TITRE : Maris et l'autostoppeur
Catégorie : 
Histoire dans des lieux insolites

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Marie roule en direction de la ville et traverse la forêt de Troncy, Elle roule depuis un quart d'heure, songeant a ses longueurs de piscine, qu'elle va faire comme chaque mardi. Soudain devant elle une silhouette masculine, jeune 20 ans, peut être moins, surgit au bord de la route.
C'est effectivement un jeune homme qui fait du stop sans en avoir l'air. Elle s'arrête lui demande ou il va et leur destination étant la même elle le fait monter.
Le garçon est jeune 17 18 ans, en tenue d'été comme elle robe courte échancré mettant sa superbe poitrine en valeur. Lors d'un coup d'oeil elle s'aperçoit que le garçon a le regard rivé sur son décolleté. Elle décide de le provoquer un peu. Et bien ils vous plaisent mes seins ?
Oh oui ils sont superbes !
Vous voudriez les toucher, propose t'elle soudain sans réfléchir.
Le garçon lui dit : Vraiment je peux, et joignant le geste a la parole lance une main en coupe autour de son sein droit. Délicatement il caresse, entoure, soupèse, Marie se dit que celui là n'est pas un jeune sauvageon.

Sans rien dire de plus elle prend la première allée cavalière dans la forêt, et quelques deux cents mètres plus loin , s'engage dans un chemin sur sa gauche. Elle n'a pas stoppé la voiture que la garçon a mis une main sur son genoux droit et commence a remonter sa robe blanche. Il découvre ses magnifiques cuisses bronzées et semble s'égarer. Alors Marie lui demande : tu voudrais les embrasser aussi ?
Comprenant que tout lui est permis le garçon sort délicatement un sein puis l'autre de la robe et Marie se retrouve la poitrine fièrement dressé dans le décolleté complètement a l'air. Cyril a qui elle vient de demander son prénom s'empare délicatement d'un sein et embrasse le têton qu'il lèche délicatement, suce entoure de sa langue, sans savoir que c'est une des caresses préférée de Marie.
Il s'en aperçoit bien vite lors que son têton turgescent est rougit de suçon et que Marie glisse au bord du siège avec un profond soupir.
Marie sentant qu'elle va perdre le contrôle, décode de reprendre les choses en main et attire la tête du jeune homme a elle et l'embrasse délicatement comme le ferait une minette de son âge. Elle se recule le regarde dans les yeux et pense je vais lui donner sa première leçon d'amour. Elle attrape Cyril derrière la nuque et l'embrasse a pleine bouche d'abord tendrement et puis fougueusement, sans lui laisser le temps de reprendre son souffle.
Il répond avec toute la fougue de son âge a son baiser et Pour s'assurer de l'effet produit, Marie laisse sa main descendre sur la braguette de Cyril et a le plaisir de sentir une énorme bosse coincée dans le pantalon de toile.
Vien tu n'es pas bien lui dit elle, passons derrière.
Ils sortent de la voiture et pendant qu'elle ouvre la portière arrière Cyril lui trousse la robe blanche par dessus la tête et Marie se retrouve en slip de dentelle dans les bois. Il y a bien longtemps que cela ne lui était arrivé !
Elle se retourne face au garçon qui soudain croit avoir été trop vite et se recule. Elle le rattrape par la ceinture et la dégrafe sans hésiter, découvrant un boxer bleu marine qu'elle n »hésite pas a faire glisser jusqu'aux genoux.
La verge de Cyril jaillit, déjà bien raide et le garçon se retrouve en position de faiblesse, pantalon sur les genoux sexe au vent !
Marie le contemple, s'agenouille et l'emprisonne dans sa bouche et l'englouti a fond.
Cyril râle : ohhh.
Elle a bien l'intention de profiter de son avantage et ressort le sexe du garçon de sa bouche, pour contempler son expression.
Il n'avait jamais été a pareille fête avec aucune de ses copines.
Marie en amoureuse experte, reprend le gland de Cyril entre ses lèvres et le suce le mouille l'avale tourne autour. L'excitation de Cyril monte d'un cran. Elle empoigne alors le garçon derrière les cuisses et enfourne aussi profondément qu'elle le peu ce sexe long et courbe. Elle adore cette sensation qui l'amène presque a vomir de ce sexe qui obstrue sa gorge mais par dessus tout elle sait la sensation que cela procure aux hommes et le fantasme que cela représente pour eux.
Puis elle entame une bonne et longue fellation, sentant le sexe durcir a l'extrême et se redresser l'obligeant a appuyer dessus pour le garder en bouche.
Une dernière léchouille le long de la hampe et Marie attire Cyril dans la voiture. Elle se met a quatre patte et lui présente ses fesses dont elle connaît le pouvoir d'attraction sur les mâles.
Cyril succombe au charme et lui enserre les fesses entre ses mains et d'un seul coup la pénètre jusqu'à la garde. C'est maintenant Marie qui pousse un Oh de surprise tant la verge du garçon lui semble aller profondément
Cyril se dit qu'il va faire jouir cette femme et entame en va et vient effréné dans le ventre de marie. Celle ci profite pleinement de toute la vigueur du jeune homme et sent son plaisir monter vertigineusement au rythme des coups de boutoirs du garçon.
Alors qu'elle commence a haleter que son ventre lui semble être une boule de feu qu'a l'intérieur il lui semble qu'il va finir par la transpercer, Marie en veux plus. Attends lui dit elle surprenant le garçon qui se sentait prêt a exploser dans ce sexe accueillant.
Attends Cyril, prend mes fesses, tu y sera plus a l'étroit et j'adore cela !
Le garçon ne se la fait pas dire deux fois. Il se retire du ventre sui l'accueillait et présente son sexe a l'orée de la rosette brune si envoutante. Le sexe raide au maximum il pousse doucement et a cause de son manque d'expérience dérape sur le coté a la deuxième tentative Marie décide de prendre les choses en main. Elle écarte les fesses autant qu'elle le peut et empoigne la verge le plus possible sa base et la présente a son petit trou. Pousse doucement lui dit elle jusqu\'à ce que tu sente le gland passer.
Là, doucement. et hop le gland est prisonnier du sphincter procurant une sensation inconnue et agréable à Cyril.
Pousse maintenant lentement, le guide t'elle.
Cyril a l'étroit dans le Foureau de Marie a peur de jouir trop vite et commence a s'agiter.
Non lui dit elle enfonce toi bien au bout, va remplit moi toute !
A ces mots le garçon subjugué pousse comme une bête et comble Marie plus qu'elle ne le pensait.
Heureusement pendant cette pénétration la main droite de Marie avait mis le feu a son bouton, l'aidant a parvenir près de l'orgasme et supporter la taille de son violeur.
Cyril s'enfonce maintenant jusqu'à la hampe et perfore Marie qui grogne a chaque coup de boutoir, puis il ressort lentement voyant a chaque poussée mille étoiles éclater dans son cerveau.
Marie accélère ses caresses car elle sent que le jeune homme ne va pas tenir longtemps a se rythme là.
Justement le voilà qui vient en elle. Elle sent la verge augmenter encore de volume et se raidir lui semblant faire exploser les parois de son fessier. Elle crie son plaisir s'associant aux grognements de Cyril, qui ne se retient plus et la pilonne sauvagement même après qu'il ait éjaculé. Ah c'est beau la jeunesse pense Marie mais elle se promet un petit supplément de bonheur.
Cyril se retire délicatement des fesses où il vient de jouir et reste un peu penaud debout porte ouverte. Marie se retourne, se cale confortablement et lui dit : Tu as bien mérité une petite récompense, viens me lécher le minou !
Cyril se dit que décidemment c'est une belle journée et s'agenouille entre les cuisses de Marie qu'elle maintient grandes ouvertes.
La vulve est béante et la corole des petites lèvres brillantes du suc de la jouissance de marie.
Elles attirent la langue de Cyril qui prudemment commence a lécher de haut en bas cette vulve au parfums de femme et dont ses narines s'emplissent.
A ce contact le sexe de marie s'entrouvre a nouveau et Cyril explore les profondeurs du vagin qu'il a si sauvagement ramoné tout a l'heure.
Pense a mon petit bouton de chair lui dit Marie et alors que Cyril se redresse faisant mine de le chercher elle lui offre sur un plateau en l'enserrant entre ses deux doigts. Il se dresse et Cyril se jette dessus le mordillant.
Aie, doucement il est fragile quant il est aussi excité !
Lèche le, suce le tu vas voir !
Marie se concentre alors sur les sensations que lui procure le garçon et bien vite celui ci se révèle un excellent amant Marie jouit une première fois surprenant Cyril par les contractions de son bassin et les secousses de son ventre. Cyril se déchaine alors entre le clitoris qu'il malmène les lèvres qu'il semble vouloir arracher marie est au septième ciel. Excité comme elle l'était elle repart une deuxième fois, ce coup ci tout son corps est agité de frisson si violent que Cyril est obligé de l'agripper aux fesses pour continuer son travail d'amour et bien qu'elle implore grâce, il continue, multipliant les assauts, la pénétrant de sa langue, lui procurant une jouissance extrême et continue.
Elle croit devenir folle et ne pense plus a rien, sinon a écouter son ventre affamé de plaisir qui en demande encore.
Au bout d'un long moment Cyril arrête ses caresses et remonte lentement en légers baiser sur le ventre de marie sur ses seins et finalement l'embrasse très tendrement avant de se blottir a ses cotés le long du siège.
Mais cette séance la mis dans un état pas possible dont Marie se rend compte, mais ne bouge pas tant elle est vidée de toutes ses forces.
Au contact de la chair de se corps contre le quel il se coule le sexe de Cyril crie de toute sa longueur, son désir retrouvé !
Le garçon approche sa bouche de l'oreille de Marie et lui murmure tourne toi s'il teplait !
Oh non tu ne vas recommencer ?
Bien sur que si lui dit il.
Alors Marie toujours affamée de jouissance le laisse faire, elle se retourne lentement, tournant le dos au garçon que le frottement de ce corps fini d'exciter. Il descend un peu le long du corps dont les fesses rondes et fermes sont contre son ventre, soulève la cuisse gauche de Marie et son sexe raide trouve presque seul le chemin du sexe de Marie, chaud, boursouflé de jouissance, épais comme un abricot mur. Et d'un geste précis de sa main gauche s'introduit comme un voleur dans le ventre de la jeune qui ne peut s'empêcher de lui dire son plaisir se sentant remplie par cette jeune et vigoureuse verge. Oh oui encore !
Cyril entame alors un lent, un très lent va et vient, caressant en même temps les seins de Marie car il a vite compris que pour elle c'était une zone érogène des plus sensible.
L'effet est immédiat Marie commence une série de soupirs court de plus en plus fort. Les écureuils de la foret, doivent en être tout émoussé.
Plus le corps féminin est excité plus la jouissance est forte et rapide.
Marie monte donc très vite aux sommets du plaisir criant cette fois sa joie a Cyril :
Ah mon salaud comme tu me fais bien jouir, OUIII, vas y continuuuue !

Cyril n'avait pas l'intention d'arrêter et ravage le sexe de Marie qui part dans un orgasme dévastateur que Cyril a bien du mal a contenir et se lâche lui aussi, avec des ah ! aaah ! qui feraient frémir un bucheron. Leurs jouissance est commune et très forte et retombe très lentement. Cette fois apaisé vidé, Cyril étreint Marie qui lui murmure a l'oreille :
Merci ! C'était extraordinaire.
Es deux amants se désunissent a regret, et se rhabillent lentement. Marie reprends sa place de chauffeur et se regarde dans le miroir. Défaite, diraient ceux qui la connaissent. Comblée dirait Paul son mari qui sait que quand Marie se donne comme cela elle a besoin d'une bonne heure pour récupérer. Ils repartent en direction de la ville.

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