Ca y est, il vient de lui rentrer sa bite dans la chatte
! Quelle vicieuse quand même ! Et dire qu'elle le connaît
à peine. Je le sais parce que c'est ma sur et
qu'elle me dit (presque) tout depuis toujours. Nous n'avons
qu'un an d'écart et nous avons grandi ensemble, dans
la même chambre depuis tout petits. Cela ne fait que
quelques mois que nos parents ont décidé de
nous séparer en ajoutant une pièce à
la maison familiale. Il faut dire que nous commencions à
devenir grands et qu'il semblait risqué de nous laisser
dormir côte à côte. A l'adolescence, frères
et surs ont besoin d'intimité et ça, nos
parents l'ont bien compris. J'aime beaucoup ma sur,
mais j'apprécie de pouvoir me branler tranquillement
dans mon lit maintenant. D'ailleurs, je suis sûr qu'il
en est de même pour elle.
Cet après-midi, j'étais occupé à surfer sur le
web quand une conversation a attiré mon attention dans la chambre voisine
de la mienne. C'était Claire, ma frangine, qui discutait apparemment
avec un mec que je ne connaissais pas. J'ai tendu l'oreille et, là, je
me suis rendu compte que la discussion n'avait rien d'anodin. En fait, ma sur,
que je ne savais pas si cochonne, était littéralement en train
de demander au gars de la fourrer. J'ai appris au passage que celui-ci s'appelait
Eric et j'ai cru comprendre qu'il était au lycée avec Claire.
Nous étions seuls à la maison et je ne suis même pas sûr
que ma sur savait que j'étais là. Je suis même à
peu près certain du contraire, tant elle semblait s'exprimer sans retenue.
De mon côté, j'étais déjà bien chauffé
par ce que je venais de mater sur Internet et je me réjouissais de l'opportunité
qui m'était donnée de surprendre le couple de vicieux dans la
pièce voisine.
Au début, je me contentais uniquement de savourer les dérapages
verbaux du duo. C'était déjà pas mal. Claire paraissait
se lâcher totalement et je la découvrais totalement libérée.
Je fus quand même un peu choqué quand elle demanda sans vergogne
à son mec si elle pouvait sortir sa queue de son froc. On parle quand
même de ma grande sur ! L'entendre dire " Est-ce que je peux
prendre ta bite dans mes doigts ? " à un quasi-inconnu me troubla
et me dévoila une facette jusque là bien cachée de celle
avec qui je partageais ma vie depuis toujours.
Pendant un instant, je n'entendis plus rien. Mais j'imaginais dans mon esprit,
les mains de ma sur qui se saisissaient de la tige bien dure de son mec
après avoir ouvert sa braguette. Je voyais presque le membre, que j'idéalisai
instinctivement, sortir du slip, suivi dans la foulée par de grosses
boules bien pleines. Les longs doigts fins de ma frangine dansaient devant mes
yeux, courant sur le mandrin veineux gonflé de désir.
Maintenant, je pouvais percevoir de petits gémissements qui traversaient
faiblement le mur mal insonorisé de ma chambre. Ce devait être
ceux du gars qui subissait visiblement un traitement très excitant. Peut-être
bien que ma sur était en train de le branler ? Ou peut-être
qu'elle le suçait ? J'avais quand même un peu de mal à imaginer
Claire, la bouche déformée par un gros nud, agenouillée
devant un inconnu. Mais je dois avouer que cette image ne me laissait pas indifférent.
Je décidai donc d'en avoir le cur net.
Sur la pointe des pieds, je me dirigeai vers la porte de ma chambre que j'ouvris
le plus délicatement possible pour ne pas me faire repérer. Une
fois dans le couloir, je m'approchai de la pièce occupée par le
couple d'amants. Là, prenant mon courage à deux mains, j'appuyai
sur la poignée de la porte et, très lentement, j'entrebâillai
l'ouverture. Quelques centimètres suffirent à combler tous mes
désirs. J'avais vraiment de la chance. Le volet était fermé
mais, dans la pénombre, l'éclairage était malgré
tout suffisant pour me permettre d'observer le duo en pleine action. Comme je
le soupçonnais, Éric était assis sur le bord du lit et
ma sur était occupée à lui tailler une pipe, agenouillée
entre ses jambes. Dans leur position, ils ne pouvaient pas me voir. Je devinais
les doigts de Claire qui couraient sur la bite noueuse mais je voyais plus distinctement
l'action de ses lèvres sur le gros bout de son copain.
La situation commençait à m'exciter vraiment. Malgré moi,
ma queue se tendait dans mon short. Je laissai glisser mes doigts vers cette
partie particulièrement sensible de mon anatomie et, sans m'en rendre
compte, je commençai à me toucher. J'avais l'habitude de mater
des films de cul sur le web en me branlant mais jamais, même dans mes
fantasmes les plus fous, je n'aurais cru possible d'observer ma propre sur
en train de sucer, ici même, dans sa chambre, la bite d'un de ses petits
amis.
La suite me parut encore plus folle. Je vis Claire se relever et pousser Eric
sur le lit. A ce moment-là, je compris qu'elle était totalement
nue, tout comme lui. Cela faisait des années que je ne l'avais pas vue
ainsi, dans son plus simple appareil. Qu'est-ce qu'elle était excitante
!
Quand le mec fut allongé sur le pieu, elle l'enjamba de manière
à venir coller sa bouche sur la queue tout en lui offrant sa jeune moule
à bouffer. Ils entamèrent un soixante-neuf qui, vous l'imaginez,
ne me laissa pas indifférent. Mes caresses redoublèrent sur mon
pénis bien bandé. Je devais me mordre les lèvres pour ne
pas gémir. J'avais bien trop peur de me faire repérer et d'interrompre
un spectacle si chaud. Sur le lit, les deux amants s'agitaient. Ils n'avaient
pas mes inquiétudes, persuadés qu'ils étaient d'être
seuls dans la maison.
Malgré le fait qu'elle avait la bouche bien remplie Claire laissait
échapper de petits cris qui trahissaient son plaisir. Apparemment, son
mec était doué pour la lèche et savait bien s'occuper de
son trou de femme. Bien sûr, de mon poste d'observation, je ne pouvais
pas voir en détail l'action du gars mais la manière dont ma sur
se trémoussait sur sa bouche ne laissait guère planer de doutes.
Il devait lui sucer le clito avec dextérité. Il faut dire que,
de son côté, Claire n'était pas inactive. Je voyais un peu
mieux les manipulations buccales qu'elle prodiguait à son mec et il me
semblait qu'elle était très performante. Sur le lit, la bête
à deux dos s'agitait de plus en plus. La chambre résonnait des
gémissements du couple et je me branlais maintenant comme un fou. Je
n'étais pourtant pas au bout de mes surprises.
Après quelques minutes de ce plaisir partagé, Claire changea
à nouveau de position et s'adressa à Eric dans des termes crus
qui choquèrent un peu mes oreilles chastes, surtout venant de ma grande
sur tant idéalisée. J'aurai pourtant du me douter qu'elle
n'en resterait pas là après ce que je venais de voir. Il n'empêche,
l'entendre supplier son copain de lui mettre " un coup de queue dans la
chatte " me troubla plus que de raison. Je poussai encore un peu plus la
tête dans la chambre, pour ne pas perdre une miette d'un spectacle qui
s'annonçait alléchant.
Claire s'allongea sur son petit lit, les pieds à plat et les genoux
bien relevés. Je la vis se saisir de son oreiller et le placer sous ses
fesses, de manière à bien offrir son trou gourmand aux assauts
de son amant. Celui-ci, sans se faire prier, vint se caler entre les cuisses
ouvertes de ma sur. Quand elle poussa un léger râle, je compris
qu'il venait de lui fourrer son gros manche dans le ventre. Il s'activa immédiatement,
faisant couiner les lames du sommier, peu habitué à de tels débordements,
plus coutumier des tranquilles branlettes solitaires de Claire.
Les deux obsédés se lâchaient maintenant complètement.
Toute la maison résonnait de leurs cris. Si je n'avais pas été
aussi excité moi-même, j'aurais presque eu honte de leur manque
de dignité. Mais là, devant un spectacle aussi torride, j'avais
bien du mal à garder mes esprits. Moi-même, je laissai passer quelques
gémissements annonciateurs du plaisir, largement couverts, heureusement,
par ceux du couple de lycéens.
Dans le clair-obscur de la chambre, je vis Claire se détacher de son
amant. Oh, pas très longtemps, juste le temps de lui présenter
son cul, à quatre pattes sur le matelas et de lui intimer l'ordre de
la " prendre par derrière, comme une chienne ". Je devinai
la longue tige du gars qui s'enfonçait dans la vulve bien ouverte de
ma sur. Je l'apercevais qui coulissait entre les cuisses tendues. J'entendais
battre le ventre du gars sur les fesses rebondies de Claire à chaque
coup de boutoir. Elle avait posé sa tête sur l'oreiller et le mordait
pour retenir sa jouissance. A chaque nouvelle poussée de la bite qui
la fourrait, elle tortillait son cul avec indécence, comme pour être
mieux remplie. Les mains d'Éric, posées sur ses globes l'aidaient
à accompagner le labour du pieu de chair. Un coup de queue plus violent,
plus profond que les autres eut raison des dernières barrières
qui retenaient son plaisir. Je la vis s'effondrer sur son lit de jeune fille,
poussant un cri qui n'avait plus grand chose d'humain. Eric s'affala sur son
dos. J'ai juste eu le temps de les voir basculer sur le côté, emboîtés
l'un dans l'autre avant de laisser gicler moi aussi tout le foutre contenu dans
mes couilles trop pleines et de fermer précipitamment la porte de la
chambre.
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