TITRE : Ma belle soeur Virginie
Catégorie : 
Histoire Extra conjugale

Accueil Histoire érotique Histoires Extra conjugale

Je m'appelle Richard, je suis parti de chez mes parents depuis à peu près un an. Comme on me le rappelle un peu trop souvent à mon goût, à 28 ans il était temps. Il faut dire que mon frère Bruno s'est installé à 24 ans avec sa copine Virginie. Mes parents me comparent souvent à lui, bien sûr il fait tout bien, il a eu tous ses examens, fait un travail qui lui plait et gagne beaucoup d'argent. Pas très facile pour moi dans ces conditions d'être totalement épanoui et de ne pas jalouser un peu mon frère. Malgré tout ça j'apprécie beaucoup Bruno, je le vois assez souvent, avec Virginie devenue sa femme depuis peu (mes parents sont ravis) et ma copine du moment.

Tout se passe donc bien entre mon frère et moi mais il y a un toujours un point qui me fait le jalouser, le haïre même des fois :

Nous avons rencontré Virginie ensemble, Bruno devait me laisser le champ libre mais n'ayant pu résister à sa beauté il l'a séduite avant moi et vous connaissez la suite.

Il ne la mérite vraiment pas, Virginie est beaucoup trop belle pour lui. Une petite brune aux grands yeux bleus, fine et bien faite. Réservée, presque timide, elle a cette fausse fragilité qui fait fondre les hommes.

Aux dires de ma mère qui sait toujours tout, le couple de Bruno ne va pas si bien qu'il y semblerait. Ils se disputent de plus en souvent depuis quelques semaines et leur relation vacille. Je ne me réjouis pas mais je ne peux pas dire que cette nouvelle m'attriste plus que ça.

Une semaine environ après cette nouvelle, Virginie me téléphone, elle est presque en pleurs quand elle me demande de la retrouver au café qui fait l'angle de ma rue. Elle est assise face à un grand café noir quand je la retrouve. Elle tourne doucement sa cuillère, la tête baissée, perdue dans ses pensées. Elle ne me remarque qu'au moment où je m'assieds à sa table.

- Ah ! Richard tu es venu, merci.

- Qu'est-ce qu'il y a Virginie, tu n'as pas l'air bien, tu as pleuré ?

- C'est à cause de ton frère, nous nous disputons sans arrêt maintenant, je n'en peux plus. Ce soir il était tellement en colère que j'ai cru qu'il allait me frapper, j'ai eu peur et je suis partie. Je suis désolée de t'avoir dérangé, je ne savais vraiment pas vers qui me tourner.

- C'est normal, tu as besoin de moi je suis là.

- Tu as toujours été gentil avec moi, je te remercie.

- Que comptes-tu faire maintenant ? Il est tard, tu ne vas pas rester ici toute la nuit. Tu as de l'argent pour une chambre d'hôtel ?

- J'ai de l'argent mais je ne veux pas rester seule, j'ai besoin de parler à quelqu'un.

- Eh bien ma porte est toujours ouverte tu sais, mais pour la nuit je ne sais pas. Je n'ai qu'un studio et surtout qu'un lit. Il est grand mais je ne crois pas que tu voudrais le partager toute une nuit avec moi.

- Je m'en fiche mais je ne veux pas t'envahir. Je suis désolée de t'imposer tout ça, je vais faire autrement.

- Non attend, tu peux venir chez moi, si ça peut te réconforter ce n'est pas moi qui vais me plaindre de dormir avec une si jolie femme, dis-je en souriant.

- Tu es gentil.

J'arrive enfin à arracher un sourire à Virginie, nous partons en direction de mon studio. Elle se confond en excuses sur tout le chemin et nous arrivons enfin chez moi.

- Donne-moi ton manteau, prend une chaise, détends-toi, je m'occupe de tout. Je te sers un verre de vin ?

- Volontiers, ça me fera du bien.

- Tiens.

Je replie le lit en canapé pour qu'on puisse s'installer...

- Non laisse, il faudra le rouvrir de toute façon.

- Très bien, alors installe-toi confortablement je t'apporte ton verre.

Virginie enlève ses chaussures et s'installe sur mon lit. Nous choisissons un film et je m'installe à ses cotés. J'ai pensé à emmener la bouteille de vin.

Le film en fond sonore, j'écoute les malheurs de Virginie en essayant de la rassurer. Je prends parfois la défense de mon frère en minimisant la gravité de ses actes mais pas trop non plus. Le temps passe et la bouteille se vide. A présent détendus, nous rions sur certaines anecdotes du passé.

- Merci encore de m'héberger pour cette nuit Richard !

- Arrête de me remercier tout le temps, je t'ai dit qu'il n'y avait pas de problèmes !

- Oui c'est vrai, mais je trouve ça très gentil.

- L'alcool me monte un peu à la tête, je vais te trouver de quoi dormir.

- Merci Richard.

Je prête un de mes caleçons et un grand T-shirt à Virginie et je prends à peu près la même tenue qu'elle. Virginie va se changer dans la salle de bain. Je suis déjà prêt et sous la couette quand elle ressort.

Je ris en voyant Virginie ainsi fagotée, elle d'habitude si féminine a l'air d'un clown dans mon caleçon et mon T-shirt trois fois trop grands pour elle. Je ne vois en réalité que ses jambes fines et ses grands yeux bleus emprunts de douceur. Elle rit également de sa tenue et me rejoint à petits pas. J'éteins.

Je suis sur le point de m'endormir quand j'entends Virginie pleurer dans son oreiller.

- Ne t'en fait pas, ça va s'arranger, ne te mets pas dans des états pareils.

Machinalement je la prends dans mes bras. Elle se retourne et se blottit contre moi. D'une voix chevrotante elle me dit :

- Tu es vraiment plus gentil que ton frère, c'est avec toi que j'aurais du sortir à l'époque.

- Pourquoi dis-tu ça ?

- Je sais que tu voulais me séduire avant que ton frère ne le fasse. Bruno m'a tout raconté. Tu es tellement gentil, j'aurais été heureuse au moins avec toi.

Je ne dis rien et lui caresse les cheveux. Elle ne réagit pas. Ma main descend sur ses épaules et sur son dos quand Virginie relève son visage vers moi.

- On ne devrait pas faire ça, tu sais ?

- C'est vrai excuse-moi...

A ce moment précis je me noyais dans ces yeux (éclairé par la télé où le film tournait en boucle). Sans réfléchir j'approchais doucement ma bouche de la sienne.

- Non, il ne faut pas... me dit-elle dans un souffle.

Mes lèvres touchent les siennes, elles sont si douces ! Virginie ne me repousse pas et répond même à mon baiser avant d'avoir un mouvement de recul.

- Je ne dois pas faire ça. Tu es le frère de mon mari... je suis désolée, tu dois me prendre pour une salope.

- Mais non pas du tout, tu es une femme belle et sensible qui est tombée sur un homme qui ne sait pas voir le bijou qu'il a sous les yeux. Je ne te considèrerai jamais comme une salope, tu as le droit d'avoir des envies, c'est normal. J'ajouterais que ton choix est très bon s'il se porte sur moi.

Elle me sourit gentiment et m'embrasse du bout des lèvres. Je me délecte de leur douceur. Je glisse doucement ma langue dans sa bouche. Elle la lèche, l'aspire, c'est si bon. Ma main s'attarde sur sa hanche puis glisse sous le T-shirt. Un gémissement m'encourage à progresser. J'effleure son dos et me fixe dans le creux de ses reins. Sa peau est d'une douceur enivrante, son léger parfum et l'alcool aidant, je suis totalement envoûté et laisse aller mes désirs.

Je la place sur le dos, relève le T-shirt et embrasse son petit ventre musclé. Virginie ne dit rien mais les mouvements de son corps trahissent son envie. J'en profite pour aventurer mes mains sur ses seins. Ils sont doux, chauds, gonflés de désir et leurs extrémités durcissent rapidement entre mes doigts experts. Virginie gémit et me regarde dans les yeux sans dire un mot.

A présent je tète ses seins tour à tour en les pressant doucement.

- Humm Richard continue ...

Je continue donc à affoler les mamelons de la belle. Quand je me redresse pour reprendre du souffle, Virginie s'accroche à mon cou et m'embrasse avec fougue.

- Tu sais, Bruno n'est jamais aussi doux avec moi, toi tu veux d'abord me donner du plaisir avant de penser à toi ça se sent. Laisse-toi faire un peu...

Elle me pousse et me voilà sur le dos, les bras en croix. Virginie est assise sur moi, elle me dit d'enlever mon T-shirt et en fait autant. Elle est assise au niveau de mon sexe qui ne tarde pas à se réveiller pour de bon. Je n'imaginais pas ma belle-sœur si entreprenante, elle m'excite encore plus comme ça. Mon torse est couvert de doux baisers. Ils descendent progressivement vers mon bas-ventre. Cette bouche amie arrive au niveau de l'élastique de mon caleçon.

- Tu es un gentil garçon alors je vais être une gentille fille avec toi, dit Virginie en me regardant droit dans les yeux et en posant une main sur mon sexe à travers le caleçon.

Elle ne me quitte pas du regard et me branle doucement comme ça.

- Humm, tu as l'air de savoir t'y prendre Virginie...

- Je sais faire d'autres choses tu sais. Je n'aime pas trop d'habitude mais avec toi j'en ai très envie.

Virginie tire alors mon caleçon vers le bas, se saisit de ma queue et recommence à la branler. Mon érection est à son maximum quand je vois cette femme adorable se plier jusqu'à toucher mon gland de ses lèvres. Sa langue y fait des cercles de plus en plus grands puis mon gland disparaît dans sa petite bouche si douce et experte. Je vais de surprise en surprise, je la croyais presque coincée, quelle erreur !

Je reste ainsi en plein bonheur à me faire sucer durant de longues minutes de plaisir par la douce Virginie. Elle masse même mes testicules en même temps, c'est divin. Encore une surprise pour moi quand je la vois engloutir la totalité de la queue plusieurs fois avant de lui rendre sa liberté.

- Ça te plait, tu veux que je continue ? me demande-t-elle dans un sourire plein de malice.

- Oui c'est vraiment génial mais j'aimerais t'en faire autant, enlève ta culotte s'il te plait et viens au-dessus de moi.

Virginie s'exécute. Son sexe est rasé, je peux accéder aisément à son clitoris que j'affole de ma langue. J'arrache plusieurs gémissements à ma bienfaitrice qui pompe toujours plus fort ma queue pour reprendre le contrôle des opérations. C'est un combat de jouissance, au premier qui ne pourra plus résister à l'envie de crier. Mes bras passent de chaque coté de son ventre, entourent ses fesses et mes doigts sont juste au niveau de son sexe que je peux ainsi écarter pour y faire pénétrer ma langue au plus profond. Virginie lâche alors ma queue dans un râle :

- Oh oui ... oui ... c'est bon ... oh mon dieu !!

Satisfait de sa réaction je ressors ma langue couvre sa jolie petite chatte de baisers.

- Tu veux bien venir en moi ? J'ai envie de te sentir dans mon ventre...

Dans une sorte de galipette je me retrouve entre ses cuisses ouvertes, prêtes à m'accueillir. J'approche mon sexe, pose mon gland à l'entrée de son si joli corps.

- Prends-moi, viens en moi, j'en ai tellement envie, me supplie-t-elle.

Je désire plus que tout posséder cette femme si adorable, ce corps tellement excitant. Je pousse calmement et entre sans difficulté dans son ventre, comme elle dit. J'accélère le mouvement, mes boules claquent sur ses fesses trempées. Virginie attrape alors les miennes pour accélérer encore le mouvement et me fait la heurter violemment à plusieurs reprises.

- Oui ... oui ... comme ça je te sens bien, baise-moi encore...

Je me retire alors et la retourne facilement. Elle est maintenant à quatre pattes devant moi, sa petite chatte n'attendant que moi. Je m'accroche à son bassin et entre à nouveau en elle. Que c'est bon, quel pied ! Virginie est soumise au plaisir que je lui donne. Je ne bouge plus, c'est à son bassin que je fais faire le va-et-vient, de plus en plus fort je claque ses fesses sur mon ventre. Elle crie de plus en plus :

- Richard... c'est bon... ne t'arrête surtout pas... défonce-moi, vas-y...

Décidément quel langage pour une femme que j'imaginais coincée... c'est très excitant.

Je suis presque couché sur son dos à lui mordiller le lobe de l'oreille quand une puissante éjaculation nous arrache à tous deux un cri bestial.

Nous restons l'un sur l'autre le temps de récupérer un peu. Je sens ma queue se dégonfler, mon sperme lâché en abondance dans ce corps de rêve coule sur mes testicules et les fesses de ma douce.

Nous nous levons enfin, un brin de toilette puis on se recouche pour finir la nuit sagement.

Le matin venu je suis tiré du sommeil brusquement par une sensation incontrôlable. En ouvrant les yeux j'aperçois les cheveux de Virginie. Elle lève la tête vers moi :

- Enfin réveillé ? Tu m'as tellement bien fait jouir que tu mérites la petite pipe du réveil !

Aussitôt Virginie replonge sa tête sur ma queue et me suce jusqu'à la garde. Sur le point d'éjaculer je la préviens, elle se redresse et me fait jouir sur mon ventre. Je ne bouge pas pour éviter d'inonder encore plus mon lit. Cette coquine de Virginie me regarde ainsi immobilisé, esquisse un sourire moqueur avant de jeter un rouleau d'essuie tout à coté de moi sur le lit.

- Tu pourrais te nettoyer quand même, tu en as partout, ce n'est pas très sérieux tout ça.

Elle me tire la langue avant de fuir vers la salle de bain, effacer les traces de sa nuit adultère avant d'aller retrouver son mari.

Ils sont toujours ensemble aujourd'hui et nous n'avons jamais reparlé de cette nuit si particulière. Seuls certains sourires ambigus de Virginie me montrent qu'elle n'a pas oublié.


Auteur

 

Accueil Histoire érotique Histoires Extra conjugale




Partenaire de communication avec logiciel fax internet
Nom de domaine et hebergement internet