TITRE : Ma cousine France-Agnès
Catégorie : 
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Par une superbe matinée ensoleillée d'un dimanche de printemps, mes parents m'emmenèrent passer toute la journée chez un oncle et une tante. Je ne les avais encore jamais vus mais je savais qu'ils avaient une fille unique plus âgée que moi. À vrai dire, passer cette journée entière chez une sœur de mon père que je ne connaissais pas ne m'enchantait guère mais je ne pus trouver aucune excuse pour échapper à ce que je considérais vraiment comme une corvée. M'ennuyer un dimanche complet dans un petit bled éloigné de tout ne me plaisait franchement pas et j'étais parti en pensant que ce serait vraisemblablement une journée de gâchée.

Nous arrivâmes enfin dans un petit village et, sans avoir l'air de chercher sa route, mon père conduisit la voiture à la sortie de la localité puis nous pénétrâmes dans une ancienne cour de ferme. Au fond de cette cour, se dressait une très jolie maison toute couverte de lierre aux feuilles d'un vert éclatant.

Au bruit des pneus crissant sur les graviers, un couple s'avança sur le pas de la porte et je vis le visage de mes parents s'illuminer. Ils étaient visiblement très heureux de les revoir après de si longues années. Les embrassades furent chaleureuses et je ne pus couper aux compliments du genre : « Quel beau jeune homme, c'est vraiment tout le portrait de son père au même âge ! ». Je me sentis rougir jusqu'à la racine des cheveux... Mais je dus sûrement rougir encore beaucoup plus lorsque je vis une superbe jeune fille apparaître dans l'encadrement de la porte. Elle était vraiment très belle et c'était assurément ce que l'on nomme un véritable canon...

Elle avait de magnifiques cheveux longs, bruns et souples qui lui caressaient les épaules. Ses yeux ronds, bleus très clairs et très vifs illuminaient son visage qu'un merveilleux sourire rendait encore plus doux. Elle portait une très jolie robe rouge qui semblait si légère et si souple qu'elle paraissait flotter sur son corps. Cette robe était tenue par deux fines bretelles qui lui dégageaient les épaules complètement nues. L'ample décolleté arrondi dévoilait tout le haut de sa poitrine ainsi que l'origine du large et profond sillon séparant ses seins qui semblaient bien plantureux, quant à la robe, elle était assez courte pour lui découvrir clairement la moitié des cuisses. Celle-ci mettait ses formes en valeur et permettait d'admirer ses jambes longues aux mollets et aux cuisses d'un galbe parfait, les genoux et les chevilles étaient fins sans pour cela être osseux. J'avais du mal à détacher mon regard de cette jeune fille splendide au corps semblable à celui d'une déesse. Ma tante me sortit de mon rêve en disant :

- Voici France-Agnès, notre fille unique...

Ma cousine vint d'abord embrasser mes parents et lorsqu'elle s'approcha de moi pour me faire la bise, je sentis mon cœur battre à toute volée... Il cognait si fort que je craignais même qu'on ne l'entendît... Elle posa directement ses mains sur mes épaules et m'attira à elle, les seins franchement appuyés contre ma poitrine. Je sentais la chaleur de son corps contre le mien ainsi que l'odeur d'un parfum très subtil, puis ses lèvres fraîches déposèrent deux baisers sonores sur chacune de mes joues brûlantes... Baisers que je pus à peine lui rendre tant j'étais intimidé. Elle ouvrit la bouche et j'entendis pour la première fois le son de sa voix :

- Bonjour Lucien, je suis très heureuse de te connaître, j'espère que nous allons passer une bonne journée.

- Bonjour France-Agnès, balbutiai-je gauchement.

Elle sourit, se rendant sûrement compte de ma grande timidité et vint se placer tout près de moi, presque à m'effleurer.

Ma tante nous proposa de nous faire visiter leur propriété tout en en profitant pour relater ce qui s'était passé pendant cette longue période de séparation. France-Agnès me dit alors :

- Lucien, si tu es d'accord, j'ai plutôt envie qu'on aille se promener avant le déjeuner, cela permettra à nos parents de se raconter tout ce qu'ils ont à se dire sans qu'on soit en permanence dans leurs jambes.

Devant ma mine interrogative, ma tante approuva la suggestion de sa fille :

- Mais oui France-Agnès, c'est une excellente idée, cela vous fera du bien de prendre l'air et vous pourrez ainsi faire connaissance.

Bien que réellement fort intimidé, j'étais vraiment très heureux de passer cette fin de matinée tout seul avec ma jolie cousine.

Alors que mes parents pénétraient dans la maison, France-Agnès s'avança dans l'allée sur le côté droit de la demeure... Je voyais ses cheveux danser sur ses épaules et surtout sa robe légère flotter sur son corps, ses fesses rondes moulées par la fine étoffe ressortaient encore plus à chaque pas qu'elle faisait et je voyais même par instant se dessiner les contours de sa petite culotte.

- Tu viens Lucien, me dit-elle, en se retournant avec un large sourire.

Je la suivis avec plaisir et en quelques enjambées, j'arrivais à sa hauteur.

- Tu sais, je suis vraiment très heureuse d'être avec toi. Mais pour être franche, cela m'ennuyait pourtant de recevoir des parents que je ne connaissais absolument pas. Mais quand j'ai appris qu'il y avait un garçon de ton âge cela me déplut un peu moins et quand je t'ai vu tout à l'heure, aussi mignon, aussi timide, j'ai pensé qu'il allait sûrement être très agréable de passer une journée entière tous les deux...

- C'est pareil pour moi, je pense aussi que cette journée sera bien plus plaisante que je ne pouvais l'imaginer.

- Vrai ? Alors comment me trouves-tu ?

Cette première question aussi directe fit resurgir ma timidité et je répétais plusieurs fois :

- Heu... Heu... Heu...

France-Agnès se mit à rire :

- Allons, Lucien, ne sois donc pas si timide, je te sens comme bloqué, mais j'espère pourtant que tu me trouves sympa. Tu sais, je suis un peu curieuse, j'adore poser plein de questions et j'aime également qu'on me fasse des confidences, cependant j'adore aussi en faire... Tu as quel âge exactement ?

- Dix-huit ans...

Cela me brûlait les lèvres de rajouter : « Et toi France-Agnès ? », mais les mots restèrent bloqués dans ma gorge, heureusement ma cousine vint immédiatement à mon secours...

- J'ai un peu plus de vingt ans... Mais tu sais, tu fais physiquement bien plus que ton âge, alors ne sois donc pas aussi timide. On n'est que tous les deux, on peut tout se dire, tout se confier...

Ce compliment me fit battre le coeur...

Tout en marchant j'observais France-Agnès le plus discrètement possible, mais ce n'était pas facile car, elle aussi tournait fréquemment son regard vers moi. Je voyais ses seins remuer en cadence sous sa robe, ils semblaient fermes, souples et ils avaient surtout des proportions qui paraissaient réellement très avantageuses...

France-Agnès remarqua bien vite que je la contemplais sans cesse du coin de l'œil mais apparemment c'était loin de lui déplaire, car elle accentua même légèrement les mouvements de son corps sautillant légèrement ce qui fit encore davantage bouger ses seins sous la robe légère.

Aux mouvements de ceux-ci qui remuaient si librement, je supposais qu'elle ne devait sûrement pas porter de soutien-gorge et parfois sa poitrine se soulevait tellement que j'avais l'impression que les seins allaient s'échapper par le large décolleté. France-Agnès se tourna franchement vers moi et me regarda en souriant, ses yeux semblaient me dire : « Lucien, tu as un regard vraiment coquin, mais ne te gêne pas pour me reluquer, j'adore ça et j'aime mettre mon corps en valeur... »

Je me sentis rougir, car j'étais maintenant certain qu'elle avait remarqué que mes yeux parcouraient ouvertement son corps de la tête aux pieds. Ma cousine reprit la conversation tout en continuant à me faire deviner ses jolies formes qui jouaient sous la robe :

- Dis Lucien tu as une petite amie ?

- Non, des copines, mais pas vraiment de petite amie.

- Tu n'en as jamais eue ?

- Heu... Heu... Non... bredouillais-je, tout de même un peu honteux de devoir lui avouer mon absence totale d'expérience dans ce domaine.

France-Agnès remarqua mon embarras et me gratifia aussitôt d'un très large sourire...

- Allons Lucien ne sois pas choqué ni surtout vexé par ma question, tu sais c'est juste pour mieux te connaître et ce n'est pas si grave, tu es encore jeune...

Elle semblait visiblement craindre de m'avoir blessé, elle tentait de me rassurer et les larges sourires qu'elle me prodiguait étaient comme des caresses...

Tout en parlant, le chemin que nous empruntions se mit à longer un bois. France-Agnès fit alors rapidement quelques pas devant moi, puis elle sauta pour attraper une feuille d'arbre accrochée à une basse branche qui surplombait le chemin. Lorsqu'elle leva les bras en s'élançant pour la saisir, sa robe légère remonta tout en haut de ses cuisses mais, le tissu étant très souple, elle redescendit beaucoup moins vite que le corps de ma jolie cousine. Je n'en croyais pas mes yeux, mais j'eus ainsi largement le temps de voir entièrement sa petite culotte de couleur noire. Je ne m'attendais pas du tout à cette couleur que je trouvais réellement très sexy et surtout excitante car elle tranchait très nettement avec sa robe d'un rouge écarlate. Le noir faisait encore plus ressortir la peau claire de ses cuisses et de ses fesses. Cette vision m'excita réellement, car moi qui étais d'habitude d'une timidité presque maladive, surtout envers les femmes, je ne pouvais maintenant vraiment plus détacher mon regard de ce corps qui ne demandait qu'à être admiré. Ma cousine en se retournant remarqua aussitôt mes yeux qui n'avaient pas encore quitté le haut de ses cuisses.

J'étais d'ailleurs persuadé que le geste de France-Agnès pourtant si naturel et si spontané avait en réalité été prémédité. Elle savait très bien qu'en sautant ainsi pour attraper une feuille, sa robe si fluide ne pourrait que remonter en haut de ses fesses afin de me permettre de voir un instant sa petite culotte. Je réalisais maintenant que ma cousine devait sûrement être une sacrée salope, qu'elle désirait réellement me montrer son joli petit cul rond ainsi que ses dessous sexy et cela m'enleva tout scrupule à oser regarder son corps que j'admirais tellement. Il ne s'agissait plus d'une vision coquine que j'aurais dérobée sans son consentement, mais d'un vrai cadeau qu'elle m'offrait avec plaisir.

Sans sembler être aucunement gênée par le fait que j'avais sans aucun doute possible vu très distinctement son petit slip tout noir, France-Agnès continua très naturellement la conversation avec des précisions d'une telle hardiesse qu'elles me surprirent beaucoup mais surtout me plurent énormément...

- Tu sais, moi j'ai déjà eu plusieurs petits amis, mais je n'en ai pas encore trouvé un qui réussisse vraiment à me conduire jusqu'à l'orgasme total. Par contre, j'y parviens souvent moi-même en me caressant... Aussi j'aimerais bien trouver un homme qui me fasse réellement jouir... Et toi Lucien, tu te caresses aussi ?

- Tu veux dire si ?...

- Si tu te masturbes ? Oui, c'est ça !

- Euh... Oui... Ça m'arrive...

- Allons mon cher cousin, ne sois donc pas choqué, c'est une pratique normale et même nécessaire... Moi-même, je me caresse et je me masturbe assez souvent. J'adore commencer par glisser ma main entre mes cuisses, ensuite je me touche la petite culotte... Puis ensuite j'introduis les doigts dans mon slip... Tu vois, il faut également oser raconter ce que l'on aime se donner comme plaisir, je ne trouve pas ça vicieux du tout, bien au contraire... J'aime... Ça ne te choque pas ce genre de confidences ?

- Non, je n'ai pas l'habitude, c'est tout...

- Alors, puisque tu es d'accord, on va pouvoir continuer à nous raconter nos petits secrets...

En me faisant ses confidences si intimes, France-Agnès s'arrêta de marcher et se mit à cueillir des marguerites qui fleurissaient en bordure du chemin. Mais au lieu de s'accroupir, elle se pencha en avant, les jambes tendues et très légèrement écartées. Sa mini-robe remonta immédiatement au-dessus de ses fesses me laissant admirer tout le temps que je le désirais le dos et le fond de sa petite culotte dont la couleur noire m'excitait réellement de plus en plus. Cette position fort penchée en avant tendait la fine culotte de nylon sombre sur la raie des fesses les laissant apparaître dans toute leur adorable rondeur. Entre ses cuisses, je devinais même la forme de sa chatte qui gonflait le fond de son slip.

France-Agnès tourna la tête comme pour s'assurer que j'observais bien le joli spectacle qu'elle m'offrait d'un geste si naturel. Voyant mes yeux briller de plaisir, elle m'adressa un large sourire dans lequel je vis une invitation à la regarder sans aucun scrupule et sans aucune gêne, mais j'y décelais surtout une très grande coquinerie...

- Viens donc cueillir quelques fleurs aussi...

Abandonnant alors à regret ma position avantageuse de voyeur, je me plaçais presque en face d'elle et je me baissais pour cueillir les marguerites.

Un instant je vis presque entièrement les seins de France-Agnès par le décolleté de sa robe, car ma cousine était complètement penchée en avant et celui-ci s'était largement ouvert. J'avais maintenant acquis la certitude qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Elle avait les seins en forme de poire, légèrement écartés et d'un volume qui dépassait incontestablement ceux de mes copines que j'avais pu apercevoir, entre autre à l'occasion de sorties à la piscine. Le bord du décolleté m'avait toutefois masqué la vue de ses tétons, sans cela ma vision eut été vraiment parfaite... Je le regrettais d'ailleurs franchement car j'aurais bien aimé voir entièrement sa jolie poitrine complètement dénudée...

Puis France-Agnès me fit résolument face à environ deux mètres de moi et elle s'accroupit en écartant carrément les jambes afin de mieux atteindre les fleurs qui se trouvaient entre nous deux. Sa robe courte et si légère remonta immédiatement très haut sur ses cuisses découvrant ainsi son joli petit slip noir tendu sur sa chatte dont je devinais nettement la forme des lèvres et même de la fente sous le nylon plaqué sur la peau. Elle ne fit absolument aucun geste pour cacher quelque peu sa petite culotte et pourtant elle savait pertinemment qu'elle était ainsi entièrement offerte à ma vue. Je regardais le slip de ma cousine bien plus que je ne cueillais les fleurs, j'avais les yeux rivés sur ce triangle de tissu noir qui certes voilait totalement sa chatte mais laissait très largement deviner la forme de l'objet de tant de désirs. Les jambes largement ouvertes obligeaient même le bord du slip à se soulever légèrement sur les côtés de l'entrejambe et il suffisait vraiment de très peu pour que je puisse entrevoir son minou... Hélas, comme pour sa poitrine, je n'eus pas droit au plaisir d'une vision plus complète.

Je pense que France-Agnès avait deviné que j'étais encore puceau et elle ne se privait pas de m'aguicher par des positions aussi troublantes que coquines...

- Eh bien dis donc Lucien, tu ne cueilles pas beaucoup de fleurs, tu as le regard ailleurs on dirait... me dit-elle d'un sourire autant complice que malicieux et je ne pus absolument rien lui répondre tant je devais être rouge comme un coquelicot.

Un petit bouquet à la main elle se releva lentement me laissant voir encore une fois son petit slip noir que la robe masqua bientôt à mes yeux... Avec un sourire ironique mais très gentil elle me donna ses fleurs :

- Tiens, tu auras l'air moins ridicule avec un bouquet qu'avec les deux ou trois fleurs que tu as eu bien du mal à cueillir. Tu sais, j'ai remarqué ton regard de petit curieux plonger entre mes cuisses, j'ai surtout bien vu que tes yeux restaient fixés sur ma petite culotte...

- Mais France-Agnès...

- Rassure-toi, ce n'est pas grave, c'est normal qu'à ton âge tu cherches à regarder sous les robes des filles... Et puis si je n'avais pas voulu que tu puisses voir ma culotte, je me serais placée autrement.

Encore plus rouge, je n'osais plus croiser son regard, ma cousine s'aperçut de mon embarras et déposa un gros baiser sonore sur ma joue, ce qui me remplit d'un immense plaisir. Nous continuâmes à nous avancer sur le chemin qui maintenant s'enfonçait dans la forêt et France-Agnès qui avait remarqué que j'étais réellement troublé par sa remarque, reprit bientôt la conversation afin de rompre le silence :

- Tu sais Lucien, ne sois donc pas embarrassé, ça ne me gêne vraiment pas que tu aies regardé ainsi ma petite culotte. C'est d'ailleurs moi qui ai provoqué ton regard en gardant les cuisses franchement écartées... Je vais même t'avouer que j'ai vraiment apprécié que tu regardes ainsi franchement mon slip, alors tu vois... Mais je crois qu'on parlait de nos petits moments d'intimité... J'espère que tu aimes aussi ce genre de confidences ? Moi, j'adore, j'aime entendre, mais également raconter... Je trouve ça très excitant et il y a si peu de personnes qui savent raconter et avec qui on peut le faire sans retenue... Alors, toi, tu aimes ? Dis-moi... Tiens, commence par me raconter la première fois que tu l'as fait...

- Heu... Oui... J'aime... Je crois... Tu veux que je te dise... Heu...

- Bien sûr Lucien, raconte-moi tout, dis-moi à quel âge tu t'es masturbé pour la première fois, comment ça s'est passé, ce que tu as ressenti... Il faut surtout que tu essayes de me donner plein de détails, c'est si excitant d'écouter et d'imaginer...

J'étais vraiment très embarrassé de lui confier ces moments aussi intimes, mais France-Agnès me donnait confiance. Mais surtout j'avais très envie de savoir, moi aussi, comment elle faisait, jusqu'où elle osait se caresser et quels plaisirs elle en tirait. C'était la première fois que je faisais ce genre de confidences, aussi, en prenant mon souffle, je fis l'immense effort de sortir de ma réserve et je commençais à lui raconter...

- Tu sais, je n'ai jamais fait ce genre de confidences, mais pour toi je vais essayer en donnant tous les détails ainsi que tu me le demandes... Toi aussi tu me raconteras ensuite ?

- Oh oui Lucien, sois mignon, fais-le pour moi... Tu verras, tu ne le regretteras vraiment pas et après je te décrirai à mon tour comment j'ai fait...

- « La première fois que je l'ai réellement fait, j'avais presque quatorze ans. Mais depuis un peu plus de deux ans, je m'étais bien sûr rendu compte que ma verge grandissait et surtout qu'elle durcissait lorsque j'étais excité par des pensées, des vues dérobées de haut de cuisses ou de poitrines presque dénudées de jolies filles soit dans un film, des revues, mais surtout dans la réalité. Un soir, en me couchant, le seul poids du drap sur mon sexe m'excita et je sentis ma verge se tendre, je soulevais alors le drap pour me rendre compte de sa taille et je la vis dressée comme un piquet. Jamais je ne l'avais sentie aussi raide, ma main inconsciemment enserra la tige que je sentais battre et se durcir exactement au même rythme que mon cœur qui cognait très fort. Le gland était écarlate et déjà à moitié décalotté... »

- Oui, Lucien, continue c'est super, tu racontes vraiment très bien pour quelqu'un qui n'a encore jamais fait ce genre de confidences. J'adore tes descriptions ainsi que tous les détails que tu me donnes, ça m'excite terriblement tu sais...

Tout en marchant, elle passait la main sur la robe à la hauteur de son ventre et même de sa culotte, je voyais sa langue humide caresser ses lèvres par instants... De temps en temps, elle se tournait vers moi et, les yeux pétillants, elle attendait avec impatience la suite du récit.

Le chemin que nous suivions avait pénétré dans la forêt et il arrivait maintenant à côté d'une aire de pique-nique avec des tables et des bancs en bois. France-Agnès se tourna vers moi :

- Lucien, et si on s'asseyait pendant que tu continues à me raconter tes caresses ?

- D'accord France-Agnès, répondis-je en me dirigeant vers un banc accroché à une table en bois.

- C'est dommage, le bois est encore un peu humide, si je m'assieds, je vais me salir les fesses... dit France-Agnès en me regardant.

Heureusement, pour une fois, j'avais un mouchoir propre dans ma poche et je le lui tendis avec fierté et plaisir. Elle le prit avec un large sourire et l'étala soigneusement, non pas sur le banc comme je le pensais, mais sur le bord de la table. Elle mit une main sur mon épaule, monta debout sur le banc, se retourna et remontant sa robe au-dessus de ses fesses elle s'assit, en posant son derrière arrondi sur le mouchoir et en plaçant les pieds sur le banc. Je pus encore une fois voir ses fesses un court instant lorsqu'elle releva sa robe pour éviter de la froisser.

- Viens Lucien, assieds-toi sur le banc en face de moi, ce sera plus agréable de se parler tout en se regardant.

J'enfourchais le banc et je me plaçais en face d'elle, ses jambes à mon côté gauche. France-Agnès posa les mains sur la table, de chaque côté de ses fesses, légèrement en retrait. Elle s'appuya un instant sur les bras en s'inclinant un peu en arrière, cambrant le buste, ses seins se tendirent et la robe se plaqua dessus laissant même deviner la forme des pointes sous le fin tissu. La robe était remontée très haut sur les cuisses, presqu'au ras de la culotte qu'elle masquait pourtant encore. Le corps de France-Agnès se trouvait maintenant seulement à quelques dizaines de centimètres de moi, en tendant légèrement les mains j'aurais pu le toucher. Je reprenais mes confidences tout en gardant le regard rivé sur les cuisses de ma jolie cousine...

- Bon, où en étais-je France-Agnès ?

- Tu venais de poser la main sur ta verge.

- « Ah oui... C'était la première fois que je voyais mon gland d'un rouge aussi vif, et pour la première fois aussi que j'osais le décalotter entièrement d'un geste très lent tout en observant avec curiosité la peau qui se retroussait. Soudain, le gland se décalotta complètement de lui-même et je le voyais en entier, gonflé comme je ne pouvais l'imaginer, sa fine peau lisse et tendue en était toute violacée. J'observais avec attention sa forme particulière et le col roulé qui cerclait sa base. Je sentis ma bite... Heu... Pardon France-Agnès, je voulais dire ma verge... »

- Non, Lucien, ne te reprends surtout pas, j'adore aussi les mots un peu salaces quand on se fait des confidences coquines, continue avec ces mots-là... Ça m'excite encore plus...

Tout en parlant France-Agnès leva la jambe qui était contre ma cuisse, puis elle la passa lentement devant moi et posa son pied sur le banc de l'autre côté de mes cuisses. Je me trouvais maintenant assis entre ses jambes qu'elle gardait franchement écartées sans aucune décence. La robe se retroussa encore plus et découvrit cette fois la petite culotte de ma cousine presque jusqu'à la ceinture. Tout près de mon visage, le nylon tendu épousait parfaitement la forme de la chatte et je distinguais nettement le dessin des lèvres et de la fente qui les séparait. Mes yeux étaient fixés sur son slip noir, je ne pouvais plus m'en détacher, j'avais le regard rivé sur le morceau de nylon qui masquait à peine sa chatte pleinement offerte. Jamais je ne m'étais trouvé aussi près d'un sexe de femme, j'en sentais même l'odeur et cela me faisait bander si fort que ma bite prisonnière du slip et du pantalon m'en faisait mal. J'étais maintenant certain qu'elle savait pertinemment que sa petite culotte était complètement offerte à ma vue et qu'elle le faisait vraiment exprès. Je n'aurais jamais pu imaginer que France-Agnès aurait osé prendre une telle pose, si proche de moi, totalement exhibée à mes yeux écarquillés qui ne quittaient plus le slip de ma cousine. Elle se rendit compte de mon ébahissement, voire de mon embarras devant sa posture si impudique et elle me dit :

- Lucien, tu dois sûrement me prendre pour une petite cochonne ! C'est vrai j'aime parfois m'exhiber un peu, mais tu sais je ne le fais que très rarement, uniquement devant des personnes connues, en qui j'ai entièrement confiance et j'ose à peine montrer subrepticement un peu de mes seins ou de ma petite culotte. Mais aujourd'hui, je ne sais pas ce qui m'arrive, je n'ai encore jamais osé faire cela, c'est comme si une force surnaturelle me poussait à aller beaucoup plus loin. J'ai remarqué que tu aimais regarder mon corps et tout à l'heure j'ai vu tes yeux briller quand tu as pu apercevoir mon slip un court instant lorsque j'ai sauté après une feuille. Aussi j'ai eu envie de continuer à te montrer franchement ma petite culotte et c'est pour ça que j'ai écarté les cuisses devant toi en cueillant les fleurs. Alors Lucien, maintenant tu peux la regarder vraiment sans aucune retenue ni aucune gêne, mate-moi le plus possible, surtout dans les endroits les plus intimes, déshabille-moi des yeux, j'aime tellement ça. Mais tu le fais uniquement avec les yeux, surtout tu ne me touches pas... D'accord ?... Continue de me raconter ton histoire tout en m'observant, regarde mon joli petit slip noir, essaye de deviner ma chatte poilue sous le nylon. Tu m'excites tellement que j'ai envie de me dévoiler chaque fois un peu plus car j'ai vraiment l'impression d'être avec toi dans la chambre en train de te regarder te masturber pour la première fois... Continue Lucien, tu venais de te décalotter complètement ta bite...

Je m'apercevais que le pouvoir des mots et des images la mettait dans un véritable état second d'excitation et lui donnait l'envie irrésistible de s'exposer toujours plus à mes regards, en prenant les poses les plus osées possible afin que comme hypnotisé je lui confie mes moments les plus intimes avec les précisions les plus cochonnes.

Excité moi aussi au plus haut point, je poursuivis mon récit, encouragé par ma cousine, mes yeux ébahis parcouraient sa poitrine, ses cuisses, fouillaient sous sa robe, et même sous son slip... J'avais envie d'en voir encore plus et je lui demandais franchement malgré ma timidité qui diminuait de plus en plus.

- Oui, France-Agnès j'aime te regarder, tu as un corps superbe et ta jolie petite culotte noire qui est là devant mes yeux m'excite terriblement, tu sais, je devine même la forme de ta chatte sous le nylon... Je n'ai encore jamais vu une jeune fille exhiber son slip comme tu le fais... J'aime que tu te montres comme une petite cochonne et je vais essayer de te rendre tout le plaisir que tu me donnes en continuant de raconter, car j'espère que tu m'en offriras encore plus...

« Donc, allongé sur mon lit, j'avais maintenant pris ma bite à pleine main, elle était si raide que je ne pouvais absolument pas la plier. Je ne m'étais encore jamais aperçu qu'elle pouvait devenir aussi dure et je voulais continuer pour en connaître davantage. Je tirais la peau en arrière pour la décalotter le plus fort possible, je voyais le sang battre sous la fine membrane du gland, tendue à éclater. Il s'enfla encore à devenir beaucoup plus gros que ma tige qui pourtant avait atteint un diamètre qu'y m'étonna, car je pouvais à peine la tenir dans la main, mon pouce ne touchant plus les autres doigts... La peau attachée derrière le gland, était tendue à céder et me faisait mal, mais d'un mal que l'on désire, dont on sait qu'il est nécessaire pour arriver à la jouissance... J'eus soudain la folle et irrésistible envie de me branler... »

- Oh oui Lucien continue... J'aime... Dis-moi comment tu as branlé ta belle bite toute raide... Tu racontes si bien que tu me fais mouiller et je vais en avoir la culotte toute trempée...

- Je te fais mouiller ?

- Bien sûr, lorsqu'une femme est excitée, son vagin secrète un liquide qui sert à lubrifier afin que la pénétration soit plus facile. C'est un peu le même phénomène qui fait bander les hommes...

Effectivement, je remarquais une petite tache qui se formait au niveau de sa fente et le nylon mouillé collait aux lèvres qu'il laissait encore mieux deviner... Comme pour mieux s'offrir à ma vue, France-Agnès ouvrit davantage les cuisses, les bords du slip s'écartèrent des plis de l'aine et je vis même les lèvres de sa chatte s'entrouvrirent légèrement sous le tissu...

- « Oh France-Agnès, ce premier geste de va-et-vient me fit tourner la tête, je sentis une immense bouffée de chaleur m'envahir et je commençais à m'astiquer la tige avec jouissance... Il me revint alors à l'esprit que cela allait inéluctablement me conduire à éjaculer, mais je n'avais aucune idée de ce qui allait réellement se produire. Je me suis donc levé pour prendre une serviette dans le tiroir de la commode et je fus émerveillé de constater que ma bite bien loin de retomber, tout au contraire, même en marchant restait tendue et dressée, d'une raideur à toute épreuve. Avec une serviette à côté de moi je me sentis beaucoup plus serein, je repris ma queue à pleine main et je recommençais à me branler avec la ferme intention de voir le sperme gicler... »

- Oui, oui, oui Lucien continue, c'est bon, branle-toi, branle-toi pour moi, je t'imagine en train de te masturber, je vois ta bite raide et tendue et ta main qui va et vient le long de ta tige toute dure...

En disant ces mots, France-Agnès passa lentement les doigts sur sa culotte, arrivés sur sa chatte, ceux-ci appuyèrent doucement, elle écarta encore un peu plus les cuisses et fit pénétrer le nylon dans la fente. Ce geste doux mais ferme avait fait légèrement descendre la ceinture du slip et réduire sa largeur. Je voyais maintenant un peu de sa toison en haut du slip et aussi quelques poils qui bordaient les lèvres sur les côtés... Mes yeux étaient rivés sur son slip qui se mouillait de plus en plus et qui pénétrait dans la fente, l'ouvrant encore plus. Les lèvres débordaient presque de chaque côté de la culotte. En me regardant, les yeux humides de plaisir, elle mit ses doigts à sa bouche et les lécha lentement un à un... Ce geste me surprit encore plus... Je découvrais tant de choses en si peu de temps, avec une jeune fille que je ne connaissais pas il y a encore quelques heures.

- Continue Lucien, ne t'arrête surtout pas, tu ne vois donc pas à quel point tu m'excites, tu me donnes un tel plaisir, jamais ça ne m'était arrivé en écoutant des confidences... Tu es un merveilleux conteur, Lucien tu sais me faire jouir rien qu'avec tes paroles, j'aime vraiment ça... Je veux être encore plus salope rien que pour toi... Pour en savoir encore plus...

- Moi aussi France-Agnès j'aime... J'aime te regarder... Je vois ta petite culotte légèrement enfouie entre tes lèvres... Je devine ta chatte sous le nylon mouillé... Je vois même quelques-uns de tes poils sur les côtés... Toi aussi tu m'excites France-Agnès, je n'ai réellement jamais connu ça... C'est vraiment un plaisir nouveau, comme la première fois où je me suis masturbé... Oh oui France-Agnès je vais continuer de me branler rien que pour toi... Pour te donner du plaisir... Tu m'en donnes tellement, et j'espère que tu deviendras encore plus salope pour moi France-Agnès...

« Tu sais, allongé sur mon lit, je n'avais plus qu'une seule envie, c'était de voir enfin le sperme gicler de ma bite... Je continuais à me masturber, de plus en plus vite, en serrant ma queue de plus en plus fort ; pour mieux voir, je l'avais relevée sur mon ventre et je dirigeais le gland vers mes yeux... J'en voyais la fente s'ouvrir de plus en plus... Je n'avais plus qu'un seul désir, un seul but : sentir venir et voir ma première éjaculation... Je pressais ma bite de plus en plus, je me branlais de plus en plus vite, m'astiquant la tige avec frénésie, à en perdre haleine... Je sentis une immense bouffée de chaleur m'envahir des pieds à la tête, je sentis mes couilles remonter dans les bourses et soudain une longue giclée de sperme s'écrasa sur ma poitrine jusque sur mon cou... Soulagé par cette éjaculation mais encore terriblement excité, je me mis sur le côté et me branlais encore plus rapidement, de plus en plus vite, à m'en faire mal... Je tirais sur la peau de plus en plus fort comme si je voulais me dépiauter complètement la bite. Deux autres giclées de foutre moins volumineuses mais tout aussi puissantes et profondément libératrices jaillirent, souillèrent la serviette sur toute sa longueur et me laissèrent complètement épuisé, à moitié inconscient de plaisir... »

- Et tu as goûté ton sperme Lucien ?

- Heu... Non...

- Tu sais, c'est excitant et très bon, tu aurais dû y goûter...

France-Agnès, tout en me regardant frotta de nouveau doucement sa petite culotte, glissa un doigt dans sa fente en faisant pénétrer le fin nylon, bien plus profondément que la première fois... Je voyais les lèvres s'ouvrir... Elle recommença plusieurs fois, les yeux mi-clos, gémissant de plaisir, lentement, pour bien me laisser observer... Elle se frottait avec plaisir le bord des lèvres au travers du slip, puis elle enfonça son doigt le plus loin que lui permettait le fin nylon. Le doigt entièrement recouvert du tissu noir entre ses lèvres, elle resta un long moment ainsi tout en le faisant aller et venir très lentement, enfoui entre les lèvres, puis elle rouvrit ses yeux pétillants en me regardant. Lorsqu'elle retira son doigt, il était brillant de mouille et le slip resta enfoncé au plus profond de sa chatte découvrant ainsi un peu plus de poils sur les côtés et même un peu de la peau des lèvres... Mon excitation était à son comble... J'en avais la bite qui me faisait très mal... France-Agnès approcha alors sa main de mon visage :

- Lucien, j'aimerais que tu me suces le doigt comme je l'ai fait tout à l'heure... Fais le s'il te plaît, j'en ai envie... Goûte-moi...

Cette demande me surprit réellement mais j'étais dans un état second et j'ouvris un peu la bouche. France-Agnès y glissa lentement son doigt mouillé comme si elle me pénétrait entre les lèvres... Je sentis sur ma langue le goût de sa chatte... Un goût merveilleux qui ressemblait à celui du céleri envahit ma bouche... Je le suçais avec plaisir, ne voulant pas perdre la moindre goutte de la mouille de ma salope de cousine qui faisait aller et venir son doigt dans ma bouche comme elle l'aurait fait dans sa chatte...


- Oh France-Agnès, c'est réellement merveilleux... Jamais je n'aurais pensé... Jamais je n'aurais osé...

- Tu vois, tu n'aurais jamais connu ce goût merveilleux... Tu m'as fait mouiller tu sais... Tu es merveilleux... Toi qui tout à l'heure semblais si timide, si réservé...

- C'est grâce à toi France-Agnès si j'ai découvert tout ça, tu as su avec tant de délicatesse mais surtout tant d'érotisme m'amener à vaincre ma timidité... Et toi, tu me racontes maintenant tes premières caresses ?

- D'accord Lucien, tu l'as bien mérité, je vais essayer d'être tout aussi douée que toi..

Avant de commencer à raconter elle posa un pied sur la table, l'autre restant sur le banc, les cuisses à présent très largement ouvertes... La cuisse ainsi relevée me laissait deviner maintenant en plus de sa chatte, un peu de la fente de ses fesses... France-Agnès savait trouver les poses qui mettaient ses atouts en valeur, des poses vraiment très osées qui suggéraient tant, mais néanmoins ne dévoilaient pas tout et c'était cela qui était encore plus excitant. Jamais je n'aurais pu imaginer qu'on puisse oser s'exhiber d'une manière aussi impudique et provocante... Pour commencer à faire les confidences qui lui brûlaient maintenant les lèvres, elle se pencha un peu en avant, tendant sa poitrine pour l'offrir à mes yeux... Je devinais ses seins sous la robe, et j'avais envie d'en voir plus et même de les presser dans mes mains... Je les présumais chauds et fermes avec une peau très douce et des tétons bien durs et bien dressés...

Ma jolie cousine si belle, si sexy, si coquine, et surtout si exhibitionniste commença à raconter sa première expérience :

- Maintenant Lucien je vais essayer de te faire jouir autant que tu as su me le faire... Je vais, rien que pour toi, continuer de prendre des poses coquines comme une véritable petite salope... Tu sais, j'aime être admirée, matée, ... Regarde-moi bien Lucien, essaye d'apercevoir mon sexe et ma touffe si fournie sous ma petite culotte, car tu sais, j'ai la chatte vraiment très poilue. J'ai de longs poils noirs légèrement bouclés qui dessinent un large triangle et recouvrent les lèvres, ils débordent même sur le côté des cuisses, observe également mes seins fermes, gonflés et tendus sous ma robe. J'aime les garçons qui savent donner beaucoup de plaisir, il y en a très peu... Et tu as su si bien le faire rien qu'en me racontant ta première expérience solitaire...

« Tu sais, à onze ans j'avais déjà un peu de poitrine, pas des seins comme aujourd'hui bien sûr, mais certainement bien autant que de nombreuses femmes adultes. Ils étaient pointus et tendaient déjà mes corsages, j'en étais très fière mais aussi un peu gênée, car les garçons de mon âge se moquaient de moi. Le soir dans ma chambre, je les regardais dans le miroir et j'étais désolée de ne pas encore avoir de vrais tétons, ils étaient tout petits et ressemblaient à ceux des garçons. J'essayais bien de les toucher du bout des doigts mais ils ne s'érigeaient pas davantage. Je regardais aussi mon minou pour voir les poils y pousser. Ils étaient encore si fins et si clairsemés que mes lèvres bombées étaient bien visibles... J'aimais me regarder et devant le miroir j'examinais tous les endroits les plus intimes de mon corps. Plus jeune déjà, lorsque je faisais pipi, j'écartais les cuisses le plus possible et la tête entre les genoux je regardais l'urine sortir de mon petit minou.

Un jour je voulus en voir bien plus que la glace de la porte de mon armoire ne m'offrait. J'ai attendue que mes parents soient couchés et je suis allée décrocher le miroir ovale de la salle de bain pour le poser sur la moquette de ma chambre. Je me suis mise à genoux au-dessus, cuisses écartées... Je voyais ma petite culotte blanche et mes fesses déjà bien rondes. Jamais encore je n'avais pu voir cet endroit... J'en fus vraiment toute excitée et je décidais de retirer ma culotte pour mieux regarder entre mes jambes, puis je me remis ensuite dans la même position au-dessus du miroir... Quelle vision ! Je voyais complètement ma chatte et les lèvres dans leur intégralité, mais également en suivant leur fente, pour la première fois je vis mon trou du cul, car la position accroupie, cuisses ouvertes, écartait mes fesses. La vue de cette rondelle d'un rose brunâtre me fit haleter... Je m'accroupis encore plus, les fesses proches du miroir... Je voyais très nettement mes lèvres aux quelques poils épars et surtout la fente de ma chatte qui s'entrouvrait... »

- France-Agnès, tu m'excites, tu me fais terriblement bander...

- Dégrafe donc ton pantalon, tu seras plus libre...

Voyant que j'hésitais, France-Agnès ajouta aussitôt :

- Ose donc Lucien, regarde j'ai bien retroussé ma robe et écarté les cuisses pour être plus à l'aise... Mais c'est surtout pour te montrer mes dessous mon petit cousin... Je sais que tu aimes regarder ma petite culotte et deviner ma chatte mouillée qui se cache dessous... Et moi, j'adore te les montrer...

Je compris que France-Agnès, elle aussi, avait envie de voir mon slip et désirait surtout deviner la bite tendue qui en était prisonnière. Je me levais et je dégrafais mon pantalon... Je baissais la fermeture de la braguette... France-Agnès se pencha en avant pour mieux voir, je vis ses seins gonflés tendre l'étoffe de la robe ne demandant qu'à s'échapper. Je baissais mon pantalon jusqu'aux chevilles... Maintenant France-Agnès ne quittait plus mon slip des yeux... Ma verge tendue le faisait même s'ouvrir franchement à la ceinture et laissait apparaître une touffe de poils bruns... Je me rassis, les genoux écartés. France-Agnès, qui avait les yeux rivés sur mon slip, reprit son récit :

- Tu es superbe ainsi Lucien, tu dois avoir une très belle queue, je vais avoir encore plus de plaisir à te raconter mes caresses tout en regardant ton slip et en imaginant le membre viril qui y est dissimulé...

« Tu sais, j'écartais complètement les cuisses et je vis ma fente s'ouvrir... De mes deux mains j'ouvrais délicatement les lèvres... J'en voyais l'intérieur d'un rouge vif, luisant et humide, je distinguais nettement la vulve et le petit bouton... J'écartais même les fesses avec les mains pour mieux voir mon trou du cul... Pour l'instant, j'osais juste regarder... Quelque temps après j'eus mes premières règles et ensuite tout s'enchaîna très vite... Les poils devenaient de plus en plus nombreux et commençaient à dessiner un triangle brun et soyeux au-dessus de ma chatte mais surtout mes seins prenaient du volume et à douze ans je mettais déjà un soutien-gorge... Le soir je les caressais, je les prenais à pleines mains, je les palpais, les malaxais, les pressais. Je voulais qu'ils grossissent encore plus, qu'ils soient bien fermes avec les pointes dures et dressées. Du bout des doigts, je titillais mes tétons qui commençaient à durcir mais restaient pourtant encore trop minuscules à mon goût. »

Tout en racontant France-Agnès avait d'abord glissé une main sur sa culotte, entre ses fesses et je vis qu'elle se caressait délicatement l'anus au travers du nylon. Quittant son trou du cul, elle prit ses seins au travers de la robe et effectua les mêmes caresses que celles qu'elle narrait. Je voyais ses seins remuer sous la robe, à un moment je crus que les tétons allaient jaillir par le décolleté mais je vis, juste un court instant, leur aréole brune toute pigmentée et vraiment excitante. Les paroles et les caresses de France-Agnès me faisaient perdre la tête et j'effleurais ma bite par-dessus le slip... Je la sentais dure, prête à s'échapper... France-Agnès me buvait des yeux... Je posais un pied sur le banc à l'endroit qu'elle avait laissé libre en mettant un pied sur la table. Ce geste me fit mettre un peu de profil, ainsi France-Agnès pouvait maintenant voir distinctement la forme anormalement tendue et boursouflée de mon slip que ma verge raidissait tel un mât soulève une toile de tente et je vis les yeux avides de ma cousine rivés sur mon slip. Ne le quittant pas des yeux, elle reprit ses confidences vraiment intimes et surtout très coquines...

- « Un soir, l'envie me prit de nouveau d'aller chercher le miroir et de regarder encore ma chatte qui était maintenant beaucoup plus velue. Je me mis à genoux au-dessus et ainsi cuisses ouvertes, je vis les poils dépasser de chaque côté de ma petite culotte... Cette vision m'excita et aussitôt je me caressais doucement sur le slip, mes doigts devinaient la forme de ma chatte sous le coton et je sentis immédiatement une folle envie m'envahir... Je voulais connaître le plaisir des caresses intimes... Je glissais la main dans ma culotte et je commençais par toucher mes poils, par les effleurer, les tirer. Puis ma main descendit sur les lèvres et les caressèrent très lentement, les frôlant à peine... Ces premiers attouchements me mirent rapidement en émoi et la tentation de voir mes doigts caresser ma chatte s'empara de moi. Mais j'étais déjà bien trop excitée et je n'avais plus la force de me relever pour retirer mon slip ; alors, de l'autre main, j'écartais complètement ma petite culotte. J'avais dans le miroir la vision de ma chatte toute poilue offerte à mes yeux et de mes doigts au bord des lèvres... En me penchant en avant pour encore mieux voir, je fis glisser le doigt sur ma fente... Un merveilleux frisson me parcourut et je décidais pour la première fois de me masturber jusqu'à la jouissance... Plus rien maintenant ne pouvait plus m'arrêter... »

Les paroles de ma cousine me rappelèrent ma première branlette et ma main frotta mon slip... Ma bite me faisait de plus en plus mal, une jambe tendue sous la table, et l'autre sur banc, je les écartais le plus possible afin de trouver davantage de place dans mon slip... Il s'ouvrit largement sur le côté et je sentis l'air frais me caresser les bourses... France-Agnès devait même sûrement les entrevoir... Moi aussi, j'avais envie qu'elle me regarde. Je voulais m'offrir à la vue de ma salope de cousine. Je levais les yeux et je vis les siens brillants de désirs... Elle se penchait pour mieux profiter de la vision... Son décolleté s'ouvrit et les seins tendus étaient prêts à s'échapper, les tétons presque sortis...

- Oh Lucien, j'aperçois même un peu la peau de tes bourses velues...

- Je sais France-Agnès, je le fais pour toi... Regarde...

Je passais la main par l'entrejambe de mon slip et je me caressais lentement les couilles, les soupesant, les faisant rouler délicatement sous mes doigts. La queue tendue comme un piquet entrouvrait le haut du slip et France-Agnès pouvait ainsi voir la base de ma verge noyée dans les poils... Ma cousine se pinçait les lèvres de plaisir, elle prit ses seins dans les mains au travers de la robe et les malaxa avec plaisir, les pressa tendrement, un instant elle les fit même complètement sortir par le décolleté de sa robe pour mieux les peloter. Ils étaient si gros que ses mains ne pouvaient les contenir entièrement mais masquaient pourtant les aréoles et les tétons à mon regard curieux. J'aurais aimé qu'elle me montre franchement ses gros nichons...

- Lucien, Lucien, ce que tu fais... Te caresser ainsi les couilles devant moi... Mais j'aime ça... J'aime t'observer, essayer de deviner ta verge tendue dans ton slip entrouvert...

- Tu ne mets pas de soutien-gorge ? Je vois presque complètement tes seins, encore un peu et je pourrais voir également tes tétons...

- Non, je n'en ai pas mis ce matin, tu sais j'ai la poitrine bien ferme et je peux m'en passer car c'est vraiment agréable de sentir ses seins en liberté sous une robe légère et si excitant de sentir le nylon en effleurer les pointes... Mais j'aime également en porter, car j'adore mettre de la jolie lingerie et des soutiens-gorge qui mettent ma poitrine encore plus en valeur... Tu sais, je fais exprès de te cacher mes tétines sous mes doigts, comme je te cache ma chatte sous le nylon de ma petite culotte, sinon il n'y aurait plus de désir...

- C'est vraiment dommage, j'aimerais bien que tu me montres entièrement tes seins et tes tétons... Je voudrais aussi que tu me fasses voir ta chatte toute poilue...

- Je sais petit coquin que tu en as envie, mais tu ne crois pas que je t'en ai déjà montré beaucoup comme ça ?

Tout en me souriant, elle replaça ensuite lentement ses superbes nichons derrière le fin tissu rouge et je voyais nettement la marque des tétons qui étaient maintenant gonflés, durs et dressés...

- France-Agnès, je devine tes tétons sous ta robe... Comme ils semblent superbes, ils doivent être gros et bien fermes...

Ma cousine me gratifia d'un très large sourire, visiblement enchantée que je la complimente.

- Oui tu as raison, ils sont très beaux... Et c'est vrai, j'ai les bouts très durs... Mais je te dois la fin de mes caresses...

« Doucement, je pressais sur la fente... Je sentis mes lèvres s'ouvrir... Je les écartais avec les doigts et dans le miroir, je vis mon clitoris écarlate et tout gonflé de plaisir... Aussitôt je le pris délicatement entre mes doigts, je le pinçais tendrement, le faisais rouler lentement, la chatte grande ouverte... Je ne voulais surtout pas me pénétrer afin de ne pas me dépuceler mais les caresses sur l'intérieur des lèvres mouillées et surtout sur le clitoris étaient suffisantes pour me conduire à la jouissance... Puis découvrant mes zones de plaisir, je me mis à frotter mon petit bouton...

Lucien, c'était merveilleux, je me masturbais, pour la première fois je me branlais, je m'astiquais le clitoris avec fougue et frénésie... Je gémissais de plaisir, le clitoris durci et gonflé de bonheur... Bientôt je me sentis fondre, une mouille abondante dégoulinait le long de mes doigts... Je n'en pouvais plus. Je me mis à jouir, inconsciente et je sentis un flot de mouille toute chaude envahir ma chatte, couler sur mes doigts et même venir éclabousser le miroir... Dans un profond gémissement de plaisir, je me laissais tomber sur la moquette et folle de jouissance je suçais aussitôt mes doigts afin de connaître le goût de mon premier débordement de mouille... Je fermais les yeux de plaisir...

- France-Agnès tu es merveilleuse, je t'imaginais vraiment en train de te branler, les cuisses grandes ouvertes et la chatte en chaleur. Je vois que nous avons les mêmes besoins, les mêmes plaisirs. Heureusement que tu es beaucoup moins timide que moi sinon je n'aurais jamais connu le bonheur de t'écouter et de voir ton corps splendide dans les poses les plus osées et les plus sexy que tu as su prendre pour moi... J'adore tes cuisses, tes fesses et ta petite culotte si coquine qui me laisse deviner la forme de ta chatte, de ta fente, j'ai même vu tes poils, tu dois réellement avoir une toison vraiment très fournie... Et quels superbes seins tu as France-Agnès, ils ont l'air si fermes qu'ils donnent envie d'être caressés... Petite coquine, tu sais me tenir en haleine en montrant juste ce qu'il faut et en laissant deviner le reste qui doit être si merveilleux... Tu me fais bander terriblement...

En disant ces mots, ma cousine se pencha complètement en avant pour tenter d'apercevoir encore mieux ma queue. Le décolleté de sa robe s'ouvrit si largement que cette fois, un court instant, je vis entièrement son téton dressé avec l'aréole toute pigmentée qui l'entourait...

- France-Agnès, cette fois j'ai pu entrevoir ton téton... Tu as une superbe poitrine...

- Et moi, j'ai vu ta touffe de poils et le début de ta verge...

- J'ai adoré ton histoire... Quelle merveilleuse matinée nous passons ensemble rien que tous les deux...

- Toi aussi Lucien tu as su me rendre heureuse comme aucun autre garçon n'avait su le faire avant... Mais il est temps de rentrer, viens...

France-Agnès se mit debout sur le banc, en gardant un pied de chaque côté de mon corps et sans aucune pudeur, elle retroussa sa robe jusqu'au nombril et rajusta calmement sa petite culotte. Le nylon noir se trouvait juste à quelques centimètres de mon visage et je sentais l'odeur enivrante de sa chatte mouillée. France-Agnès dut même tirer sur le fond de son slip qui, trempé, restait collé dans la raie des fesses puis elle le décolla aussi de sa touffe aux poils humides... Et tout ceci juste devant mes yeux... Elle laissa ensuite retomber sa robe qui souple et légère me caressa le visage. Elle repassa ensuite lentement une jambe au-dessus de moi, un instant j'eus la tête complètement sous sa robe et mon visage effleura sa petite culotte chaude et humide.

Quand France-Agnès eut sauté à terre, je remis mon pantalon... J'eus bien du mal à rajuster mon slip pour y placer mon sexe raide. France-Agnès me regardait faire en souriant... Je dus même plonger une main à l'intérieur de mon slip, tout en l'écartant de l'autre puis prendre ma verge à pleine main afin de la diriger avec force vers le bas et tirer sur la peau pour tenter de recouvrir le gland que le coton de mon slip irritait. Je vis les yeux de ma cousine pétiller de plaisir, elle venait de voir un très court instant un peu de ma bite raidie et même probablement le bout du gland.

- Lucien, je viens d'apercevoir une petite partie de ta queue... Tu me la montres complètement ?

- Tu veux que je te fasse voir ma queue ?

- Oui, s'il te plaît, j'ai vraiment très envie de la voir entièrement...

- Mais toi, tu n'as pas voulu me montrer ta chatte !

- D'accord, alors on se la montre tous les deux ?

Pour me prouver qu'elle n'hésiterait pas à me faire voir sa jolie petite chatte, elle retroussa séance tenante sa robe au-dessus de la ceinture et commença par faire descendre son slip noir jusqu'au ras de sa toison.

- Allez, Lucien, maintenant c'est à toi...

Effectivement, il m'appartenait à présent de m'exécuter et je fis aussitôt glisser mon pantalon jusqu'aux chevilles. Je voyais ma cousine qui ne quittait plus mon slip du regard, une bosse énorme le tendait et j'avais tellement envie de voir son minou que sans plus attendre je baissais aussitôt mon slip jusque sous les genoux. Ma verge toute raide se releva immédiatement et resta bien droite, les yeux curieux de France-Agnès pétillaient à la vue de ma queue dressée ainsi entièrement offerte à son regard lubrique...


- Lucien... Mais quelle belle bite tu as !... Comme elle est bien raide... Laisse-moi le temps de la regarder depuis la base jusqu'au gland à peine décalotté...

- Oui, mais maintenant je veux voir aussi ta chatte... Baisse ta petite culotte s'il te plaît...

Elle ne se fit pas prier deux fois et d'emblée elle fit descendre son slip jusqu'à terre afin de découvrir complètement son épaisse toison brune. Elle poussa même l'audace jusqu'à écarter légèrement les cuisses pour que puisse mieux distinguer ses lèvres...

- France-Agnès, tu ne m'avais pas menti, tu as une superbe toison brune vraiment bien fournie... On devine à peine ta chatte sous l'épaisse touffe de poils...

- C'est vrai, tu as raison, mes poils la masquent complètement... Alors, regarde bien Lucien, je vais vraiment te la faire voir...

Avec les deux mains, elle écarta franchement sa touffe de poils me laissant découvrir ses lèvres qui s'entrouvraient sous la pression de ses doigts. J'avais les yeux rivés sur sa chatte car c'était la première fois que j'avais l'occasion d'en admirer une autrement que sur des photos coquines... France-Agnès poussa même l'audace jusqu'à écarter légèrement ses lèvres afin de m'offrir l'intérieur de sa fente...

- Tu vois, j'ai également tenu ma promesse... Tu as les yeux qui me dévorent le minou...

- Oui... Je vois bien tes lèvres et même ta fente entrouverte...

- Alors, montre-moi bien ton gland et aussi tes bourses...

J'étais tellement excité que sans réfléchir une seconde je pris ma verge dans la main et tout en la décalottant entièrement, je la redressais complètement.

- Tu les vois bien ?

- Oui Lucien... Tu as vraiment une très belle queue, j'aime regarder ta bite avec le gland tout décalotté et bien gonflé, mais aussi tes couilles avec la peau toute velue... Quand on se connaîtra un peu mieux, je te ferai toucher ma chatte et toi, tu me laisseras tripoter ta bite et tes couilles...

En disant ses mots, elle remonta sa petite culotte et fit redescendre sa robe. Je replaçais ma verge dans mon slip et je rajustais mon pantalon, puis je récupérais mon mouchoir posé sur la table, il était tout trempé de la mouille de France-Agnès. Je le passais longuement sous mon nez pour en sentir les effluves excitantes avant de le plier soigneusement en me promettant de le garder longtemps afin de pouvoir souvent en respirer le parfum.

Quand je fus prêt France-Agnès reprit le chemin de la maison...

Jouxtant l'aire de pique-nique, il y avait des jeux pour les enfants et en particulier une barre fixe. Elle ne put résister à l'envie de sauter et de s'y suspendre... Les bras tendus, elle avait les pieds à une cinquantaine de centimètres du sol... La robe remontée jusqu'au ventre découvrait une nouvelle fois sa petite culotte... France-Agnès savait que j'adorais reluquer ses dessous sexy et elle ne voulait manquer aucune occasion de m'en faire profiter... Elle regardait ravie mes yeux inquisiteurs qui mâtaient ses jambes, ses cuisses, ses fesses et surtout son petit slip noir et le joli minou qui s'y cachait... Une épaisse touffe de poils bruns débordait largement au-dessus de la ceinture élastique. Puis elle se mit à balancer les jambes, les lançant en avant et je voyais le nylon de son slip pénétrer entre ses fesses rondes.

- Lucien, viens m'aider à redescendre.

Je m'approchais, face à elle et pour la première fois j'allais tenir son corps que je désirais tant. J'en frémissais de plaisir et je glissais mes mains de chaque côté de ses cuisses chaudes et douces pour aller chercher la taille sous sa robe. Mes doigts effleurèrent au passage ses fesses, les côtés et la ceinture de sa petite culotte puis mes bras firent ainsi remonter la robe bien au-dessus du slip. La serrant délicatement à la taille, je soulevais légèrement France-Agnès et elle posa alors une à une ses mains sur mes épaules, bras tendus... J'avais la tête entre ses seins, j'en sentais la chaleur et j'en devinais leur fermeté et leur forme sur mes joues. France-Agnès se laissa glisser lentement contre mon corps en prenant bien soin de faire frotter ses seins sur mon visage. A un moment je sentis un téton saillant et dur sur le bord de mes lèvres... Ce qui me fit plonger dans un nuage de plaisir...

Au lieu d'accompagner de mes mains son corps qui descendait lentement, je le laissais glisser entre mes doigts qui allèrent jusqu'à effleurer les côtés de sa poitrine nue et ferme. Lorsque les pieds de France-Agnès touchèrent le sol et qu'elle se détacha légèrement de mon corps, sa robe était retroussée jusqu'aux seins dont je pouvais en voir nettement le dessous dans toute leur rondeur. Elle était terriblement excitante ainsi, entre mes mains qui touchaient ses seins, retroussée comme une petite dévergondée, nue depuis les pieds jusqu'au slip et ensuite de la petite culotte jusque sous la poitrine.

Pour me remercier, France-Agnès se pencha en avant puis elle appuya brièvement mais très franchement ses lèvres sur les miennes... Qu'il fut merveilleux ce premier et doux baiser...

Puis elle fit un pas en arrière, la robe toujours impudiquement relevée jusqu'à la poitrine et je pus longuement admirer ses seins presque complètement dénudés. Ils ressemblaient à deux énormes poires, très légèrement écartées, leur base bien ronde et bien large ; seuls leur aréole et leur bout que je savais saillant et dur échappaient malheureusement à ma vue... France-Agnès me laissa profiter encore de son corps qu'elle m'exhibait avec tant de plaisir et de jouissance. Après avoir admiré une dernière fois ses formes adorables, je retirais doucement, mais à regret, mes mains du corps brûlant de la jolie France-Agnès. Sa robe retomba lentement, avec souplesse, masquant à mes yeux l'impudeur de ma petite coquine de cousine.

- Lucien, j'ai vraiment beaucoup aimé faire la petite salope pour toi... Ça m'excite terriblement de te faire deviner mes fesses, ma chatte, mes poils et mes seins... Mais maintenant il est vraiment temps de rentrer car on va nous attendre...

- Moi aussi France-Agnès j'ai beaucoup aimé, pour la première fois j'ai vu un corps de jeune femme aussi près de moi, si offert, si excitant... J'ai respiré l'odeur affolante de ta chatte en chaleur... Ta petite culotte humide et tes seins ont effleuré mon visage... J'ai également fait glisser ton corps entre mes doigts et j'ai surtout osé raconter mes expériences les plus intimes et te faire deviner mes couilles et ma bite tendue dans le slip. Jamais je n'aurais osé, jamais je n'aurais pensé faire tout ça...

- Tu verras Lucien, maintenant je sais que tu aimes regarder mes dessous et admirer mon corps, je t'en offrirai bientôt encore beaucoup plus...

Nous reprîmes le chemin de la maison afin d'être arrivés avant le repas...

Un moment France-Agnès me prit par la taille en me serrant contre elle, cela me remplit de joie et j'en fis tout autant mais j'en profitai pour faire glisser, par dessus sa robe, ma main sur les fesses de ma cousine. Je sentais son joli petit derrière remuer, mes doigts touchaient son slip tendu sur la raie des fesses. Par moments j'osais même presser doucement son petit cul rond entre mes doigts afin de le sentir encore mieux bouger. France-Agnès me laissait faire en souriant et je sus que maintenant s'offrir impudiquement, prendre les poses les plus cochonnes possible ne lui suffisait plus. Elle désirait percevoir mes mains partir à la découverte de son corps superbe. Je sentais même qu'elle bougeait ses fesses de manière à ce que mes doigts les serrent encore plus.

- Oh Lucien, tes mains qui me touchent les fesses... Coquin... Tu as vite très bien deviné mes envies et mes désirs... Maintenant surtout, sois patient, découvre-moi lentement, très lentement, explore-moi graduellement... J'en ai envie... Mais pas tout de suite car on va arriver à la maison. Pas un mot bien sûr tout ce que nous venons de vivre, c'est notre secret d'accord ? Tu ne dis surtout pas tout ce que nous avons fait ni raconté, ni que nous nous sommes montrés nos sexes... N'en parle pas à tes parents, ni aux miens, ne fais aucune allusion à ma façon de m'exhiber... J'ai ta promesse ?

- Bien entendu, sois sans crainte, tu m'as donné tellement de plaisir que je vais garder ça pour moi. Je te le promets, tu peux vraiment me faire confiance.

- Merci Lucien... Tu seras grandement récompensé de ton silence...

Puis France-Agnès s'arrêta de marcher, je gardais ma main plaquée sur ses fesses. Elle se tourna vers moi en me faisant face et en se collant contre mon corps, les seins pressés contre ma poitrine, son ventre soudé au mien. Elle mit alors sa main derrière ma nuque, attira ma tête et appuya fermement sa bouche chaude et humide contre la mienne. Ses lèvres brûlantes collées aux miennes, je sentis immédiatement sa langue se glisser entre mes dents et venir toucher la mienne, puis sa langue fouilla ma bouche dans un long, très long et fougueux baiser que je lui rendis avec passion tandis que tout son corps se frottait contre le mien. Je sentais ses seins durs, son ventre plat, alors ma main plaqua encore plus fort ses fesses et ma verge raidie vint creuser son ventre. De mon autre main je pressais légèrement le côté d'un de ses seins fermes, j'en sentais la dureté et la forme arrondie sous mes doigts qui l'effleuraient doucement afin d'en découvrir le plus possible mais sans le prendre complètement dans ma main qui en caressait uniquement le bord.

France-Agnès fermait les yeux de plaisir, elle appréciait visiblement ces caresses... Elle se détacha lentement de moi, comme à regret et me fixa dans les yeux d'un air complice...

- Lucien, petit coquin, mais tu es en train de me peloter franchement les fesses et même les seins... Je sens ta queue toute raide au bas de mon ventre... Tu dois sûrement être un amant merveilleux, un amant qui doit savoir donner du plaisir, qui aime jouir et surtout faire jouir.

- Tu sais, je suis surtout un néophyte, mais je ne demande qu'à apprendre...

- Je n'en doute pas, mais il est vraiment temps de rentrer, surtout que je dois me changer, ma petite culotte est encore toute trempée... Ah coquin, ce que tu m'as fait mouiller...

- Vraiment ? Et toi, ce que tu me fais bander... En plus, j'ai oublié les fleurs sur le banc...

- Et moi qui voulais mettre ce joli bouquet plein de souvenirs dans ma chambre..., dit-elle en riant.

France-Agnès me prit la main puis nous fîmes à la hâte les derniers hectomètres qui nous séparaient de la maison et je regardais une dernière fois avec plaisir la robe légère flotter sur le corps splendide de ma cousine...

Une fois le seuil de la maison franchi, France-Agnès ne prit même pas le temps de me faire visiter le logement, elle monta quatre à quatre l'escalier qui donnait dans le couloir pour, je suppose, aller changer de petite culotte.

Timidement, j'entrais dans une pièce dont la porte était ouverte et d'où parvenaient des bruits de conversation. Il s'agissait de la salle à manger dont la table était déjà dressée. Toute la famille était assise dans un coin de la pièce en train de déguster l'apéritif ; ma tante me vit entrer :

- Ah, vous voilà enfin, vous arrivez juste pour le repas. Mais où est donc passée France-Agnès? J'espère que vous ne vous êtes pas disputés !

- Bien sûr que non, France-Agnès est vraiment très gentille, je la trouve même extrêmement sympathique et nous nous sommes réellement très bien entendus (en moi-même je pensais que ma tante était sûrement très loin de se douter jusqu'à quel point notre entente était allée). Elle est juste montée dans sa chambre et elle m'a dit qu'elle redescendait tout de suite.

- Parfait, alors viens donc avec nous prendre une flûte de champagne tout en l'attendant.

Puis elle ajouta pour mes parents :

- Parfois France-Agnès est vraiment très lunatique et j'ai craint un instant qu'elle soit restée toute la matinée sans dire un seul mot à ce pauvre Lucien. Je suis vraiment rassurée, car quand elle veut, elle sait être également fort gentille.

J'allais m'installer dans un fauteuil à côté d'eux et en buvant lentement le breuvage pétillant j'attendais ma cousine avec impatience en me remémorant tous les merveilleux moments qui s'étaient passés depuis mon arrivée.

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