Nous avions loués une villa en afrique le boy venait chaque soir épier Christine sous la douche, elle dormait mal à cause de la chaleur et avait prit un somnifère.
Elle était allongée sur le lit quand je vis le boy à la porte de la chambre regarder ma femme avec insistance. Elle portait un chemisier léger et sa jupe était remontée sur ses cuisses bronzées.
Je commençais à défaire les boutons du chemisier et l'ouvrit révélant les seins de ma femme je me mis à les caresser tout doucement... Sans réactions j'invitais le boy à toucher la poitrine offerte. Il posa sa main sur la peau tiède des seins offerts qu'il commença à tripoter. Il sortit sa bite, il bandait comme un boeuf et entreprit de se branler...lentement... Je saisis le bord de la jupe pour la remonter, la culotte apparut.
On distinguait parfaitement le renflement du pubis au travers du tissus. Je saisis l'élastique pour baisser sa culotte... révélant sa belle chatte touffue...
Le boy posa une main sur sa touffe qu'il caressa longuement tandis que de l'autre il tâtait ses seins...
Je ne pouvais résister à la tentation de me branler devant cette scène qui m'excitait prodigieusement.
Dans son sommeil, Christine écarta ses cuisses, il introduisit le bout de ses doigts entre les lèvres et tout doucement, il se mit à les faire aller et venir.
Christine gémissait plongée dans un sommeil profond. Le boy vint entre ses jambes écartées, pointa sa bite et commença à pénétrer la chatte de ma femme. Il enfonçait doucement sa grosse bite dans la vulve puis il commença à la baiser. Il allait et venait dans la chatte offerte de plus en plus vite, il se figeat.
Je compris qu'il jouissait dans la chatte de ma femme. Il se retira et sortit doucement de la chambre.
Je regardais ma femme les seins à l'air, la jupe retroussée sur son ventre, les cuisses écartées révélaient au travers du triangle de poils de sa toison la chatte entrouverte et totalement offerte.
Je m'agenouillais entre ses cuisses, la pris par les fesses et la soulevait.
Je regardais la chatte de ma femme face à ma bite tendue, cette chatte qui venait d'être fourrée sans qu'elle s'en rende compte.
D'un coup de rein je l'emmanchais d'un seul coup jusqu'aux couilles. Sa chatte était chaude et onctueuse.
J'allais et venait dans le sexe offert de ma femme toujours endormie et je jouis longuement en lui tripotant les seins