Je travaille dans une agence d'un grand groupe
d'assurance et mon chef de service est une femme de 45 ans:
Mélanie. Elle est assez forte mais bien proportionnée avec
des formes là où il faut, agréable à regarder. Dans le travail
elle est plutôt autoritaire et ses ordres n'appellent pas
à discussion. Je n'avais jamais pensé à avoir une aventure
avec elle jusqu'au jour ou nous sommes partis ensemble à
une réunion à 200 km de notre lieu de travail.
C'est en revenant le soir sur l'autoroute que l'inimaginable
s'est produit. La nuit commençait à tomber, c'était elle
qui conduisait. Elle portait un tailleur gris, très strict
dont elle avait enlevé la veste pour conduire plus à l'aise.
Son corsage blanc très tendu mettait en valeur ses seins
assez importants et fermes. Sa jupe assez courte était remontée
sur ses jambes (je ne sais pas alors si c'était volontaire
ou pas) me laissant voir le haut de ses bas. Mon regard
était irrésistiblement attiré vers ses cuisses. J'essayais
bien de ne pas regarder, mais mes yeux revenaient toujours
dessus. Je les regardais à la dérobée, mais elle dû s'en
apercevoir (ou alors elle l'avait fait exprès).
Tout à coup, elle me dit:
- ça te plait?
Interloqué et pris en faute je fus incapable de répondre.
- Tu peux toucher si tu veux!
Je ne savais plus ou me mettre et fus incapable de bouger
ni de répondre.
D'autorité elle me saisit la main gauche et la posa sur
sa cuisse à la limite de ses bas et de sa chair. Son contact
me fit frémir. Je ne pouvais plus reculer et commençai à
lui caresser la cuisse.
Pour être plus à l'aise je changeai de main la droite remplaçant
la gauche, je continuai à lui caresser la cuisse tout en
remontant.
Elle paraissait apprécier et tout en conduisant elle s'était
légèrement avancée sur le siège et écartait un peu plus
les cuisses pour que je puisse monter plus haut.
J'arrivai bientôt à l'endroit convoité. Et là, surprise
je m'aperçu qu'elle ne portait pas de petite culotte. J'en
restai suffoqué, je pouvais arriver sans obstacle à sa chatte
qu'elle avait très poilue et déjà toute humide. Je ne restai
pas longtemps inactif car je sentais bien qu'elle attendait
et je lui mis un puis deux et bientôt trois doigts dans
la chatte. Ils entraient sans problème, je lui caressai
le clitoris.
Elle commençait à sérieusement s'agiter sur son siège et
avait considérablement réduit l'allure au point que des
camions nous doublaient en klaxonnant. Heureusement une
aire de repos arrivait. Elle s'y engagea et alla se garer
à l'extrémité derrière un semi remorque, à l'abri des regards
indiscrets. Nous descendîmes pour passer sur la banquette
arrière. Au passage je regardai dans le camion qui paraissait
vide, mais les rideaux de la cabine étaient tirés.
Elle s'allongea tout de suite sur la banquette, écarta
et relevant les cuisses me laissant découvrir une chatte
en furie. Je me mis à lui lécher le clitoris en même temps
que je lui mettais trois doigts dans le vagin et l'activait
abondamment.
Pendant ce temps là elle n'était pas restée inactive et
était parvenue à défaire ma ceinture et sortir ma queue
de mon slip. Je ne sais pas comment elle avait fait car
vu la raideur qu'avait mon sexe cela n'avait pas dû être
facile. En tout cas elle s'activait à le sucer, le prenait
entièrement dans sa bouche, elle me pompait littéralement,
me branlait, me triturait les couilles avec une ardeur que
je n'avais jamais connue.
Moi je continuais à lui chatouiller le clitoris avec ma
langue et à lui fouiller la chatte avec les doigts. A un
moment je sortis mes doigts bien humides pour les porter
vers son petit trou. Je mouillai sa corolle et entrepris
d'y entrer un doigt. Je fus surpris de la facilité avec
laquelle il y entra. A mon avis elle devait avoir l'habitude
de se faire prendre par ce trou là. J'y mis bientôt deux
puis trois doigts sans difficulté. Elle s'agitait maintenant
dans tous les sens, animée par d'énormes soubresauts. Je
dois dire que de mon côté, le traitement qu'elle m'infligeait
faisait son effet et je sentis que j'allais bientôt venir.
J'arrêtai mes explorations et lui fit comprendre que je
souhaitais changer de position. Elle attrapa son sac à main
et me tendis un préservatif. Je l'enfilai puis m'allongeai
sur elle entre ses cuisses qu'elle relevait et écartait
au maximum. Je n'eus aucun mal à la pénétrer vu l'humidité
de sa chatte. Je la pilonnai à fond, elle s'accordait parfaitement
avec mes mouvements en les accompagnant. Je lui saisis les
fesses pour les remonter et pouvoir ainsi aller encore plus
creux. En même temps j'aventurai un doigt jusqu'à son anus
et n'eus aucun mal à y faire entrer vu qu'il était toujours
lubrifié de tout à l'heure.
Elle râlait de plaisir et essayait avec difficulté d'étouffer
ses cris. La voiture devait sans doute être animée et les
amortisseurs devaient travailler autant que nous. Je ne
pris pas le temps ni la peine de voir si nous étions observés,
j'avais autre chose de plus important à penser et satisfaire.
A ce rythme nous ne mîmes pas longtemps à exploser en même
temps. Je lui envoyai une longue et importante giclée, je
crus que mon éjaculation n'allait plus en finir. Puis nous
nous écroulâmes l'un sur l'autre, repus.
Le temps de récupérer un peu, d'enlever le préservatif,
de nous raffistoler un peu puis nous repassâmes sur les
sièges avants dans des positions plus correctes.
Au passage il me sembla que les rideaux du camion avaient
bougés et qu'ils avaient changés de position. A mon avis
il devait y en avoir un qui avait dû bien profiter du spectacle.
Nous rentrâmes sur notre résidence, passâmes au bureau
puis elle m'invita au restaurant et nous finîmes la soirée
chez elle.
Je n'aurais jamais imaginé que ma chef qui paraissait si
austère et autoritaire ait pu avoir un tel tempérament sexuel.
J'eus par la suite bien d'autres fois l'occasion de m'en
rendre compte, mais cela fera l'objet d'autres histoires.
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