de
Denise comme il s'était occupé de moi. Une fois sur le dos, Denise a pris
le sexe d'Elio dans une main. Mes mains ont rejoint la sienne sur le sexe
tendu. Une queue superbe, divinement bronzée, épaisse, tendue comme un arc,
un gland dont j'avais deviné la beauté sous l'étoffe du maillot. Nous
avons carressé Elio pendant qu'il faisait jouir Denise. Ensuite, nous avons
fait l'amour à trois, sans retenue, jusqu'à ce que nous soyions repues et
lui vidé.
En partant, il nous a donné son numéro de mobile mais en précisant qu'il
fallait appeler le matin entre 9 et 11h, ou le soir après 18h. Le reste du
temps, "je suis à la plage"
Quand nous sommes rentrées à la maison, nous avons raconté l'histoire à
mon mari.
Quelques jours plus tard, nous rentrions d'un après-midi de shopping
quand mon mari nous a annoncé que nous avions un invité pour le dîner. Nous
avons tout de suite deviné de qui il s'agissait ! Sur les trois semaines
que nous avons passées près de Saint-Tropez, nous avons revus Elio plusieurs
fois, parfois l'après-midi dans le cabanon à la plage, parfois le soir à la
maison.
J'adore mon mari pour de très nombreuses raisons, mais principalement
parce qu'il est lui même un excellent amant et pour sa largesse d'esprit.
Marie-Jo.
PS: Elio nous a donné la composition de "son" huile. Dans un litre
d'huile d'amande douce, il ajoute quelques gouttes d'essence de coco, de
l'essence de pamplemouse et quelques grains de poivre noir qu'il laisse
macérer pendant une semaine. L'huile d'amande douce pénètre bien dans la
peau. Le coco, c'est pour l'odeur agréable et l'air de vacances. Quant au
pamplemousse et au poivre, ils procurent une sensation de chaleur. Essayez
et vous comprendrez ! Cela marche aussi avec les hommes.
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