Etudiant en sciences, j'avais trouvé cette petite piaule
juste en face de la fac. Pour moi, ce n'était pas vraiment
le pied, car il s'agissait juste d'une chambre aménagée
dans un sous-sol avec un lavabo. Les WC et la douche étaient
à l'écart, à l'autre bout du sous-sol. Comble du comble,
je devais passer chez mes logeurs pour rentrer dans ma piaule.
Inutile de préciser que je ne me sentais pas vraiment à
l'aise, pas vraiment chez moi ! Interdiction de faire la
cuisine, interdiction de recevoir des amis, interdiction
de mettre de la musique. Cette chambrette n'avait qu'un
avantage, celui d'être bon marché, mais je cherchais déjà
ailleurs, cette solution n'était pour moi que très provisoire.
Mes logeurs étaient un couple d'affreux ringards. Lui,
moustachu, amateur de foot, buveur de bière, il passait
ses week-ends à lustrer sa voiture. Elle, femme au foyer,
femme à lunettes, à l'aspect terne et sévère, elle passait
tout son temps à faire la poussière. Chez eux, tout était
nickel, les bibelots bien alignés sur la commode et le plancher
soigneusement encaustiqué. Mis à part ça, ils avaient deux
enfants, deux garçons 18-20 ans, pas spécialement sympathiques.
À cette époque, je draguais une étudiante, Sonia, avec
qui je n'arrivais pas à conclure. Elle était venue une fois
dans ma chambre, cela ne l'avait pas emballée. Juste quelques
petits bisous, un touche-pipi et le pelotage en règle de
sa grosse poitrine, puis elle s'en était allée. Ça pouvait
se comprendre, quand on entend les chaises grincer sur le
carrelage, juste à l'étage, ce n'est pas vraiment bandant
!
Je me sentais donc un peu seul, je me branlais très, très
souvent, plus d'un an que je n'avais pas fait l'amour avec
une fille. J'étais amateur de revues érotiques, une partie
de mon petit budget passait dans l'achat de presse masculine.
Le soir venu, je m'astiquais la bite pendant des heures
en feuilletant ces revues, retardant au maximum ma jouissance.
Misère sexuelle, me direz-vous ? Misère sexuelle, oui. D'autant
plus que j'appris un jour incidemment que Sonia faisait
de même dans sa piaule à peu près à la même époque.
Un jour, je suis rentré beaucoup plus tôt que d'habitude,
parce que les cours avaient été annulés et qu'il faisait
trop chaud pour aller s'enfermer à la bibliothèque. Je suis
rentré dans la maison en silence, j'avais bien sûr ma propre
clef. J'allais descendre au sous-sol lorsque j'entendis
des cris qui venaient de l'étage. Des cris et des voix d'hommes,
ils devaient être plusieurs et ils riaient beaucoup. Très
intrigué, je compris vite que les cris en question étaient
des cris de jouissance et que ma logeuse s'envoyait en l'air.
Mais avec qui ? Son mari travaillait à cette heure et il
ne rentrait d'ordinaire qu'en fin d'après-midi.
J'étais figé en bas de l'escalier. Hors de question bien
sûr de gravir les marches, car elles auraient craqué. Mais
la curiosité était très forte. Je n'aurais jamais imaginé
ma logeuse en train de s'envoyer en l'air dans le dos de
son mari, surtout avec plusieurs hommes. Ils étaient deux,
c'est certain. Avec le temps, je finis par reconnaître distinctement
leurs voix, sans trop comprendre pour autant ce qu'ils étaient
en train de dire. Au mieux, je devinais des « Elle est bonne
cette salope » ou des « Elle aime la bite » et ma logeuse
qui gloussait. Des ahanements très graves de mec en train
de pilonner. « Vas-y Jeannot, troue-lui le cul »
Par la suite, il y eut des mouvements à l'étage et je compris
qu'il était bientôt temps pour moi de me planquer. Je redescendis
au sous-sol, bien décidé à voir de quoi avaient l'air ces
deux baiseurs. Il me fallut attendre encore longtemps. Peut-être
s'étaient-ils arrêtés dans la cuisine pour boire un coup,
peut-être avaient-ils remis le couvert et étaient-ils à
nouveau en train de pilonner ma logeuse ? Finalement, j'ai
vu les deux types s'en aller, inconnus au bataillon, tous
les deux en bleu de travail, un grand blond aux cheveux
longs et à l'allure dégingandée et un maghrébin un peu plus
vieux, mais d'allure plus solide. Tous deux plus jeunes
que ma logeuse, un peu moins de la trentaine et tous deux
plutôt beaux mecs, ma logeuse devait avoir des talents cachés
pour lever de pareils étalons ! Ils s'engouffrèrent dans
une camionnette garée de l'autre côté de la route et filèrent
sans plus attendre.
J'allais regagner mes pénates, lorsque j'entendis la porte
de l'escalier. Pas le temps de me planquer, juste le temps
de faire croire que je revenais des chiottes.
- Ah, vous étiez là ?
Je crois que j'ai rougi jusqu'aux oreilles. J'ai répondu
en balbutiant : prétextant un mal au ventre, j'ai expliqué
que je n'étais pas allé en cours ce matin-là et que j'étais
resté au lit toute la matinée... Elle m'a laissé raconter
mes bobards et bien m'enfoncer :
- Pourtant, je vous ai vu partir ce matin. J'étais dans
la cuisine quand vous avez pris le bus.
La honte ! Pris en flagrant délit de mensonge.
- Euh, je suis revenu juste après, j'avais trop mal.
L'explication ne tenait pas debout et elle n'était pas
dupe. Elle était devant moi, impassible, l'œil sévère,
et me barrait l'accès à ma piaule, apparemment bien décidée
à obtenir des explications.
- Arrêtez un peu de mentir, je suis certaine que vous m'avez
espionnée.
Je secouais la tête sans conviction.
- En plus, je vous ai entendu refermer la porte tout à
l'heure, vous n'êtes pas très discret.
J'étais sans voix. Surtout lorsqu'elle enchaîna :
- Ecoutez, je vais vous dire la vérité : J'étais avec deux
amants. Lorsque je peux m'envoyer en l'air avec deux jeunes
hommes virils, je n'hésite pas une seule seconde. Vous savez,
je suis comme toutes les femmes, j'aime baiser. Ça vous
choque ? Ça vous étonne ?
Oui ça m'étonnait, ça m'étonnait vraiment qu'une femme
qui aurait pu être ma mère, d'apparence froide et coincée,
pour ne pas dire guindée, s'envoie en l'air comme une pute.
Et ça m'étonnait encore plus qu'elle avoue ses forfaits,
sans aucun regret, sans aucune pudeur, en me regardant droit
dans les yeux !
Je rêvais depuis toujours de femmes chaudes et vicieuses,
de véritables salopes, mes copines ne l'étaient jamais assez.
Mais je ne les imaginais pas comme ça, pas sous l'apparence
d'une mère de famille qui passe ses journées à faire la
poussière. Comme je ne répondais toujours pas :
- Et puis vous savez, j'aime les étudiants, j'aime la jeunesse,
j'adore les jeunes hommes très vicieux. Et si vous avez
envie, vous aussi, de me baiser, vous savez, je n'ai rien
contre, bien au contraire. Je peux être gentille, très gentille...
Je la regardais, comme un ahuri. J'avais quand même du
mal à imaginer une partie de jambes en l'air avec elle.
Avec ses grosses lunettes à double foyer, elle ressemblait
à une de mes tantes, une femme acariâtre que j'avais en
horreur. Plate comme une limande qu'elle était et fagotée
comme une vieille femme, pas du tout mon style de meuf.
- Ne vous fiez pas aux apparences, je peux vraiment être
très très gentille, enchérit-elle au bout d'un moment, et
je suis, paraît-il, un bon coup... En plus, vous me plaisez.
Alors si vous vous décidez, faites-moi signe.
Sur ce, elle tourna les talons et me laissa seul dans le
sous-sol. Je regagnai ma piaule, assez perturbé par cette
conversation. Ce n'était pas mon type de femme, mais c'est
rare aussi de rencontrer une femme prête à baiser sur demande,
ça mérite quand même réflexion. Et puis j'en avais marre
d'attendre le bon vouloir de Sonia et marre de toutes ces
jeunes filles compliquées qui commencent par vous psychanalyser
pour une partie de jambes en l'air. J'étais jeune et viril,
j'avais besoin de baiser.
J'ai sorti quelques revues que je planquais dans mes cours
et je les ai feuilletées à la recherche d'une brune mature,
à lunettes, et sans poitrine. Difficile à trouver, même
dans les journaux d'annonces. Tiens, celle-ci ne correspondait
pas trop mal à cette description. Beaucoup trop jeune peut-être,
mais brune, presque plate et avec d'imposantes lunettes
:
« Marie-Paule, brune 33a, mariée, ch h poilu pour a-m à
l'hôtel, imberbes s'abstenir, rapports protégés exigés,
pluralité bienvenue. Réponse assurée si photo envoyée »
Les femmes mariées à lunettes étaient-elles toutes des
salopes ? Et ma logeuse ne s'appelait-elle pas Marie-Paule
? Non, ce n'était pas Marie-Paule, mais un nom composé dans
ce style là, je crois bien Marie-Pierre. Etrange coïncidence
quand même. Sur ce, je sortis ma queue et entrepris de me
branler en reluquant Marie-Paule. J'imaginais cette salope
en train de s'envoyer en l'air l'après-midi dans des hôtels
miteux avec d'illustres inconnus, poilus comme des ours.
Avec moi ça n'aurait pas marché, j'étais quasiment imberbe.
Je l'imaginais rentrant chez elle, couverte de sperme, faisant
une bise à son mari cocu jusqu'à l'os.
Pour Marie-Pierre cela devait être un peu pareil, son mari
était un rustre, il devait la baiser à la va-vite, à la
hussarde, le temps de se vider les couilles dans bobonne,
et bobonne était pleine de sperme, mais complètement insatisfaite,
elle avait besoin d'autres bites pour prendre son pied.
Bien compréhensible après tout. Sauf que bobonne avait de
très grosses envies cachées, elle ne pouvait se contenter
d'un seul amant, elle avait besoin d'essayer plein de bites.
Marie-Paule, Marie-Pierre, deux cochonnes binoclardes qui
devaient aimer sucer des bites et se faire gicler sur les
carreaux. Je me suis branlé bien à fond en pensant à elles
et j'ai craché sur le balatum un gros tas de foutre.
En soirée, je suis sorti, ma logeuse était avec son mari
en train de grailler dans la cuisine. Je les ai salués d'un
signe de tête. Le mari était en Marcel, avait-il l'intention
de baiser bobonne ce soir-là ? En passant devant la boîte
aux lettres, j'ai vérifié les noms : « Jules et Marie-Berthe
Fournier ». Quels prénoms ridicules ! Je suis allé chercher
Sonia et nous avons été en boîte. Embrassée, tripotée sur
la piste de danse. À la faveur de l'obscurité, j'ai même
eu droit à glisser la main dans sa culotte... Mais quelque
temps plus tard, j'eus droit aussi à : « Il est tard, je
dois rentrer, j'ai cours demain matin ». J'aurais pu essayer
de l'entraîner à l'hôtel, mais elle m'aurait giflé.
Le lendemain matin, sur les coups de 6h, j'entendis la
voiture sortir du garage, comme à son habitude. Je jetai
un coup d'œil pour voir Jules refermer le portail.
Je savais que Marie-Berthe était désormais seule pour la
journée, ses deux fils étant partis quelques jours en voyage,
l'un en Italie et l'autre en camping avec des copains. Seul
avec Marie-Berthe, depuis la veille au soir j'attendais
ce moment ! Il n'y avait personne au rez-de-chaussée, je
décidai donc de la rejoindre à l'étage, essayant de ne pas
trop faire craquer l'escalier.
Elle était dans la chambre conjugale, allongée sur le lit,
complètement nue. Je crois qu'elle m'avait entendu grimper
l'escalier et qu'elle m'attendait. En tout cas, elle me
regardait avec ses grosses lunettes et avait une main collée
sur la chatte, une chatte assez poilue et très brune et
des seins à peine prononcés, presque des seins de mec, avec
des bouts très foncés. Tandis que je restais à la contempler
sur le pas de la porte :
- Approche-toi, viens regarder entre mes cuisses, je suis
pleine de sperme
J'approchai timidement. Elle écarta ses lèvres largement
avec ses deux mains et je pus voir la colle blanchâtre qui
s'écoulait sans complexe de son trou.
- Comme à son habitude, trois coups de bite, et Jules m'a
remplie de colle. C'est un éjaculateur précoce, il ne m'a
pratiquement jamais fait jouir en me pénétrant. Et comme
ce n'est pas non plus un as des préliminaires, je te laisse
deviner...
Une nouveauté, elle me tutoyait. Le jus, abondant, sortait
lentement de son trou. Maintenant que j'étais plus près,
je voyais qu'elle en avait aussi plein les poils. Son moustachu
avait dû s'essuyer la queue sur son pubis
- Lèche-moi, j'ai envie que tu me lèches.
Je n'en croyais pas mes oreilles. Quelle dégueulasse !
Vouloir me faire bouffer le sperme de son mari. Mais, sans
se démonter, elle en récupéra un peu avec ses doigts et
le porta à sa bouche :
- Humm, c'est vraiment très bon. Tiens, goûte-le, dit-elle
en me tendant ses doigts.
Je n'avais encore jamais goûté de sperme, sauf le mien.
Je décidai de faire un effort et de lécher ses doigts. Passée
la sensation d'écœurement, c'était réalisable, sans
être réellement bon.
- Maintenant, viens entre mes cuisses, viens lécher tout
ce jus.
Et comme j'hésitais encore :
- Ohh, s'il te plaît, nettoie-moi la chatte, lèche le foutre
de mon homme. Imagine sa grosse bite noueuse qui crache
en moi par saccades. Je suis sûre que tu vas aimer. Et ensuite
je te promets d'exaucer tous tes voeux.
Je me mis entre ses cuisses, l'odeur était très forte et
le foutre très gluant. Passés les premiers coups de langue,
c'est vrai que j'y pris goût et que j'aspirai tout sans
rechigner jusqu'à la dernière goutte. Rien que de savoir
qu'il s'agissait du sperme du mec que j'allais cocufier,
cela m'excitait. De son côté, ça avait l'air aussi de bougrement
l'exciter. À chaque coup de langue, elle gémissait. Elle
écarta ses lèvres au maximum en ouvrant plus large les cuisses
pour bien que je la lave de toute souillure maritale.
- Elle te plaît, ma chatte ? Tu aimes les chattes bien
rouges ? Dire que tu viens d'avaler tout le jus de la bite
de Jules, je trouve ça hyper excitant. Mais maintenant à
mon tour de te lécher.
Elle se redressa, me fit mettre debout devant le lit. Puis,
sans hésiter une seule seconde, elle s'agenouilla devant
moi et entreprit de dégrafer ma braguette, extirpant mon
sexe déjà dur pour se mettre à le lécher. Elle faisait ça
très bien, semblant tout connaître sur l'art et la manière
de sucer une bite. Cela dura très longtemps. Elle m'emmenait
peu à peu vers le point de non-retour, puis s'arrêtait et
faisait diversion en aspirant mes couilles, en embrassant
mes fesses. Elle passa même sa langue dans mon cul. Puis
elle revenait invariablement à mon sexe pour à nouveau l'engloutir.
J'étais tendu comme un arc, je n'allais plus tenir. Au dernier
moment, elle s'aspergea copieusement avec ma lance, tout
en en recevant un bon paquet sur les lorgnons. Elle avala
le reste et me téta jusqu'à la dernière goutte. Puis, après
m'avoir bien vidé, elle retira ses lunettes et entreprit
de les lécher.
- Ahhh qu'est-ce que tu sens bon et qu'est-ce que j'aime
ton foutre. Ça m'a excitée de boire autant de jus.
Intrigué par ses minuscules mamelons, je me décidai à les
titiller :
- Aïe, doucement, ils sont hypersensibles.
Je ne sais pas si c'est un phénomène général, mais j'avais
déjà remarqué que les femmes sans trop de poitrine avaient
une sensibilité mammaire encore plus développée. En tout
cas, chez elle c'était particulièrement flagrant, le passage
de ma langue sur les bouts suffisait maintenant à la mettre
en transe. J'ai continué mes caresses et je crois qu'elle
a éprouvé une certaine forme de jouissance alors que je
la tétais. Elle a été prise de convulsions et est restée
tétanisée alors que je continuais à « tirer » sur ses tétons.
À la fin, elle a dit :
- Stop, stop, arrête, je t'en supplie, je n'en peux plus
(encore secouée de spasmes)
Pour nous remettre de nos émotions, elle m'a montré un
album photo qu'elle cachait en haut de l'armoire. C'était
des photos de vacances un peu spéciales. Jules adorait qu'elle
s'exhibe dans des endroits publics et il prenait des clichés.
Il y en avait pas mal sur des aires d'autoroute et d'autres
dans des campings ou alors sur la plage. Elle se prêtait
à ces petites envies de bonne grâce, mais, selon elle, cela
en restait là. Il était hors de question d'aller plus loin
et qu'elle s'exhibe devant des hommes. Plusieurs fois elle
lui avait suggéré, mais il était hermétique à cette proposition,
comme à beaucoup d'autres d'ailleurs, au grand dam de sa
femme qui en avait pris son parti.
- Tiens, regarde celle-ci. Cette année-là, il avait bien
voulu que je me rase la chatte. D'habitude, il n'aime pas
trop, car il a trop peur que les gens sur la plage le remarquent.
Pfffff, comme on ne fait pas de naturisme, je ne vois pas
ce qu'ils pourraient voir. Et même s'ils s'en aperçoivent,
je ne suis pas la seule. Mais pour lui, une fille qui s'épile,
c'est une pute, une fille facile. Regarde celle-là, je sors
mon petit abricot tout lisse dans une supérette. En plus,
je suis certaine que le caissier l'a vu, à cause des miroirs.
Et là je suis entièrement nue sur un rocher. Tu m'aimes
mieux poilue ou sans poil ?
- Les deux sont excitants, mais j'aimerais beaucoup essayer
une femme sans poil, je n'en ai jamais eu.
- Tu me donnes une idée. Viens, suis-moi, tu vas me raser
la chatte. Et si Jules fait la gueule, tant pis pour lui.
C'est ainsi que j'entrepris de lui raser consciencieusement
le pubis. Très soigneusement et dans les moindres recoins.
Je dois dire qu'elle m'aida beaucoup pour les finitions
avant d'enchaîner pour se faire les aisselles. Cette fois-ci,
elle était entièrement lisse de partout. Elle mit un peu
de crème pour atténuer le feu de la lame, puis nous descendîmes
entièrement nus grignoter quelque chose. Une tasse de café,
puis elle m'entraîna dans le sous-sol jusqu'à ma chambre.
Elle ramassa un slip sale et le porta à ses narines.
- Humm qu'est-ce que tu sens bon. J'ai envie que tu me
baises dans ta chambre pour l'imprégner de mon odeur. Et
puis, tu m'y feras penser : je te donnerai des petites culottes
sales pour que tu t'astiques la nuit en les sentant et que
tu me les rendes pleines de sperme, pour qu'ensuite je les
lèche.
En attendant, nous avons fait l'amour, très longtemps et
dans toutes les positions. Elle était incroyablement résistante
et exceptionnellement douée. Et en plus très légère, je
pouvais la porter et la manœuvrer à ma guise. Après
avoir bien joui, elle a voulu que je l'encule. Je n'en pouvais
plus, j'étais exténué. Afin de récupérer et pour le faire
patienter, j'ai entrepris de lui lécher son petit trou et
d'enfoncer ma langue dedans, ma langue et mes doigts. La
rosette était élastique et avait l'habitude de ce genre
d'hommage.
- Attends, j'ai une idée, dit-elle soudain. Suis-moi.
Elle m'entraîna à l'étage jusqu'à la salle de bain, une
énorme glace trônait près de la baignoire :
- C'est ici que je veux que tu m'encules, je veux voir
ta bite rentrer et sortir de mon cul.
Alors qu'elle disait cela, je remarquai que ses bouts de
seins étaient dressés et tout durs, deux petites pointes
marron qui bandaient d'envie. Elle s'enduisit le cul de
crème et prit la position pour que je glisse en elle. Ça
rentra tout seul comme dans du beurre. Hum mm, effectivement,
c'était bandant de voir mon sexe aller et venir dans son
cul. Tout en la pistonnant, j'attrapai ses tétins pour les
faire rouler entre mes doigts. Ils étaient aussi durs qu'une
bite. Elle cria, elle griffa, elle se démenait comme une
bête en s'empalant sur ma hampe merveilleuse qui ne tarda
plus à exploser en elle et à remplir le petit sac prévu
à cet effet.
Marie-Berthe n'était jamais satisfaite. En fin d'après-midi
nous refîmes l'amour juste avant que Jules ne rendre. Et
les jours qui suivirent furent également féconds en parties
de jambes en l'air. Par la suite on se calma, lorsque les
fils revinrent de vacances ça redevint moins évident. Mais
plusieurs fois, néanmoins, j'eus droit à la visite de ma
logeuse qui venait me rejoindre dans ma piaule dès son mari
parti, plusieurs fois aussi remplie du sperme de son homme.
Ceci ne m'empêcha pas de me trouver une piaule plus agréable,
en fait un petit appart où j'habite avec Sonia. Je crois
que de toute façon Marie-Berthe avait fait le tour de mes
possibilités, elle s'était lassée de moi et elle attendait
avec impatience le prochain. L'autre jour, Sonia me dit
:
- Mon pauvre chéri, je t'ai fait patienter plusieurs mois,
ça a dû te manquer.
Si elle savait la pauvre que je l'ai cocufiée jusqu'à plus
soif avec une femme qui pourrait être sa mère. Mais chut
! Ca je ne lui dis pas.
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