TITRE : Ma femme a invité ses copines
Catégorie : 
Histoire Lesbienne

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Ce soir, je suis à nouveau contraint de tenir le rôle de spectateur. Ma femme, Célia, a invité ses copines à la maison. Elles sont toutes lesbiennes et, d'ailleurs, c'est surtout pour cette raison qu'elles sont devenues des amies pour mon épouse. Moi, j'ai tout juste le droit de les observer quand elles se gouinent dans mon salon. Je ne peux pas me manifester car je ne suis tout simplement pas là ce soir. Elles pensent toutes que ma femme est seule et que je suis en déplacement au Japon pour de longues semaines. J'ai réussi à obtenir l'autorisation de jouer au voyeur, mais c'est bien la seule concession que Célia a voulu m'accorder. Je ne dois pas faire de bruit et ne pas déranger ces dames pendant leurs ébats. Je peux me branler en les regardant, mais uniquement si je sais demeurer discret.

Les trois jeunes femmes qui arrivent à la maison sont toutes à peu près du même âge que mon épouse, la trentaine environ. Elle les a connues à son cours de théâtre. C'est un repaire d'irréductibles bobos parisiens amateurs de culture décadente (ils diraient sans doute "avant-gardiste" ou "progressiste"). Je crois que c'est au cours d'un week-end de répétition que la troupe avait organisé que les penchants lesbiens de certaines des théâtreuses du groupe se sont révélés, à l'instigation d'une femme "libérée" et entreprenante, Mathilde. Au bout de quelques semaines, j'ai vu débarquer la folle équipe de gouines chez moi, non sans avoir été au préalable briefé par Célia qui m'a fermement imposé de me cacher. Depuis lors, je subis ce genre de visite une fois par mois environ, quand c'est au tour de ma femme de recevoir. En dehors de ces soirées, je continue à la posséder physiquement, même si nos relations ont tendance à évoluer vers une plus grande soumission de ma part et des demandes plus explicites de la sienne. Par exemple, elle souhaite maintenant que je lui lèche le sexe, alors qu'elle s'y était toujours refusée auparavant. Elle ne se prive cependant pas de me faire remarquer que ses copines sont plus douées que moi en ce domaine. Je prends mon parti de cette situation car, malgré tout, j'aime Célia.

En ce moment, je suis caché derrière un miroir sans tain que j'ai fait installer, en accord avec ma femme au-dessus de la cheminée du salon. Je suis installé confortablement dans un fauteuil, un verre de whisky posé à côté de l'accoudoir. En fait, c'est un peu comme si je regardais un film porno, à ceci près que l'un des rôles principaux est tenu par mon épouse. C'est plutôt agréable en fin de compte, même si, par moments, j'apprécierais de pouvoir me joindre à la scène.

Là, par exemple, les quatre gouines sont à poil. Deux d'entre elles sont affalées sur le canapé d'angle, les jambes pendantes, le cul sur le bord du siège. Entre leurs cuisses, les deux autres s'activent. Elles ont collé leurs bouches sur les sexes offerts et les lèchent vicieusement. Elles ont toutes les deux glissé une main vers leurs chattes et se caressent en même temps. De là où je suis, j'ai une vue imprenable sur le gros cul de Mathilde. Elle se doigte la fente tout en broutant le minou de Sandra. Je vois son doigt qui passe sur toute la longueur et vient même la toucher entre les fesses. Oui, c'est bien ça, cette gouinasse se tripote le cul. Si elle savait que je la mate...

Sur les côtés du miroir, j'ai placé de petits microphones reliés à des haut-parleurs situés dans ma pièce. Cela me permet d'entendre les propos et les gémissements des folles du cul qui baisent devant moi. J'avais tout d'abord pensé à percer de simples trous, mais ça ne m'aurait pas permis de jouir bruyamment moi-même sans prendre le risque d'être découvert par ses dames. Car, évidemment, vous l'aurez deviné, je me branle pendant le spectacle.

Il faut dire que celui-ci est excitant. En ce moment, les deux filles qui offrent leurs sexes à déguster s'embrassent en se touchant les seins. Devant elles, les mains de leurs copines ont changé de place. Ou plutôt, elles ont échangé leurs places. Mathilde et ma femme se branlent mutuellement la chatte et le cul. C'est la première fois que je vois un doigt caresser l'anus de Célia. Il y a plein de mouille dessus et sa maîtresse lui en barbouille le pourtour. Elle n'entre pas dans le trou, mais se contente de le masser. Maintenant, je comprends mieux pourquoi mon épouse a guidé ma main vers cette partie secrète de son anatomie lors de notre dernière partie de baise. Elle a l'air d'apprécier les attouchements de Mathilde et ne se prive pas de lui rendre la politesse.

Un peu plus tard, les deux bouffeuses de vulve se redressent et prennent la place de leurs camarades. Je m'attends à ce que celles-ci leur renvoient l'ascenseur, mais non, ce n'est pas prévu au programme. Les jeunes femmes s'emparent de deux jouets, deux godes ceinture qu'elles s'empressent d'enfiler. Deux doubles-godes ceintures devrais-je dire. En effet, montés sur le harnachement, il y a un gros membre tendu et un autre, au-dessous, à peine plus petit. Une fois correctement harnachées, les lesbiennes se glissent entre les jambes de leurs partenaires et viennent frotter le bout des engins sur leurs fentes palpitantes. J'entends les premières paroles de Célia :

- Oui, viens me le mettre bien loin dans le ventre ! Il est gros, ça me change de celui de mon homme. Prends-moi, mon petit mec, tire-moi bien et fais-moi jouir !

Là, elle exagère, je sais bien qu'elle dit ça pour faire plaisir à sa gouinasse, mais quand même, elle sait que je l'entends. Un minimum de respect s'impose, non ?

- Viens me fourrer ta grosse queue dans la chatte et remplis-moi ! Active-toi dans mon ventre et n'oublie pas de me taper sur le clito ! Et puis, occupe-toi aussi de mon cul, je veux jouir de partout, tu m'entends ?

La fille qui jusque là se contentait de lui glisser le nœud du gode sur la fentine vient de le faire entrer. Elle commence à se balancer d'avant en arrière. Le bout du petit membre se rapproche alors des fesses de Célia. Je vois qu'elle les écarte avec ses mains, la vicieuse. Son petit trou apparaît. Le gland factice vient cogner contre.

- Viens, viens m'enculer ! N'aie pas peur, Mathilde m'a bien préparée tout à l'heure. Elle prépare les culs comme personne. Prends-moi avec ta bite !

Son amante obtempère. Elle pousse son bassin en avant et appuie sur l'œillet qui cède sans difficulté sous l'assaut du gode. Puis, lentement, elle poursuit le balancement qui fait tant de bien à Célia. Juste à côte, Mathilde reçoit le même traitement de la part de la quatrième gouine. Elle semble encore plus hystérique que ma femme si j'en juge par les mouvements obscènes qui agitent le bas de son ventre. Elle vient à la rencontre des deux godemichets qui la fouillent par-devant et par-derrière pour mieux les sentir au fond d'elle. Sur le canapé, Célia adopte peu à peu le même rythme, au fur et à mesure que le plaisir la possède. Ses suppliques se font plus intenses :

- Ah oui, tu me limes bien ! J'aime comme tu me tringles la chatte et le cul petite salope. Surtout le cul, tu es une enculeuse de première ! J'en ai le fion qui mouille, ça coule sur le siège. Tu vas me faire jouir gouinasse !

A l'autre bout du gode, la " gouinasse " en question semble tout autant échauffée que ma femme. Je ne vois pas bien son visage d'où je me trouve, mais les mouvements de son corps trahissent son excitation. Sa longue chevelure rousse vole dans tous les sens. Elle se hasarde à répondre à Célia :

- C'est toi la salope. C'est toi la chienne qui se fait enculer par sa maîtresse pendant que ton mari baise des japonaises. Tu sens bien comme je te troue le cul et la chatte ? Je sais que tu aimes ça, tu es une vraie folle du sexe, espèce de dépravée ! Tiens, prends ça... Et encore ça...

Sur mon fauteuil, ça fait un moment que je m'astique la tige. En fait de japonaise, c'est la veuve poignet qui me tient compagnie. Faute de grives...

Dans le salon, c'est l'apothéose. Les corps s'entremêlent, les membres se lient. Mathilde fourre sa langue dans la bouche de Célia, étouffant ses cris et ses gémissements. Les ventres des quatre lesbiennes se sont rapprochés. Les enculeuses se caressent tout en continuant à bourrer les orifices avides de jouissance des enculées. Les godes sont prisonniers de leurs cages dorées. Les jus féminins dégoulinent sur les jambes de ces dames. Quand la première jouit (je ne saurai dire laquelle), les autres embrayent aussitôt. Elles se serrent les unes contre les autres. Je trouverais presque ça touchant, cet enchevêtrement de corps de femmes, étalés sur le canapé. Dire que la soirée ne fait que commencer...

 

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