TITRE : Maryse s'est libérée
Catégorie : 
Histoire Exhibition et voyeur

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Mon épouse, Maryse, a indéniablement des seins énormes. Mais tout ce qu'il y a de plus naturel, je vous rassure.

Au début de notre union, elle était plutôt pudique et, en raison de son embonpoint, elle faisait tout son possible pour camoufler ses rondeurs. J'ai réussi peu à peu à la convaincre que c'était ridicule et qu'elle devait au contraire s'enorgueillir d'avoir de si beaux appâts.

La tâche, pour délicate qu'elle fut, était néanmoins un beau challenge. C'est aujourd'hui mission accomplie, mais cela a quand même pris des années : déjà dépasser la honte face à la vision de ses mamelles un peu lourdes, puis les trouver belles et enfin les montrer.

Au début de notre rencontre, c'était à peu près ça :

"- Mais, mon cul est rebondi !

- Mets-le en évidence. Combien d'hommes aiment les gros culs bien dodus ? Des milliers, des millions, des centaines de millions.

- Mais mes seins sont trop mous !

- Ils bougent lorsque tu marches et c'est hyper excitant. Tu n'imagines pas le nombre de gars qui lorgnent tes grosses doudounes, qui aimeraient te les bouffer, te les pétrir.

- Et mon ventre trop rond, et mes poignées d'amour, mes bourrelets, mes amas de graisse...

- STOP ! Tu es comme tu es. Ceux qui n'apprécient pas, ils vont voir ailleurs. Mais laisse au moins tes admirateurs savourer ta beauté. "

Elle voulait se faire refaire la poitrine : quelle ignominie ! A l'écouter, tout était à refaire, elle était sur le point de prendre un abonnement chez un chirurgien.

"- Stop, ça suffit. C'est moi ou la chirurgie, lui ai-je dit un beau matin, en colère."

A force de le lui répéter, j'ai fini par la convaincre, d'une part que j'étais très sincèrement attiré par ses rondeurs, qu'elles me faisaient fantasmer, qu'elles me faisaient bander, qu'elles me faisaient rêver. Et, d'autre part, que je n'étais pas le seul dans mon cas, et qu'il y avait pas mal de mecs qui avaient aussi envie d'elle.

"- Je ne vois pas au nom de quoi il n'y aurait que les mannequins qui auraient droit de s'exhiber. C'est un non-sens profond. Tout le monde n'aime pas les filles sveltes, ni les grandes girafes aux poitrines siliconées. Moi, ce que j'aime, ce sont tes gros roploplos, ce que j'aime c'est ton gros bide de femme enceinte et ton cul XXL. Et, tout ça, je ne le donnerais pour rien au monde, et surtout pas en échange de toutes ces pétasses de la télévision. Tu vois par exemple « L'île de la tentation », il n'y a rien de plus profondément débile, c'est vraiment lamentable. Sincèrement, tu m'imagines avec l'une de ces poupées Barbie, sur une île paradisiaque, à me faire chier à cent sous de l'heure : Les saunas, les massages, les promenades sous les cocotiers. Je préfère dix millions de fois tripoter tes doudounes sur une aire de repos, t'exhiber comme une pute et te baiser comme un sauvage.

- Tu parles, vous êtes bien tous les mêmes. Vous dites ça. Mais il suffit qu'une petite jeunette avec des mensurations parfaites passe quelque part pour que vous soyez comme des toutous derrière elle, à tirer la langue et à montrer papatte.

- Ne crois pas ça. Les autres peut-être, mais moi, pas vraiment. En ce qui me concerne, je serais toi, je me méfierais beaucoup plus des femmes bien en chair. A commencer par ta copine Fabienne, par exemple. Ce n'est pas parce qu'elle est beaucoup plus grosse que toi qu'elle n'a pas toutes ses chances avec mézigue.

- Salaud, tu lorgnes sur ma copine ?

- C'est à dire qu'elle, au moins, elle n'a pas peur de mettre son corps en valeur. Tu parles que ça m'excite, t'as vu les décolletés plongeants qu'elle a. En plus l'autre jour elle portait une jupe à moitié transparente et l'on voyait clairement qu'elle portait juste une toute petite culotte, un string devrais-je dire. Tu vois, ce n'est pas parce qu'on a un gros cul que l'on ne peut pas mettre ce genre de truc. Parce qu'elle, alors, elle a vraiment un gros cul ! Le tien est peut-être rebondi mais le sien il est maous costaud. Et question bourrelets, je crois qu'elle te bat aussi à plates coutures.

- Et bien, va la rejoindre, puisqu'elle te plait tant que ça. Allez, vas-y, ne te gêne pas.

- Mais chou, tu sais bien que c'est toi que j'aime.

- Tu parles, foutaises, arrête les beaux discours !"

Piquée au vif, quelques jours plus tard, elle s'acheta un gilet carrément très échancré et m'accueillit comme ça avec un balconnet. Je fus vraiment très sensible à l'attention.

« - Tu vois chou, quand tu veux t'en donner la peine... tu es vraiment très très bandante, encore plus que d'habitude. »

Et, ce soir là, je lui fis l'amour avec passion, d'autant plus avec passion d'ailleurs que j'eus droit à une seconde surprise : un mini string, enfouis au fond de la raie de ses fesses. Un tel effort méritait un bel hommage qui lui fut prodigué avec un soin tout particulier.

A partir de ce jour là, elle fit beaucoup d'efforts pour s'acheter des vêtements plus affriolants qu'elle réservait à nos soirées coquines. Je peux même dire qu'elle devint vraiment sexy et experte dans l'art d'attiser mes envies.

C'est alors que je décidai de pousser un peu plus loin mes demandes. Sexy à la maison c'était pas mal, mais sexy à l'extérieur c'était bien mieux.

Un soir que nous allions au cinéma, je lui dis :

« - Chérie, et si tu mettais ce petit chemiser si craquant que tu avais hier soir ?

- Tu n'y penses pas, il est à moitié transparent !

- Bof, regarde, il fait déjà à moitié nuit, personne ne va le voir. Vraiment, ça me ferait plaisir ! »

J'ai insisté lourdement et elle a fini par céder. Sauf que, arrivés au ciné, il a fallu passer par la caisse. Et là, je ne vous dis pas le malaise, elle n'avait pas prévu ça. Et c'est vrai qu'il y avait au moins trois ou quatre mecs qui la regardaient. Il faut dire aussi, que dans le hall, en pleine lumière, on voyait parfaitement ses gros lolos dans leur soutien-gorge sexy.

Une fois assis dans la salle obscure, je ne vous dis pas, j'en ai pris pour mon grade :

« - J'avais vraiment l'impression d'être une pute. Les deux noirs me regardaient avec des yeux concupiscents. Si j'avais été seule, ils m'auraient croquée toute crue.

- Tu vois bien que tu as du succès.

- Tu parles ! Accoutrée comme la dernière des salopes, qui n'en aurait pas ?

- Tu exagères toujours.

- Ma réputation est faite, jamais plus je ne remettrai les pieds ici.

- Mais tu ne connais personne !

- Jamais plus tu ne me referas faire une chose pareille. »

Mais finalement, nous en avons rediscuté longuement après les câlins et je n'eus aucune peine à la persuader que tout ceci n'était pas bien grave.

« - Ce sont des inconnus que tu ne reverras sans doute jamais. Ils te regardent, ils t'admirent. Ils te trouvent très mignonne, très à leur goût. Mais c'est normal puisque tu l'es, mignonne. Tu préfèrerais que ce soit moi qui regarde les autres femmes ? Par exemple, je ne sais pas si tu as vu la jeune fille qui était à la caisse, un peu boulotte mais incroyablement sexy. Elle, alors, elle était vraiment provocante avec sa boucle dans le nez et son tatouage sur le bras.

- Salaud, tu l'as regardée !

- Bien sûr que je l'ai regardée, comment voulais-tu que je fasse, on ne voyait qu'elle. Et il n'y avait même pas besoin de se pencher pour voir sa gorge profonde.

- T'es vraiment qu'une ordure.

- Non, juste un amateur de jolies choses. Et la plus jolie chose que je connaisse, c'est bien ma femme chérie. Dommage qu'elle soit un peu craintive et qu'elle refuse de se montrer. »

Du coup, lorsque nous sommes retournés au cinéma quelques jours plus tard, d'elle-même, elle a choisi un vêtement sexy, en fait un décolleté qui dévoilait largement ses seins.

Quand je la vis ainsi, je ne pus cacher ma surprise. Légèrement sexy, je pensais qu'elle s'y risquerait, mais là, elle avait vraiment fait fort, ses grosses doudounes étaient bien en évidence. Et il y avait du monde au balcon.

Dans le hall du ciné, plusieurs hommes la mataient, à commencer par notre voisin de devant. Le fait qu'il soit avec sa copine ne l'empêchait nullement de zyeuter dans le décolleté généreux de mon épouse. Il se retourna plusieurs fois, ne se gênant pas devant moi pour lui dire qu'il la trouvait charmante...

Les mois qui suivirent, ces petites escapades sexy devinrent de plus en plus fréquentes. Il me semble que Maryse y prenait vraiment goût. Nous allions au restau, elle s'habillait sexy. Nous allions en forêt, elle s'habillait sexy. Nous allions faire les courses, elle s'habillait sexy. En gros toutes les activités où nous n'avions pas trop de risque de rencontrer quelqu'un de connu. Sauf que, fatalement, ça arrivait quand même, de rencontrer des gens. Un jour, dans une grande surface, nous avons croisé un voisin, une autre fois c'est un collègue de ma femme qui nous a dit bonjour. Jusqu'à mon frère aîné qui nous a retrouvés au ciné.

Par conséquent, petit à petit, il est devenu de notoriété publique que me femme était une femme sexy, correcte mais sexy, ronde mais sexy. En tout bien tout honneur, car nous restions dans les limites de l'acceptable.

Cela dit, pour ma part, je n'étais pas encore entièrement satisfait.

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Un soir en rentrant de je ne sais où, nous nous sommes arrêtés sur une aire d'autoroute pour nous reposer. Je m'étais garé un peu à l'écart, sous les arbres, avec l'intention d'un petit moment coquin.

En attendant, nous sommes allés faire un petit tour aux toilettes et je remarquai trois camionneurs qui reluquaient mon épouse. Ce devaient être des étrangers, peut-être des danois ou des hollandais. Je ne comprenais pas ce qu'ils disaient mais, en tout cas, ils parlaient d'elle. Ils devaient la trouver très excitante avec son décolleté à faire pâlir.

J'en fis part, évidemment, à ma femme dès que nous revinmes tous seuls dans la voiture :

« - Ca t'excite chérie de savoir que ces hommes bandent pour toi ?

- Oui, je les ai vus. Ils ont l'air plutôt pas mal et bien musclés. »

A mon tour de la traiter de petite salope ! Je condamne les portes, je ferme les loquets. Je vais la punir pour ses désirs lubriques.

Je commence alors à la caresser, à l'embrasser. Je remarque que les trois hommes regardent vers la voiture avec insistance.

Assaillie par mes baisers, Maryse est très troublée. J'en profite pour extraire ses seins de leur prison. Je me penche, je les tète, je les excite. J'entreprends de la déshabiller entièrement : je la veux complètement à poil dans la voiture.

Elle a bien vu les hommes se rapprocher, mais elle est désormais trop troublée pour refuser. Elle me laisse faire, elle se laisse déshabiller, elle m'aide même à retirer sa jupe. J'arrache son collant, je le déchire largement pour dévoiler sa chatte. Elle n'a pas de culotte. Lorsqu'elle met des collants, elle n'a jamais de culotte.

Les trois voyeurs sont tout autour de la voiture, mais plutôt du côté de mon épouse. Je prends les lourds nichons de cette dernière à pleines mains pour bien les exhiber, je les soupèse, je les triture, je les malaxe, je les torture.

Maryse adore ça que je m'occupe de ses roploplos. Les routiers également, si j'en juge par le fait qu'ils ont sorti leur sexe et qu'ils sont en train de s'astiquer.

Je baisse le siège de ma passagère pour lui permettre de s'allonger. Puis, je lui fais écarter les cuisses afin que les trois hommes aient une vue plongeante sur sa belle chatoune. Le collant déchiré fait particulièrement vulgaire. J'écarte sa chatte, j'exhibe ses lèvres et titille son bouton.

Ma femme est vraiment très excitée, elle dégouline de mouille entre mes doigts. Et je l'entends bientôt gémir sous mes caresses. J'accélère le mouvement. Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour se raidir dans la jouissance.

Un des hommes vient d'éjaculer, les deux autres vont bientôt venir. Mon épouse se redresse, complètement hagarde. C'est alors que j'ai cette idée saugrenue de baisser sa fenêtre. Les deux hommes encore en course comprennent vite et viennent se branler juste devant. Maryse les regarde, éberluée... Elle reçoit les premiers jets de foutre un peu partout sur le visage. Elle se fait copieusement arroser. Le sperme perle sur sa figure, elle est bien décorée.

Ensuite nous repartons. Je fais un petit signe aux trois complices, ils ont l'air sympas et satisfaits. Maryse, toujours nue, se regarde dans le miroir, couverte de jus d'homme. Elle ne dit rien, elle me sourit, elle est heureuse.

« - Je ne pensais pas que cela pouvait être aussi facile, dit-elle, enchantée.

- Tu leur as fait grosse impression.

- Mais ils m'ont rendu un vibrant hommage. »

Nous éclatons d'un rire joyeux. Ma femme ne prend même pas la peine de se rhabiller. Nous arrivons devant la maison, je me gare, elle sort toute nue. C'est vrai qu'à cette heure là elle ne risque pas grand chose et qu'elle n'a que deux pas à faire pour être à l'abri dans le petit jardin. Mais, quand même, je ne la reconnais pas, avec son sperme séché partout sur le visage.

Depuis ce jour-là, elle a bien d'autres fantasmes. Le soir, près du stade, tournent les échangistes. Nous y sommes allés plusieurs fois. Parfois, je l'exhibe ou je la baise devant des voyeurs, d'autres fois, elle branle des mecs devant moi. Une fois aussi, elle a eu droit à une douche de sperme. Je l'avais fait allonger nue sur le capot et une dizaine d'hommes sont venus décharger sur elle. Je l'ai ramenée comme ça à la maison, gluante de foutre gras.

Maintenant, elle aimerait aller plus loin, passer à la vitesse supérieure. Elle aimerait que l'on fasse l'amour à trois et aussi à quatre, et pourquoi pas à cinq, six, sept. C'est devenu une vraie cochonne avec des désirs salaces.

Nous recherchons des mecs intéressés sur Internet. Ce n'est pas ça qui manque, mais nous sommes encore un petit peu indécis et nous n'avons encore jamais osé passer à l'acte.

Mais bientôt, peut-être !

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