TITRE : Mari trompé assiste au spectacle
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

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Nous fréquentons beaucoup d’amis et ils viennent souvent chez nous et nous allons souvent chez eux. Cette histoire s’est passée chez nos amis Carole et Marc, il y a longtemps. Nous avions l’habitude de nous voir souvent, et Anne, ma femme, me faisait de petites allusions sur Marc. Elle le trouvait beau, très beau, son genre d’homme, grand et mince. Quand il nous arrivait de boire un peu plus que d’habitude, j’avais remarqué chez elle une attitude qui devait provoquer le désir de Marc.
Anne s’amusait et en même temps, elle attendait une réponse. Elle est intuitive mais peut-être un peu plus, elle aime séduire et être séduite !!!


Carole l’avait bien remarqué, on plaisantait en toute confiance, mais Carole et moi sentions parfois une gêne lorsque l’un ou l’autre commettait une maladresse ; ils allaient un peu plus loin que d’habitude, les petits touchers , les contacts en regardant la télé, c’était du jeu mais ils aimaient... Carole m’avait dit que Marc était très chaud et bien membré, qu’il aimait les femmes et une copine lui avait dit qu’elle n’avait pas pu résister à ses avances.


Ce jour là, j’avais réparé une partie de l’installation électrique dans la maison de nos amis et j’avais vu sous la moquette, mais sans y prêter une attention particulière, un trou dans le plancher de la chambre de l’étage dans laquelle Anne et moi dormions. Il s'agissait probablement d'un trou d’une ancienne conduite de chauffage ou l'équivalent mais en tout cas il offrait une vue sur tout le salon. Le soir, nous avons beaucoup bu, bien rigolé et nous avons rejoint le salon et regardé la télé. Anne et Marc étaient assis l’un à côté de l’autre sur un canapé et Carole et moi sur l’autre. Un peu plus tard, l’alcool aidant, Carole et Anne se sont assoupies un peu et encore plus tard, Carole est partie se coucher et moi je suis monté une
demi-heure après en laissant Anne et Marc en bas.


Je l’ai fait pour les laisser seuls, par curiosité et parce que j’étais certain que Marc tenterait quelque chose avec Anne. J’étais donc curieux de voir comment allait réagir Anne devant les avances possibles de Marc. Je suis monté, je me suis déshabillé et je me suis glissé vers la fameuse ouverture sans faire de bruit ; ils ne pouvaient pas me voir mais moi, je les voyais très bien. J’étais placé à la verticale, sur le devant du canapé où ils se trouvaient et la lumière de la télé en plus de la lampe de salon me procuraient un excellent éclairage pour observer la future séance, si séance il devait avoir. Et puis, j’ai attendu...


Rien ne se passait et quelques minutes plus tard, Marc s’est levé et a prêté l’oreille dans le bas de l’escalier. Il voulait probablement savoir si Carole et moi dormions. Je n’ai pas fait un seul bruit. On entendait seulement les petits ronflements de Carole. Il a repris sa place et il matait Anne avec insistance. Elle était à demi couchée sur le côté avec ses cuisses aux trois quarts découvertes et tournées vers lui, une véritable tentation. Mais il n’a rien fait tout de suite, il a attendu quelques minutes et s’est à nouveau dirigé vers l’escalier puis il s’est assis.


Alors, il a posé délicatement sa main sur la cuisse d’Anne, elle n’a pas réagi. Il a donc laissé sa main plusieurs minutes. Puis il s’est tourné vers elle et a caressé sa cuisse avec des mouvements en cercle. Il testait et elle n'a pas bougé, il a insisté un peu plus et elle s'est retournée pour se retrouver le dos sur la partie siège du canapé avec les jambes en dehors du canapé. Elle était censé dormir ou du moins sommeiller !!!! Il a accentué ses caresses lentement, petit à petit, il arrêtait puis il recommençait. Après un long moment, il a glissé sa main entre les genoux d’Anne tout en faisant des mouvements qui versaient de plus en plus haut dans l’entrejambe d’Anne.


Au début les jambes d'Anne ne bougeaient pas, mais ensuite elles se sont écartées petit à petit et Marc a encore accentué ses caresses jusqu’au slip d'Anne. En tout cas, c’est l’impression que j’ai eue, vu de mon poste d’observation. Elle s’est réveillée ou a fait semblant, il a posé ses lèvres sur la bouche de ma femme qui a fait semblant de se débattre un très court instant. Elle a regardé autour d’elle et ils se sont enlacés puis embrassés tendrement, longuement, de plus en plus fort. Elle y mettait une fougue particulière. Il a déboutonné le corsage d’Anne et lui a découvert les seins. Ils s’est mis à les sucer et je voyais que cela plaisait à Anne. Ils s’embrassaient encore, avec fougue et, tout en l’embrassant, il continuait de lui caresser les seins. Elle a pris la tête de Marc et l’a invité à lui sucer de nouveau les seins, elle gémissait des petites plaintes de bonheur. En la suçant, il a glissé sa main entre les jambes d’Anne et elle a ouvert les cuisses, il lui a enlevé son slip et l’a caressée. Le corps d’Anne s’est mis à onduler sous la masturbation des doigts de Marc et elle devait mouiller abondamment car on entendait parfois un bruit de clapotis.


Plus tard Marc a glissé sa tête vers le bas ventre d'Anne et il l’a léchée. Anne remuait de plus en plus, elle prenait beaucoup de plaisir. Après Anne s’est levée et s’est assurée qu’il n’y avait pas de bruit suspect à l’étage. Elle est revenue vers Marc, s’est allongée près de lui sur le côté, l’a embrassé longuement tout en lui ouvrant le pantalon. Elle lui a sorti le sexe délicatement et a commencé à le caresser très lentement en variant ses courses comme elle sait si bien le faire. Il avait un sexe comme doivent en rêver bien des femmes, long et gros, et il bandait fort le salaud. Elle lui caressait la hampe de haut en bas et de bas en haut, elle recouvrait son gland avec sa paume puis descendait et lui caressait les couilles. Entre temps, ils s’embrassaient mais Marc devait trouver les caresses d’Anne très agréables parce qu’il lui a chuchoté quelque chose à l’oreille et elle s’est mise à le branler, doucement d’abord, et puis elle a accéléré ses caresses. Elle regardait le sexe de Marc, elle devait être à la fois étonnée et sans doute émerveillée par l'importance de l'objet. Elle le branlait divinement, de longues courses lentes qui recouvraient tout son pénis, puis seulement le gland entre son pouce et l’index à toute vitesse, j’entendais Marc souffler, ils s’embrassaient, s’enlaçaient. Après de longues caresses, elle a penché la tête vers le sexe de Marc et elle a commencé à le sucer. Au départ, le gland seulement puis plus loin, en le branlant doucement puis plus vite, plus fort. Il hochait la tête de gauche à droite, son ventre accompagnait le travail d’Anne. Il a voulu qu’elle arrête.


Il a retiré sa chemise et elle, sa jupe. Il lui a ouvert les cuisses et a recommencé à la lécher en lui caressant les jambes. Les reins d’Anne allaient et venaient. Marc s’est assis sur le canapé et a invité Anne à venir rejoindre son sexe à califourchon, face à lui (elle adore cela). Au début, c’était un peu laborieux, étant donné la grosseur de la bite de Marc mais après, quel spectacle. Je voyais les reins d'Anne aller et venir, onduler, Marc lui embrassait les seins, elle le tenait par le cou, son corps ondulait de plus en plus et on entendait distinctement le clapotis des va-et-vient. Moi, du haut de mon perchoir, je voyais ce gros sexe qui s’enfonçait dans le ventre de ma femme et ma femme prendre tout le plaisir qu’elle pouvait. Après plusieurs minutes, il lui a murmuré quelque chose à l’oreille et elle s’est retirée, elle s’est remise à le branler et une première longue giclée a jailli, elle s’est appliquée et la deuxième a jailli encore plus fort, puis elle s’est mise à le branler très vite pour bien finir le travail.


Ils se sont allongés et se sont embrassés, ils se parlaient mais je ne pouvais pas distinguer ce qu’ils disaient à voix basse. Elle lui a caressé le sexe à nouveau et sa grande bête était de nouveau prête. Marc a mis Anne à quatre pattes et l’a pénétré, il lui tenait les hanches et l’attirait à lui à mesure des va-et-vient, elle ne pouvait pas s'empêcher de gémir et Marc s'en donnait à coeur joie. Il s'enfonçait de toute sa longueur, Anne essayait bien de l'arrêter avec sa main mais il continuait de plus belle ses mouvements. En même temps, il lui caressait les seins. Puis j'ai vu Anne se tendre, gémir et jouir. Lui avait ralenti sa cadence mais allait de plus en plus loin en elle. Quand elle s’est apaisée, il s’est enlevé et Anne s’est assise face à son sexe. Elle l’a branlé de plus en plus fort et a dirigé sa queue vers ses seins, l’invitant ainsi à éjaculer sur elle. Il ne s’est pas fait prier et de longs jets ont aspergé Anne.


Ils se sont allongés et après quelques minutes elle a voulu partir, il l’a retenue, lui a murmuré quelque chose à l’oreille mais je voyais bien qu’elle voulait partir. Ils se sont encore parlé tout bas mais je ne distinguais pas leur conversation. Vu de mon étage, j’étais malheureux parce qu'on croit toujours que rien ne peut arriver... J’étais quand même content que sexuellement, elle ait passé un super moment. J’en ai même bandé comme un âne.


Ils se sont embrassés puis elle est montée à la salle de bain. Moi, je me suis couché, étonné et vidé de toute ma naïveté à propos d’Anne. Elle est rentrée dans la chambre et s’est déshabillée sans faire de bruit et elle s’est allongée près de moi. Elle s’est endormie. Plus tard dans la nuit, je l’ai entendue se lever mais ce n’était pas un bruit esseulé. J’ai compris ce qu’ils avaient pu se dire en se quittant la veille au soir. Elle avait mis son peignoir et se faisait aussi délicate que possible. Je me suis glissé à nouveau vers mon poste d’observation mais je ne voyais personne. J’ai décidé de descendre délicatement, sans bruit, ils étaient dans la cuisine. Ça discutait et il y avait un problème. Il l’embrassait, lui suçait les seins mais elle ne voulait manifestement pas aller plus loin. Il a pris une chaise, s’est assis, son sexe en porte-drapeau, il en voulait, elle le regardait, ne savait pas quoi faire, elle avait encore envie. Alors elle l’a branlé, sucé et devant son refus d’aller sur lui, il se laissait faire. Après bien des caresses, son visage s’est tendu, elle l’a vu et l’a fait jouir abondamment, elle a sucé son gland rempli du reste de sperme, il était fou, puis elle est partie.


J’étais remonté. Elle est revenue se coucher et j’ai senti que tout son côté gauche était mouillé. Je lui ai fait remarqué, elle m’a dit qu’elle venait de la salle de bain !!!! Plus tard, Anne a coupé les ponts petit à petit. Ils se sont peut-être revu mais on ne s’est plus fréquenté. Je suis repassé un soir chez Carole et on en a parlé. J’ai raconté ce que j’avais vu. Cela ne l’a même pas étonnée...

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