J'ai dix-huit ans et je m'appelle José. Je suis
d'origine espagnole mais j'habite dans le sud de la France,
au pied des Pyrénées. Mercredi dernier, je suis
revenu de mon entraînement de basket, comme toutes les
semaines, vers seize heures. D'habitude, je prends ma douche
au club, mais ce jour là, elles étaient indisponibles.
Une fuite d'eau avait amené le concierge à les
condamner. J'avais donc décidé de me laver à
la maison. Ce n'était pas bien grave car nous habitons,
mes parents, ma sur et moi, à seulement cinq
petites minutes à pied du gymnase.
Quand je suis arrivé à la maison, j'ai rapidement déposé
mon sac de sport dans ma chambre, je me suis déshabillé puis je
me suis dirigé vers la salle de bains. J'étais presque à
poil, me croyant seul au domicile familial. En fait, j'avais juste conservé
mon boxer. Quand j'ai poussé la porte, je me suis rendu compte de ma
méprise. Il y avait déjà quelqu'un sous la douche. J'ai
rapidement compris qu'il s'agissait de ma sur Thérésa. L'eau
n'était pas en train de couler et c'est la raison pour laquelle je ne
m'étais pas rendu compte de sa présence plus tôt.
La cabine de douche était fermée, bien sûr. Mais derrière
la paroi de plastique translucide, je pouvais deviner les formes de ma frangine.
Elle a deux ans de plus que moi, soit vingt ans et je mentirai si je disais
n'avoir jamais remarqué comme elle est bien fichue. Pourtant, je n'ai
pas l'habitude de la regarder comme les autres filles. C'est ma sur avant
tout. Mais ce mercredi là, mon regard sur son corps était différent.
Peut-être parce que je ne distinguais pas totalement les détails
à travers la porte de la douche et que ça avait pour effet de
la rendre un peu plus " anonyme " à mes yeux ? Toujours est-il
que je restai dans la salle de bain, incapable d'en sortir. Je me décidai
juste à faire un pas sur le côté pour me cacher entre le
placard et le bac à linge, pour ne pas être découvert. Je
ne savais pas réellement ce que je faisais, ni pourquoi je m'attardais
dans la pièce. C'était comme si une force inconnue m'avait poussé
à rester là.
Je m'habituais peu à peu à la vision déformée de
Thérésa. Le grain de la porte m'empêchait de capter tous
les détails de la scène qui se jouait sous mes yeux. Mais mon
imagination rectifiait d'elle-même les imperfections de ma perception
visuelle.
Dans la cabine, Ma sur s'agitait. Elle devait se frotter le corps à
l'aide d'un gant de toilettes, pensais-je. Je devinais ses mains qui parcouraient
toute la surface de son torse et de son ventre. J'imaginais le gant qui venait
lui caresser les seins. Elle a de beaux seins ma sur : ronds et fermes,
ni trop gros, ni trop menus et surtout, fièrement dressés. J'ai
souvent surpris mes camarades à lorgner dessus quand ils venaient me
voir à la maison. Certains m'en ont même fait la remarque. En observant
la toilette de Thérésa, je les comprenais mieux. Je ne pouvais
pas voir parfaitement ses nichons car elle me tournait légèrement
le dos, mais de trois-quarts arrière, je pouvais en admirer la rotondité
épanouie.
Cependant, ce qui me fascinait le plus, c'était son formidable cul.
Je n'avais jamais remarqué combien il était beau. De mon poste
d'observation privilégié, je pouvais en profiter à loisir.
J'admirais ses magnifiques fesses, bien hautes et rebondies. Il n'y avait pas
un pli de trop sous ses ballons. Thérésa est sportive, elle joue
au tennis et pratique beaucoup le patin à glaces l'hiver. L'été,
elle fait du roller et aime marcher. Tout cela se ressent bien évidemment
sur son physique, comme je pouvais en juger ce mercredi. Il me prenait presque
l'envie de venir lui toucher le cul, tant il me semblait appétissant.
Je savais bien que c'était impossible et je préférais me
contenter du charme de l'instant que je vivais sans prendre de risques inutiles.
Par contre, je me promis intérieurement de tout faire pour pouvoir mater
à nouveau bientôt ses fesses sans l'obstacle de la porte vitrée.
Il faudrait que je trouve un prétexte ou une astuce pour me remplir les
yeux de son fantastique fessier.
Perdu dans mes pensées lubriques, je n'avais pas remarqué les
mouvements de Thérésa dans la cabine. Mais mon attention fut attirée
par un gémissement aérien qui s'étiola dans l'ambiance
saturée d'humidité de la salle de bains. D'abord, j'ai cru que
mon esprit me jouait des tours, mais un deuxième léger râle
vint confirmer ma première impression. Je tendis l'oreille et me concentrai
à nouveau sur le spectacle offert à son insu par ma grande sur.
Elle avait posé l'un de ses pieds sur le petit tabouret qui servait
à s'asseoir dans la douche. C'était surtout ma mère, sujette
au mal de dos, qui l'utilisait habituellement. Thérésa ouvrait
les jambes et se frottait entre les cuisses. Je ne voyais pas les détails
d'où je me trouvais, mais j'imaginais qu'elle avait pris en main la petite
éponge naturelle qui lui permettait de se laver les parties intimes en
douceur. Je devinais bien qu'elle se touchait la vulve et toutes les apparences
me laissaient penser qu'elle y trouvait un certain plaisir. Les choses devenaient
réellement intéressantes et même si je me sentais un peu
mal à l'aise, j'étais heureux de me trouver là à
ce moment. Il ne m'était jamais venu à l'idée que ma frangine
puisse se branler et brusquement, j'étais confronté à la
réalité de ses caresses onanistes. Je me déplaçai
légèrement, toujours prudent, pur profiter au mieux de son exhibition
involontaire. J'aurai donné beaucoup pour pouvoir passer outre la barrière
de la vitre et jouir pleinement de la masturbation de Thérésa.
Ce n'était pas possible et j'en pris mon parti.
La branleuse, se croyant toujours seule dans la maison inoccupée, laissa
libre cours à ses caresses. Je la vis poser l'éponge sur le porte-savon
et remettre aussitôt après sa main entre ses cuisses. Les jambes
bien ouvertes, elle se touchait la moule, d'abord lentement, puis de plus en
plus vite, jusqu'à atteindre son rythme de croisière. Ses attouchements
étaient accompagnés de gémissements toujours plus violents,
toujours plus sonores. Entendre ses plaintes me troublait au moins autant que
ce que je voyais. Je me surpris à me toucher la bite à travers
mon boxer. Je retirai prestement ma main de mon sexe, un peu honteux tout de
même de profiter ainsi des gestes sans équivoque de ma sur.
Mais l'augmentation du désir chez Thérésa se traduisit
par l'abandon de toute pudeur. Elle ne se retenait plus d'exprimer son plaisir
dans la salle de bain. Ses gémissements se transformèrent en véritables
râles de femme excitée. Pendant qu'une de ses mains lui branlait
la chatte, je voyais l'autre qui lui touchait les seins. Elle paraissait comme
folle et s'agitait de plus en plus. Je crois bien qu'elle ne tenait plus debout
car elle s'assit sur le tabouret. J'ai crains un moment qu'elle ne me surprenne
car elle me faisait presque face. Mais elle était bien trop occupée
pour cela, toute entière tournée vers l'assouvissement de son
plaisir. Je pouvais profiter pleinement du spectacle.
Thérésa, ma propre grande sur était à quelques
mètres de moi, assise, les cuisses ouvertes et se branlait sans imaginer
un seul instant que j'étais occupé à la mater. C'était
inespéré et fort excitant. Cette fois-ci, quand ma main trouva
le chemin de mon sexe, je ne fis rien pour l'empêcher de le toucher. J'étais
bien incapable de me retenir de me masturber. Il fallait que je me touche. La
situation était bien trop chaude pour que je parvienne à me contrôler
plus longtemps. Jusque là, j'avais du me contenter d'extrapoler pas mal
autour de ce que je devinais derrière la porte, mais maintenant que Thérésa
s'était tournée, je voyais plus clair dans son jeu. D'autant que
les sons qu'elle exprimait étaient plus qu'évocateurs.
Je sortis ma queue du boxer et commençai à faire aller et venir
ma main sur le barreau. Inconsciemment, je calai mon rythme sur celui de Thérésa.
Je ne voulais pas me faire surprendre, aussi je me forçai à rester
discret dans mes mouvements. Je fis également tout mon possible pour
ne pas gémir aussi fort qu'elle. C'était difficile car je trouvais
la scène très excitante. Je me suis branlé sans la perdre
de vue un seul instant. Quand Thérésa a pris l'un de ses seins
en bouche pour le manger, j'ai accéléré le mouvement sur
ma bite. Je redécouvrais ma sur et ça changeait complètement
la perception que j'avais d'elle jusqu'alors.
Je n'ai pas eu à me masturber bien longtemps. Au bout de quelques minutes,
mes couilles se sont vidées en une formidable explosion de foutre. J'ai
juste eu le temps de me saisir d'une serviette dans le bac à linge. Je
n'ai pas pu réprimer un petit cri de bonheur mais je crois que Thérésa
n'a rien entendu car il a été couvert par les effets de sa propre
extase. Aussitôt après, je suis sorti précipitamment de
la salle de bain, sans être certain de ne pas avoir été
repéré par ma sur.
Auteur
|