Je m'appelle Laurence et je vis seule dans un petit studio à Paris. Ma vie
tourne entre mon travail et ma petite vie de provinciale perdue dans une
grande ville. Je mesure 1m62 pour 56kg ce qui me rend assez jolie d'après
des critères tant masculins que féminins. Je trouve ma poitrine belle avec
un galbe bien rond et une profondeur « D » qui me donne avec le 95 de tour
de poitrine de très beaux atouts. Je vis seule et je suis seule dans la vie.
Je n'ai que 24 ans et j'ai du mal à me situer auprès des filles et des
garçons qui m'entourent. J'ai eu quelques expériences avec des garçons mais
je n'ai jamais été pleinement heureuse dans ce genre de relation. Quand aux
autres filles qui m'entourent, je ne suis pas pour ainsi dire attirée. J'ai
une vie rangée seule mais je fais des sorties avec mes amis et jusqu'à
quelques mois, cela ce passait bien.
Ma vie sexuelle, puisqu'il est question de cela, est solitaire et je me
laisse aller assez souvent à une masturbation, souvent avant de m'endormir
car cela me donne une satisfaction et me retire tout le stress de ma
journée. Ensuite, je dort comme un bébé avec des restes de frissons et de
chaleurs qui me parcoeurs le corps.
Un soir de décembre, j'étais assise dans le noir de mon appartement en
écoutant de la musique en sourdine et en entendant tous les bruits de mon
appartement. J'entendais les voisins qui s'engueulaient encore, le bébé du
quatrième qui faisait ses vocalises et de temps en temps, l'ascenseur qui se
mettait en marche. Par la fenêtre, je voyais quelques fenêtres allumées car
mon appartement donne sur une petite coeur intérieure et je vois chez au
moins cinq voisins. Une petite lumière s'allume et je reconnais
l'appartement de ma voisine de palier. Je la vois jeter son manteau sur une
chaise et tirer les rideaux. Dans ma chance, ce soir là, le rideau qui
donnait vers ma fenêtre se ferma mal et l'angle de nos fenêtres me donnait
libre accès chez elle.
Je fixais l'ouverture du rideau et je la voyait passer de temps en temps
devant l'ouverture. Elle retira le manteau de la chaise et après une assez
longue absence de mouvement, elle repassa avec sur elle une chemise de nuit
qui brillait légèrement dans la lumière de l'éclairage de son appartement.
Le changeait mon CD pour entamer du COLD PLAY quand je vis une autre fille
passer devant la fenêtre. J'ai eu du mal à croire ce que je voyais car la
fille que je venais de voir passer ressemblait à ma chef de service et elle
était nue. Je m'approchais de la fenêtre et me tordis le cou pour essayer de
voir ce qui se passait chez la voisine mais je ne voyais rien du tout et
cela me frustrait affreusement. Après un long moment, je vis la voisine,
toujours avec son déshabillé prendre sa chaise et s'asseoir dessus juste
face à la fenêtre. Elle écarta le tissus de son déshabillé et écarta ses
jambes. Elle tourna la tête vers l'endroit où devait se trouver l'autre nana
et parla. Je regardais la voisine nue avec ses petits seins et sa touffe
offerte. L'autre nana arriva et lui parla. Elle se déplaça doucement et je
pus regarder avec plus d'attention. C'était fou comme elle ressemblait à ma
responsable, la même coupe de cheveux, la même taille et. je regardais
comment elle était foutue et elle était superbe. De profil, elle n'avait pas
de ventre et ses seins étaient magnifiques. Elle fit un tour complet comme
si elle montrait son corps lors d'un essayage. Je regardais cette nana et
j'étais de plus en plus persuadée que c'était ma chef. Elles m'excitaient
ces gouinasses et quand la grande brune (celle qui ressemblait à ma chef)
s'agenouilla devant ma voisine pour enfouir sa tête entre ses cuisses, j'eu
une énorme envie d'être à la place de ma voisine. Je glissais ma main dans
mon pyjama et commença à me titiller le clito qui était déjà chaud et
humide. Tout en regardant ma voisine se convulser aux caresses bucales de sa
copine, j'obtenais un magnifique orgasme en gardant intérieur autant que
possible mes cris et mes gémissements. La copine se releva et les deux
filles s'embrassèrent. En se relevant, la voisine tira mieux le rideau et
cacha toute la vue. Je ne pouvais qu'imaginer ce qui allait suivre. J'étais
complètement frustrée. J'avais envie d'aller taper chez la voisine et lui
demander d'ouvrir le rideau. Encore mieux, je demanderais d'entrer et de
rester pour les voir. Quand à faire, je pourrais aussi demander à ce
qu'elles me broutent le minou. Je n'osais rien faire bien sûr mais j'eu du
mal à aller me coucher. Vers 23h30, des bruits sur le palier me fit bondir
et j'allais sur la pointe des pieds vers la porte d'entrer pour regarder par
le judas. Je voyais la visiteuse de dos parler à voix basse à ma voisine.
Quand elle se retourna, je vis ma chef de service dans le même manteau
qu'elle avait dans la journée venir devant ma porte et passer devant pour
prendre l'escalier. Je n'en revenait pas que cette nana pouvait être une
lesbienne. J'avais déjà fait une soirée avec elle et d'autres collègues et
jamais elle n'avait laisser montrer ses tendances. Je passais une très
mauvaise nuit et je lendemain fut dur pour le réveil et le trajet vers le
boulot.
En arrivant au travail, je regardais ma chef de service avec un autre
regard. Je ne pouvais pas m'empêcher de la revoir nue entrain de bouffer la
chatte de ma voisine. Elle devait sentir mon regard lourd sur elle car elle
me demanda si j'allais bien. Je lui répondit que j'avais eu une nuit un peu
dure. Elle me répondit avec son plus beau sourire qu'il fallait dormir. Elle
ne manquait pas d'air ! Si seulement je pouvais lui dire ce qui m'avait
empêcher de dormir, elle serait verte !
Pendant deux semaines, je passais des nuits agitées à me masturber en
pensant à la voisine et surtout à ma chef. A chaque bruit sur le palier, je
regardais si je revoyais ma chef mais ce n'était jamais elle. La voisine
avait sa petite vie solitaire comme moi et son rideau restait bien fermé.
Deux semaines de torture avec le ventre noué et brûlant de désirs sexuels.
Mes nuits étaient hantées par ma voisine nue, par ma chef nue et par toutes
les caresses que j'imaginais. Chaque film, chaque publicité ou chaque
magazine avec des nanas un peu déshabillées ou complètement à poil
m'excitaient car je voyais ma chef ou ma voisine à leurs place. Après une
réunion de service, je dus aller aux toilettes pour me masturber tellement
j'avais une pression entre mes jambes après avoir vu ma chef dans un petit
tailleur avec son cache-coeur pendant 2 heures. Je n'en pouvais plus et un
soir, je décidais d'aller voir ma voisine pour faire connaissance. C'était
le 5 janvier.
Ce soir là, j'avais pris un Laroxil pour me calmer et je m'étais faite
belle comme pour mon premier bal. Vers 19h30, j'entendis ma voisine rentrer
chez elle et je regardais en douce par la fenêtre voir si elle était seule.
J'attendais une heure propice pour aller la voir. J'étais impatiente et
peureuse. Je me faisais des films effrayants et d'autres beaucoup plus
glamours. Vers 20h30, n'y tenant plus, j'enfile ma robe de chambre qui me
descend jusqu'aux chevilles et je me faufile sur le palier. J'avais prévu de
demander deux oeufs pour pouvoir faire un gâteau. C'était une question
anodine et toute simple qui devait me donner le moyen de faire connaissance.
Je ne connaissais ma voisine que par un ou deux croisements dans le couloir
depuis mon emménagement et ce que j'en voyais de ma fenêtre. J'allais
peut-être trouver une furie et me faire jeter comme une malpropre. Je
sortais doucement sur le palier et respirais un bon coup pour me donner du
coeurage. J'appuyais sur la sonnette et fus très surprise par le bruit
tonitruant que cela produisit. J'étais sûr que tout l'immeuble allait sortir
voir ce qui ce passait. Non ! A part moi, personne ne bougea. J'entendais
les pas de ma voisine avancer vers la porte et je vis un mouvement dans le
judas. Je fis un petit sourire qui dû être la plus mauvaise grimace forcée
de ma vie. J'entendis les verrous et la porte s'ouvrit donnant de la lumière
sur le palier. La voisine passa son buste par la porte et demanda : «
Oui.c'est pour quoi ? ». Je me présentais en bafouillant un peu : « Bonsoir,
je suis votre voisine et je vous prie de m'excuser pour le dérangement.
Euhh. je faisais un gâteau et il me manque deux oeufs. Est-ce que vous
pourriez m'en passer s'il vous plait.je vous les rendrai bien sûr. ». La
voisine me regarda droit dans les yeux et je me sentis rougir comme une
belle tomate. Son regard reflétait une espèce de curiosité, puis doucement
il s'illumina d'un doux sourire. Elle regarda derrière moi et indiqua ma
porte : « Vous êtes ma voisine d'ici ? ». Je me retournais pour regarder ma
porte close et lui fit signe oui avec la tête. Elle ouvrit grand sa porte et
me dit « Entrez, je vais voir ce que j'ai dans ma réserve. ». J'entrais en
me glissant entre son mur de couloir et elle. Ma robe de chambre glissa
doucement et elle pu remarquer mon caracco et mon boxer satin en dessous.
Nos corps se touchèrent presque au vu de l'étroitesse du couloir. Elle
portait un pyjacoeurt avec un gros chaton sur le devant qui semlblait faire
un câlin sur sa poitrine. J'entrais dans son studio quand j'entendis la
porte se refermer derrière moi. Ma voisine me dit : « Si je trouve des oeufs,
vous les garderez, ce ne sera pas la peine de me les rendre. En plus, ils
seront sûrement cassés ». Je me retournais sans comprendre sa remarque et je
la voyais rayonnante. Je lui demandais : « Pardon ? ». Elle répondit
aussitôt : « Rien.rien.c'est un jeu de mot très bête. Vous n'avez pas peur de
sortir habillée comme ça dans cette immeuble à cette heure ? ». Je lui dit
que je savais chez qui j'allais. Elle me répondit qu'elle ne savait même pas
qui habitait à côté d'elle mais qu'elle était agréablement surprise. Elle me
demanda : « Et ce gâteau.il est pour qui ? » tout en ouvrant son frigo pour
ouvrir une boite d'oeufs. J'avais tellement les pensées chamboulées que je
répondis « Pour ma chef ! ». Elle continua à prendre les oeufs sans s'arrêter
à ma réponse. Je la voyais bouger et je trouvais qu'elle avait une certaine
grâce. Elle se redressa pour poser les oeufs sur la table. Elle me dit : «
Pour votre chef, c'est son anniversaire ? ». Mince, je devais trouver une
réponse sans me confondre dans les explications. Je sentais le rouge me
revenir aux joues et ma réponse fut comme un aveu de mon trouble : « Non,
c'est juste parce que je l'aime bien ». La seule réponse de ma voisine fut
un « OK, cool ». Elle me tendit les oeufs. En tendant les bras pour les
prendre, mon peignoir s'ouvrit et je vis ma voisine me scruter. Elle
s'avança et attrapa les ficelles du peignoir. J'avais les oeufs à la main et
je la laissais faire. Elle me dit tout en mettant mon peignoir en place et
en le fixant : « Il ne faudrait pas qu'un sale gars vous vois comme ça sinon
c'est le viol assuré ». Je la remerciais toujours avec le feu aux joues.
Elle me raccompagna à la porte et me regarda allez jusqu'à ma porte. En
entrant chez moi, je me retournais et la vis toujours à me regarder. Je lui
dis « merci » et elle me répondit « J'aime bien les gâteaux aussi. On
pourrait faire connaissance un de ces quatre. ». Je lui dis « avec plaisir,
ce serait cool ». Ne pouvant plus tenir, je me retournais et entrais chez
moi en entendant vaguement ma voisine dire à son tour « cool ». Nos portes
se fermèrent et je pus respirer à grand souffle. J'allais déposer les oeufs
sur la table de la cuisine et ne pu m'empêcher de regarder par la fenêtre.
Mon coeur fit un bond quand je vis ma voisine regarder aussi vers moi. Je lui
fit un petit coucou qu'elle me rendit. J'allais vite me réfugier dans ma
petite cuisine plus pour me cacher que pour autre chose. Après avoir bu un
grand verre d'eau, je décidais de faire un gâteau pour me passer les
émotions. Ce soir là, le gâteau rempli la pièce d'une bonne odeur et je me
masturbais avec ferveur en inondant mon boxer et mes draps de ma mouillure.
Les jours qui suivirent ne furent pas mieux pour ma santé mentale car je
fantasmais sur ma chef et sur ma voisine. Je m'efforçais à faire des
activités annexes pour m'occuper la tête mais chaque jour, au travail, quand
je voyais ma chef de service passer et bouger avec son allure sérieuse, je
ne pouvais m'empêcher de la revoir nue entre les cuisses de ma voisine.
Quand à ma charmante voisine, je n'ai pas eu l'occasion de la croiser dans
l'immeuble. Cela dura durant 2 semaines. Pendant ces deux semaines, j'avais
envie de revenir chez ma voisine mais après le coup des oeufs, je me voyais
mal revenir pour de la farine, du pain ou tout autre excuse bidon. Un soir,
je fus surprise d'entendre la sonnette de ma porte vers 21h00. J'étais
habillée en cool avec un caleçon et une chemise car dans l'appartement, on
avais plus chaud l'hiver que l'été, le grand paradoxe des vieux appartements
Parisiens. En regardant dans le judas, je vis ma voisine sur le palier. Mon
coeur s'arrêta un coeurs instant avant de partir à tout allure. J'ouvrais sans
hésiter la porte et ne pus retenir un grand sourire bêta tellement j'étais
heureuse de la revoir. Mon corps entier voulait montrer le plaisir de la
revoir et je sentis mes seins se gonfler et mes pointes se contracter. Ma
voisine me fit un grand sourire en me disant doucement : « Bonsoir, je n'te
dérange pas ? ». Je ne fis pas attention au fait qu'elle me tutoyait et je
répondis naturellement « non, que ce passe t-il ? ». Elle paru gênée et me
demanda si elle pouvait entrer. Je lui fis la place et elle entra dans mon
petit studio. Je fermais la porte et me retournais vers ma visiteuse. Ma
voisine se retourna et me dit « Je m'appelle Sybille. Je n'y connais rien en
cuisine. euhhh.j'ai sentis la dernière fois ton gâteau et il sentait très
bon. ». Je ne voyais pas où elle voulait en venir mais j'étais contente
qu'elle soit là. En plus, c'était grâce à un gâteau et non par un artifice
quelconque. Je la remerciais de ses félicitations et lui dit que je
m'appelais Laurence. Elle continuait à sourire gentiment et je vis son
regard me scruter des pieds à la tête. Je la trouvais sans gêne de me mater
comme ça mais la scène était agréable à vivre. Elle reprit « C'est ça le 'L'
sur la boite aux lettres. Je reçois une copine samedi prochain et je me
disais que l'on pourrais faire connaissance si tu es libre.et si tu peux
apporter un gâteau.ce serait cool ». Je la regardais avec plus d'attention
et elle m'attendrissait avec sa manière sûr d'elle mais si penaude dans sa
démarche. Elle était habillée simplement avec une jupe longue saharienne
fendue jusqu'aux genoux et un top froissé couleur crème. Samedi, j'avais
prévu de faire du shopping et une toile pour un film chinois en VO. Je lui
répondis sans hésiter : « Oui, bien sûr, cela me ferait très plaisir de
faire une soirée avec de nouvelles têtes ». A ces mots, Sybille paru
vraiment soulagée et son plaisir visible me procura une douce chaleur qui
commençait à remonter de mon ventre vers mon visage. Elle me dit « Super.à
19h00 si tu peux.OK ? » et elle avança vers moi pour ressortir. J'étais
devenu encore une fois une vraie pivoine avec le feu aux joues. Je sentais
tout mon corps en émoi et son approche me faisait fondre. Je restais
immobile et elle s'arrêta à quelques centimètres. Je sentais son odeur
parfumée et je voyais son visage ovale avec ses cheveux blonds l'entourer.
Mes seins étaient toujours pointés vers elle et ma respiration était courte.
Son regard se pencha vers ma poitrine et elle me dit « Tu va attraper un
rhume habillée comme ça ! » La douceur de sa voix retentissait comme une
musique et doucement je regardais en bas mon décolleté. Tellement sur mon
nuage, j'avais oublié de remettre mes boutons de chemise et seulement les
deux boutons du bas étaient accrochés. La chemise s'ouvrait généreusement
sur mon entre sein avec mes deux mamelles gonflées qui montraient leurs
rondeurs. Mes mamellons étaient cachés juste par la boutonnière. Bien que
mon impudeur me surprenait, j'étais contente qu'elle ait pu voir mes seins.
En plus ils étaient plus beaux que ceux de ma chef et si elle aimait les
jolie poitrine, elle n'avait qu'a se servir. Toujours aussi rouge,
j'haussais les épaules en continuant de regarder mon décolleté provocant en
disant : « Oh, je suis seule et je ne vois pas qui cela pourrait déranger
! ». Sybille avança sa main vers moi et attrapa le bord de la boutonnière
d'un pan de chemise sous le sein. Sans toucher ma peau, elle tira le tissu
et alla rejoindre l'autre pan de chemise pour fermer le décolleté. Mes seins
bougèrent doucement et le tissu glissa sur mes pointes. Elle me répondit «
Voilà, c'est mieux comme ça ». Je regardais sa main à quelques centimètre de
ma poitrine et j'avais un fol espoir qu'elle glisse et attrape mes lolos
gonflés. A travers le tissu, je voyais mes tétons faire un beau relief.
Sybille me dit doucement : « Allez, à Samedi, je dois me coucher tôt. je
commence de bonne heure demain. ». Je mis ma main sur l'emplacement de la
sienne qu'elle retira juste avant que nos mains se touchent. Dans un
semi-coma, je la vit quitter mon appartement et entrer chez elle avec juste
un petit « au revoir » et un geste de la main. Le claquement de sa porte me
fit mal et je me réfugiais dans mon tout petit studio qui semblait être sec
et noir. Ce soir là, j'étais complètement déstabilisée entre des attirances
que je ne croyaient pas possible pour moi, des rêves et des fantasmes avec
cette fille et une certaine impatience des évènements futurs. Comment
était-ce possible ? Je suis tombé amoureuse d'une autre femme. Ce n'était pas
possible.J'avais eu des garçons dans ma vie, j'avais fait l'amour avec des
garçons qui m'avaient donné du plaisir et je pensais que j'allais trouver le
bon garçon un jour ou l'autre. Je m'étonnais de moi. Comment avais-je osé
montrer mes seins si ouvertement à cette fille ? Comment avais-je osé lui
faire la coeur ? Durant un coeurt instant, j'avais espéré, hurlé dans mon fort
intérieur qu'elle fasse un geste vers moi, qu'elle me caresse, qu'elle
m'embrasse, qu'elle me touche aux endroits intimes. La nuit fût pour le
moins agitée et le lendemain, j'avais les yeux rougis par le manque de
sommeil et un gros chagrin qui m'avait pris en pleine nuit. Ma chef le vit
de suite et me convoqua dans son bureau. Elle était belle avec ses cheveux
en chignon et un tailleur de qualité. Elle me demanda si j'allais bien
depuis quelques temps. Elle avait remarqué que je n'avais pas la grande
forme. Je lui dis que ça allait passer mais que cela ne venait pas du
travail. Elle sourit et se radoucit en me disant qu'elle m'appréciait et que
cela lui aurait fait de la peine si je quittais la boite. Ces paroles me
firent plaisir mais ne retiraient rien à ma fatigue. Je voyais ma chef
réfléchir pour m'annoncer une grande nouvelle. Elle finit par démarrer une
phrase : « Pouvez-vous être discrète ?.Je veux dire que je vous vois
travailler et . humm ! Bon. voilà. Je viens d'avoir 29 ans et ce week-end,
j'ai une copine qui m'invite pour mon anniversaire. Je vois que vous avez
des problèmes et j'avais envie de vous inviter à cette petite soirée. Quand
pensez-vous ? ». Je la regardais avec des yeux ronds comme des galettes et
j'étais en train de faire le tri dans la phrase que je venais d'entendre.
Après un long moment de silence, je demandais « Moi ! mais.pourquoi ? ». Je
vis de suite que ma question mettait dans l'embarras ma chef de service et
elle dit « Oh ! excusez-moi.c'est une invitation qui n'entre pas dans le
cadre du boulot. c'est pour cela que je vous demandais si vous pouviez être
discrète car je ne veux pas que cela s'ébruite pour venir faire des jalousie
dans le service. Allez, oublions cela.c'était une idée bête. ». Je l'a coupa
en lui disant « Non, non, c'est gentil. mais je suis surprise parce que nous
ne nous connaissons pas plus que dans le travail et vous devez avoir plein
d'amis alors je me demandais pourquoi moi. Mais.je serais heureuse sinon. et
puis.mon boulot me plait et je n'ai aucune raison de faire des histoires
pour évoluer dans ma carrière. » Ma chef sourit et avais l'air soulagée. «
Bon.si vous êtes d'accord, ce serait samedi soir. et c'est vraiment une
petite soirée cool entre nanas et ensuite, si on veut, on peut finir en
boite ». Je fis oui de la tête mais je repensais à ma soirée avec Sybille.
Je me pinçais les lèvres en disant « Mince, Samedi soir, je suis déjà
invitée. flute, je suis vraiment désolée .mais si vous voulez, on peut trouver
une autre date. cela me ferait vraiment plaisir ». Ma chef paru vraiment
désolée et son visage perdit un peu de la joie de vivre qu'elle montrait
quotidiennement. Elle réfléchit rapidement et me dit « Tan pis, mais si une
autre occasion se présente, je n'hésiterais pas. Vous vivez seule je crois
? ». Je fis oui de la tête et j'ajoutais « Libre dans tous les sens ». Sur
ces mots, je me demandais pourquoi j'avais sortie cette phrase mais ma chef
ne paru pas se formaliser. Elle se leva et me dit doucement : « Allez
Laurence, prenez le temps de dormir et soyez en forme pour ce week-end. Ne
vous inquiétez pas, nous trouverons une autre occasion pour faire
connaissance. Vous êtes très gentille et je vous apprécie beaucoup ». La
journée traina doucement mais je voyais ma chef me lancer des petits
regards réguliers du fond de son bureau. Jeudi arriva et Vendredi me paru
interminable.
Samedi passa tranquillement entre le ménage, la confection de deux beaux
et odorants gâteaux et un shopping fringues pour me faire belle à la soirée.
J'étais sur un petit nuage durant toute la journée et mon appréhension de la
soirée allait en augmentant. A 17h00, j'arrivais chez moi pour me préparer
et me faire belle. J'avais acheté des dessous chez Darjeling et un ensemble
tout mignon chez Cache-cache. Une bonne douche, une épilation et un maillot,
le tout suivi d'un maquillage léger avec un brushing. Quand j'eu terminé de
me préparer, il était déjà 18h20. J'étais impatiente d'aller chez Sybille
mais je ne voulais pas arriver trop tôt. J'allais passer une soirée avec
deux nanas qui, je l'espérais, allaient devenir de nouvelles copines pour
des sorties. Quand à Sybille, je m'efforçais de me calmer sur elle et de
retrouver un style de penser plus classique. Il en étais de même pour ma
chef de service avec qui je ne voulais pas aller trop loin. Il devenais
urgent que je me trouve un gentil garçon pour qu'il prenne soin de moi et
avec qui je pourrai avoir des enfants et une vie rangée et 'normale'.
18h45.impossible.le temps avait décidé de ralentir. Je rangeais mes affaires
en me regardant à chaque fois devant le miroir pour vérifier que ma tenue
était bien. J'avais réussi mon maquillage et mon nouvelle ensemble m'allait
parfaitement. Une jupe portefeuille à mi-mollet avec un superbe chemisier à
frange avec des bras amples. Une lavalière fermait le décolleté pour que
Sybille ne dise pas que mes seins sont trop voyant. Pour mes dessous,
j'avais acheté une colutte brésilienne avec une large échancrure et un
soutif a balconnet avec un mélange de tulle et de dentelles sur des motifs
fleuris. 18h55. Je décidais d'y aller. Je pris ma boite avec les deux
gâteaux et mis mon manteau pour le cas où on sortirait dans la soirée.
19h01, je sonnais chez Sybille qui cria « J'arrive » avant de coeurir vers la
porte et l'ouvrir en grand. Elle était superbe et j'en restait sans voix.
Elle sourit de me voir bloquée sur le pas de la porte et finis par me dire
« Bonjour, j'avais commandé une voisine et on me livre une statue. y-a-t-il
une erreur de livraison ? ». Je souriais en secouant la tête pour faire mine
de me réveiller et je lui dis « Salut, vous êtes superbe.euh tu es
superbe ». Elle me fit entrer en me disant : « Pas de chichi, ce soir, c'est
le 'tu' d'office, on ne va pas commencer par des politesses sinon la soirée
va être chiante. ». Elle me pris les gâteau des mains et alla dans sa petite
cuisine les poser. Je la regardais s'éloigner et voyais ses hanches bien
rondes dans un pantalon droit avec une liquette blanche et noire. Ses
cheveux étaient coiffés sur une épaule et donnaient à son visage un éclat
splendide. Son maquillage lui faisait ressortir ses yeux verts avec une
luminosité que je n'avais pas vue les fois précédentes. Elle revint vers moi
et me débarrassa de mon manteau. Elle m'emmena dans un petit couloir qui
donnait sur une petite chambre dans laquelle trônait un lit et une étagère
bricolée avec une penderie. Elle jeta mon manteau sur un coin de l'étagère
libre et me dit « Voilà le seul coin que tu n'a pas vue puisque le reste est
comme chez toi. Je vie dans le luxe, j'ai une chambre particulière ». Elle
sourit et je lui répondis « C'est vrai qu'une chambre me manque chez moi.
Quand je fais la cuisine, tout sent la bouffe ». Elle passa à côté de moi
dans le petit couloir et nos corps se touchèrent doucement dans un
frottements de tissus. Elle s'arrêta face à moi et regarda ma poitrine avec
la lavalière. Sa poitrine touchait presque la mienne et elle me dit « Je
vois que tu as rangé tes affaires.c'est bien mieux » et elle pouffa de rire
en allant vers le salon. Je hochais la tête en la suivant et je me sentais
bien en présence de cette nana. Elle me proposa un verre tranquillement en
attendant Carole, son autre copine qui travaillait comme une dingue la
semaine et qui n'avait pas beaucoup de temps le samedi pour faire ses
courses et son ménage. On pris toutes les deux un porto et on fis
connaissance. La musique de la radio faisait une ambiance cool et j'appris
qu'elle venait de Lyon et qu'elle était sur Paris depuis trois ans. Je lui
dis que j'étais sur Paris depuis deux ans et que j'étais seule depuis tout
ce temps. A 19h25, Sybille se rendis compte qu'elle avait oublier de
préparer les amuses gueules et elle se leva pour les faire à la cuisine. Je
l'accompagnais et nous nous retrouvions toutes les deux côte à côte à coupé
les toast et mettre les ingrédients dessus. Je me sentais vraiment bien et
sa présence à mes côtés me rendais plus sereine. Nous travaillions comme
deux grandes copines tout en rigolant sur des sujets très divers. La
sonnette retentis et Sybille me laissa travailler pour aller ouvrir à sa
copine. J'esperais que cette nana n'allait pas foutre en l'air la bonne
entente qui se mettait en place entre Sybille et moi. J'entendais les voix
dans l'entrée et je m'essuyais les mains pour aller saluer cette nouvelle
venue. En plus, j'avais fait deux gâteau pour l'anniversaire de cette nana
et j'avais espoir qu'elle les apprécierai. J'entrais dans le salon mais
Sybille et sa copine étais dans la chambre en papotant toujours en sourdine.
J'attendais que Sybille revienne pour me présenter sa copine et je ne savais
pas comment me mettre. Assise. Debout. Finalement, je commençais à regarder
les livres sur une étagère pour patienter. Sybille apparu dans le salon et
mon visage se figea d'un coup. Je me trouvais devant ma chef qui était comme
moi, figée. Sybille ne remarqua pas l'arrêt de sa copine et dit le plus
tranquillement du monde « Laurence, je te présente Carole, une très bonne
copine ». J'avala ma salive avec quelques difficultés en disant « Bonjour
Carole ». Ma chef. Carole eu son visage qui repris doucement des couleurs et
finit d'un coup à éclater de rire. Sybille ne comprenait pas pourquoi Carole
riait à en avoir mal au ventre. Je dis à Sybille pendant que Carole riait
toujours autant, incapable de s'arrêter : « Ne t'inquiète pas, il n'y a rien
de grave, c'est juste ma responsable de service ». Sur ces mots, c'est
Sybille qui subit un arrêt momentané du rythme cardiaque. Sybille ne pu
s'empêcher de dire un « mmeerrrddee.j'suis désolé.j'savais pas ». Je
commençais à rire tellement la situation était cocasse. De plus, le rire de
Carole était communicatif et la voir sans son rôle de chef complètement
détendue me faisait tout drôle. Carole repris son souffle et avança vers moi
pour me faire la bise en me disant à la limite du fou-rire «
Enchantée.pfttt ».
L'apéro continua dans des explications pour que Sybille se sentent
rassurée sur la situation. Carole me dit qu'elle était ravie de me voir en
si bonne forme alors que trois jours avant, je semblais tellement fatiguée.
Sybille me dit que si j'avais des problèmes, je pouvais venir chez elle.
D'un seul coup, je me sentais encadrée par deux bonnes copines. Je dis à
Carole que je tiendrai ma parole sur la discrétion et elle me dit qu'elle me
faisait confiance. Nous continuâmes la soirée et l'apéritif dînatoire
continua toujours dans la bonne ambiance. L'alcool aidant, nous commencions
à dire des bêtises plus grosses que nous. Carole commença à divaguer sur les
filles du bureau et son chef, un gros lard puant de vantardise et de
machisme. Sybille lui demanda si les nanas étaient sympas parce qu'elle
savait que les nanas entre elles, c'étaient comme des furies. Carole dit
qu'elle aimait travailler avec les nanas mais qu'elle avait une préférence
pour une nana de son équipe. Sybille se tourna vers moi et dit : «
Ahhh.allez, tu en as trop dit.c'est qui ? ». Je me tournais vers Carole tout
aussi intéressée en disant : « C'est qui ? ». Et Carole me regarda droit
dans les yeux en me disant : « C'est toi ! ». Sybille éclata de rire en
voyant mon visage rougir d'un coup. J e me sentais honorée d'être la favorite
de Carole mais je sentais que cette femme avait pour moi des sentiments un
peu plus fort que de l'amitié. Me voilà dans une situation très délicate car
j'étais attirée par ma voisine, relation que je refusais d'assouvir pour
rester dans la normalité. J'avais vue ma chef avec ma voisine se faire des
câlins. Ma chef avais sûrement des vues sur moi pour des relations intimes.
La situation était très scabreuse. Sybille me dit « Tu sais que Carole est
lesbienne et que tu peux la poursuivre pour harcèlement sexuel. J'haussais
les épaules en disant « J'vois pas pourquoi ! ». Carole fit les gros yeux et
dit à Sybille « Dis pas n'importe quoi. Je sais me tenir ». Je demandais à
Sybille si elle était lesbienne aussi. Sybille eu l'air gênée et me répondit
après avoir bu le reste de son verre de porto : « Je n'ai pas envie de
répondre à cette question si cela te gêne. J'ai l'impression d'avoir trouvé
une bonne copine alors je ne vais pas tout foutre en l'air pour une question
de style de vie. Pour te donner une réponse.j'ai eu des garçons et j'ai eu
des aventures avec des filles aussi ». Je réfléchissais à toute vitesse et
je pris une décision qui allait engendrer les plus grand changements dans ma
vie. Je pris la parole « J'ai toujours été avec des garçons et jamais je
n'ai penser à une relation lesbienne. Jusqu'à mon arrivée sur Paris, j'avais
une pensée claire sur la chose. Depuis peu, je reconnais que mes idées
changent et je suis beaucoup plus ouvertes sur le sujet. » Carole et Sybille
m'écoutaient avec la plus grande attention. « Si Carole est lesbienne, je
trouve cela très bien pour elle car c'est une femme superbe et je suis
presque jalouse des femmes avec qui elle peut être. En plus, je pense qu'un
homme ne peut pas apprécier le corps d'une femme à sa juste valeur sans
devenir un rustre. Pour toi, Sybille, tu es superbe aussi et je suis sûr que
tu es une fleur bleue malgré ta façade dure. Si tu es lesbienne, c'est très
bien pour toi. Si je ne veux plus te voir parce que tu aimes les femmes, je
pense que c'est moi qui perdrais plus que toi.ai-je bien répondu à votre
attente ? ». Le silence qui suivit fut un peu lourd et je crus bon d'ajouter
: « Et pour moi, si vous voulez tous savoir, je crois être tombée amoureuse
de vous deux. Je ne sais pas comment cela est possible mais c'est comme ça.
Carole, si je vais mal depuis quelques temps, c'est parce que je refuse ces
sentiments qui m'arrivent et que je n'en dors plus. Voilà. Comme ça vous
savez tout et nous sommes bien avancées maintenant ! ». Carole prit aussitôt
la parole en disant « Je suis très contente que tu es pu dire tout ça.
Maintenant, j'espère que tu vas allez mieux ! ». Sybille s'essuya doucement
les yeux car elle avait les larmes prêtent à couler. Sybille renifla et
proposa de passer au dessert avec les bougies. Elle se leva pour aller à la
cuisine. Je me levais pour la rejoindre et sortir le premier gâteau de la
boite. Je demandais à Sybille : « Je t'ai fait de la peine ? ». Sybille
sourit en disant « non, t'inquiète pas. je suis super heureuse ce soir.tu ne
peux pas savoir ». Carole préparait la petite table en débarrassant les
divers assiettes. Je la regardais penchées sur la table pour ramasser les
affaires et je voyais son décolletés plongeant vers son soutif blanc et ses
seins volumineux. Je me retournais avant qu'elle s'aperçoive que je la
regardais. Mon ventre était un peu retourné et mes seins se dressèrent
doucement. Je sentais mes tétons pousser le tissu dans un combat perdu
d'avance. Sybille mis les bougies sur le gâteau et me demanda d'aller fermer
les rideaux et d'étendre la lumière. Sybille alluma les bougies et le noir
se fit dans la pièce. Sybille avança avec le gâteau et nous avions chanté la
petite chanson habituelle. Carole nous demanda de nous tenir les mains
pendant qu'elle soufflait ses bougies. Les flammes moururent doucement et
Carole nous tenait les mains fermement en disant : « Faites un voux
mesdames ». Nous étions dans le noir à par la petite lueur de la chaine
stéréo. J'aperçu une ombre s'approcher de moi et Carole me déposa un baiser
sur la joue, très près de mes lèvres. Un frisson me parcoeuru l'échine et une
chaleur douce m'envahie partout. J'entendis le même baiser vers Sybille.
Carole nous lâcha les mains et j'allais allumer la pièce. En venant
m'asseoir , le regard de Carole croisa le miens et je ne pu supporter ses
yeux amoureux. Je pouvais dire qu'elle était amoureuse à partir de sa
manière d'être avec moi. Elle était tendre, je ne reconnaissais plus du tout
ma chef de service. J'avais une nouvelle femme devant moi. Une femme
amoureuse qui cherchait le contact, le retour de sentiments, l'amour tout
simplement. Sybille distribua les parts de gâteau et se leva pour sortir une
petite boite pour l'offrir à Carole. Je me sentais toute conne de n'avoir
pas prévu un cadeau et pendant que Carole ouvrait le paquet, je cherchais ce
que je pourrais lui offrir. Je n'avais rien sur moi, pas une bague, pas de
cadeau de dernière seconde que je pourrais allez chercher chez moi.
Rien.rien à part moi ! Et si j'osais, je m'offrirais comme cadeau.
Complètement folle cette idée ! Je m'imaginais me levant, soulevant ma jupe
et montrant ma culotte en disant « bon anniversaire ». J'étais en plein
délire. Carole ouvrit son cadeau et sorti un ensemble de sous-vêtement. Elle
déplia les affaires et montra un string ficelle avec juste un tout petit
triangle de tissu décoré avec une colombe en broderie. Un soutif qui ne
devait pas tenir grand chose à part juste cacher les tétons pour celles qui
ont de tout petits tétons. Carole sorti aussi de la boite un tube en genre
de plastique. Cela fit rire aux éclats Carole et elle regarda Sybille en lui
demandant : « Où t'as trouvé ce truc ? ». Sybille avait le sourire accroché
aux lèvres et répondit : « Sur le net, on trouve de tout ! ». Carole se leva
et embrassa Sybille sur les lèvres sans faire attention à ma présence. Cela
me fit drôle de les voir s'embrasser et j'aurais voulu être entre les deux
pour pouvoir recevoir un baiser de la part des deux femmes à la fois.
Sybille dit à Carole : « Tu n'a plus qu'a nous faire un essayage ! ». Carole
pris les vêtements, hocha la tête et se leva en disant : « Mouais, pourquoi
pas ». Sybille rigolait pendant que Carole allait dans la salle de bain
pour se changer. Je regardais Sybille et lui dis « Je n'ai pas de cadeau, tu
crois qu'elle va m'en vouloir ? ». Sybille me dit « Mais non, t'inquiètes
pas pour ça. Carole est super cool.tu ne la connais comme moi je la
connais ». Carole revint dans la pièce avec un long peignoir et imita un
roulement de tambours. Elle ouvrit doucement le peignoir et je vis une femme
magnifique avec un tissu sur sa toison qui cachait qu'une toute petite
partie de son pubis. Un fin ruban de tissu couvrait chaque téton mais
laissait voir les seins gonflés. Aussitôt, mon ventre pris feu et j'avais
envie d'elle. Je sentais mon corps chauffer et se dilater. Carole fit tomber
le peignoir à terre et elle me regardait en disant « Alors mesdames, le vrai
dessert est servi ». N'y tenant plus, j'ouvrais mes cuisses et relevais ma
jupe pour découvrir ma culotte. Carole ne me quittait pas des yeux et je la
regardais fixement en disant « Bon anniversaire ». J'avais une position
obscène avec les cuisses écartées. Je me levais pour glisser ma jupe
derrière moi et pouvoir offrir à la vue de toutes ma culotte. Sybille se
pencha pour regarder entre mes cuisses et dit « Ouah, ça, c'est un vrai
dessert. Bon les filles, je crois que nous avons une petite toilette à faire
avant de passer dans la chambre. » Carole acquiesça et alla dans la chambre
en disant « Prête ». Sybille se leva et m'emmena dans la salle de bain pour
me montrer les produits. Elle me demanda si j'avais un test du SIDA. Je lui
dis qu'il datait de ma dernière relation, donc il y avait deux ans. Sybille
réfléchit et me dit : « Carole à toute confiance en toi et je crois que l'on
peut avoir confiance mais j'aimerais quand même que tu en refasses un
régulièrement ». Je lui répondit qu'elle pouvait me faire confiance. Elle me
dit alors : « Tu fais ta toilette et tu rejoins Carole habillée comme tu
veux ». Elle me laissa et retourna dans le salon pour ranger un peu pendant
que je faisais ma toilette intime. Je n'en revenais pas de ma conduite.
J'avais carrément ouvert mes cuisses. Jamais j'aurais cru cela possible
venant de moi. Je retirais ma culotte qui étais mouillée et je lavais
consciencieusement mon anatomie. Je gardais mes habits pour ne pas faire la
vicieuse mais je retirais la lavalière tout en retirant les deux premiers
boutons de mon chemisier pour offrir un beau décolleté. Je sortais de la
salle de bain et Sybille pris ma place. J'étais dans le couloir mais je
n'osais rejoindre Carole qui était jusqu'à hier ma chef de service. Ouah,
qu'est-ce qu'elle était belle. J'attendis un peu, puis j'entrais dans la
chambre. Carole était assise en tailleur sur le lit. Elle avait les seins
volumineux qui se tenaient difficilement par la petite ficelle sur les
tétons. La position en tailleur offrait à la vue sa toison presque complète.
Carole m'invita à venir m'asseoir près d'elle. Je montais sur le lit et
m'assis. Elle me sourit et me dit : « C'est le plus beau cadeau que l'on
m'ai jamais fait ». Elle se pencha et déposa un baiser sur mes lèvres.
Sybille arriva complètement nue. Je la regardais avec ses petits seins et sa
toison fine et blonde qui laissait voir le relief de son sexe. Elle monta
sur le lit et resta debout devant Carole et moi. Elle dit « Hep ! les
filles, j'ai l'impression que je ne fais pas le poids avec mes petits titi
face à vous deux. Je regardais Sybille debout devant nous et notre position
nous donnait tout loisir de voir son sexe avec la fente des lèvres
légèrement écartée. C'était la première fois que je voyais le sexe d'une
femme d'aussi près et je découvrais l'anatomie féminine dans toute sa
simplicité. Sybille me demanda « Maintenant, tu peux nous montrer tes seins.
Je crois savoir qu'ils sont très beaux. J'ai déjà eu l'occasion d'en voir
une partie ». Je défis doucement les trois derniers boutons de mon
chemisiers et le retirais. Mes seins réclamaient des caresses et la
contraction de mes tétons me faisait presque mal. Je dégrafais mon soutif et
Carole en fis autant. En peu de temps, nous étions trois filles nues sur le
même lit. Jamais je n'aurais imaginé me retrouver nue devant d'autres femme
en vue de faire l'amour. Sybille se mis à genoux et posa ses fesses sur ses
talons.J'avais mes mains entre mes cuisses pour cacher ma toison car je ne
me sentais pas très à l'aise. Ma respiration étais rapide et ma poitrine se
soulevait en rythme. Carole avança sa main sur les miennes. Elle me dit :
« Tu es très belle, tu sais ? » Je tournais la tête vers elle et elle me
souriait. Mon regard alla vers sa poitrine qui était toute ronde avec de
belles auréoles contractées et sombre. Elle avait une belle poitrine
légèrement plus grosse que la mienne avec des seins tout ronds retombant par
leur poids. Sa peau était lisse avec un grain de rousseur sur son sein
gauche à l'intérieur. Je sentis la main de Sybille me caresser la cuisse
doucement. Des frissons me parcoeuraient tout le corps. La main de Sybille
remontait doucement vers mes mains. Sybille se déplaça et avança vers moi.
Carole s'avança vers moi et me déposa un baiser sur les lèvres. Je ne
résistais pas et sans vraiment le vouloir, mes yeux se fermèrent et ma
bouche s'entrouvrit pour laisser entrer la langue chaude de Carole. La
pénétration de la langue de Carole dans ma bouche me fit comme un coup
électrique et tout mon corps se mit en marche pour le plaisir. La bouche de
Carole se colla à la mienne et j'ouvris ma bouche pour lui faire le plus
beau baiser que je puisse faire. Nos langues jouaient ensemble et mes main
prirent Carole par les épaules pour l'enlacer. Sybille glissa sa main entre
mes cuisses et posa sa main sur mon sexe ouvert. Le contact de sa main sur
mon sexe déjà gonflé d'excitation me fit perdre la tête. Mes gestes étaient
mal assurés et je sentis un orgasme venir du plus profond de mon être. La
langue de Carole m'étouffait presque tellement elle envahissait ma bouche.
Mon sexe trempé était pénétré par les doigts de Sybille pendant que je ne
pouvais réfreiner un long râle de plaisir. Mes hanches hochaient pour forcer
les caresses de Sybille contre l'intérieur de mon vagin. J'étais devenu
tellement sous pression que je ne pouvais plus m'arrêter. Sybille se pencha
et glissa sa tête entre mes jambes. Elle posa sa tête et regardait mon sexe
tout en titillant mon clito. A chaque pression sur mon bouton, je poussais
un gémissement qui semblait amuser Carole. Elle avait quitté ma bouche me
poussa en arrière pour m'allonger sur le lit. Sybille en profita pour
écarter mes jambes et elle commença à pointer sa langue sur mon clito, ce
qui me lança des petits picotements comme une petite décharge électrique
dans le bas ventre. Carole était penchée au dessus de moi et me caressait
les seins avec les siens. Ses seins avaient tout leurs volumes et ses tétons
dressés jouaient avec les miens. Je me laissais faire en poussant toujours m
es petits gémissements avec les caresses de Sybille. J'étais devenu un objet
de plaisir entre les mains expertes de ses deux femmes. Chaque contact était
précis et procurait un plaisir intense. Jamais un homme ne pourrait offrir
une telle quantité de plaisir. Je découvrais les possibilités énormes du
plaisir féminin. Les seins de Carole me parcoeuraient le corps et elle
descendait sur mon ventre et mes hanches. Je relevais la tête pour regarder
et je voyais la tête blonde de Sybille entre mes cuisses et les gros seins
de Carole frotter ma peau. Sybille laissa la place à Carole qui entrepris de
me caresser la vulve avec ses tétons. Sybille vint vers moi et me dit « Dis
donc ma chérie, tu es vraiment super bonne. J'adore les brunes et tu as
vraiment très bon goût. tu veux goûter une blonde ? ». Je souriais avec
difficultés car les caresses des seins de Carole sur ma chatte me lançaient
des fourmillements dans tout mon corps. Sans attendre ma réponse, Sybille me
chevaucha et mis ses cuisses de part et d'autre de ma tête. Je me retrouvais
recouvert de la chatte à Sybille à environ une dizaine de centimètres. Je
voyais ses lèvres ouvertes autour de son vagin rosé. Un fil de mouillure
coeurait entre les lèvres et les poils blonds de sa toison étaient rare. Je
voyais le renflement du clitoris et je ne savais pas si j'allais oser passer
le pas. Mes fourmillements sur mon sexe n'arrêtaient pas et la vue de ce
sexe ouvert et baveux devant moi ne m'attirait pas. Ayant déjà goûter ma
mouillure à plusieurs reprise par le passé, je fermais les yeux et attrapa
les fesses de Sybille. Je relevais la tête et tira la langue tout en
m'avançant. Soudain, le contact chaud et humide du sexe de Sybille se fit
avec ma langue. L'odeur âcre de son sexe envahit progressivement mon nez et
je glissais ma langue d'un bout à l'autre de la fente. J'entendais Sybille
souffler bruyamment et cela me poussa à continuer ma caresse. Le goût de la
mouillure entra dans ma bouche et mes lèvres s'écartèrent pour mettre en
contact toute ma bouche sur le sexe ouvert de Sybille. Je lêchais le sexe de
Sybille pendant que Carole me masturbait avec ses seins. J'attrapais le
clito de Sybille et l'aspira en bouche pour le têter. Je découvrais le sexe
féminin mais je savais où se trouvait les endroits stratégiques. J'en
profitais pour lêcher à grand coup de langue tout le sexe offert. Carole
s'absenta et revint pendant que Sybille me léchait en joli 69 féminin. Nous
faisions comme un concoeurs. A chaque caresse de l'une, l'autre faisait de
même. Je continuais de glisser ma longue sur le clitoris de Sybille quand
une décharge m'envahi le ventre. Ma vulve gonflé de désir venait d'être
pénétrée par un genre de sexe long qui alla jusqu'au fond de mon ventre. Je
poussais un cri à moitié étouffé dans le sexe de Sybille tellement la
surprise et la quantité de sensations était colossale. Carole me dit : «
Humm, je crois que mon cadeau te va bien » et elle commença de long va et
vient avec le god que Sybille lui avait offert. Sybille était penché sur moi
et elle regardait le gos me pénétrer. Cette vue lui fit tellement d'effets
qu'elle obtint un orgasme. Je sentis son bassin ondulé dans le même rythme
que les aller et venu en moi. La vitesse augmenta et j'avais du mal à garder
ma concentration sur son sexe tellement j'étais secouée par le god et ses
impacts en moi. Sybille atteignit l'orgasme en même temps que moi et j'eu
dans la bouche comme une éjaculation de mouillure. Un fin filet de mouille
gicla sur mon visage au moment où elle cria à plusieurs reprises. Je
continuais de lécher son clitoris pendant que Carole me léchait le sexe à
grand coup de langue. Dans la suite, je pourrais raconter tout ce que nous
avions fait mais la liste est longue. J'ai appris le plaisir de lécher des
seins et des vulves. J'ai appris le nombre innombrables de caresses que les
femmes peuvent offrir aux autres femmes. J'ai pris un réel plaisir d'avoir
en bouche le sexe de Sybille et celui de Carole. J'ai appris à reconnaître
le goût de leurs sexe les yeux fermés d'après l'odeur, la forme du sexe, la
structure de leurs pilosités. Jamais je n'aurais imaginé prendre autant de
plaisir à faire l'amour avec d'autres femmes. La seule différence entre ce
que peut fournir un homme et une femme, c'est la pénétration, mais un god
fournit des caresses profonde dans le vagin et quand le sexe est bien chaud,
les sensations sont identiques.
Mes relations avec Sybille et Carole se sont prolongées. J'ai emménagé
avec Sybille et nous sommes pacsées. Carole est toujours ma chef de service
et nous nous voyons une à deux fois par mois pour une soirée et une nuit de
folie. Carole vit toujours seule malgré une invitation pour devenir
collocatrice et devenir un trio de femmes modernes.
Aujourd'hui, je vis un parfait amour avec Sybille. Nous restons discrète
dans la rue et nous gardons notre amour pour nos moments d'intimité car la
vision des autres sur les lesbiennes est très négative et complètement
faussée par les médias.
Voilà mon histoire, j'espère qu'elle vous a plu et qu'elle pourra service
à quelques femmes d'oser vivre leurs sexualité sans tabou.
Pour les mecs, et bien prenez du plaisir mais dites vous que vous avez
beaucoup à apprendre pour rendre réellement une femme heureuse en amour et
sachez que la longueur de votre membre n'est pas ce qui primordiale.
Apprenez à être doux et tendre et sensible.
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