Bonjour je m'appelle Jérôme, j'ai 26 ans je suis brun, 1m76 62kg, silhouette
sportive, je vis en couple avec une charmante fille que j'aime et qui me
le rend bien. Je suis la pour briser un tabou et qui sait, trouver de
l'aide. Je suis fou de désir depuis l'âge de mes 16 ans pour ma tante
Linda. Pour vous la décrire c'est une femme de 37 ans, brune aux cheveux mi-longs et bouclés, des beaux yeux couleur noisette très profonds desquels on a
du mal à se sortir, d'une taille de 1m71, une silhouette mince, avec des
petits seins de 85b mais bien ronds, de jolies longues jambes très douces
remontant sur un joli petit cul (qui est la partie, avec ses lèvres, dont je
fantasme le plus dessus). C'est une femme très féminine qui a divorcé
plusieurs fois et qui vit seule avec sa petite fille (ma cousine) de 7
ans. Elle adore porter de belles robes moulantes avec de vives couleurs,
des petites jupes et des petits hauts qui lui vont à ravir. Elle aime
plaire et jouer de sa féminité.
Vous vous demandez sûrement comment j'en sais autant sur elle, c'est que
nous avons toujours été très proches tous les 2 et nous le sommes encore.
Je vais d'abord vous raconter comment mon désir pour elle m'est venu.
Comme tout jeune homme à 16 ans, les hormones travaillent, et je faisais et
fais encore du foot en club. Mes parents ne se sont jamais occupés de mon
sport donc c'est ma tante qui m'accompagnait aux matches et venait me voir
jouer. Bien sur je la trouvais belle et souvent lorsque je le pouvais je
la regardais, si belle et si charmante dans ses jupes et robes moulantes.
Très souvent lorsqu'elle m'invitait à diner je m'absentais, prétextant
aller aux toilettes pour sentir et caresser ses dessous qu'elle pendait sur
du fil à linge dans la salle de bains. Des dessous très sexy et féminins,
des soutiens gorge de couleur jaune, rose ou rouge, avec de jolis strings
de maintes couleurs. Et le soir je me caressais sur des images d'elle
plein la tête et sur les photos que j'avais d'elle, et je vous prie de
croire que comme elle adorait être prise en photos, je ne me gênais guère.
Quand on allait à la piscine, c'était des moments où j'adorais la voir,
en bikini rose ou bleu qui lui serrait ses petits seins et lui moulait
ses fesses divines, l'eau ruisselant sur son corps, les cheveux mouillés,
j'en restais songeur et aussi plein de désir pour elle. Alors je
profitais de nos jeux aquatiques pour la toucher et aussi pour lui passer de
la crème sur le dos et je peux vous dire que sa peau est d'une douceur
infinie.
Mais le plus beau souvenir que j'ai eu avec elle, ce fut à son 2ème
mariage. Vu nos étroites relations je fus son témoin, et comme elle
n'avait plus le droit d'aller à l'église, elle devait se choisir une belle
robe pour remplacer la robe de mariée commune. Aussi ce fut une joie
quand elle me proposa d'aller l'accompagner faire les boutiques pour se
trouver une jolie tenue. Je m'imaginais déjà les tenues dans lesquelles
elle resplendirait et je ne fus pas déçu, après plusieurs boutiques où
elle ne trouva pas ce qu'elle voulait, on en trouva une où elle choisit
plusieurs robes, jupes et hauts, ainsi que plusieurs paires de hauts
talons.
Sa première tenue était une petite jupe plissée blanche mi cuisse et
moulante sur ses superbes fesses, un débardeur blanc prés du corps, avec
un petit string rose et un soutif rose pale avec des talons aiguilles
noires nouées a la cheville. En ouvrant son rideau, je fus surpris elle
était si sexy, si belle, elle me demandait comme je la trouvais, je ne
pouvais que lui répondre qu'elle était divinement belle, j'étais même gêné
par mes pensées qui me torturaient. J'aurais voulu me jeter sur elle et
l'embrasser et lui faire ressentir mon désir pour elle.
Sa 2eme tenue, une robe courte à rayures noire et blanche qui lui allait comme une deuxième
peau tenant par un cercle autour de sa nuque, tendue par ses petits seins
tout ronds avec ses tétons décalqués sans soutien gorge et arrivant sous
ses fesses, la rendait encore plus femme fatale, et vu ma tête et mes
balbutiements, elle opta pour celle-ci mais me dit qu'elle prendrait aussi
la première car elle l'avait aimée. Après les boutiques, quand je suis rentré je
me suis caressé sur elle et ses tenues si sexy.
Le soir, pendant la petite fête en comité restreint qui a terminé son mariage, je n'avais d'yeux
que pour elle, et dans sa robe si moulante et courte à rayures noire et
blanche, elle me faisait fantasmer. L'alcool coulait à flots (même si moi
je ne bois pas) et ma jolie tante et son nouveau mari étaient déjà bien
mûrs. Elle dansait seule alors je décidais d'aller la rejoindre et
l'accompagnais sur quelques slows. Je l'enlaçais tendrement et elle se
colla à moi, sa tête enfouie dans ma nuque, lovée comme si j'étais son
homme. Je sentais ses petits seins tout doux à travers sa robe contre mon
torse, ses cheveux frisés qui sentaient si bon, mes mains sur ses hanches
si fines qui auraient rêvé caresser ses fesses si sexy. Je la voulais, la
désirais si fort que je bandais, tellement que si elle n'avait pas été sous
l'emprise de l'alcool elle l'aurait remarqué.
Je pourrais vous raconter maintes anecdotes qui augmentaient et argumentaient mon
désir pour elle, mais je pense que vous avez compris mon désir pour elle.
Pourtant malgré mon désir intense je n'ai jamais eu de gestes déplacés
envers elle, comme je vous dis, je me contentais de me caresser sur nos
moments et ses photos.
Cela a duré presque 5 ans et j'ai fini par me trouver une copine, nous
nous sommes vite mis en appart et nous sommes heureux, bien sur ma jolie tante
reste dans mes souvenirs, et d'ailleurs je ne sais comment interpréter ce
que je vais vous avouer.
Pendant ces 5 ans, ma tante a encore divorcé mais cette fois-ci elle est
restée seule avec sa fille de 7 ans. On se revoit au moins une fois par
semaine, qui plus est le courant passe très bien entre ma copine et ma
jolie tante, d'ailleurs ma tante a féminisé ma copine à merveille.
Un soir d'été, pour son 36ème anniversaire que l'on a fêté tous les 3 (sa
fille étant au lit), la petite soirée fut géniale, ma copine et Linda
étaient toutes les 2 hyper sexy. Ma copine était vêtue d'une petite
jupette volante noire, petit haut jaune fluo, string et soutif jaune
dentelle avec des bottines roses, elle m'excitait toujours car elle aimait
être coquette et coquine par ses baisers et ses jeux de langue. Et ma
jolie tante portait un ensemble rouge (ma couleur préférée) avec un haut rouge
collant sur ses petits seins qui laisse apparaître ses tétons et son dos
totalement dénudé, et une jupe rouge fendue sur le coté qui, suivant comment
elle est assise, laisse entrevoir une partie de son string rose. Et puis
pour relever le tout, une paire de bottes noires bien hautes. Dans cette
tenue on aurait dit deux filles du même age.
Enfin bref la soirée était très bien, mais je fus très déçu par ma copine qui m'a allumé pendant des
heures pour finir par s'écrouler à force de boire non-stop. Je décidais
donc de la coucher sur le canapé de la pièce d'en haut, je la
couchais et l'embrassais tendrement et redescendis avec Linda. Nous avons
beaucoup parlé, puis nous avons décidé d'aller regarder un dvd, comme le
salon était pris nous avons du aller dans sa chambre. Nous étions côte-à-côte, semi-allongés sur son lit, je ne pensais qu'à l'embrasser et lui
avouer mon attirance, mon désir insensé pour elle. Elle me demanda si je
pouvais lui faire un câlin et la serrer dans mes bras, je sentais qu'un coup
de blues la traversait. Je me décidais à la serrer contre moi très
tendrement en lui passant la main dans les cheveux. Elle me regarda et dit :
- Ça fait du bien un peu de douceur, merci Jérôme.
- Tu sais c'est un plaisir pour moi de te câliner Linda.
- Laëtitia est belle comme tout, tu en as de la chance, même si la elle n'a
pas assuré a te laisser tout chose comme cela.
- Tu as remarqué, ça me gêné tu sais devant toi.
- Allons allons ne sois pas gêné, tu sais.
- Et toi aussi tu es très belle, vraiment tu sais.
- Tu dis cela pour être poli, tu es taquin.
Avec ma jolie tante dans mes bras, je commençais de plus en plus à bander.
J'avais trop envie de lui dire et d'oser.
- Je suis bien dans tes bras, si bien.
- Oui tu sens si bon Linda, je dois te dire quelque chose.
- Attend je vais changer de chaîne c'est mieux.
La télécommande se situe sur la table de nuit à mes côtés, j'aurais pu la
prendre mais la se produisit un rêve que je n'osais imaginer. Ma jolie
tante passa délicatement sur moi et s'arrêta à califourchon sur moi, la
jupe bien disposée de façon à ce que son string touche directement ma
bosse du jean. Le temps s'arrêta, je ne pouvais plus parler, à part la
regarder, si sexy ainsi.
- Linda tu...
- Chut ne dis rien, dit-elle en me posant un doigt sur la bouche, tu
bandes encore très fort.
- Oui tu es si sexy, tu sais.
- Laisse-moi finir, est-ce que je te plais ? Tu pourrais me faire l'amour
comme tu le fais avec Laëtitia ? dit-elle en se frottant légèrement à moi.
Étais-je en train de rêver, m'avais-t-elle vraiment dit cela ? En tout cas,
son jeu de bassin me rendait fou. Mais je cédais à ma jolie tante.
- Tata j'ai envie de toi depuis si longtemps, tu es un fantasme, je me
suis caressé sur toi des milliers de fois. Tu es si belle, si désirable,
oui j'ai envie de toi, de tes lèvres, de ta bouche, de tes petits seins,
de tes courbes, et de tes fesses. Je te veux.
- Oh Jérôme, rien qu'une nuit, je veux être à toi, toute à toi, je te sens
si fort, ah Jérôme prends moi s'il te plaît.
Je caressais enfin son dos et pouvait descendre jusqu'à ses fesses. Tendrement je les empoignais sur la jupe, Linda me caressait les cheveux et le torse de ses longs ongles.
- Passe dessous, vas-y, dit-elle en prenant mes mains et en me les posant sur
ses fesses, celles dont je rêvais si souvent.
- Oh Linda je veux être en toi, je te veux, tu es si désirable.
Avant que je finisse elle m'embrassa fougueusement et inséra sa langue
tendrement dans ma bouche pour venir caresser ma langue, ma langue ne
résiste pas beaucoup avant de lui rendre son baiser... elle a tellement
envie de moi que son baiser m'étouffe presque...hum...
C'en est trop pour moi... je décidais de me livrer complètement à elle, à
ses désirs, elle était si chaude. Pendant que je lui prenais la bouche,
ma main continuais de caresser ses jolies fesses. Nos langues ne se lâchent
plus, elles s'enroulent l'une autour de l'autre. Je la pris par les
joues et l'embrassai dans le cou. Je caressai ses côtes, son ventre. Elle
me plaqua la tête contre le lit et me viola presque la bouche de ses
baisers fougueux. Je passai mes mains sous son haut moulant et caressai son
ventre, ce qui la fit trembler et soupirer. Puis je les remontai vers ses
petits seins en la débarrassant du haut. Elle se cambra de plus en plus
sur moi.
Je bandai très fort maintenant. Une de ses mains continua de
caresser ma poitrine tandis que l'autre partit s'aventurer sur ma ceinture
et me l'enleva. Elle gémissait quand je commençai à lécher son cou, à
descendre vers ses seins. Je les saisissaient dans mes mains et les caressaient,
les pressaient doucement. Je les léchaient, donnai de petits coups de langues sur
ses tétons, les prenaient dans ma bouche. Elle caressa mon dos et m'embrassa
sur le torse tandis que ses pieds poussaient mon jean pour me l'enlever.
Je me retrouvai ainsi en boxer sous elle. Je mangeai ses lèvres tandis
qu'une de ses mains s'aventura entre mes cuisses et caressa ma queue sur
le boxer avec ses ongles. Pour ma part je commençai à caresser sa chatte à
travers son string, elle poussa un petit cri de satisfaction et d'envie.
Elle saisit mes couilles sous mon sous-vêtement qu'elle enleva très
vite. Son string devenait vite humide sous mes caresses et je fini par le
mettre de côté tout en lui laissant. Elle attrapa ma main et suça un de
mes doigts en me regardant avec un petit air de cochonne et en gémissant
légèrement. Je l'embrassai, les lèvres, le creux du cou, les seins, le
nombril et je descendis jusqu'à me retrouver face à face avec sa petite
fente épilée. Doucement je commençai à la lécher, à donner de petits
coups de langues sur son clito. Elle gémissait fort et se cambra en
caressant ma tête et mes cheveux.
- Oui hummmm c'est bon mon chéri c'est si bon humm oui ahhh.
J'enfonçai le doigt qu'elle m'avait sucé dans sa chatte, tout doucement.
Puis je commençai à la doigter. Elle cria car ce doigt dans sa fente lui
faisait vraiment du bien et cette langue qui labourait son clito hum! Tout
en la faisant plaisir ainsi, je caressai ses seins, son bas ventre et ses
cuisses. Je sentais sa mouille emplir ma bouche et j'adorai ça.
- Humm tu as bon goût chérie, dis-je.
- Hum alors ne t'arrête pas mon bébé hmm oui, laisse-moi te sucer mon
bébé.
Je me mis à la regarder sans bouger, elle était si belle, si sexy, en jupe à
califourchon sur moi, le string décalé, son ventre, ses petits seins à nus
qui pointaient, ses longs cheveux bouclés qui tombaient devant ses yeux.
Elle était trop sexy, trop canon, mes sens, ma raison n'existaient plus,
je la voulais.
Elle changea de position et se mit sur le côté de façon à avoir accès
à mon sexe. Elle prit mes couilles dans une de ses mains et les pressa
gentiment, les lécha un petit peu. De son autre main elle caressa le gland
avec son pouce et le frein, ce qui me fit trembler de plaisir. Puis elle
branla ma bite en entière, avec de lents va-et-vient en serrant bien son
poing, tout en continuant de caresser mes boules de son autre main. Moi je
lui caressai ses petits seins, lui caressant le dos. Elle se pencha un peu
plus et lécha le bout de mon gland, lentement, elle avala le reste de ma
queue et se mettait à la sucer très lentement en enroulant sa langue
autour tout en aspirant. Elle donna quelques coups de langue sur mon frein,
ce qui me fit gémir, c'était si bon. Puis elle me rebranla, toujours
lentement mais fermement, et me suça en même temps, en s'arrêtant par
moment sur mon gland et mon frein car elle sentait que j'aimais ça, ma
queue se rigidifiait encore un peu plus à chacun de ses coups de langue et
elle aimait la sentir gonfler encore un peu dans sa bouche, sous sa
langue. Puis nous nous redressons. Je la serrai dans mes bras
amoureusement.
- Prend-moi. Je te désire tellement, prend-moi mon amour, dit-elle.
- Ça va aller bébé. On va se faire plaisir et ça va être magique. Tu es si
belle, si sexy, j'en ai tellement rêvé de ce moment.
Puis nous nous embrassons à nouveau. Je l'allongeai sur le dos,
l'embrassai et caressai ses seins et sa petite chatte mouillée. Ma queue
venait frotter contre sa fente et son clito. En gémissant, elle attrapa ma
queue entre ses doigts et la guida vers l'entrée de ta chatte. Très
lentement, tout en l'embrassant, je pénétrai en elle. Tout doucement, ma
queue s'enfonça dans sa petite fente. Arrivé au fond, on s'embrassa encore
et on se regarda dans les yeux. Puis, toujours lentement, je ressortai
d'elle et m'y enfonçai à nouveau. Nous faisions ainsi l'amour, en nous
regardant droit dans les yeux, nos visages à quelques centimètres l'un de
l'autre, sans nous quitter du regard un seul instant. Je sentais son
souffle dans mon cou, et elle le mien. On gémissait mais nos regards ne se
lâchaient pas tandis que je la pénétrais de plus en plus vite. Ma queue
glissa facilement dans sa chatte lubrifiée de sa mouille. Elle enfonçait
ses ongles dans mon dos et dans mes fesses pour ne pas hurler de plaisirs.
Mes va-et-vient étaient de plus en plus rapides et profonds. Mes couilles
claquaient contre ses cuisses et ma queue cognait au fond de sa chatte.
Elle gémissait de plus en plus en voyant des étincelles de plaisir dans
mes yeux sombres. Je caressais ses seins et son ventre. Ma queue gonflée à
bloc s'enfonçait en elle.
- Hummmm ah oui vas-y hummm, plus vite, plus fort hummm, c'est tellement bon
mon Jérôme, hummm...
- Hmm oui, hmm tu es irrésistible ma petite coquine, hum tu es si belle,
c'est si bon d'être en toi, humm...
Je l'embrassais, nos langues s'attiraient et entraient dans une danse
endiablée. Elle s'appuyait fort contre mes fesses et croisait ses jambes
autour de moi. Elle se mettait ensuite sur le ventre, relevant d'une main
sa jupe.
- Je crois savoir que mes fesses te font envie, non ? murmura-t-elle.
- Oh que oui, elles sont si belles, si douces, oh Linda.
- Vas-y, elles sont toutes à toi.
Je les caressai du bout de la langue, je parcourai chaque centimètre de
ses fesses que j'adorai, tout en lui caressant le dos, je glissai ma
langue sur sa raie et la léchai de haut en bas et m'attardant sur son
petit trou. Je le titillai et le pénétrai du bout de la langue par des
petits va-et-vient. Je sentai une envie folle de la prendre sauvagement.
Soudain, je craquai. Je me relevai, la soulevai et la plaquai contre
les barreaux du lit la mettant à 4 pattes. Je l'embrassai encore et
encore. Elle claqua ses mains contre le mur et commença à gémir tandis que
je commençai à caresser son anus avec mon index. De mon autre main, je
caressai ses seins, les pressai dans ma main, tortillai ses petits
tétons. J'enfonçai mon pouce dans son petit trou du cul. Elle cria de
plaisir et d'envie.
- Tu seras mon premier par ici, avec toi j'en ai envie, tellement envie.
- Hum oui Linda, je vais te faire jouir et gémir autant que tu me fais
rêver.
Je donnai une claque sur ses cuisses, la tirai par les cheveux et violai
sa bouche de baisers vigoureux pendant que je continuai de malaxer ses
seins de mon autre main. Petit à petit, j'enfonçai ma queue grosse et
dure dans son petit trou. D'abord le gland, puis la verge. Doucement,
j'arrivai à l'enfoncer en entière dans son cul, tout en continuant de
l'embrasser en lui massant les seins et les tétons. Puis je ressortai ma
queue, entièrement, et l'enfonçai cette fois tout d'un coup, bien au fond
de son cul, violement, jusqu'aux couilles qui claquaient contre ses
fesses. Elle hurla de douleur et de plaisir. Puis je m'accrochai à ses
hanches, à ses fesses, à ses seins, et entrepris de lui labourer le cul.
Ma bite frottai terriblement dans son anus, elle la sentait bien aller et
venir au plus profond d'elle car ses ongles étaient plantés dans ma
nuque. Ses fesses contre mes abdos, une de mes mains qui se baladait de sa
jolie chatte à son ventre plat, à ses seins, à son cou, et l'autre qui
tenait ses doux cheveux bouclés de côté pour me permettre de l'embrasser
et de lui titiller le lob des oreilles, ce qui la faisait encore plus
gémir. À la regarder ainsi, elle n'en fut que plus belle encore.
- Ah oui Linda, ton petit trou est super serré à enculer, hummm. Tu me sens
bien dedans, là ? Ma belle que c'est bon de te sodomiser, hmmm.
- Ah oui je te sens, hummm défonce-moi c'est trop bon, oui hummmm, c'est si
bon, oui oui.
Je la pénétrai de plus en plus vite, de plus en plus profondément, de plus
en plus sauvagement et violement. Mes couilles claquaient contre ses
fesses. J'aventurai une main contre sa chatte en même temps. Je branlai
son clito et enfonçai deux doigts dans sa fente que je masturbai
rapidement. Ma queue s'afféra à la défoncer. Je faisais des va-et-vient
entiers, la sortant complètement et l'enfonçant entièrement. Elle allait
jouir, je le sentais. Je la prenais ainsi encore un bon moment. Puis ses
genoux se mirent à trembler. L'orgasme montait en elle. Elle se cambra et
donna des coups de reins contre ma queue. J'accélérai encore le rythme,
même si cela était difficile maintenant. Elle sortit d'une main ma queue
et s'allongea sur le dos, et m'attira vers elle me chuchotant que je
devais jouir en elle, dans sa petite chatte. Je m'y enfonçai facilement et
reprenais la cadence en ne cessant de l'embrasser. Puis elle jouit.
Elle hurla longuement, alors que je continuais de la prendre. Son corps
tremblait violemment, ses jambes frémissaient. Son orgasme dura ainsi
plusieurs dizaines de secondes. Je sentai le mien affluer. Je
m'accrochai à ses hanches, jouant au plus profond de sa bouche avec ma
langue et dans un ultime coup de reins, je m'engouffrai encore plus
profondément en elle, mes couilles claquaient contre ses cuisses et mon
sperme chaud jaillit. J'ai joui dans son doux et fabuleux vagin.
J'étais sur un petit nuage, dans un autre monde, jamais je n'ai été aussi
heureux de ma vie. Nous poussions tous les 2 un cri de plaisir étouffé par
nos baisers. Nous restions enlacés quelque temps à nous caresser, à nous
embrasser, collés l'un a l'autre.
- C'était merveilleux Jérôme, oh oui trop bon, me glissa-t-elle dans le
creux de l'oreille.
- Oh oui ma belle, tu es le plus grand de mes désirs et te faire l'amour
fut incroyable.
- Jérôme, je t'aime, dit-elle.
- Linda...
- Chut ne dis rien, laisse-moi juste m'endormir dans tes bras, me coupa-t-elle.
Je la câlinai, lui donnai de la tendresse et pleins de bisous et
lorsqu'elle fut endormie, je la couvrai en m'attardant sur son visage. Je
la regardai tendrement, presque amoureusement. Puis je descendis boire un
verre. Perturbé et ne sachant que faire, car la déclaration de ma jolie tante ne me laissait
pas indifférent. Depuis, ma tante et moi nous nous revoyons toujours autant mais, à part des regards et des jeux de pieds, je
n'ose rien faire, j'ai des sentiments c'est sûr mais le pas est dur à
franchir. Si quelqu'un a été dans cette situation, s'il peut m'aider ou s'il y a des réactions de tantes qui ont eu des aventures, bref j'écouterai l'aide que vous m'apporterez. J'espère que cette histoire vous a plu et qu'elle ne vous a pas laissé de marbre.
Goli9
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