TITRE :  Manu la timide
Catégorie : 
Histoire au bureau

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Depuis que je travaille, j'ai toujours été entouré par des thons ! Je me dis que je n'ai vraiment pas de bol, jusqu'à mon dernier changement de poste, où j'ai fait la connaissance de Manu, une jeune femme d'une trentaine d'année, cheveux noirs, teint très mat, 1m65, assez mince malgré ses deux grossesses, mais très timide, pas vraiment à l'aise dans ses baskets, mariée avec un footeux qui se promènait en survêt et en baskets toute l'année et qui a à peu près le QI d'une huître.

C'est vrai que Manu n'est pas d'une intelligence foudroyante, mais quand même, je me dis qu'elle mérite mieux que ça !

Bref, quoiqu'il en soit, il ne s'est jamais rien passé entre nous, pas la moindre tentative de part ou d'autre, ni la moindre ambiguïté !

Jusqu'à ce jour de juillet 2003.

Il faisait une chaleur accablante dans les bureaux : pas le moindre souffle d'air !

Pendant la période estivale, Manu portait souvent des jupes courtes et légères qui dévoilaient ses jambes musclées et bronzées, en particulier quand elle s'asseyait. Je ne manquais pas une occasion de jeter un oeil le plus haut possible !

Ce jour-là donc, à part nous deux, il n'y avait que le directeur et sa vieille secrétaire, à l'autre bout du couloir.

Abattu par la chaleur, je n'étais vraiment pas productif à mon poste. Je décidai donc d'aller bavarder avec Manu dans son bureau.

Elle était affalée sur sa chaise, elle aussi terrassée par la chaleur, les cuisses ouvertes et la jupe retroussée très haut sur ses cuisses. En haut, elle portait un débardeur noir léger sur son soutien-gorge. À ce niveau-là aussi, la vue était intéressante. Je prends une chaise et m'installe à côté d'elle pour regarder les photos sur son écran, mais mon regard est aimanté par ses cuisses dévoilées.

Je finis par lui dire :

- Je vais peut être te choquer, mais c'est très troublant de voir tes cuisses aussi haut, on a envie de plonger la main pour les caresser !

Et, sans attendre sa réponse, je glisse ma main entre ses cuisses, tout près de sa fourche.

Elle me regarde avec des yeux ronds comme des billes et je m'attends à prendre une réflexion ou pire, une bonne baffe.

Mais elle reprend son visionnage de photos et quelques secondes plus tard ajoute :

- Eh ben, qu'est ce que tu attends ? Maintenant que tu es là...

Je ne rêve pas, c'est bien une invitation à aller plus loin ! En tous cas, je le prends comme tel et remonte ma main sous sa jupe pour atteindre sa culotte. Je caresse avec douceur la peau tendre de son entrejambe, sans passer à l'étape supérieure. Elle ouvre davantage les cuisses et se glisse sur le siège pour me laisser la voie libre. Malgré tous ses efforts, j'ai du mal à progresser et sa culotte me gène pour la caresser à ma guise. Je m'enhardis et lui dis :

- Lève-toi, que j'enlève ta culotte !

Elle me regarde, éberluée par mon assurance. Je lui fais signe de s'exécuter et... elle le fait : elle se lève et je passe mes mains sous sa robe retombée, attrape les élastiques et fais rouler sa culotte sur ses chevilles. Elle lève les pieds et je m'empare de son trésor. Je la porte à mon nez et perçois une humidité significative. Je la regarde, elle rougit de son état. Je me penche vers elle et l'embrasse profondément, puis elle reprend sa position et je peux maintenant la fouiller en profondeur. Sa chatte est trempée et mes doigts se perdent dans ses replis. Je lui enfile deux, trois, puis quatre doigts dans sa chatte brûlante. Elle a couvert sa bouche de sa main pour ne pas hurler de plaisir. Son autre main m'agrippe le bras et me griffe sous le coup de l'excitation et du plaisir.

De mon côté, j'ai la pine en feu et je suis très à l'étroit dans mon pantalon.

Je sens ses muscles intimes comprimer ma main : elle jouit avec une force incroyable ! Sa main peine à retenir ses cris de jouissance ! Heureusement que nous sommes presque seuls !

Je retire mes doigts de sa vulve et les porte à ma bouche puis à la sienne. Elle les lèche avidement, puis nous nous embrassons goulûment, sauvagement ! Nous reprenons nos esprits et elle essuie la mouille qui coule sur son siège.

Il est seize heures trente, l'heure de la fermeture des bureaux. À l'autre bout du couloir, on entend le directeur et la secrétaire qui nous disent "A lundi" et s'éloignent. Je l'embrasse et vais m'assurer qu'ils sont bel et bien partis : pas de problèmes.

À mon retour, Manu passe un coup de fil à son mari pour lui annoncer son retard : "Pas avant une heure ", lui dit elle en me regardant droit dans les yeux.

Elle raccroche puis vient vers moi. Cette fois, c'est elle qui prend les devants et enfonce sa langue dans ma bouche. Nos mains partent à la découverte des corps : les miennes trouvent rapidement ses fesses, sa chatte, son anus, où je glisse une phalange de temps en temps, ce qui la fait sursauter au début, puis finalement, c'est elle qui s'appuie lors de mon passage pour en entrer une deuxième.

Je fais sauter son débardeur et son soutien-gorge pour plonger entre ses seins accueillants. Je tête les bouts dressés comme un nouveau-né : elle apprécie cette caresse et soupire profondément, la tête renversée en arrière. Je me mets à genoux devant elle et relève sa jupe. J'ai sa chatte sous les yeux et, sans attendre une minute, je la couche sur le bureau et je commence mon broute-minou ! Elle est aux anges : elle me donne ses consignes et je m'applique pour la lécher, la sucer, la mordiller du mieux possible ! J'avoue être assez doué dans ce domaine et au bout de cinq minutes de ce traitement, elle part dans un orgasme très intense, le corps parcouru de spasmes. Je finis ma caresse sur ses cuisses, ses mollets et ses pieds. Elle a la peau si douce que je n'arrive pas à m'arrêter !

Elle me relève, descend de la table et déboutonne mon jean. Elle s'accroupit devant moi et sort mon sexe turgescent de mon slip ! Plusieurs gouttes de liquide gluant sont déjà écrasées sur mon gland qu'elle s'applique à nettoyer avant de me prendre en bouche goulûment.

Elle me pompe, tantôt avec de la douceur, tantôt de la violence.

Dans tous les cas, c'est divin, et je ne résiste pas longtemps à ce traitement de choc : je lâche de grands jets de foutre chaud dans sa gorge. Elle avale avec délectation et n'arrête de me sucer que lorsque les dernières traces blanchâtres ont disparu. Quelle application !

Elle se redresse et nous échangeons encore une pelle monumentale pendant qu'elle me branle d'une main.

Pour ma part, je lui triture le clito avec soin et elle ne tarde pas à jouir de nouveau sous mes doigts ! Éprouvée par la sensation, elle s'appuie sur le bureau. Ma pine est de nouveau opérationnelle grâce à son massage et sans plus de préliminaires, je la lui fourre dans la chatte en une seule et vigoureuse poussée ! Elle râle de plaisir alors que j'entame mes va-et-vient. Le râle prend de l'ampleur et se finit en cris stridents au bout d'un pilonnage d'un quart d'heure. Comme j'ai déjà éjaculé dans sa bouche, je peux tenir très très longtemps avant de renvoyer la purée une deuxième fois !

Terrassée par le plaisir, elle reste affalée sur la table, mais je n'ai pas dit mon dernier mot, c'est pourquoi je la retourne et m'accroupis derrière elle pour lui prodiguer une feuille de rose. Je récupère de la mouille de sa chatte gavée pour l'étaler et l'enfiler dans son trou du cul ! Elle pousse de petits soupirs, mais ma dernière pénétration l'a laissée pantelante !

Aussi, je relève ses fesses et appuie mon gland sur son cul. Elle commence à réagir alors que le gland est déjà passé !

- Vas-y doucement, je... Je l'ai jamais fais par là !

- Ne t'en fais pas, je ne veux pas te faire de mal, au contraire !

Elle se détend et je commence mon pilonnage, d'abord doucement, bien sûr, puis de plus en plus vite : ses craintes de douleur sont vite dissipées et elle commence à couiner de plaisir. Je la tiens par les hanches et lui laboure le cul à grands coups de reins maintenant : ma pine sort presque à fond de son cul, pour y retourner de plus belle !!! Je suis déchaîné et au bout de dix minutes de va-et-vient sportif, je lui balance ma semence dans le cul dans un râle d'outre-tombe !

Je m'affale sur elle et lui lèche le lobe de l'oreille !

- Quel pied, je n'aurai pas cru que ça serait si bon par là !

- Pas de regrets, alors ?

- Tu parles ! Au contraire, quand est-ce qu'on remet ça ?

- Vendredi prochain, ça te va ?

On s'embrasse encore avec fougue, puis on se quitte pour rejoindre nos conjoints respectifs !

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