TITRE : Ma femme se donne
Catégorie : 
Histoire érotique

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Je ne comprends pas encore aujourd'hui comment j'ai pu convaincre Virginie, ma femme, de faire ce qu'elle est en train de faire : coucher avec un autre homme pendant que je les mate !

Et pourtant, nous sommes là, chez Claude, dans sa chambre. Je suis assis sur un fauteuil et Virginie et lui sont dans le lit.

C'est suite à une émission que nous avons regardée, avec Mireille Dumas, qui recevait des couples comme ça, qui avaient eu envie de "pimenter" une vie sexuelle un peu monotone. Il y avait surtout un couple super sympa, pas l'air du tout obsédé ni rien, dont la femme se faisait prendre par des inconnus contactés sur Internet pendant que son mari regardait. J'ai dit que, tiens, moi aussi, ça ne me déplairait pas, comme ça, plus comme une boutade qu'autre chose. Mais Virginie a pris ça au sérieux, et une discussion s'est engagée sur notre vie sexuelle, mes envies, surtout. Et j'ai réussi, je ne sais comment, à lui faire croire que j'en avais vraiment besoin, que sinon je risquais d'aller voir ailleurs (je n'ai pas dit ça comme ça, mais me suis arrangé pour qu'elle le comprenne comme ça), et comme elle manque de confiance en son charme, elle a vraiment paniqué et a donc décidé d'accepter de tenter le coup une fois, pour voir. C'est Virginie qui s'est occupée des recherches sur Internet.

Ça a pris pas mal de temps jusqu'à ce qu'elle trouve un mec qui lui convienne à peu près, je commençais même à croire qu'elle n'allait finalement pas oser... et puis si, un soir, elle m'a annoncé que le samedi suivant on laissait les filles chez sa mère et qu'on avait rendez-vous chez un certain Claude, à Lyon.

Jusqu'au samedi, je me suis demandé à quoi il pouvait bien ressembler, et je dois dire que je me suis complètement trompé. Je m'attendais plutôt à un mec de notre âge (j'ai 30 ans et ma femme 27), jeune, mince, beau, et Claude est un grand brun, poilu, de 55 ans, costaud (à vu de nez, je dirais 1m85 pour 95 kilos) et un peu bedonnant (enfin, avec du ventre), pas particulièrement beau mais incontestablement viril. Avant de passer dans la chambre, il avait préparé une petite collation (un apéro amélioré), afin, dit-il, de faire un peu connaissance. Nous échangeâmes surtout des banalités. Mais il m'apparut plutôt avenant et, surtout, je ne lui trouvais pas trop l'air d'un obsédé sexuel, car c'est de ça que j'avais le plus peur, et je me dis que c'est peut-être ça qui avait fait pencher Virginie pour lui. Je remarquais quand même qu'elle était tendue, et elle parla peu, mais but plus qu'à son habitude. Je dois dire que moi non plus je n'étais pas très fanfaron, ne sachant pas du tout comment ça allait se passer, ce qu'ils avaient convenu entre eux, ni comment j'allais finalement réagir en la voyant se faire peloter, et sans doute plus, par un autre mec.

Nous passâmes dans la chambre. Virginie demanda la salle de bains, et disparut. Claude et moi n'osions pas nous regarder. Il s'assit sur le bord du lit, moi j'avisais le fauteuil. Mais Virginie revint aussitôt, en chemise de nuit. Ce fut ma première surprise de la soirée : à la maison, elle ne met que des pyjamas, et je soupçonne même qu'elle ait acheté cette chemise de nuit pour l'occasion. Plutôt courte, à bretelles, mais bien opaque, même si on pouvait deviner en-dessous sa culotte et la pointe de ses seins nus. Je trouvais qu'elle lui allait bien, et aux regards de Claude, je constatais que lui aussi semblait enfin intéressé, alors que jusque là, il l'avait, me semble-t-il, assez peu regardée. C'est vrai que ma femme n'a rien d'un top model, mais je lui trouve malgré tout un corps très excitant, et cette chemise de nuit mettait bien en valeur ses hanches rondes, ses seins, pas si petits qu'elle ne le pense, et surtout ses belles fesses rebondies à souhait.

Elle éteignit l'halogène, se glissa dans le lit. Bien que le couloir soit resté allumé, il faisait d'un seul coup presque noir dans la chambre, et je me dis que je n'allais quasiment rien voir. Mais Claude, après s'être désapé, sauf le slip, remit l'halogène en mode tamisé avant de se couler à côté d'elle.

Ainsi, pour la première fois, Virginie allait faire l'amour en pleine lumière ! J'espérais juste qu'ils n'allaient pas rester tapis sous les draps...

Mais Claude, déjà, se rapprochait de Virginie et je devinais que ses mains cherchaient sous les draps. Virginie, elle, semblait, ne pas trop savoir que faire, et quand il essaya de l'embrasser, elle détourna la tête. Il se mit alors à la bécoter dans le cou, sur les épaules, puis, à travers la chemise de nuit, sur les seins. Très vite je sentis, à ses mouvements saccadés, que Claude était de plus en plus excité. Alors, à mon grand bonheur, il rejeta les draps d'un grand geste et remonta la chemise de nuit de Virginie jusqu'au dessus des seins qu'il se mit à palper, triturer, lécher et mordiller avec frénésie. Virginie, raide et les yeux fermés, se laissait faire.

Puis Claude, de nouveau, essaya de l'embrasser et, même si elle commença par détourner la tête, il parvint tout de même à saisir ses lèvres serrées. En même temps il lui prit la main droite qu'il posa sur l'avantageuse excroissance qui emplissait déjà tout son slip. Mais elle l'effleura juste un peu avant de se diriger vers les hanches, puis les fesses. Claude continua de lui caresser les seins et de l'embrasser. Puis, pivotant les hanches afin de se mettre plus sur le dos, il écarta les jambes. Cette fois, Virginie commença à le caresser vraiment, en cercles de plus en plus appuyés, semblant enfin "se lâcher". Puis elle tira franchement sur le tissu et le sexe lourd de Claude jaillit, qu'elle prit aussitôt en main, commençant à le branler lentement. En même temps, ils s'étaient mis à s'embrasser vraiment, d'une façon que je trouvais tout à fait répugnante : Claude dardait vers elle sa langue longue et baveuse comme un sexe, et elle la saisissait entre ses lèvres pour la suçoter et l'aspirer comme un sorbet...

Je dois avouer qu'à les voir ainsi faire, je ressentis un réel pincement au coeur. Je n'aurais jamais cru voir ma femme se livrer ainsi et "aussi facilement" à un homme inconnu, surtout en sachant qu'elle n'avait jusque là connu d'autre homme que moi. Mais en même temps, je bandais comme un taureau à ce spectacle incroyablement excitant. Et alors que Claude, dont le sexe grossissait encore, tirait sur la culotte de Virginie, je baissais mon pantalon et mon slip pour commencer à me branler. Eux, maintenant, étaient parfaitement nus.

C'était bien sur la première fois que je voyais "en réel" un homme nu, jambes écartées en train de bander. Je ne pus alors m'empêcher de reluquer avec admiration cette verge que Claude offrait à ma vue et aux caresses de Virginie : pas du tout faite comme la mienne, très épaisse sur la première moitié, pour s'effiler ensuite un peu comme un obus, et recouverte d'une peau épaisse d'où le gland n'émergeait que lorsqu'il bandait vraiment à fond, elle était bien plus grosse et longue que la mienne. La main que Virginie promenait dessus en paraissait toute menue. Tout le contraire de la main de Claude s'activant sur sa chatte, une main énorme et fruste, presque bestiale, qui fourrageait maintenant sans ménagement entre ses lèvres tendres et roses. Virginie répondit à cette violente intromission par un long frémissement de tout son corps de plus en plus cambré. Puis ses cuisses, petit à petit, se desserrèrent, pour finir par s'écarter largement lorsque son amant commença de la besogner avec deux, puis trois doigts...

Durant tout ce temps ils n'avaient pas jeté un coup d'oeil dans ma direction. J'en vins même à penser qu'ils avaient fini par oublier ma présence. J'en fus, d'un coup, extrêmement mortifié. Je ne reconnaissais plus du tout ma Virginie dans cette femme languissante et en même temps de plus en plus active, que ce soit par ses baisers, toujours plus indécents et appuyés (elle lui bouffait littéralement la langue) que par ses caresses, toujours plus intimes, ses doigts remontant le long de la verge jusqu'aux grosses couilles velues et poursuivant même jusqu'à l'anus, ce qui faisait violemment tressaillir Claude.

Je crois bien que c'est Virginie, alors, qui, l'enserrant de ses cuisses et de ses bras, a attiré Claude sur elle. Et, comme s'ils avaient été aimantés l'un par l'autre, leurs sexes se trouvèrent exactement en contact ; Claude n'eut plus qu'à se laisser tomber en elle, de toute sa masse, la déchirant jusqu'au plus profond et lui arrachant le premier véritable râle d'amour que je lui aie jamais entendu émettre.

La suite fut tout à la fois pour moi un calvaire et une ivresse sans nom. Il ne pouvait y avoir de doute sur le fait que Virginie était en train, devant moi, de prendre son pied comme jamais. C'est à dire que Claude était en train de lui donner ce que je n'avais jamais réussi à lui donner, du moins avec cette intensité, et c'était tout à fait insupportable. Mais en même temps, le « spectacle » était d'une sensualité absolument torride. Et de voir Virginie sous ce jour, offerte, gémissante, exultant de tout son corps, elle m'apparaissait « plus nue » que je ne l'avais jamais vue.

En même temps, Claude, qui avait enfin lâché sa bouche, se mit à commenter leurs ébats :

- Oui, ma chérie, oui... comme ça, oui, c'est bon, n'est-ce pas ? Tu sens ma grosse queue dans ta chatte ? Tu la sens ?... Comme tu es bonne... Je n'ai jamais baisé une nana comme toi... Tu mouilles tellement, une vraie fontaine... C'est bon, hein, c'est bon ? Tu veux que je te baise encore ? Dis-moi ? Tu en veux encore ?

- Oui...

- Tu en veux encore ? Dis-moi « oui, j'en veux encore », dis-le moi !

- ...Oui... J'en veux encore... oui...

- Dis-moi de te baiser encore...

- Oui... Baise-moi... Baise-moi encore...

Je n'aurais jamais cru Virginie capable de dire ces mots, mais elle semblait comme en transe...

Je ne pus m'empêcher de me lever enfin de mon fauteuil pour venir me placer, me branlant toujours, tout près du lit, mon regard n'arrêtant pas de passer du visage extatique de Virginie, vision sublime, à son entrejambe écartelé, vision horrible mais néanmoins hypnotique. Bientôt je ne vis plus que ça : ce piston énorme s'enfonçant entre les lèvres cramoisies, puis ressortant, rouge, veineux, gluant, pour s'enfoncer à nouveau, toujours plus loin, inexorablement. Je voyais aussi tressauter en rythme les fesses de Claude, molles, poilues, ou je devinais l'anus, ses couilles gonflées s'en venant battre contre les cuisses de Virginie, maintenant littéralement arc-boutée et agrippée à son amant qui s'était remis à l'embrasser à pleine bouche, à pleine langue.

Ce n'était pourtant pas une simple partie de plaisir pour Virginie dont le corps se révoltait à chaque fois que Claude la plantait trop profondément ou trop violemment. Elle avait posé ses mains sur les hanches de son amant, dans une tentative pour le diriger ou le maîtriser un peu. Il me faut redire qu'il avait vraiment un membre énorme, et je me demandais si Virginie le savait avant de venir... Mais peut-être l'avait-elle choisi pour ça !

C'est sans même l'avoir senti venir que je me mis à jouir. Mon sperme jaillit d'un coup, avec une abondance et une violence dont je ne me savais pas capable. Il gicla vers le lit et quelques gouttes atteignirent même leurs flancs emmêlés et suants. Je crois qu'ils ne le sentirent même pas... Une fois encore, j'avais joui trop vite, trop tôt, mais cette fois ce n'est pas Virginie qui eut à le regretter, pas elle qui fut interrompue dans la montée de son plaisir par ma jouissance prématurée. Et je me retrouvais là, comme un con, la queue déjà en berne, dans cet état vaguement dépressif qui suit l'éjaculation, assistant au triomphe du sexe, jaloux à crever d'un homme capable d'amener une femme, que je croyais coincée, à de tels degrés de jouissance. Et elle jouit à son tour, dans un « ouiiiii » qui n'en finissait plus de clamer le délire de ses sens, la tête incroyablement rejetée en arrière, le visage soudain vidé de son sang...

Mais Claude n'avait pas joui et continuait de la baiser, ajoutant sans doute encore à son plaisir. Simplement, lors d'un va-et-vient un peu plus ample, sa bite ressortit entièrement. Et c'est alors presque naturellement qu'elle glissa vers l'anus de Virginie qui, à cet instant précis, était aussi lascive qu'un pantin désarticulé. Il eut juste à repousser un peu plus ses cuisses en arrière : l'entrejambe de Virginie était tellement trempé que la bite parfaitement huilée de Claude entra du premier coup, s'enfonçant de près de la moitié de sa longueur ! Virginie, sortant brusquement de son abandon, sembla ruer sous l'outrage. Relevant la tête et ouvrant les yeux pour la première fois depuis le début, elle me chercha d'un regard implorant. Mais Claude poussait son avantage et s'enfonçait encore.

- Que tu es belle, ma chérie... Comme j'ai envie de toi comme ça...

Virginie se cambra, lèvres mordues, tout son corps se révoltant, mais je détournais le regard. Je ne savais pas, bien sûr, ce qu'ils avaient convenu entre eux, mais je me doutais bien que cette défloraison n'y figurait pas et que, donc, Virginie n'était pas consentante. Pourtant je ne bougeais pas non plus, comme tétanisé. Elle sut sans doute aussitôt qu'elle était vaincue, que le dernier sanctuaire de sa pudeur et de ses tabous - dans lequel je n'avais jamais pu glisser ne serait-ce qu'un doigt -, était en train de tomber, profané par cet homme qu'elle ne connaissait pas il y a une heure. Impuissante, elle referma alors les yeux, et, sans doute clouée autant par la honte que par le membre de son amant, ne se défendit plus, se remettant juste à gémir en rythme, tandis que Claude profitait de son relâchement pour aussitôt s'enfoncer plus loin et la défaire sans plus de ménagement de son ultime virginité.

- Voilà, oui, comme ça, ma chérie, ma petite novice, laisse-toi faire, moins tu résistes et moins tu auras mal, voilà, oui, ouvre bien ton cul, écarte encore tes cuisses, voilà, comme ça, tu vois que ce n'est pas si terrible... Tu sens ? Je suis presque entièrement au fond de toi, maintenant, mais on a le temps, ma chérie, tout le temps, oui, voilà, attends, je me retire un peu... voilà, tu peux souffler un peu, et te détendre, voilà... attention, j'entre à nouveau, là... oui... voilà, oui, ne serre pas les fesses, au contraire, ouvre-toi, oui, comme ça oui, comme si tu poussais, c'est bien, c'est très bien... voilà, toi aussi, pousse... oui... oui... comme ça, oui... Oh oui, que c'est bon... que tu es bonne...

Était-ce la voix persuasive de Claude ? Décida-t-elle, finalement, d'oublier sa pudeur et ses tabous ? Ou fit-elle simplement en sorte que ce soit le moins douloureux possible, en y mettant du sien. Toujours est-il que son attitude sembla changer peu à peu, et Claude le sentit sans doute encore mieux que moi.

- Le plus dur est fait, tu sais, maintenant que ton sphincter s'est bien relâché... tu n'aurais jamais cru que ma bite entrerait entièrement dans ton cul, hein ? Et pourtant, regarde... non, non ! ne te défends pas, non, je vais te faire mal, sinon... oui, voilà, oui, comme ça, oui... oui... voilà, oui, j'y suis, oui ! Ah oui ! Je suis tout au fond, tout au fond de ton petit cul... Vas-y, remue un peu tes reins, oui, voilà, oui, encore, encore ! Que c'est bon, que c'est bon... Oh oui... voilà, attends, je reviens encore, comme ça, laisse-toi aller, ça y est, oui, au fond, au fond ! Encore ! Encore ! Pousse, pousse ! Oui, tu me sens, tu me sens ?... Oh, je vais jouir, je vais jouir ! Serre les fesses ! Oui, serre les fesses... encore, oui, ahhhhhhh...

Et Claude, dans un incroyable spasme qui cloua Virginie sur le lit, jouit enfin, tout au fond de son rectum, tandis que, dans un ultime gémissement, Virginie jouissait à son tour, peut-être plus fort encore que la première fois, tout son corps secoué de convulsions qui ressemblaient à des sanglots. Et, d'ailleurs, de grosses larmes se mirent à couler sur ses joues...

- Oh oui, mon amour, ma belle, quel pied ! Quel pied ! Ç'aurait été dommage de ne pas connaître ça, non, tu ne crois pas ? Pour toi, et pour ton mari, car lui aussi, maintenant, tu le laisseras t'enculer...

- ...

- Hein, lui aussi ?... Dis-moi oui...

- Oui... murmura-t-elle dans un gémissement.

- Oui ? Tu voudras qu'il t'encule ? Tu voudras ?

- Oui... gémit-elle encore.

Claude, alors, essaya de l'embrasser, mais Virginie détourna la tête. Je la devinais terriblement mortifiée d'avoir joui, donc d'avoir aimé ça, quand elle venait d'être proprement sodomisée, violée, souillée au plus profond de son être, baisée comme une vraie salope. Mais son corps ne lui obéissait plus et continuait de frémir et de vibrer sous les baisers que Claude, maintenant, déposait dans son cou, sur ses épaules et sur ses seins tendus, sensibles, à la limite de la douleur. D'autant que, toujours profondément planté en elle, il continuait à se vider dans son cul, en petits soubresauts ridicules.

De mon côté, toujours debout près d'eux, j'avais recommencé à bander et à me branler. Je me penchais alors sur Virginie pour prendre sa bouche. Elle se jeta à mon cou, comme une noyée, en un mouvement tellement soudain de tout le corps que Claude se trouva rejeté hors d'elle, et que moi, perdant l'équilibre, je leur tombais dessus. Lançant aussitôt ses jambes autour de mes reins, elle me souffla « viens... » . Alors, de toute la force de l'humiliation que je venais de subir de l'avoir vue se donner et jouir à ce point, et par tous les trous !, je me ruais sur cette femme offerte comme jamais et c'est dans son cul encore béant, luisant, que mon sexe entra jusqu'à la garde sans presque que j'eus à pousser !

- Vas-y, mon gars ! approuva Claude, se décalant un peu sur le côté pour mieux voir. La place est chaude, si j'ose dire...

Et je dois avouer qu'elle est bonne ! J'étais plutôt sceptique, avant votre venue, et Virginie sait que j'avais hésité, et quand je l'aie vue, pourquoi ne pas le dire, elle le sait elle-même, d'ailleurs, je ne l'aie vraiment pas trouvée très bandante. En plus, à travers ses mails, je savais qu'elle était plutôt coincée... C'est le « challenge » du truc qui m'avait finalement décidé. Mais là, je dois dire qu'elle m'a vraiment bluffé, je pensais qu'il faudrait plusieurs séances pour la décoincer suffisamment, mais quand, dès nos premières caresses, je l'ai sentie s'abandonner, me rendre mes baisers, et mouiller comme elle l'a fait, j'ai su que j'allais pouvoir tout lui faire, qu'au fond elle n'attendait que ça. Je ne crois pas qu'elle le regrette, puisqu'elle a joui comme sans doute jamais, excuses-moi ; et même si elle en a honte, ça lui passera ! Quand à moi, j'ai également pris un sacré pied : ce n'est pas tout les jours qu'on a l'occasion de dépuceler un cul pareil, à la fois si serré et si accueillant : quand je pense que sans vaseline, j'ai quand même réussi à l'enculer à fond !... N'est-ce pas mon gars, qu'il est accueillant, son cul ?

Et tandis qu'il prononçait cette dernière phrase, j'éjaculais au fond de cet anus enfin possédé, à grands jets brûlants, remerciant finalement Claude sans qui je n'aurais sans doute jamais connu le plaisir d'enculer Virginie...

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