Il y a quelques années, je travaillais comme
livreur dans une boîte de produits alimentaires pour le
particulier.
Ce boulot me permettait de rester relativement en forme
car les paquets étaient lourds et les étages nombreux. Ce
qui fait que je me faisais assez régulièrement draguer par
mes clientes ! Rien de bien méchant, juste des petites allusions
auxquelles je prêtais rarement attention. Il faut dire que
je n'étais pas célibataire et très amoureux.
Un jour, je sonne à la barrière d'une grande maison. Après
que la personne ait vérifié mon identité par la caméra de
l'interphone, je vois les 2 battants s'ouvrir et une voix
me dit d'entrer.
La porte d'entrée, était entrouverte, un signe de la main
m'invite à entrer. Elle était au téléphone, visiblement
avec son mari et la discussion avait l'air tendue.
Elle était de dos et me laissait donc le loisir de la regarder.
La quarantaine, 1 m 70, des cheveux châtains mi-long et
légèrement bouclés. Mince et plutôt bien faite, elle portait
un tailleur qui me semblait assez strict, jusqu'à ce que
je découvre cette jupe longue mais largement fendue. Une
certaine classe avec un brin de sensualité. Tout ce que
j'aime quoi.
La conversation s'éternise et elle s'assoie sur le rebord
du canapé; Cela découvre sa jambe droite ! Gainé de collants,
sa cheville était fine et le mollet long, le voile noir
laissait transparaître son genou et sa cuisse jusqu'à mi-hauteur.
J'appréciais le spectacle avec insistance sans me douter
qu'elle me surveille dans le miroir accroché au mur d'en
face.
Surpris, je détournais mon regard vers mon paquet.
Elle écourta sa conversation et vient à moi.
- Bonjour Monsieur. C'est pour la livraison ? Bien. On
peut vérifier le colis ?
- Bien sur madame, Attendez; je vous l'ouvre.
- Laissez; je vais le faire.
Elle s'accroupit donc et se penche sur le carton. Les pans
de sa veste s'entrouvrent et me laissent entrevoir un décolleté
naissant, qui me fait rougir. D'autant plus qu'elle me regarde
droit dans les yeux.
Son coude fait glisser sa jupe qui s'ouvre largement sur
le coté. J'ai devant moi un spectacle magnifique. Sa jambe
totalement découverte jusqu'au début de sa fesse gauche.
Elle fouille dans le carton et semble avoir du mal a trouver
ce qu'elle cherche.
Je propose mon aide, et m'accroupis à mon tour face à elle.
En fouillant, nos mains se touchent plusieurs fois, nos
regards se croisent, je suis troublé, et perds l'équilibre
!
Je me rattrape à ce que je trouve et donc sa jambe. Je
me retrouve dons là, les yeux dans les yeux avec cette femme
charmante, ma main posé sur sa cuisse.
Je ne sais quoi dire. A part quelques balbutiements incompréhensibles.
Je finis par retirer ma main. Puis elle s'arrête de fouiller
dans le carton et me regarde du coin de l'œil en me
disant :
- Vous savez, j'ai bien vu votre regard tout à l'heure.
Elles vous plaisent mes
jambes ?
- Heu, hum. J'aurais du mal à le cacher.
- Et bien, ne vous gênez pas. Caressez-les.
- Pardon ?!!!
Elle prend ma main et la pose à l'intérieur de sa cuisse.
Le contact du nylon me fait comme un électrochoc et je sens
monter une érection. Elle le remarque et m'invite à m'asseoir
sur le canapé.
Elle, débout face à moi, remonte lentement sa jupe, et
pose son pied sur la bosse qui pousse entre mes jambes.
Elle masse délicatement mon sexe avec son pied. J'ai des
frissons dans tout le corps. Je prends son mollet au creux
de mes mains et remonte doucement le long de l'intérieur
de sa cuisse.
Elle s'approche dans un soupir pour je puisse atteindre
son sexe. En léchant ses cuisses je sens à travers le nylon
la chaleur de son corps. Elle dégrafe ma braguette et laisse
sortir mon sexe tendu. Elle s'agenouille entre mes jambes
et après un sourire complice, elle enfourne mon sexe tout
entier dans sa bouche. Je laisse échapper un râle de plaisir.
- chhuuuut. Doucement, laisse toi faire, chuchote t elle
Elle se pose alors à coté de moi sur le canapé et reprend
sa fellation. Avec ma main droite, je caresse le nylon de
son collant, remonte sur ses fesses. C'est doux, et ce crissement…
le nylon m'a toujours fait cet effet là. Je dégrafe sa jupe
et la laisse glisser à terre. Pendant ce temps elle me malaxe
les testicules en enfonçant mon sexe dans sa bouche.
Sa veste baille . j'en profite pour glisser ma main sur
ses seins. La dentelle noire glisse entre mes doigts. Elle
prend ma main et la pose sur ses reins. Manifestement elle
veut des caresses. Je passe donc sous ses collants, écarte
son string et fait courir mon doigt entre ses lèvres. Elle
sursaute, et s'ouvre à moi.
Je ne tiens plus. Je tire sur son collant, qui bloque à
mi-cuisse. Je descends le morceau de dentelle qui lui sert
de string, pose la paume de ma main sur le haut de la fesse
et commence à titiller sa vulve, elle est en transe, bougeant
son bassin au rythme de mes doigts, je passe sur l'anus,
revient sur le clitoris, retourne auprès de l'anus et enfonce
légèrement mon pouce.
- Arrête. Prends-moi !
Sans un mot, je me lève, l'accoude au canapé et enfonce
mon sexe dans son minou par derrière. Elle se cambre et
enlève sa veste. Je la prends avec force. Elle ne peut plus
bouger, son collant gênant ses déplacements !
Je prends ses hanches à 2 mains, et tambourine de plus
belle. Je me relève et regarde notre reflet dans le miroir.
Je me penche alors pour pouvoir caresser son clitoris tout
en continuant mon pilonnage.
Je la sens tressaillir et onduler de plus belle. Je ne
vais plus tenir très longtemps. Elle le sent et me tient
mes testicules avec l'un de ses mains. Là c'en est trop,
j'explose en elle c'est trop bon. Après le dernier soubresaut,
elle se retourner et nettoie mon sexe dans sa bouche,. Les
derniers coups de langue qu'elle m'assène, je fonds comme
pour jouir une 2eme fois.
Après un long soupir, sans lever sa tête elle me demande
de partir. Ce que je fais.
Elle n'a plus jamais commandé. Et les seules fois où j'ai
eu le courage de m'arrêter devant sa porte, une voiture,
l'Audi de son mari était dans la cour.
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