"Voila, tu es une véritable femelle, à présent !" :
ces simples mots chuchotés à mon oreille résonnaient comme
un compliment, comme la certitude d'avoir choisi le bon
chemin. Chaque coup de reins me remplit d'adrénaline et,
cambrée comme je ne l'ai jamais été, je m'offre à lui sans
pudeur ni retenue. Maîre Djolé me tient si fort par les
hanches que je me colle encore plus à lui, quitte à ce qu'il
me déchire et me fasse mal ! Se couilles claquent contre
mes fesses et la puissance de sa pénétration me rend encore
plus docile, encore plus soumise, d'autant que ses genoux
m'écartent encore plus les jambes :
- dis-le que tu aimes le zob noir, que tu aimes la queue
africaine : dis-le, pouffiasse !!! La réponse sort de ma
bouche sans que je ne me contrôle :
- ouiiiii, c'est bon !!! Encooore, encoooore !!! J'imagine
cette grosse queue sombre dans ma chatte de travestir et
je manque défaillir ! C'est alors qu'il glisse ses mains
dans mes soutien-gorge et me martyrise les bouts :
- je vais t'apprendre, moi, à jouir des tétons... Mais,
gare à toi si tu bandes : compris, petite pute ? Et dire
que je n'y pensais même plus... Et il me les triture, les
pince, les étire pendant qu'il me pilonne avec violence.
Il en profite, de temps en temps, pour faire claquer les
bretelles de mon soutien-gorge sur les épaules ou les attaches
de mon porte-jarretelles sur les cuisses ; à bout de tout,
je me sens envahie par une onde chaleur qui me remplit le
bas-ventre et il s'en rend de suite compte :
- ça te fait bander, petite lopette ? OK, à croire que tu
as envie de dérouiller... Ces mots m'excitent tellement
que j'éjacule dans des soubresauts significatifs, ce que
ne manque pas de remarquer Maître Djolé. Alors, sadiquement,
il se retire et passe son énorme sexe le long de ma raie
culière : je palpite, je veux m'ouvrir pour l'accueillir
mais il se refuse à me posséder :
- s'il vous plait, Maître, encoooore, encore !!! Au lieu
de cela, il me repousse, se met debout et me commande de
le rejoindre entre ses jambes, à 4 pattes :
- viens sucer, petite chienne, viens sucer !!! Dans la position
indiquée, j'obéis à son ordre et je réalise à quel point
j'aime être prise en mains de la sorte. Vaincue mais fière
de moi, j'ouvre ma bouche vers ce membre qui a fait de moi
une femelle soumise et docile. La grande glace de mon armoire
me revoit l'image obcène mais si significative d'une bourgeoise
blonde en nuisette et dessous sexys subissant la loi de
son Maître noir !!! Sa main derrière ma nuque rythme mes
succions jusqu'au moment où il explose en moi :
- Avale mon jus de couilles, putasse, avale !!!
Par saccades, son sperme s'écrase au fond de mon palais
: c'est un nectar divin que j'ingurgite sans réflexion.
Il s'es totalement vidé en moi et il essuie les dernières
fines gouttes dans ma perruque blonde... Il retourne s'allonger
sur mon lit et me tend le gode pour que je me l'enfonce
devant lui ; je m'éxécute et quand le sexe artificiel est
bien calé en moi, il me dit :
- bonniche, viens chercher à boire à ton Maître...
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