Cela fait maintenant près de 4 ans que j'habite ce petit
appartement au dernier étage d'un immeuble bourgeois situé
non loin du centre d'une grande ville de province. Je suis
étudiant en dernière année de lettres modernes. Depuis 2 mois,
je passe le plus clair de mon temps chez moi à préparer l'ultime
examen de fin d'année.
Nous sommes au mois de mai et les journées se font de plus
en plus belles. J'en profite pour travailler le plus souvent
possible les fenêtres ouvertes. Depuis mon salon, là où
je travaille, la vue n'est pas imprenable. Elle donne directement,
à quelques mètres de là, sur un appartement situé dans l'immeuble
d'en face. Mon pas de porte fait face à un 3 pièces occupé
par un femme seule d'environ une soixantaine d'années.
Je n'ai jamais eu de véritables contacts avec mon voisinage.
Jamais jusqu'à il y a peu. En effet l'ascenseur qui desservait
l'immeuble était tombé en panne depuis plus de 2 semaines.
Cela m'a permis de faire plus ample connaissance avec Anita
ma voisine de palier. Cette femme d'environ 60 ans était
venue chez moi me demander de l'aide afin de remonter tous
ces cabas, la panne de l'ascenseur ne lui permettant pas
d'y parvenir seule.
Anita est d'origine antillaise. De taille moyenne, elle
est toujours vêtue de longues robes et de hauts amples,
permettant ainsi de masquer les rondeurs dues à son âge.
Ces cheveux couleur charbon sont toujours parfaitement coiffés
et attachés invariablement en chignon. Les traits de son
visage sont encore fins. Ses grands yeux noirs laissent
imaginer une femme autoritaire et sévère. Ils contrastent
étonnement avec son large et beau sourire.
Peu causante au départ, Anita a, au fil des jours, pris
de l'assurance et s'est dévoilée. J'ai ainsi appris qu'elle
était divorcée depuis bientôt 10 ans et qu'elle n'avait
jamais cherché véritablement à refaire sa vie. Ses trois
enfants étaient grands, ils vivaient pour deux d'entre eux
à l'étranger, le benjamin vivant lui à plus de 500 kilomètres
de sa mère. Elle les voyait une ou deux fois par an, sans
plus. Elle avait bien quelques amies sur le coin mais rien
d'exceptionnel. Elle passait la plus grande partie de son
temps chez elle en compagnie de ses deux chats.
Nos rencontres sont devenues au fil du temps plus régulières.
Elle prenait désormais le temps de bavarder un peu, alors
qu'avant rien ou presque. Son accent antillais et son franc
parler lui conférait une certaine bonhomie. Elle m'a même
invité un jour à venir lui tenir compagnie.
Son appartement, qui semblait de petite taille vu de l'extérieur,
ressemblait en fait étrangement au mien. C'était l'un de
ces appartements avec des plafonds très hauts, très joliment
décorés. L'influence antillaise était présente dans chaque
pièce. A un petit vestibule d'entrée succédait un très grand
salon au milieu duquel trônait une grande table en bois
exotique foncé juchée sur de somptueux tapis d'orient. Le
sol était entièrement recouvert de parquet en bois de la
même teinte que la table. La décoration et le choix du mobilier
donnaient une impression de chaleur, de calme et de bien-être
à la pièce.
Au fond du salon, deux ouvertures, sans porte, donnaient
sur le reste de l'appartement. Entre les deux une cheminée
donnait encore plus de cachet aux lieux. La porte de gauche
donnait sur la cuisine, alors que celle de droite devait
apparemment donner sur la chambre à coucher. L'entrée de
la pièce était masquée par un grand voilage, qui ne permettait
pas de distinguer parfaitement ce qui se trouvait de l'autre
coté.
Au fil de nos discussions, elle m'a avoué que la présence
d'un homme lui manquait parfois, mais qu'elle avait fini
par faire une croix dessus. Je n'y avais jamais prêté attention,
mais ce moment en sa compagnie, m'a permis de la découvrir
physiquement plus en détails. De taille moyenne (je vous
l'ai déjà dit), Anita était « bien en chair ». De larges
hanches supplantaient une paire de jambes assez fortes.
Ses seins volumineux contrastaient avec ses épaules menues.
Son visage aux traits fins était invariablement orné d'un
grand sourire depuis que j'avais pénétré dans son appartement.
Les effets de l'âge ne se faisaient pas encore énormément
sentir sur Anita. La peau de ses mains était encore lisse.
A y regarder de plus près, elle semblait encore désirable.
Je dois avouer que le fait d'être là seul avec Anita avait
éveillé en moi une certaine envie que je n'avais jamais
imaginé même dans mes fantasmes les plus fous. Mais je devais
me rendre à l'évidence, elle m'excitait.
Cela faisait plusieurs semaines que je n'avais pas touché
une femme et je me disais que je pouvais tenter ma chance.
Une femme d'âge mûr, qui plus est dotée d'attributs mammaires
conséquents, n'est pas pour me déplaire, bien au contraire.
Malgré tout, il me fallait prendre certaines précautions,
je ne voulais brusquer ou offenser Anita. J'avais beaucoup
de respect pour elle.
J'étais debout près de la fenêtre du salon en attendant
son retour. Elle était partie faire je ne sais quoi qui
ne pouvait attendre. Elle m'a rejoint quelques minutes plus
tard. Anita s'était changée. Elle apparut avec un large
sourire qui illuminait son visage. Ses cheveux étaient toujours
parfaitement attachés. Elle était vêtue d'une longue jupe
noire ornée d'un gros motif blanc brodé. Elle portait également
un pull à col roulé de couleur verte assez serrant qui mettait
en avant son opulente poitrine. Ses seins semblaient vraiment
très gros. Anita était toujours parfaitement maquillée.
Un collier de perles blanches ornait son pull. De nombreuses
bagues habillaient ses doigts potelés. Elle semblait rayonnée.
J'étais très hésitant, je me demandais si une femme de son
âge pouvait avoir envie d'un jeune homme. Elle ne tarda
pas à lever les doutes que je pouvais avoir concernant l'éventualité
d'une relation entre nous.
Elle m'avoué qu'elle appréciait ma compagnie et la maturité
dont je faisais preuve l'avait confortée dans son envie
de faire plus ample connaissance avec moi. Elle se sentait
en sécurité avec moi me disait-elle. Pour la première fois,
la présence d'un homme semblait éveillée en elle un désir
qu'elle n'avait plus connu depuis bien longtemps. Anita
m'a avoué plus tard s'être même sentie un peu mal à l'aise,
redoutant ma réaction vis à vis du jeu de séduction qu'elle
avait entrepris. Elle avait apparemment tout prévu. Elle
est venue très vite se mettre à mes cotés. Sans y paraître,
elle a effleuré plusieurs fois mes mains ou mes bras. Son
doux parfum et la proximité d'une paire de seins aussi gros
avaient eu raison de moi. Je bandais dur. J'avais peur de
faire le premier pas. Je fus vite rassuré car Anita est
venue peu face à moi. Elle s'est lentement avancée, a enroulé
ses bras autour de ma taille et a posé son visage sur ma
poitrine. Je ne sais pas si cela pouvait s'interpréter comme
une marque de simple affection ou comme une pulsion sexuelle
de sa part, toujours est-il que j'en ai profité pour poser
mes deux mains sur son large fessier. J'ai commencé à lui
pétrir les fesses. Elle ne bougeait pas. Elle avait sa tête
calée sur ma poitrine et son souffle se faisait un peu plus
rapide.
J'étais surexcité. Une pulsion quasi bestiale s'est emparée
de moi. D'un mouvement sec et rapide, sa robe s'est retrouvée
sur le sol. Elle se laissait faire et ne disait mot. Ses
grosses fesses charnues débordaient de sa culotte en dentelle.
Nous avons glissé de quelques pas sur le coté afin de ne
plus être face à la fenêtre. Nous étions presque contre
un petit meuble d'environ un mètre de haut sur lequel se
trouvait notamment le téléphone. Le silence régnait dans
la pièce. Seuls nos souffles plus rapides se faisaient entendre.
Nos regards se sont croisés furtivement. Anita tremblait
et ne semblait plus rien maîtriser de la situation. J'ai
posé mes mains sur ses épaules. Je l'ai lentement retournée.
Elle était toujours contre moi, mais de dos cette fois-ci.
Mon chibre tendu à l'extrême est venu se caler entre ses
deux fesses. J'ai passé mes deux mains sous ses épaules
afin d'attraper les objets de ma convoitise. Je caressais
ses seins sur son pull. Cela semblait lui plaire car elle
poussa un petit cri. Ses tétons durcissaient et ils semblaient
très gros même à travers son pull et leur prison de dentelle.
Anita posa ses mains sur le petit meuble devant et elle
accentua encore la pression de son gros fessier sur ma bite.
Mes mains sont descendues lentement vers sa culotte en dentelle
blanche. Je n'ai eu aucune résistance sa part. Elle leva
chacune de ses jambes afin d'ôter entièrement son slip déjà
trempé sous l'effet de l'excitation. La peau mate de ses
fesses était douce et chaude. De petites traînées brillantes
le long de son entrejambe montraient qu'elle semblait prête
à me recevoir. J'ai rapidement ôté mon pantalon et mon caleçon
afin de libérer ma queue transie de désir. Je n'avais, comme
elle, gardé que le haut de mes vêtements. Elle ne bougeait
plus maintenant. Sa respiration se faisait encore plus rapide.
J'ai frotté ma bite sur ses deux fesses nues. Mon gland
violacé est ensuite venu au contact de l'entrée de son antre
bouillonnant. La sensation que me procurait le contact de
ses longs poils pubiens humides était divine. D'un mouvement
de hanches, je l'ai lentement pénétré. Elle était large.
Je paraissais flotter en elle, même si ma bite était pourtant
d'une taille certaine.
J'ai commencé à la pistonner en m'agrippant à ses larges
hanches charnues. Elle feulait sous l'effet de mes coups
de butoir. Elle se cambrait un peu afin d'augmenter encore
le plaisir du frottement de mes couilles à chaque fois que
je la pénétrais entièrement. Elle poussait de petits cris
secs à chacun de mes mouvements de va et vient. Je sentais
le désir monté en moi au bout de quelques minutes. Je serrais
encore plus fort ses hanches afin d'augmenter la cadence
de mes coups de butoir. J'ai joui en elle par de longues
saccades de sperme chaud et épais. Je lui remplissais le
con de ma semence blanchâtre.
Manifestement, elle n'avait pas entièrement joui, ce qui fit naître en moi une certaine gêne. Je ne pouvais pas la laisser ainsi, elle qui venait de me donner tant de plaisir.
Je m'étais retiré. Elle s'est saisie de sa culotte afin
d'essuyer le sperme qui coulait le long de l'intérieur de
ses cuisses. Je l'ai prise par la main en lui souriant.
Elle était radieuse. Je l'ai dirigée vers le fond du salon.
J'hésitais à entrer dans la pièce masquée par le grand voilage.
C'est elle qui a pris l'initiative d'entrer la première
dans la pièce. Surprenant. C'est vraiment la première impression
qui surgit lorsque l'on entre dans la chambre d'Anita. C'est
surtout le parfum enivrant qui se dégage des lieux qui procure
cette sensation. Un grand lit en bois foncé trône au centre
de la pièce. Les volets de la pièce sont entièrement clos.
La lumière tamisée donne aux lieux une forme d'intimité
toute particulière. De nombreuses bougies sont disposées
sur chaque meuble. Anita m'abandonna un instant près du
lit et se dirigea vers une commode située de l'autre coté.
Elle ouvrit un tiroir et se saisit d'une petite serviette
en éponge blanche qu'elle amèna instantanément vers sa chatte
velue. Elle s'est essuyée ainsi un long moment, recueillant
une grande partie de mon sperme. Je l'ai rejoint près de
la commode. Son lit était recouvert par une couverture en
mousseline blanche douce et agréable au toucher.
Je l'ai prise par les hanches et je l'ai embrassé dans
le cou. Elle posa sa serviette souillée par mon jus sur
la commode et elle ouvrit un second tiroir. Je n'ai pas
tout de suite prêté attention à ce qui se trouvait dans
le tiroir, il faut dire que j'étais totalement obnubilé
par l'envie de voir enfin au grand jour ses deux grosses
mamelles. Je pétrissais ses seins avec vigueur lui montrant
explicitement mon envie de la voir retirer son pull. Je
m'étais mis torse nu. Elle lâcha le tiroir qu'elle tenait
d'une main pour ôter son pull à col roulé. Ses seins jaillirent
devant mes yeux. Ils étaient encore plus gros que je ne
l'avais imaginé. Elle s'est retournée afin que je puisse
dégrafer son soutien-gorge et enfin libérer ses deux grosses
outres.
Elle fit demi tour et était maintenant entièrement nue
face à moi. Je bandais à nouveau très dur. Ses deux aréoles
et ses deux tétons gonflés avaient du mal à paraître au
milieu de ces deux énormes morceaux de chair un peu tombants
mais rudement appétissants. Je n'avais qu'une envie, me
jeter dessus et leur infliger un traitement dont elle se
souviendrait longtemps. C'est à ce moment précis que mon
regard s'est posé sur le contenu du tiroir qu'Anita venait
d'ouvrir. Je n'en croyais pas mes yeux. Il y avait là tout
l'attirail de la femme seule. Godes de différentes tailles
et de différents diamètres, vibromasseur, crèmes, boules
de geisha, …
Très vite, j'en ai déduis qu'Anita avait l'air très porté
sur le sexe. Tout cela ne fit qu'accentuer le désir que
j'avais encore pour elle. A partir de ce moment, c'est elle
qui dirigea les opérations. J'étais toujours sous l'effet
de ce que je venais de découvrir, quant Anita s'est approchée
de moi. Elle a posé l'une de ses mains sur mon torse. Son
autre main s'est dirigée vers le tiroir ouvert. Elle en
a sorti un gode. Il était de couleur rouge. Le plus impressionnant
était son diamètre. J'ai vite fait la relation entre son
antre distendu et les plaisirs auxquels elles devaient s'adonner
avec l'objet qu'elle tenait maintenant à pleine main.
Elle porta le chibre fictif à sa bouche et mima une douce
fellation. Elle m'invita à m'asseoir dans un petit canapé
deux places situé à environ 1,50 mètre du lit. J'étais nu,
la bite en pleine érection, à attendre la suite qu'Anita
allait donner à tout cela. Je n'avais qu'une envie, lui
sauter dessus. Elle me dit d'attendre un moment et que mon
heure arriverait très vite. Elle se mit assise au centre
du lit face à moi, ses grosses jambes largement écartées.
J'avais une vue imprenable sur sa grosse chatte abondamment
poilue et visqueuse. Elle continua un moment à sucer le
gode qu'elle tenait dans sa main gauche. Petit à petit,
elle le descendit vers son sexe brillant. Lentement le bout
du gode étirait ses chairs intimes. Le plaisir que cela
lui procura fut instantané. Elle semblait jouir en silence.
Les rictus de son visage en disaient longs sur l'effet que
cela lui produisait. Les bouts de ses seins durcissaient
et avaient augmenté de volume.
De sa main libre, elle me fit signe d'approcher d'elle.
Elle avait augmenter la cadence et son gode avait quasiment
disparue en elle. Seuls quelques centimètres restaient visibles.
Elle ne le tenait plus que de trois doigts. Elle mouillait
énormément. Elle avait pu s'introduire le gode sans aucune
lubrification au préalable. J'étais subjugué par ce spectacle.
Ses yeux étaient mi-clos. J'étais debout contre le lit,
à quelques centimètres d'elle, ma bite tendue à la main.
J'avais entrepris de me masturber lentement. Elle recula
vers la tête de son lit, posant ses deux coudes sur chacun
de ses oreillers. Elle me demanda de venir vers elle et
de lui retirer son gode toujours fiché profondément entre
ses deux cuisses. Elle haleta profondément lorsque ma main
se saisit de l'objet. Son bout était souillé d'un liquide
chaud et glissant. Une idée m'a traversé l'esprit. J'ai
lâché le bout du gode afin de me mettre à quatre pattes
au niveau de sa chatte. J'ai commencé par lui lécher l'intérieur
de ses cuisses en remontant lentement vers son épaisse toison
pubienne. L'une des ses mains est venue caresser mes cheveux.
Je la léchais en prenant soin de faire d'amples mouvements
circulaires autour du gode qu'elle avait commencé à retirer
de son minou. J'ai posé l'une de mes mains sur la sienne
et nous avons commencé une pénétration en règle de sa chatte.
Je pétrissais ses grosses outres en même temps que j'accélérais
le rythme de la pénétration. Sentant sa jouissance venir,
j'ai retiré le gode de sa caverne, et je me suis jeté sur
elle comme un mort de faim afin de lui prodiguer un long
et humide cunnilingus.
Sa jouissance fut longue et bruyante. Elle s'était affalée
de tout son long sur ses oreillers. Mon visage était souillé
de son jus. Il avait une odeur forte. J'ai posé le gode
derrière moi sur le lit. Anita semblait complètement groggy.
Elle avait du mal à reprendre ses esprits. Elle esquissa
un sourire lorsqu'elle m'aperçut en train de m'astiquer
le manche. J'étais très excité par le spectacle qu'elle
venait de m'offrir. J'étais à genoux sur le lit en train
de me branler frénétiquement. Anita s'approcha de moi et
mit sa main sur la mienne. J'ai lâché ma bite afin qu'elle
puisse plus aisément s'en saisir.
Elle caressa alternativement mon gland puis mes couilles.
Elle alterna les mouvements rapides puis lents. Elle approcha
son visage et posa le bout de sa langue sur mon gland violacé.
Elle fit des mouvements circulaires avec sa langue, puis
elle descendit tout le long de ma verge pour venir gober
une à une mes deux couilles. Elle me prit ensuite totalement
en bouche. Elle me suça vivement et bruyamment en serrant
la base de mon chibre. Son autre main vint se poser sur
mes fesses qu'elle a pétries avec vigueur. J'avais posé
mes deux mains derrière sa tête afin de la maintenir parfaitement
et pour ne pas risquer qu'elle cesse en chemin ce qu'elle
venait d'entreprendre.
Le majeur de sa main posée sur mes fesses est venu se ficher
dans ma raie. Tout en continuant de me pomper, Anita a entrepris
de glisser l'un de ses doigts à l'entrée de mon anus. Je
contractai mes fesses, surpris de son initiative. Pour me
détendre un peu, elle relâcha l'étreinte de sa bouche sur
mon sexe. Elle reprit une fellation plus douce et moins
rapide. Sans crier gare, elle introduisit son index dans
mon anus. Je n'ai pu me retenir de crier. Moins de trois
secondes plus tard, j'éjaculais dans sa bouche de longs
filets de sperme chaud. Elle ne perdait aucune goutte de
ma semence. Cela a même eu pour effet de décupler le rythme
de sa fellation. Elle me suça encore quelques secondes,
puis relâcha son étreinte. Anita s'était remise assise entre
les deux oreillers de son lit, pendant que je tentais de
reprendre mes esprits. Ma bite perlait. D'un doigt, elle
essuya ses lèvres afin de ne rien perdre du festin qu'elle
venait de s'octroyer.
Moi qui la pensait frigide et plus du tout concernée par
cet aspect de la vie d'une femme, j'en étais encore sous
le choc. Jamais personne ne m'avait fait prendre un pied
de la sorte. Mes visites chez Anita furent plus fréquentes
par la suite. La fascination que j'avais pour ses seins
et ses pratiques sexuelles en général ont contribué à instaurer
entre nous une relation assez suivie. C'est Anita qui m'a
initié à certains jeux érotiques pour lesquels son savoir
faire était indéniable. Pendant près de 6 mois je suis resté
son amant, la satisfaisant au gré de ses envies.
Anita a aujourd'hui rejoint l'un de ses enfants à l'étranger. Nous n'avons plus de contacts. C'est bien dommage. Parfois, elle me manque.
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