TITRE
: Ma femme se fait prendre au bureau par son chef de service
Catégorie : Histoire
au bureau
Ceci s'est passé il y a quelques années.
Dans un précédent courrier, j'avais raconté comment j'avais surpris ma
femme Bernadette, jolie petite blonde de 36 ans en compagnie d'un de ses
camarades de travail en train de faire l'amour.
J'avais pris part à leurs ébats en les regardant, malgré la colère. J'avais pris du plaisir à les observer et je n'avais rien dit à mon
épouse.
Quelques temps plus tard, j'ai fais part à ma femme de ce que j'avais vu
ce jour là.
Très surprise, elle avait tout d'abord niée, mais devant certaines
précisions elle avait reconnue m'avoir trompé, elle m'avait juré qu'il n'y
avait eu qu'une seule fois, qu'elle m'aimait et ne recommencerait plus.
Deux ans s'étaient écoulés paisiblement, la vie avait repris comme avant,
jusqu'à ce mercredi après midi où elle me téléphone pour me dire qu'elle
rentrerait tard car elle avait une fin de mois assez difficile à boucler
avec son chef de service.
J'ai trouvé qu'elle avait une voix bizarre et que la façon dont elle me
présenta la chose me laissa pensif, cela m'a paru un peu louche. En
débauchant je décide donc de passer discrètement la voir à son bureau.
Bernadette travaille dans une entreprise assez importante, elles sont plus
de trente secrétaires, elle a changé de chef de service depuis 4 mois.
D'après ses dires c'est un homme de 40 ans, célibataire, assez sportif et
assez grand, soi disant très séduisant et bien porté sur le sexe. Normal, avec toutes ces jeunes femmes qu'il dirige !
La semaine dernière, mon épouse m'a dit que la sous chef de service
partait à la retraite et que vu son ancienneté, elle était pressentie pour
la remplacer.
Cette place l'intéresse particulièrement, son salaire sera doublé et elle
s'occupera de distribuer le travail ainsi que de la gestion du
recrutement et de l'embauche de ces jeunes filles, secrétaires ou
comptables.
J'arrive devant l'entreprise, les employés sont en train de débaucher. J'attends vingt minutes et je monte discrètement jusqu'à son bureau, je
connais parfaitement les lieux pour y être venu assez souvent.
La porte du bureau est légèrement ouverte, il n'y a personne, j'entre. Le bureau de son chef est contigu au sien, la porte est entrebâillée, d'où
s'échappent des bruits et des rires.
Je m'approche et regarde, je suis positionné de telle façon que je peux
voir sans être vu.
Je suis cloué sur place : son chef, un grand et corpulent black, est assis à
son bureau. Sur ses genoux à califourchon, Bernadette. Ils sont en train de
s'embrasser fougueusement à pleine bouche, je devine les langues qui
s'entremêlent.
Son partenaire a passé ses larges mains qu'il promène sous le petit haut
de ma femme qui pousse de petits cris, sa jupe est relevée je peux voir
son petit slip.
Bernard, c'est son nom, dénude le haut de sa partenaire, il suce goulument
ses petits seins et descend ses mains vers l'entrecuisse bien écartée de
ma femme.
Que faire ? Entrer dans le bureau et provoquer un scandale, ma femme
perdra à coup sûr son travail, ce n'est pas le moment car nous avons
besoin de son salaire.
La main de Bernard est maintenant dans la petite culotte de mon épouse qui
ouvre bien grandes ses cuisses tout en gloussant de plaisir, il écarte
maintenant le petit slip en dentelle rouge et pénètre avec un de ses
doigt sans aucune difficulté la petite chatte bien lubrifiée de ma
chérie.
J'observe avec colère ce gros doigt coulisser dans la petite moulette bien
ouverte de ma femme qui en couine de plaisir.
Au bout d'un certain temps, il soulève sa partenaire et la dépose devant
lui, il se lève et ôte son pantalon et son slip.
Je suis stupéfait par ce que je vois, il a un sexe hors norme, assez gros et surtout très long, il avoisine les vingt centimètres.
Je ne vois pas la tête de mon épouse mais elle doit être très surprise,
elle qui a une petite minette très étroite, cela va lui faire tout drôle
d'être pénétrée par une aussi longue et grosse bite.
Il se remet dans son fauteuil, il la fait mettre à genoux et lui intime
l'ordre de le masturber. Ensuite, il prend sa tête avec ses mains et la
rapproche de son sexe, elle le lèche, mais ce qu'il souhaite c'est autre
chose.
Elle a de la peine à absorber un tel engin, il la force, elle hoquète et
manque à plusieurs reprises de s'étouffer.
Passé ce supplice, il la dénude entièrement, la positionne dans son
fauteuil cuisses bien ouvertes et relevées assez haut, il entreprend de
lui manger son petit abricot qui, de par sa position, est bien ouvert. Il
la lèche sans ménagement avec son épaisse langue, mordille son clito,
enfonce sa langue dans l'intimité juteuse de sa partenaire qui est toute
rouge et qui halète et transpire sous ses caresses.
À un moment, je vois ma femme se raidir et trembler de tout son corps,
elle vient de jouir, il plonge sa langue à la rencontre de la jouissance
de Bernadette.
Il ne va pas être déçu car d'ordinaire elle mouille abondamment.
Elle a du mal à reprendre ses esprits tant cela a été violent.
Il fini de se dénuder, la prend par les hanches et la positionne sur son
bureau, cuisses bien ouvertes.
C'est vrai que c'est un bel homme bien musclé, ma petite femme toute
fine parait bien frêle comparée à son partenaire.
Il positionne son gros gland à l'entrée de la petite moule bien ouverte
et toute juteuse de mouille. Bernadette, anxieuse, se met sur ses coudes
pour suivre cette pénétration qui devrait s'avérer assez juste et surtout
assez laborieuse, vu l'étroite minette de mon épouse.
Le gland avance lentement se frayant un passage en écartant les lèvres, il
est stoppé dans sa progression, la petite vulve, grande ouverte et bien
lubrifiée, ne peut absorber un tel intrus. Il pousse, ma femme grimace et se
mord les lèvres, Bernard prend Bernadette par les hanches et donne un coup
sec qui a pour effet de franchir la porte, mon épouse pousse un cri,
étouffé par un profond baisé.
Aucun des deux amants n'ose bouger, puis je vois la queue s'enfoncer
lentement pour se bloquer aux deux tiers de sa longueur bien ancrée au plus
profond de son vagin.
Bernadette transpire et halète fortement sous les assauts répétés de son
amant.
Je suis impressionné de voir cette bite coulisser tel un piston bien huilé
à l'intérieur de l'intimité de mon épouse qui gesticule et s'écarte au
maximum.
Il positionne les jambes de mon épouse sur ses épaules, écartant et
pénétrant encore plus profond sa chatte, elle souffle et à des difficultés
pour respirer, sa bouche est grande ouverte.
Etre aussi bien prise par une aussi grosse et longue queue, sentant venir
le plaisir, je la vois se raidir, agripper son amant en le griffant, elle
crie sa jouissance sous les poussées de son chef qui n'a qu'une idée,
faire pénétrer son sexe entièrement.
Malgré tous ses efforts, la grotte intime de ma femme ne peut avaler cette
queue.
Il se retire enfin de l'abricot bien fendu et tout juteux, il prend sa
partenaire par les hanches et la positionne sur le canapé pour la prendre
en levrette. Bernadette, bien écartée et cambrée au maximum, n'attend que la
pénétration.
Il la prend et la besogne activement, arrachant un cri à mon épouse à
chaque fois qu'il percute le fond de son vagin tout dégoulinant de
jouissance.
Cette bite toute luisante se retire et se positionne maintenant devant
l'anus dilaté de sa secrétaire. Avec ses mains, ma femme écarte ses fesses
au maximum, Bernard en profite pour y planter son doigt qu'il fait
coulisser aisément...
Il faut dire que mon épouse est une adepte de la sodomie, elle possède de
nombreux godes et plugs assez imposant qu'elle s'enfile régulièrement. Bien souvent il lui arrive de partir travailler un petit plug dans
l'anus et elle le garde une bonne partie de la journée.
De ce côté-là je sais qu'elle supportera et appréciera cette belle queue,
il n'a aucune difficulté à la pénétrer sous les encouragements assez crus
de ma femme.
Bernadette trémousse son petit cul pour qu'il la pénètre entièrement mais
elle est bien trop longue, Bernard la besogne sans ménagement. Au bout
d'un moment, il éjacule longuement et crie sa jouissance. Après un court
instant sans bouger, il retire son membre tout luisant et maculé de sperme
et d'excréments.
Il lui a mis une belle dose car de son petit trou s'échappe un filet de
sperme assez abondant.
Les deux amants s'enlacent en se soudant dans un profond baiser, leurs
corps tout transpirants sont impressionnants à voir.
Ils se dirigent vers la douche en riant et en s'embrassant.
J'en profite pour m'éclipser, jaloux et vexé d'avoir vu ma femme jouir
aussi fortement et prendre autant de plaisir sous les caresses et les
pénétrations de son amant.
De retour à la maison, j'ai attendu Bernadette qui arrive un peu plus
d'une heure après, il est aux environs de minuit.
À son arrivée elle m'embrasse, je lui mets la main sur les fesses, elle
me repousse vivement me disant qu'elle a eu une journée fatiguante. J'en
suis convaincu... si elle savait !
Je lui en ai parlé un mois plus tard, elle m'avoua que c'était dans le
contrat que son chef lui avait proposé pour avoir le poste qu'elle
convoitait et qu'elle a obtenu.
Son chef, selon ses dires, ne lui a jamais plus fait l'amour, juste quelques
baisers ou attouchements. Il est vrai qu'il n'a que l'embarras du choix
autour de lui.
Je vous raconterai un autre épisode qui a suivi car mon épouse, de par
son poste, était devenue responsable du recrutement et en fait, dans cette
affaire, j'ai eu quelques compensations...
Caruso
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