Ça y est, je me décide enfin à vous écrire. Cela fait maintenant
plusieurs mois que je lis hebdomadairement vos riches histoires,
coquines et tellement érotiques.
Mais passons plutôt à ce qui nous intéresse, ma belle-sœur...
Je me présente, Julien, grand brun d'1 mètre 85 pour 85
kg de 28 ans (un beau bébé comme disent certaines personnes).
Plutôt sportif, footballeur du dimanche, j'ai un visage
plaisant sans être Brad Pitt. Je suis marié depuis deux
ans avec Virginie, une jolie demoiselle d'un petit gabarit
(1 mètre 60, 49 kg) avec de jolies formes et notamment une
paire de fesses à faire pâlir un mannequin de podium. Tout
se passe bien entre nous, nous nous aimons, passons de bons
moments ensemble, et surtout, nous nous entendons formidablement
bien au lit. (Plus de détails dans une histoire prochaine).
Bref il ne m'était jamais venu à l'esprit de tromper ma
femme, l'avenir montrera que j'avais tout faux...
Quelques semaines après ma rencontre avec Virginie, elle
me présente sa famille. Son père et sa mère sont des gens
simples et très sympathiques. Lui, chauffeur routier, elle,
femme au foyer. Une fois les présentations faites, nous
commençons à prendre l'apéritif dans le salon familial.
Au bout de quelques minutes (et quelques verres), on entend
des voix dans le couloir. La porte s'ouvre, deux jeunes
garçons d'une dizaine d'années et une petite fille apparaissent,
suivis de deux femmes, les sœurs de ma future femme
: Sylvie et Magali. La première est un joli brin de femme
brune d'une quarantaine d'années de taille fine qui semble
avoir une joli derrière comme sa sœur. La seconde est
plus grande que ses deux sœurs mais n'a pas du tout
le même physique. Magali est une femme plutôt ronde sans
être grosse. Ses deux enfants lui ont laissé des formes
bien épanouies au niveau de la poitrine et au bas du dos.
Elle porte un jean avec une chemise noire nouée au niveau
du ventre laissant apercevoir un piercing au nombril. Une
ceinture à grosse boucle tient son pantalon. Je remonte
mon regard et constate que cette chemise met ses seins lourds
en valeur et laisse entrevoir un aperçu du soutien-gorge
blanc qui contraste bien avec l'étoffe de tissu. Je discute
et me présente donc aux nouveaux arrivants. Le début de
soirée se passe bien et se finit bien. Tout le monde décide
alors de rentrer chez soi. J'avais fait la connaissance
de ma belle-famille et surtout celle de Magali.
Les semaines passent ; notre couple devient de plus en
plus solide et de plus en plus complice.
Un jour, coup de téléphone de ma belle-mère pour nous inviter
à manger en famille le dimanche suivant. Virginie accepte,
c'était donc noté.
Dimanche, midi, nous partons pour le domicile familial. Nous arrivons un quart d'heure plus tard, deux voitures sont déjà là. Ma belle-mère nous accueille et nous invite à aller dans le salon où tout le monde nous attend. Je rencontre enfin mes deux beaux-frères, Gilles le mari de Sylvie et Jacques, celui de Magali. Deux hommes au premier abord très sympas. Nous nous installons, prenons un verre et engageons la discussion. Les hommes entre eux pour parler foot (et oui, classique) et les femmes pour parler de je ne sais quoi. Je jette un regard vers Magali afin d'apercevoir ses formes. Aujourd'hui, elle est habillée en blanc de la tête au pied : des sandalettes, une longue jupe et un chemisier assez échancré au niveau du buste.
Elle remarque mon coup d'oeil, jette un regard sur son
décolleté s'apercevant de la vision qu'elle me donne et
se redresse, ce qui propulse ses deux obus en avant. Je
ne peux m'empêcher d'avaler ma salive pour ne pas baver.
Elle s'en aperçoit et me fait un sourire complice. Je me
dis alors que ma belle-sœur doit être une sacrée coquine.
Je ne pense qu'à son sourire et à ses seins commençant à m'imaginer les histoires les plus folles.
Ma belle-mère me fait revenir sur terre en nous appelant
pour manger. Je me dis alors que manger me fera le plus
grand bien. Je demande où est la salle de bain afin de me
laver les mains. Et là surprise, Magali me dit :
- Suis-moi, je vais te montrer, je vais me les laver aussi.
Je suis Magali dans le long couloir qui mène à la salle
des bains. Je pose mon regard sur sa croupe qu'elle balance
exagérément sous mes yeux, consciente que je ne peux que
regarder le spectacle qui m'est offert... Elle ouvre la
porte et se retourne d'un coup. J'ai toujours les yeux scotchés
sur ses fesses. Elle me fait un grand sourire et me dit
:
- Voila, tu as le savon ici ; et une serviette là.
Elle reste dans l'encadrement de la porte et me laisse le passage mettant ses seins en avant. Le passage est de ce fait, plutôt étroit. Je la frôle et l'excitation me gagne. Mon slip semble tout d'un coup trop petit. Magali suit mes moindres faits et gestes. Je discerne une étincelle dans ses yeux. Je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'œil sur sa poitrine. Ses seins sont vraiment gros, je donnerais n'importe quoi pour les palper, les malaxer, les lécher, les titiller...
L'eau glacée qui coule sur mes mains me fait du bien, je
me vois face à la glace au-dessus du lavabo et je vois me
yeux remplis d'excitation. Magali ne peut qu'avoir remarqué.
Mon excitation s'amplifie, je bande comme un âne. J'essaye
de cacher ma protubérance, mais Magali se rapproche doucement
du lavabo. Du coin de l'œil je l'observe, elle regarde
vers mon entrejambe. Cette fois, c'est sûr, elle voit mon
état. Elle est à 20 cm de moi, je peux sentir son souffle.
Elle tend les mains pour que je lui mette du savon dessus.
Et là ma femme déboule. Mon sexe retombe instantanément. Les deux sœurs commencent à discuter et en moi-même je me demande ce que je fais là. Nous regagnons la salle à manger. Tout le monde est installé. Je me retrouve assis à côté de Virginie et de ma belle-sœur Sylvie. Magali est juste en face de moi, entre son mari et son beau-frère. Le repas commence par une grosse salade composée. A chaque bouchée je regarde en direction de Magali. Elle commence à repérer mon manège et commence un jeu sensuel. Elle prend sa fourchette et l'enfonce dans sa bouche en faisant tourner sa langue autour. Je la fixe et cela semble lui plaire. Elle en remet une couche. Mon entrejambe est très tendu. Je commence à faire descendre mon regard vers son opulente poitrine. Les boutons du haut du chemisier sont toujours défaits et laissent ainsi entrevoir un profond sillon... Je n'en peux plus, ma queue me fait mal tellement je bande. C'est alors que je sens un pied sur mon mollet. Je lève les yeux vers Magali et elle me fait un large sourire tout en se léchant son index plein de sauce. Je crois défaillir. Elle remonte son pied le long de ma jambe, caressant ma cuisse. Elle frôle mes couilles à présent. Et au moment où elle touche mon sexe, je me lève d'un coup feignant une envie pressante. Je vais donc aux toilettes, ferme la porte à double tour et sors mon sexe bandé pour assouvir une pulsion sexuelle insoutenable. Je ne suis pas long à venir, repensant à ce qu'il vient de se passer. Mon orgasme est total, je me mords la lèvre pour ne pas crier mon bonheur. Soulagé, je rejoins les autres à table, faisant mine de rien. Le repas se prolonge et j'évite de regarder Magali dans les yeux. Le dessert arrive avec le café. Magali me demande le sucre. Je lui tends et elle se lève légèrement de sa chaise, se penchant bien en avant pour attraper la sucrière. La vision que j'ai de ses seins est sublime, j'aperçois son téton droit sortant de son immense soutien-gorge en dentelle blanche. Ses gros nichons laiteux vacillent au rythme de son bras. Mon érection recommence mais je me résonne en me disant que c'est ma future belle-sœur, que ma femme est à côté de moi et que son mari est en face.
Nous finissons le repas vers 16h30, il est temps de rentrer
pour tout le monde. Nous nous embrassons tous. Magali s'approche
de moi, pose sa main sur mon épaule, froissant le tissu
de ma chemise. Elle me fait alors deux bises près des lèvres
et me murmure sensuellement à l'oreille
- À bientôt Julien...
Quelques jours plus tard, c'était un jeudi (c'est mon jour
de repos), Virginie se prépare pour partir au boulot et
me dit :
- Tiens mon chéri, est ce que tu pourrais passer chez Magali en fin de matinée. Elle vient d'acheter un nouveau lecteur DVD mais n'arrive pas à l'installer. Jacques est en déplacement toute la semaine. Elle te gardera sûrement pour manger, tu verras, c'est un vrai cordon bleu.
- Tu sais ma chérie, si je peux rendre service, ce sera
avec plaisir.
Je n'en croyais pas mes oreilles. J'allais me retrouver
seul chez Magali avec la bénédiction de ma femme. Je commence
déjà à imaginer la tournure des événements. Mon excitation
commence à me faire mal. Je décide d'aller prendre une bonne
douche froide, histoire de me remettre les idées en place.
Je me rase de près, me parfume comme si j'allais à un rendez-vous
galant.
J'arrive devant la petite maison de Magali à onze heures
précises. J'ai préalablement acheté un bouquet de fleurs.
Je sonne à la porte. Après quelques secondes, j'entends
le bruit de la clé qui tourne dans la serrure. Magali m'ouvre
la porte vêtue d'un peignoir beige qui laisse deviner ses
formes bien rondes. Elle porte une queue de cheval ce qui
met son visage et notamment ses yeux bleus en valeur.
- Julien comment vas-tu ? Excuse-moi pour ma tenue, mais
je viens juste de finir le ménage. Mais entre, ne reste
pas sur le pas de la porte.
Je rentre donc dans la maison. Magali referme la porte
derrière moi. Elle me fait la bise sans me toucher. Cela
me refroidit pensant qu'elle allait me sauter au cou. Elle
me fait entrer au salon et me propose de m'asseoir.
- Tu veux boire quelque chose ? - Volontiers, un petit pastis ira très bien.
- Je te prépare ça tout de suite.
Elle va dans le coin du salon du côté du bar. Je la suis des yeux ne me gênant pas pour détailler sa tenue sachant que nous sommes seuls à la maison, les enfants étant à l'école. Son peignoir lui arrive juste au-dessus des genoux. Ses mollets sont fins et musclés. Je remonte mes yeux le long de ses courbes. Ses cuisses paraissent être bien galbées. On voit nettement les formes de ses fesses qui ressortent du peignoir, quelle chute de reins ! Elle est de dos. Je vois sa nuque où quelques mèches rebelles dépassent. Cette vision m'excite. Elle me sert mon verre et revient vers moi. Sa démarche est sensuelle. Elle bombe le torse mettant ses lourds attributs en valeur. Elle est vraiment bandante. Son bassin est plutôt large, sa taille en proportion et sa poitrine semble démesurée. À chaque pas, ses seins balancent, ce qui signifie qu'il n'y a pas de soutif là-dessous. Elle me tend le verre en se penchant légèrement en avant. Le sillon de ses seins semble m'appeler. Je ne me gêne pas pour mater ouvertement ses gros nichons blancs.
La chaleur monte d'un cran dans la pièce. Magali semble
être excitée de la situation autant que moi. Je vois ses
tétons qui pointent à travers le peignoir.
- Je vais te chercher des glaçons, me dit-elle en se redressant
et en partant en direction de la cuisine.
Je la regarde se déhancher. Elle disparaît dans la cuisine.
Je regarde autour de moi, le salon est très mignon, assez
moderne et très lumineux. Magali réapparaît avec un petit
bol rempli de glace et en met dans mon verre. Je ne peux
détacher mes yeux de son décolleté. Elle s'est servi un
muscat et propose de trinquer.
- A nos amours beau-frère !
- A nos amours !
On boit une gorgée quand Mag me dit :
- Je vais aller me changer. Ça ne se fait pas de recevoir quelqu'un dans cette tenue. - Mais cette tenue te va à ravir. Ne te fais pas de soucis, ça ne me gêne pas du tout. Tu es très belle comme ça.
- Tu me trouve belle comme ça ? Mais je ne suis pas coiffée,
pas maquillée, dit-elle en se passant les mains dans les
cheveux puis en les redescendant le long de son corps.
Lorsqu'elles sont au niveau de la poitrine, Magali fait
un geste qui me fait bander aussitôt. Elle a comprimé ses
seins à travers le tissu. Ses tétons pointent comme deux
petits soldats. Elle me regarde avec un large sourire.
- Je reste comme ça alors ? Tu es sûr ? dit-elle tout en continuant à se caresser le corps. - Sûr de sûr. Alors au fait, ce lecteur DVD ? » dis-je pour faire redescendre la température.
- Ah oui, c'est vrai. Ne bouge pas je vais le chercher,
il est là sur le dessus de la bibliothèque.
Elle se dirige vers le meuble, attrape une chaise au passage
pour pouvoir atteindre le lecteur. Plutôt galant, je me
lève aussitôt pour aller l'aider. Elle est déjà debout sur
la chaise quand j'arrive près du meuble. J'ai la vision
de ses opulentes fesses sous les yeux. Elle lève le bras
pour atteindre le haut de la bibliothèque, ce qui défait
légèrement l'étreinte de la ceinture du peignoir, qui s'entrouvre.
Surprise, elle tente de se rajuster et manque de tomber
de la chaise. D'un réflexe éclair, j'arrive à la maintenir
sur la chaise en la saisissant d'une main sur la hanche
et l'autre sur la fesse droite. J'ai maintenant un bout
de son postérieur dans la main. Son cul est imposant mais
d'une remarquable fermeté. Elle tourne alors la tête vers
moi pour me remercier. J'ai toujours ma main sur ses fesses,
décidé à ne pas l'enlever tout de suite. Elle attrape alors
le lecteur et reste plantée sur son perchoir. Je lui tapote
alors son derrière en lui disant :
- Tu aurais pu te faire mal, belle-sœur, heureusement que je t'ai rattrapé.
- Merci beaucoup mon cher, mais tu m'as quand même mis
la main aux fesses petit coquin, répond-elle en descendant.
Elle m'embrasse rapidement sur la bouche et part en direction
de la télé en riant. Je ne sais plus où j'en suis. Ma tête
essaye de me raisonner et ma queue m'incite à aller plus
loin. Mag s'accroupit devant le poste de télévision et déballe
le lecteur DVD. Je la rejoins sur le sol, attrapant les
câbles nécessaires au branchement. Nous sommes l'un à côté
de l'autre et de là où je suis placé, j'ai une vue imprenable
sur sa paire de lourdes mamelles qui se balancent impudiquement
sous mes yeux. On dirait qu'elle le fait exprès. Ma queue
est dure et me gêne dans la position dans laquelle je suis.
Je me lève pour me rassoire. Mag suit des yeux la bosse
formée dans mon pantalon. Elle commence à rougir.
- Qu'est ce qui se passe Julien ? On dirait que tu... - ...bandes, l'interromps-je la fixant droit dans les yeux. En effet je bande, excuse-moi, ce sont des choses qui arrivent aux hommes lorsqu'ils se retrouvent avec des femmes belles comme tu l'es.
- Merci du compliment. T'es plutôt pas mal non plus, tu
sais. Dommage que je sois mariée et que tu sortes avec ma
sœur, me lance-t-elle.
La dernière phrase aurait dû me calmer, mais au contraire, le fait que cette relation ne doive pas se faire m'excite beaucoup. Mag est toujours face à moi les joues rosies par l'émotion. Je lui demande de me faire passer la prise péritel qui se trouve juste à côté d'elle. Son genou est sur la ceinture du peignoir et lorsqu'elle veut attraper la prise en tendant son bras, la ceinture se défait comme par magie. Les pans s'entrouvrent. Je vois maintenant la naissance de deux énormes globes laiteux qui se tiennent haut pour leur taille. En baissant mon regard, je découvre son piercing au nombril, un petit ventre rond et un peu plus bas une petite culotte blanche. Ses cuisses musclées paraissent solides. À moitié dénudée, Mag me regarde sans rien dire, attendant sans doute ma réaction. Je l'ai sous les yeux. Combien de fois m'étais-je masturber en imaginant un pareil scénario ? Et aujourd'hui, je suis sur le point de réaliser mon fantasme. J'avance la main vers sa cuisse. Nous ne disons rien... Nos souffles sont courts... Ma main atteint le genou. Le contact sur cette peau si douce m'électrifie. Ma queue double de volume dans mon pantalon trop serré. Mag soupire au premier toucher.
Je remonte doucement le long de sa cuisse. Inconsciemment,
Mag écarte légèrement son entrejambe. Je ne suis plus qu'à
quelques centimètres de sa culotte. Mag respire de plus
en plus fort. Je la sens fondre. Son visage a changé. Ses
yeux sont fermés. Ça y est mon index est en contact avec
la dentelle de la petite culotte. Je frotte légèrement,
deux autres de mes doigts s'invitent à la fête. À travers
l'étoffe je sens l'humidité s'installer. Mag soupire. Je
décide d'abandonner le coin (mais de revenir un peu plus
tard) afin de d'accéder aux deux seins tant convoités depuis
quelques semaines. Je remonte mes mains le long de son ventre
pour atteindre la base de ses nichons. Mag dégage complètement
les pans du peignoir et se retrouve entièrement nue. Wahou
!! Cette femme respire la volupté.
- Lèche-moi les seins... J'adore ça... me dit-elle d'une
voix méconnaissable.
Après une telle invitation, je ne me fais pas prier. Mes mains malaxent et pétrissent ses énormes nichons. Ils sont vraiment d'une taille impressionnante (j'ai appris plus tard : du 100E). Plutôt pâles, ils sont bien ronds et crémeux. Mes doigts titillent les aréoles roses de la taille d'une pièce de 5 francs. Ses tétons sont très durs. J'y tire dessus, les sentant grossir de plus belle. Mag commence à gémir, elle n'avait pas menti, elle est très sensible des seins. Je me rapproche de son buste et fais participer ma langue au festin mammaire. Ma langue lèche les tétons. Je commence à lécher de plus en plus vite. Les gémissements de ma partenaire m'encouragent et sont de plus en plus bruyants. Je me régale. Mag pose sa main derrière ma nuque et m'attire contre son sein. Je tète comme un bébé Je suis au milieu de ses loches, prêt à m'étouffer avec. Reprenant ma respiration, j'en profite pour enlever mon pantalon. Mag s'étend sur le sol, me regardant me déshabiller. Elle a des étincelles dans les yeux. Elle n'arrête pas de se passer la langue sur les lèvres. Machinalement, elle se caresse le ventre puis remonte doucement vers sa poitrine. De sa position couchée sur le dos, ses seins tombent de chaque côté de son buste, mais restent d'une taille impressionnante. Elle joue avec ses mamelons, elle tire dessus et semble apprécier.
Me voilà en caleçon. J'admire le spectacle offert. Une
des mains de Mag se balade maintenant au niveau de son bas-ventre.
Elle se caresse à travers le tissu. Je peux voir nettement
une tache humide sur la culotte.
- Tu aimes te caresser ? lui demandé-je.
- Oui, j'adore ça. Tu sais, quand Jacques n'est pas là,
je m'occupe toute seule... Mais aujourd'hui, je ne suis
pas seule.
Et sur cette parole, je la vois s'enfiler un doigt dans
la chatte qu'elle ressort immédiatement pour se le mettre
dans la bouche. Je n'ai jamais vu une femme plus excitante
que ma belle-soeur dans cet état. Je décide de la laisser
se caresser. De sa main gauche elle malaxe son sein droit.
De l'autre main elle joue avec son clitoris qu'elle commence
à titiller énergiquement. Elle râle de plaisir.
- Enlève ton caleçon, que je voie ce qu'il y a dedans.
Ta queue semble à l'étroit, laisse-la respirer.
J'ôte donc mon caleçon. Ma queue est énorme. Je ne l'ai
jamais vue comme ça. Machinalement, de la main droite je
décalotte mon sexe et exécute quelques va-et-vient. Ma queue
grossit encore.
- Hum... Tu as vraiment une grosse queue, Julien. Je crois
que je vais bien m'amuser avec un tel engin. Viens, approche-toi
de moi que je la mette en bouche.
Mag est toujours couchée sur le sol. Je me mets au-dessus d'elle et lui présente mon sexe devant le visage. Les yeux de ma belle-sœur sortent de leur orbite. Elle souffle fort tellement son excitation semble intense. Elle se décide alors à s'occuper de mon cas. Elle entreprend la meilleure fellation que l'on ne m'ait faite. Elle lèche la base de mon sexe, titille mes couilles avec sa langue, puis revient sur ma tige. Doucement elle remonte avec sa langue le long de mon érection. Elle va atteindre mon gland. Elle le lèche, encore et encore. Et tout d'un coup elle avale ma queue au fond de sa gorge tout en me malaxant les bourses avec sa main gauche. Je suis aux anges.
Je commence à lui caresser les seins. Ils sont si gros
que mes grandes mains ne peuvent les contenir. Je masse
les globes laiteux, quel régal ! Mag commence à gémir. Je
continue mes caresses encore quelques minutes lorsque Mag,
tout en léchant ma bite, me dit :
- J'ai envie que tu me baises...
Je l'aide à se relever. Ses gros seins bougent dans tous
les sens. Je ne peux m'empêcher de les saisir à nouveau
et de les lécher. Elle m'emmène jusqu'au canapé me fait
rester debout pendant qu'elle s'assoit face à moi. Sans
un mot et avant que je puisse réagir, elle remet ma queue
dans sa bouche. C'est encore meilleur que tout à l'heure.
Elle salive beaucoup cette fois. Les bruits de succion deviennent
obscènes. Je bande de plus belle. Mag a du mal à la prendre
entière dans la bouche. Ma queue est pleine de bave. Mag
se lève, se retourne et pose un genou sur le canapé et attrape
le dossier. Dans cette position, ses seins pendent comme
de mamelles. Elle met son gros cul en arrière. Je peux nettement
discerner sa chatte rasée. L'humidité semble inévitable.
- Prends-moi, je suis chaude, bouillante, j'ai besoin de
ta lance pour me refroidir. Tiens regarde, ma chatte est
toute mouillée à cause de toi. Mais qu'est ce que tu attends
? Viens en moi, je te dis !
Mag est en transe. Je découvre son côté nymphomane et je
vais me régaler. Je me rapproche d'elle. Je prends ma queue
et lui tapote ses grosses fesses avec. Elle aime ça. Sentant
que ma partenaire ne va pas refroidir de suite, je décide
de retarder la pénétration tant attendue par ma belle-sœur.
Je commence à lui caresser les fesses. Son gros cul est
ferme. Je le prends bien en main, je lui pétris le cul comme
si c'était de la pâte à pain. Je fais remonter mes mains
aux creux de ses reins. Je passe alors en dessous, mes mains
atteignent le piercing, je joue avec quelques secondes.
J'abandonne le bijou. Mes mains saisissent ses énormes outres.
Ils ont vraiment une taille impressionnante, je n'arrive
pas à y croire. Je tire sur les mamelles comme on trait
une vache. Mag adore ça. Je les fais se balancer. Elle gémit
de plus en plus fort.
- Oh oui. Vas-y, c'est bon. Oh ! Tu tires fort mon cochon,
mais continue, j'aime ça. Huuummmm... Oui... Huuummm, encore,
ne t'arrête pas...
Mon sexe n'en peut plus, il va exploser. J'arrête mon massage
mammaire. Je me plante devant les opulentes fesses de ma
partenaire et enfonce ma queue directement dans sa chatte.
Elle mouille tellement que je suis rentré jusqu'au bout
sans effort. Mag hurle de plaisir :
- Que tu es gros ! Vas-y, baise-moi bien à fond ! Oh oui,
comme ça. Pilonne-moi avec ta grosse queue. J'en veux encore.
Ne t'arrête surtout pas... Han, han. Que c'est bon ce que
tu me fais. Je mouille comme une fontaine. Oh oui, encore.
Je n'ai jamais mouillé comme ça...
Elle projette son bassin d'avant en arrière. Ma queue la
pénètre au plus profond à chaque va-et-vient. Ma queue glisse
à toute vitesse dans cette chatte trempée. Je sens le plaisir
monter en moi alors que Mag me dit :
- Continue mon chéri, je vais jouir. Va plus vite, défonce-moi
la chatte, baise-moi comme une pute. Oh oui, vas-y !
Mag emploie maintenant un vocabulaire vulgaire. L'excitation
l'emporte sur la gentille mère de famille qui se transforme
en chienne insatiable. Je décide d'utiliser le même répertoire
qu'elle :
- Tu aimes te faire baiser comme une chienne ? - Oui j'adore ça. Je suis ta chienne. Insulte-moi, tu m'excites encore plus !
- Tu es une belle salope. J'en étais sûr. Je vais te baiser
comme on t'a jamais baisée.
Je fais mettre Mag à quatre pattes sur le canapé. Je me
place derrière elle et recommence à lui baiser la chatte.
Je vois ses gros nichons valser au rythme de mes coups de
boutoir. J'en saisis un et le pétris sans ménagement.
- Oh oui, pelote-moi les nichons pendant que tu me baises et continue à m'insulter je vais jouir. - T'es vraiment qu'une grosse cochonne qui aime bien se faire sauter par son beau-frère... Tu mouilles comme une catin. Ma queue est trempée par ta mouille.
- Oh oui, oh oui... Je viens... Je... VIENS... hurle-t-elle
alors qu'un océan de mouille me coule le long de la queue
et même sur les cuisses.
Mag vient de jouir et je m'arrête de la baiser. Elle s'est affalée sur le cousin. Seul son cul se dresse fièrement.
Elle se retourne pour m'embrasser. Je lui rends son baiser.
- Je veux que tu jutes sur mes nichons.
Je me lève pendant qu'elle s'installe confortablement à
genoux devant moi. Je lui soupèse les nichons. Ils sont
lourds. Les tétons ont doublé de volume. Elle prend un sein
dans chaque main et me les présente tels deux uniques fruits
dans une corbeille.
- Tu as l'air de les aimer. À chaque repas j'ai remarqué
que tu les regardais. Aujourd'hui, je te les offre, profites-en,
me dit elle en se les caressant sensuellement.
Ma queue est toujours aussi raide. Je l'approche du sillon et l'engouffre à l'intérieur. Mon sexe a disparu entièrement entre les seins de Magali. Je commence un long va-et-vient. C'est bon. Il y fait chaud. Mag fait venir ses mamelles sur ma queue. À ce rythme, je ne vais pas tenir longtemps. Elle met des coups de langue sur mon gland à chaque passage de ma queue à proximité de sa bouche. Je n'en peux plus, je sens ma semence monter en moi. Je vais jouir, je vais lui en mettre partout sur la poitrine. Un violent spasme me traverse le corps de la tête aux pieds. Mon sperme jaillit de mon sexe à grandes giclées pour atterrir sur les deux gros nichons de ma cochonne de belle-sœur. Il y en a une grosse quantité. Mag se l'étale sur ses mamelles. Je la regarde faire. Quelle femme !
Nous restons dans le salon encore un moment avant de retrouver
nos esprits. Je l'embrasse tendrement.
Voila comment Magali est devenu ma maîtresse occasionnelle. Nous faisons l'amour sauvagement de temps à autres, même pendant les repas de famille ; mais ça, c'est une autre histoire...
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