TITRE : Ligoter un beau voisin
Catégorie : 
Histoire Sado Maso
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Je m'appelle Karine, j'ai vingt-trois ans et j'habite à Montréal, rue St-Urbain. Il y a deux semaines, j'ai réalisé un de mes fantasmes les plus chers avec un mec qui habite le même édifice à logements que le mien. Son nom est Steven, il a vingt-six ans et il venait tout juste d'emménager dans notre édifice, au début juillet.

Je l'avais remarqué dès le moment où il déménageait ses meubles dans mon édifice, car il m'a bien vite paru très attirant, vêtu seulement d'un short bermuda et de sandales et le visage paré de verres fumés. J'ai alors pu apprécier son corps découpé comme celui d'un nageur, et son torse nu tout en sueur, rasé et bronzé me plaisait beaucoup. Et tout en procédant à son déménagement, il semblait bien s'amuser en compagnie de ses amis qui l'aidaient, ce qui dénotait un caractère de bon vivant. Il est aussi anglophone, arrivant de Toronto, et je me suis vite rendue compte qu'il est célibataire.

Je me suis mise à me demander comment je pourrais bien avoir ce mec-là dans mon lit, en espérant que cela ne prendrait pas trop de temps pour y arriver. J'étais sûre qu'établir un contact avec lui ne serait pas difficile, compte tenu que son appartement est situé juste au-dessus du mien, et que je suis souvent assise sur le balcon arrière en train de lire au soleil. Et de là je pouvais souvent le voir prendre l'escalier extérieur pour monter vers son appartement. Comme je suis plutôt attirante physiquement, je savais que cela ne nuirait en rien à l'atteinte de mon but, d'autant plus qu'il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu'on se salue lorsqu'il passait par là, et même pour échanger de brèves conversations.

Mais j'ai pensé aussi que je pourrais alors réaliser un fantasme que je cultivais depuis quelques temps : celui de me soumettre un beau mec pour une nuit, en l'ayant comme prisonnier à moi toute seule. J'ai donc commencé à élaborer mon plan et, peu après, j'ai acheté ce qu'il me fallait : en fait, de simples cordes. Et j'ai confectionné un bandeau en découpant un vieux t-shirt blanc.

Donc, le vendredi d'il y a deux semaines, je suis revenue du travail et me suis assise juste après le souper sur mon balcon arrière, en train de lire des magazines. J'étais vêtue d'un short très court et serré, et d'une camisole moulante. Il faisait très chaud et humide. Vers dix-neuf heures, j'aperçois Steven en train de travailler sur le moteur de sa voiture, dans la cour juste sous les balcons. Il est seulement vêtu, comme toujours durant les grandes chaleurs, d'un short bermuda et de sandales. Je l'observe tout en faisant semblant de lire mon magazine, en admirant son beau corps couvert de sueur.

Vers huit heures, il est encore occupé à travailler sur son moteur. Je décide que le moment est venu de passer à l'action. Je me penche de mon balcon et l'interpelle, avec mon anglais encore rudimentaire, en lui disant qu'il fait bien chaud pour s'acharner sur son moteur comme il le fait, et je l'invite à prendre une bière avec moi pour se rafraîchir. En riant, Steven me dit que j'ai bien raison, et il accepte volontiers mon invitation. Il ramasse ses outils, referme le capot de son moteur et monte par l'escalier extérieur. Arrivé à mon étage, il me dit qu'il monte pour prendre une douche rapide et qu'il me rejoindra juste après. Je lui dis d'accord et que la bière sera bien fraîche pour son retour.

Tandis qu'il monte chez lui, je me rends dans mon appartement pour prendre le bandeau ainsi que les deux bouts de corde que j'ai achetés quelques jours plus tôt ; j'en dépose une près du lit et l'autre sur le comptoir de ma cuisine qui donne sur la porte d'entrée du balcon. Puis je prends un seau de glace, y dépose six bouteilles de bière et apporte le tout sur la petite table du balcon. Il ne me reste plus qu'à m'asseoir, après avoir mis le bandeau dans le sac que j'ai déposé près de ma chaise, pour attendre le retour de celui dont je compte bien m'emparer pour la nuit...

Peu après, Steven descend les escaliers et me rejoint. Il est vêtu d'un short bermuda bleu foncé et d'une chemise à manches courtes de couleur pâle, qui est toute ouverte sur son torse car il ne l'a pas boutonnée, vu la chaleur humide qu'il fait. Je suis certes ravie de pouvoir voir ainsi son torse bien viril. Et il porte ses sandales habituelles. Nous sommes à la brunante, et la nuit tombe peu à peu tandis que nous parlons ensemble tout en dégustant nos bières. Dans un français dont le fort accent anglais me charme beaucoup, Steven me parle de son travail d'ingénieur informatique qu'il pratique depuis quatre ans, et me dit qu'il est très content de se retrouver à Montréal, une ville qu'il adore. Il me pose quelques questions sur moi et je lui parle également de mon boulot. Nous discutons ensuite des sorties cool de Montréal, et en particulier des principaux bars se trouvant justement près de chez moi, sur le boulevard St-Laurent.

Tandis que nous discutons ainsi, je remarque bien que Steven jette de temps à autre des coups d'oeils remplis d'intérêt sur mon buste et mes jambes. Je me dis que cela augure bien pour la réalisation de mon plan. Je lui demande s'il a une copine. Il me répond qu'il en avait une à Toronto, mais qu'il a préféré cesser cette relation, compte tenu qu'il déménageait à Montréal et qu'il aime bien se retrouver désormais libre, car il ne se sentait pas mûr pour une relation durable ; et il avoue aussi apprécier les « one night stands ». Il me demande si j'ai un copain, et je lui confie que, pour le moment, cela ne m'intéresse pas, car je sors à peine d'une relation de cinq ans et que, moi aussi je ne déteste pas d'avoir recouvré ma liberté.

J'avais pris jusque-là deux bières, tandis que Steven en était à la quatrième. Je me dis alors que le moment est venu, et je lui dis d'un ton direct que je le trouve pas mal hot. Il sourit et me dit qu'il en pense autant de moi. D'un ton blagueur, je lui dis ensuite que j'ai chez moi l'air climatisé et que, puisqu'il n'en est pas pourvu dans son appartement, je n'aurais pas d'objection à ce qu'il passe la nuit chez moi. Steven prend une longue gorgée de bière, puis me regarde avec un sourire un peu coquin. Il me dit alors :

- C'est vrai que chez moi c'est plutôt chaud pour dormir... Je pense que je ferais bien de profiter de ton hospitalité.

Juste pour le titiller un peu, je lui dis que je n'ai qu'une chambre et qu'un seul lit. Steven me répond, toujours en souriant :

- Je peux très bien m'en accommoder, si ça ne te dérange pas trop...

Je lui spécifie alors que je veux bien, mais que ça doit se passer à ma manière et que, comme il est l'invité, il doit se plier aux volontés de la maîtresse de maison. Steven prend une pause d'un air à la fois intrigué et amusé, puis après quelques secondes, il me dit en anglais :

- It's a deal, darling !

Je me penche pour ouvrir mon sac et saisir le bandeau. Puis je me lève en lui demandant de rester assis un instant. Tandis que je me rends derrière lui, il a l'air de se demander ce qu'est ce bout de tissu qu'il aperçoit dans ma main. Debout derrière lui, je pose d'abord mes mains sur ses épaules et je les caresse pour ensuite les palper bien fermement. Puis, lentement, je lui bande les yeux. Steven réagit en disant doucement :

- Hummm... Sounds good !

Je le fais ensuite se lever et lui prends la main pour le faire entrer dans mon appart. Je referme la porte, lui fais retirer ses sandales, et lui enlève sa chemise. Je l'embrasse ensuite. Il veut me saisir avec ses bras, mais je lui dis qu'il ne peut pas le faire, car il doit entièrement me laisser mener le jeu et rester silencieux, ce qui lui fait esquisser un sourire en coin. Je caresse et palpe longuement son torse et ses hanches, et Steven se laisse faire, bien docile, en laissant ses bras allongés de chaque côté de lui.

Après de longues minutes de ces caresses, je saisis la corde que j'avais laissée tout près. Je me place derrière lui puis, doucement, je prends ses mains l'une après l'autre en les ramenant au bas de son dos. Je place ses poignets en les croisant l'un sur l'autre et lui demande de les maintenir dans cette position. En sentant la corde toucher ses poignets, Steven murmure un :

- Hummm... Sounds very hot !

Je lui rappelle qu'il ne doit pas parler, puis je continue à lui lier les poignets avec la corde. Tout en enroulant soigneusement la corde autour de ses poignets, je regarde de temps à autre son visage grâce au miroir qui est face à lui ; il esquisse toujours son sourire un peu narquois sous ses yeux bandés.

Après lui avoir ainsi solidement attaché les mains derrière le dos, je lui baisse son short. Steven relève chacune de ses jambes pour les dégager. Préférant voir un beau mec en petite tenue plutôt que tout nu, je lui laisse son caleçon. C'est un beau modèle de boxer-briefs gris, bien serré et se moulant parfaitement jusqu'à mi-cuisses aux formes de ses fesses et de son sexe. Puis je saisis Steven par les épaules et le guide jusqu'à ma chambre. Je le fais s'allonger sur le dos dans mon lit, en prenant soin de placer un gros oreiller sous sa tête pour qu'il soit bien confortablement installé. Avec l'autre bout de corde je lui lie alors les chevilles aussi solidement que ses mains.

Steven est alors bien à merci, et je peux pleinement posséder son corps, à ma guise. Je le trouve encore plus séduisant ainsi ligoté et en caleçon. Sa posture soumise, avec ses bras tendus vers l'arrière à cause de son corps ligoté, met en relief son torse découpé à la perfection, et le tout, ajouté à ses chevilles liées, me donne l'impression d'une virilité encore plus séduisante, par sa soumission même.

Je me mets nue puis lui ôte son bandeau. Son membre est raide d'un désir déjà fort visible sous son caleçon. Je pose mes lèvres sur les siennes. Je goûte alors au plaisir d'embrasser un si beau mec ligoté, car je ressens avec intensité tout son corps que je peux palper et caresser sans que lui puisse me toucher, sauf de ses lèvres qu'il s'efforce au mieux de poser sur ma bouche, mon cou, mes seins. Je le caresse tout en embrassant et léchant son torse, dont j'aime le goût salé. Steven gémit au moment où je pose la main sur son sexe, sous son caleçon que je baisse ensuite à ses genoux. Ne pouvant me retenir davantage, je prends son sexe en bouche et le suce avidement. Les gémissements de Steven se font alors de plus en plus intenses, et je le sens tenter de se détacher les mains, mais en vain, puisqu'elles sont bien solidement attachées. Il s'abandonne alors au plaisir que je lui procure avec ma bouche. Et c'est avec délice que je sens sa semence envahir ma gorge par giclées crémeuses. J'avale tout de ce précieux liquide.

Je m'étends ensuite le long de son corps, en le laissant se reposer un peu, toujours ligoté. En fait, il reste attaché toute la nuit, et ne semble pas s'en plaindre. Malgré les cordes qui lui lient les poignets et les chevilles, Steven fait preuve d'une grande vigueur sexuelle. À plusieurs reprises je le fais me pénétrer en me plaçant sur lui. Je le chevauche dans une incessante jouissance mutuelle.

Après quelques heures d'amour, nous sommes tous deux épuisés. Je lui remonte son caleçon, et nous nous endormons peu après. Au matin, je le réveille en le suçant de nouveau, ce qui certes ne suscita aucune protestation de sa part... Puis je l'ai détaché et il m'a fait l'amour à nouveau et, libéré de ses liens, Steven fut tout simplement merveilleux.

Cela ne fait que deux semaines que cette nuit torride a eu lieu. Depuis, j'ai pris Steven pour amant, et il vient presque tous les soirs dormir chez moi. Je ne l'ai plus attaché depuis, mais cela ne saurait tarder...

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